Prague : il y a 50 ans Jan Palach s’est sacrifié pour la liberté, contre le communisme

Le 21 août 2018, il y aura 50 ans que les chars soviétiques, devenus le symbole de l’occupation communiste russe, entraient de nouveau à Prague. Staline était mort mais la dictature soviétique était encore là, impitoyable.

Le PCF a d’ailleurs réécrit la sienne sur sa résistance et a passé sous silence sa collaboration avec les nazis jusqu’en juin 1941 ! Qu’en pense “Le Monde” ?

Jan Palach, né le 11 août 1948 à Prague et mort le 19 janvier 1969 dans cette même ville. Il s’est suicidé le 16 janvier 1969 en s’immolant par le feu pour protester contre les chars soviétiques entrés dans Prague.

Le suicide d’un jeune homme de 20 ans provoqua une vive émotion en Tchécoslovaquie, en Europe et dans le monde. Jan Palach ne sera pas le seul à mourir immolé pour protester contre l’occupation soviétique. Ni en Tchécoslovaquie, ni dans les autres pays du bloc communiste. (Source)

Georges Marchais, en visite en Roumanie chez son ami dictateur Ceausescu, a pu dire sans honte que le bilan des dictatures communistes à l’Est était globalement positif !

Le communisme ne fut qu’un long chemin d’os broyés, de sang versé, d’assassinats, de camps de concentration et de déportation des peuples soumis.

Combien de ces régimes ont-ils trouvé leurs origines dans la misère des peuples, la famine, les abus de pouvoir. Combien de morts dus au socialisme, puis au communisme ?

Ce 21 août 2018, il n’y a plus de Tchécoslovaquie. Chaque peuple a réparé les inepties des traités de l’après-guerre 1914-1918. Inepties qui conduisirent à la Seconde Guerre mondiale !

De même pour la Yougoslavie. Les peuples, à terme, n’acceptent pas d’être sous le joug d’étrangers. L’Union européenne, cette nouvelle entité dominante des nations qui la composent, en fera certainement les frais d’ici peu ! Aucun peuple ne peut accepter que l’on méprise sa culture, sa langue, sa monnaie, son histoire, ses racines, ses croyances !

L’Union européenne détruit les fondements des nations. La culture française y est niée, y compris par un président fantoche qui affirme qu’il n’y a pas de culture française et que nous aurions été des nazis en Algérie.

Il ne cesse de valoriser la langue anglaise et parler de l’Europe comme d’une vraie nation, ce qu’elle ne peut être, par définition ! L’Union européenne, ce nouvel empire soviétique, disparaîtra, de gré ou de force, et c’est l’Europe de l’Est qui nous montre l’exemple comme hier, en 1956, à Budapest et à Prague, en 1968. C’est de l’Est que vint l’arrêt de l’invasion des Turcs, devant Vienne, grâce à la persévérance et au courage de ses peuples mais aussi à la témérité du roi Jean III Sobieski et de ses Chevaliers ailés !

Nous avons, nous aussi, nos Jan Palach. Des femmes et des hommes de courage qui, bien que minoritaires le plus souvent, ont su se battre contre tous les oppresseurs ! Nous avons des combattants qui ont su ouvrir la voie à la résistance contre les envahisseurs anglais, puis prussiens et allemands ! Aujourd’hui, c’est contre l’islamisme et ses alliés bruxellois de l’Union européenne !

Rien n’est inéluctable ! L’avenir appartient à celui qui a la plus longue mémoire ! À celui qui n’oublie pas d’où il vient ni qui il est !  Qu’importe qu’il soit d’origine, pour peu qu’il soit pleinement de France, qu’il y adhère et accepte son histoire pleine et entière !

Le nazisme et le communisme n’ont pas vaincu les peuples, grâce à des résistants et à des Jan Palach. Nous vaincrons l’islamisme car nous avons des Jan Palach dans chaque région, parmi nos lecteurs, nos rédacteurs et contributeurs !

Pensez-y, ce 21 août 2018, mais pensez aussi à ce qu’il a dit avant de mourir : « Mon acte a atteint son but, mais que personne ne m’imite… Que les vivants se consacrent à la lutte ! »

Gérard Brazon (Libre Expression)