Leur propagande livre les Français au couteau de l’agresseur

Poussé par l’actualité, inspiré par la muse, je rédigeais en Juillet 2016 une petite pièce que je soumis à mon éditeur. Je revois encore son expression mi horrifiée, mi méprisante. “Voyons, vous savez bien que ça n’est pas publiable !”. Je le savais, bien sûr, mais être confronté à cette évidence était justement le but de la manœuvre. Puisqu’il m’avait accordé un temps défini (pas infini, vous connaissez les éditeurs…), je lui dis que je m’attendais à sa réaction mais que je souhaitais cependant que nous entrions dans le détail. En effet, officiellement dans notre beau pays de France, sur notre beau continent d’Europe, il n’y avait, à ma connaissance, pas de censure. En outre, bien que ma plume ne soit certainement pas la meilleure disponible, elle n’est certainement pas non plus la pire qui se soit vue publiée, alors ?

– C’est le sujet évidemment ! Il n’y a pas de censure officielle, mais personne n’est autorisé, sans conséquence judiciaire ou autre contrainte, à publier un texte qui incite à l’injustice, à l’inégalité, notamment entre hommes et femmes, la pédophilie même et jusqu’à contenir des appels au meurtre. Or une partie de votre pièce, là, contient tout ça ! Voyons !”
– Vrai ! Mais elle contient aussi par ailleurs tout l’inverse : des conseils de tolérance, de douceur, de bonne entente…”
– Cette seconde partie ne saurait en aucun cas excuser la première. C’est cette première qui condamne irrémédiablement la seconde. Vous le savez !”
– Je le sais, mais je constate qu’il y a des exceptions tout à fait actuelles qui, loin d’être sanctionnées, sont encensées par les autorités. Lesquelles, par ailleurs vous venez de me le dire, condamnent mes écrits à moi.”
– Je voudrais bien voir ça ! Je vous mets au défi !”
J’ai donc déposé sur son bureau une traduction du coran, très fidèle m’a-t-on affirmé (je m’en voudrais de vérifier, je déteste vomir), avant de sortir chercher un autre éditeur.

Nous sommes en guerre. Suivant les enseignements de leur livre odieux, les musulmans nous agressent en vue de nous annihiler. Leur agression leur est facilitée par nos dirigeants qui, en collabos zélés, les soutiennent contre le peuple qu’ils se sont proposés de défendre. Leur motivations sont diverses : corruption, aveuglement, pêche aux voix, etc. par dessus tout mépris et égoïsme. Mais le résultat est là, ils sont entrés dans la haute trahison. Ils savent par ailleurs que les pays musulmans interdisent formellement, eux, toute diffusion de la bible. Ça ne me fait ni chaud ni froid, mais admettre que les musulmans diffusent chez nous sans la moindre retenue leur livre odieux et interdisent chez eux la diffusion d’un ouvrage qui a participé à former la civilisation occidentale, c’est la marque de notre soumission.

Aucun moyen n’est épargné par nos dirigeants pour matraquer de propagande la population qu’ils livrent ainsi au couteau de l’agresseur. Ces moyens ne leur manquent pas puisqu’ils les puisent justement dans le portefeuille de ceux qu’ils trahissent. La première action conduite par cette propagande est de nier l’agression. Or toute la rhétorique du monde ne peut nier ni ce qui est écrit noir sur blanc, ni la conséquence que l’on en observe presque quotidiennement à présent. Le torchon immonde qui guide les musulmans exprime clairement ce qu’il faut faire : nous tuer. La propagande dit ‘qu’il n’y a pas que ça dans ce livre’. De fait, on y trouve tout, n’importe quoi et son contraire. Bonne méthode pour égarer la pensée. Dans le cas de ce torchon, par exception, nos dirigeants excusent la première au prétexte que ‘l’autre est si charmante’.

Curieux non ? Deux poids deux mesures… On constate en outre que police et armée se voient verrouillées contre toute action efficace. La “justice” a des instructions bien précises pour ne pas condamner les agresseurs les plus en vue et les plus nocifs : plus de 100 interpellations pour le même musulman coupable d’agressions répétés et pas une nuit de prison ! Si vous observez tout ça et qu’il vous paraît évident qu’il y a là complot, vous vous verrez stigmatisé, sinon pire, pour avoir osé évoquer une chose aussi invraisemblable. Invraisemblable vraiment ? Nous ne disons pas qu’il s’agit d’un complot organisé et conscient, mais complot il y a, où se rejoignent tous les profiteurs d’un système à bout de course. Ils sont cependant devenus si inconscients de leur malveillance qu’ils n’ont plus même la capacité de s’en rendre compte. Dans ces conditions le peuple ne se voit-il pas dans l’obligation de prendre son sort en mains lui même ? Ne se voit-il pas dans la nécessité de faire directement appel aux forces de sécurité, police et armée, pour balayer les collabos traîtres au pouvoir ?

Les raisons génériques qui ont conduit ceux qui sont coupables de cette catastrophe ? On peut citer sans risque de se tromper : les intérêts individuels à court terme des politiciens en place, tout aussi bien que candidats au remplacement de ceux-ci, et l’absence de courage. Pour justifier leur position ils n’ont plus que le mensonge le plus éhonté et les méthodes les mieux éprouvées de la propagande (Joseph Goebbels : “Plus c’est gros mieux ça passe !”). Ils n’hésitent ainsi pas à dire que “l’immigration est une chance pour l’Europe”. Ils seraient bien en peine de sortir les chiffres qui ont été sérieusement calculés et montrent le coût net et abyssal de cette “chance”. Sans citer le coût humain qui s’alourdit en permanence. Ils osent parler de cette secte répugnante en la qualifiant de “douce, égalitaire, paisible et tolérante” et autres qualificatifs qu’elle n’a non seulement jamais justifié, mais qu’elle rejette furieusement chaque fois que l’occasion lui en est donnée tant dans ses écrits que dans ses déclarations et actions. Ils vont jusqu’à traiter de racistes ceux qui tentent encore de lutter contre la soumission qu’ils nous imposent. Il y a cependant racisme, oui, mais du côté de l’adversaire. Nous nous ne luttons que dans le but de ne pas nous soumettre.

Nous ne nous basons ni sur l’origine, ni sur la couleur de la peau, ni sur tout autre notion raciste justement, mais uniquement sur l’appartenance ou pas à cette secte criminelle. Ceux qui en font partie sont des assassins en puissance qu’ils le sachent ou pas. Ceux qui y adhèrent ou en suivent les enseignements sont soit inconscients des conséquences pour eux et les autres de leur engagement, soit des haineux qui ne peuvent trouver que là l’exutoire à leur haine.

Georges Favier