Quand donc le Pouvoir se décidera-t-il à terroriser les terroristes ?

PasquaLes musulmans de France souhaitent ne plus entendre parler de la récente décapitation dont un Français vient d’être victime.
Parlons-en au contraire, car il ne s’agit pas d’un acte de barbarie comme un autre, mais d’un signe ostensible annonçant la décapitation prochaine de l’Occident.
Il faut savoir en effet que pour tout musulman qui adhère à la Parole d’Allah, l’Occident est impie, c’est-à-dire irréligieux, et par suite indigne de vivre. La bombe à retardement qui menace la France et l’Europe, via l’immigration musulmane, n’est pas autre chose.
Il y a dans cette barbarie visible une « émotion », comme l’a dit François Hollande. Mais, a-t-il ajouté, « l’émotion ne peut pas être la seule réponse. C’est l’action, la prévention, la dissuasion ».
Ah bon ?
Quelle « prévention » peut-on avoir avec une idéologie criminelle ? Est-ce ainsi que l’on a combattu le nazisme ?
Quelle « dissuasion » quand on nous annonce que l’auteur de l’attentat n’avait aucun casier judiciaire à partir de 2008, alors qu’il avait fait l’objet d’une fiche de renseignement S dès 2006 en raison de sa radicalisation ?
Et quelle « action » ?
En Egypte, les criminels de ce type, aidés par les Frères Musulmans, avaient commencé à mettre en place (et en pratique !) la même politique de terreur. Mais le général Al Sissi – qui voit clair ! – a pris les opérations en mains, faisant exécuter les Frères Musulmans coupables de djihadisme, car l’Egypte n’est pas un pays où l’on remplit les prisons d’assassins (ces derniers devant être nécessairement nourris, quand on ne va pas jusqu’à leur proposer des activités de détente !).
Suite à ce « nettoyage », le Général Al Sissi a donné l’ordre de bombarder les troupes de l’Etat Islamique implantées sur les côtes libyennes.
Résultat : l’Egypte ne subit plus d’attentats terroristes, contrairement à l’Irak, au Koweït ou à la Tunisie.
Cela ne signifie pas que l’Egypte soit définitivement tirée d’affaire en ce domaine, le groupe des Frères Musulmans y étant toujours une menace. Mais cela montre le réalisme politique du Général Al Sissi, et son efficacité dans « l’action ».
On objectera que de telles méthodes sont contraires aux « Droits de l’Homme », et l’on aura raison… du moins en apparence !
En effet, quel sens peuvent avoir les « Droits de l’Homme » pour celui qui tue des innocents, uniquement parce qu’ils ne pensent pas le monde comme le voudrait Allah ?
Les « Droits de l’Homme » ne peuvent avoir de sens que pour des innocents jugés, condamnés, emprisonnés, exilés ou mis à mort, mais pas pour des assassins prêts à tuer n’importe qui, à commencer par tous les mécréants de la terre.
Autant dire que lorsque l’ennemi est capable de décapiter au couteau un innocent pour en exhiber la tête sur un grillage, il n’y a qu’une chose à faire : frapper fort, sans discuter, car on ne discute pas avec l’horreur !
Maurice Vidal