Privilège blanc : Macron cautionne le discours raciste des indigénistes
Cautionnant l’odieux discours raciste des indigénistes, Macron vient une nouvelle fois de salir l’identité gauloise, en affirmant que le fait d’être blanc est un privilège.
https://francais.rt.com/france/82082-privilege-blanc-un-fait-pour-emmanuel-macron
“Je constate que, dans notre société, être un homme blanc crée des conditions objectives plus faciles pour accéder à la fonction qui est la mienne, pour avoir un logement, pour trouver un emploi, qu’être un homme asiatique, noir ou maghrébin”, a déclaré Macron.
Rien de tel pour désintégrer la nation, tout en prétendant réconcilier les Français. Mais il est vrai qu’on n’a jamais vu Macron encenser la France et le peuple gaulois.
Sa dernière prise de parole fut pour insulter les forces de l’ordre en les accusant de “violences policières” et de “contrôles au faciès”.
À quarante ans passés, Macron en est encore à se demander “qu’est-ce qu’être français” !
Question majeure, qu’on peut aussi bien développer dans une thèse de doctorat, que résumer en deux mots : Être français, c’est d’abord aimer la France, tout simplement.
Macron déclare qu’être français, “c’est d’abord habiter une langue et une histoire”.
Dans ce cas, pourquoi développer l’enseignement de l’arabe au lieu du français et pourquoi réécrire le grand “roman national” à la sauce politiquement correcte ?
Quand on ne sait pas répondre à cette question, c’est qu’on n’aime pas la France, comme l’ont aimée les Russes, les Polonais, les Italiens, les Espagnols, les Portugais et plus récemment les Vietnamiens venus s’installer chez nous pour y devenir de vrais Français, sans éprouver le besoin de vomir leur pays d’accueil.
Il n’y a que les Arabes et les Africains qui se complaisent dans leur discours victimaire et en veulent à la terre entière. Pourtant, au pays du tout gratuit avec ses 750 milliards de social, ces nouveaux venus sont beaucoup mieux lotis que les vagues d’immigrés précédentes.
On n’a jamais vu un Vietnamien dénoncer le privilège des Blancs, pour la simple raison que les Asiatiques caracolent en tête de tous les classements scolaires et se hissent, par le travail et l’ambition de réussir, au plus haut niveau de l’échelle sociale.
Car le bouddhisme et le confucianisme, c’est l’école du mérite et de l’effort individuel. Rien à voir à voir avec la culture de l’assistanat, du berceau au tombeau.
Dans un habituel discours d’équilibriste, lors d’une interview accordée à l’Express depuis sa résidence versaillaise de la Lanterne, où il poursuit sa quarantaine, Macron prétend qu’il n’a jamais été “multiculturaliste”, tout en prônant une “République plurielle” !
Chacun appréciera la nuance…
Le virtuose du “en même temps”, en clair le Mozart du double langage, nous montre une nouvelle fois la complexité de sa pensée, en tenant des propos contradictoires et alambiqués, de plus en plus confus, affirmant tout et son contraire. Rien de bien nouveau.
Incapable de reconnaître l’échec de l’intégration et le danger de l’islamisation massive du pays, il ne trouve rien de mieux que de racialiser son discours.
Les Houria Bouteldja, Danièle Obono, Rokhaya Diallo ou Assa Traoré ont trouvé en Macron le plus fervent supporter de la cause indigéniste.
Il prétend dénoncer la “cancel culture” venue d’Amérique, mais parle comme les Black Live Matter.
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En endossant le discours victimaire des immigrés, faisant du Blanc le nanti éternel coupable, Macron ne fait que séparer les Français par la couleur !
Pascal Bruckner souligne parfaitement le danger d’un tel discours, totalement mensonger qui plus est.
La France n’est pas l’Amérique esclavagiste de la guerre de Sécession ou l’Afrique du Sud de l’apartheid.
Pourquoi y aurait-il un privilège blanc en France, pays “caucasien” à 90 %, alors qu’il n’y a pas de privilège noir en Afrique, ou de privilège chinois à Pékin ?
Bruckner a raison. Sinon, il faut dénoncer l’insupportable privilège du Papou en Papouasie, de l’Esquimau en Alaska ou du Jivaro en Amazonie.
Où est le privilège du Gilet jaune à peau blanche, par rapport au millionnaire du football à peau noire ? Stop aux délires racialistes.
Contrairement à ce qu’affirme Macron, il n’est écrit nulle part dans la Constitution que “la République est plurielle”. La République est “Une et indivisible”.
Faire la promotion de la pluralité en dénigrant l’assimilation, qui a pourtant fait ses preuves avec des générations d’immigrés, c’est mener à la dislocation de la Nation.
Où est la richesse multiculturelle quand 50 % des jeunes musulmans souhaitent l’avènement de la charia ? Macron délire.
Ce n’est pas en enseignant l’arabe ou le Code noir de Colbert à l’école que nous comblerons la béante fracture identitaire.
Ce n’est pas en bradant l’accès aux grandes écoles, qui sont des modèles d’excellence, que nous assurerons la cohésion nationale. C’est avant tout par le travail qu’on gravit les échelons de la société, pas par la discrimination positive, qui n’est que la négation de l’égalité républicaine.
Pour conclure, donnons la parole à Marine Le Pen, qui déplore la soumission de Macron au discours racialiste des indigénistes.
“Une fois de plus, Emmanuel Macron utilise une rhétorique racialiste malsaine, étrangère à notre culture et à notre histoire de France. Une fois de plus, cette américanisation m’inquiète. Nous n’avons qu’un modèle, celui de la méritocratie républicaine.”
Rappelons que sur les 110 000 acquisitions de la nationalité française en 2018, 70 % des nouveaux Français venaient d’Afrique et de Turquie, dont 15 000 Algériens et 15 000 Marocains.
L’Asie ne représente que 10 % des immigrés naturalisés.
Vu le désastre de l’intégration, la République “Une et indivisible” ne sera bientôt plus qu’un lointain souvenir, cédant la place à une société libanisée, livrée à tous les conflits interconfessionnels et raciaux.
Dans ce contexte plus qu’alarmant, le discours de Macron n’est donc qu’un énième exercice de communication anesthésiant, dont il a le secret.
Il ne fera jamais rien pour freiner le tsunami migratoire et nous protéger de cet islam conquérant qui s’oppose à la République.
En attendant, l’éternel procès de l’homme blanc et du Gaulois en particulier, dans la bouche du Président de notre France millénaire, devient de plus en plus insupportable et indécent.
Si Macron a honte d’être blanc, qu’il parte, l’Élysée n’est pas une prison.
Jacques Guillemain