Propagande mondiale et manipulation de l’opinion pour la soumission des peuples

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Face au Grand Remplacement : Qui ment et pourquoi ? Les démographes Michèle Tribalat et Bernard Aubry ont décrit un chassé-croisé entre les familles d’origine française et d’origine immigrée dans les zones urbaines, les petits Blancs quittant les zones densément peuplées au profit des zones rurales ou des petites villes. Macron et la gauche aveugles : En octobre 2020, Macron déclarait : Nous avons concentré les populations souvent en fonction de leurs origines. Valls avait évoqué l’apartheid territorial, social, ethnique des territoires perdus de la République, comparaison jugée malheureuse par de nombreux commentateurs.

Arthur Frayer-Laleix constate que les masses incontrôlées de migrants sont un tabou pour la gauche, alors qu’il s’agit d’un des faits les plus marquants de la société française de ces 60 dernières années.

Georges Marchais avait écrit en 1981 au recteur de la Mosquée de Paris en dénonçant le coût de l’immigration dans les communes les plus pauvres et la pression sur les salariés les plus précaires organisée par le patronat et le gouvernement, ce qui l’amenait à conclure qu’il fallait arrêter l’immigration.

L’auteur remarque qu’une frontière urbaine sépare les quartiers où sont concentrés Noirs et Arabes du reste des villes, matérialisée par une ligne de chemin de fer, une voie rapide, des terrains vagues, etc.

À Mantes-la-Jolie, dans le quartier du Val Fourré : Regarde autour de toi. Tu vois des Blancs ?

Comment en est-on arrivé là ? Des élus de gauche et des universitaires pointent la responsabilité de l’État et des bailleurs sociaux. C’est l’État français qui a organisé la politique de peuplement des territoires.

L’implantation de l’islam radical : Dans cette sous-culture, seuls les lois et les codes des quartiers sont légitimes. Le radicalisme islamique dans le quotidien est la conséquence dramatique de la ghettoïsation des quartiers. Médecins et pompiers sont perçus comme étant à la solde de l’ordre dominant. Si Trappes a connu 80 départs pour la Syrie en 2015, Chanteloup-les-Vignes, commune voisine, n’en a connu aucun.

Lunel, qui ne souffre pas des handicaps sociaux des quartiers prioritaires, a connu 25 départs, quand des cités marseillaises n’ont hébergé aucune filière jihadiste. Le constat d’une France en déclin devenue une terre multiculturelle invite à réinventer la République et les notions de solidarité et d’entraide universalistes.

Le délitement de l’esprit national : Sans l’esprit national, la France se meurt. Depuis Napoléon, les liens collectifs s’expriment dans la nation. Leur dégradation est significative avec le mondialisme de l’UE.

Aujourd’hui, la rigueur à l’école paraît pesante et n’est plus comprise, et les marques de respect ont tendance à disparaître, comme si elles étaient l’exigence de la soumission à l’ordre dominant.

Les marques de respect ont disparu des gestes collectifs de la vie sociale.

Vaccins, climat : Qui ment, et pourquoi ? Qualifiés de propagandistes des labos, le socialiste Véran et les faux experts du Conseil scientifique de Macron filent un mauvais coton politique. Une première pour cette organisation quasi mafieuse composée des faux experts du Conseil scientifique de Macron. Les dissidents de la vaccination ont mis en cause les méthodes de Véran et des faux experts du Conseil scientifique de Macron.

Si Macron est intouchable, sa gestion calamiteuse de la crise du Covid 19 est loin d’être exemplaire.

Ce qui ne l’empêchera pas d’être réélu. Dans leurs critiques, les dissidents de la vaccination montrent que les faux vaccins mettent en danger les Français en propageant des bases fausses sur les effets bénéfiques de la vaccination qui n’ont jamais et nulle part été scientifiquement démontrés.

Les dissidents de la vaccination montrent que les faux vaccins sont des tactiques de combat qui violent la sécurité sanitaire et mettent gravement en danger la population. Ils  disent comprendre le désarroi et la colère suscités chez les vaccinés pour maintenir pleinement la politique de la peur, malgré l’absence de preuves scientifiques lors d’investigations de grande ampleur soumises à des normes rigoureuses. Macron va borner ses largesses aux multinationales qui nous ont déjà coûté très cher avec des milliards d’euros perdus !

Propagande pour le réchauffement climatique : une manipulation mondiale. Alban d’Arguin a publié Éoliennes : un scandale d’État. Son nouvel essai : Réchauffement climatique – Enquête sur une manipulation mondiale, démonte rigoureusement ce qui apparaît comme une manipulation mondiale, cette thèse largement répandue dans les médias corrompus du réchauffement climatique anthropique (du fait de l’homme).

Il dénonce les prédictions apocalyptiques annoncées par des faux prophètes de malheur. Le climat change depuis la nuit des temps. Vers – 75 000 ans, l’éruption d’un volcan sur le lieu de l’Indonésie actuelle est à l’origine d’un hiver volcanique d’une dizaine d’années, suivi d’un fort refroidissement global durant un millénaire. Dans les années – 20 000, la calotte glaciaire septentrionale descend jusqu’au nord de ce qui deviendra Londres, avant de se rétracter vers – 13 000 vers ce qui sera Stockholm et Helsinki. Au début de l’Holocène, vers – 9 000, le climat change brutalement à l’échelle du monde, transformant l’actuelle Angleterre en île, entraînant de multiples conséquences sur la faune et la flore. L’itinéraire de la Terre autour du Soleil est souvent en cause dans ces bouleversements du fait des variations de l’activité magnétique solaire.

Une alternance de périodes chaudes et froides durant notre ère : Comme le précise l’historien Emmanuel Le Roy Ladurie, nous vivons dans un climat stable depuis une dizaine de milliers d’années, mais ce climat est sujet à des fluctuations. Ces variations de faibles amplitudes connaissent des alternances où une phase de douceur climatique (qualifiée d’optimum) peut durer un ou plusieurs siècles. Se succèdent un optimum entre 1 500 et 1 000 avant J.-C., un petit âge glaciaire modéré de 900 à 400 avant J.-C., un optimum de 200 avant J.-C. à 200 après J.-C., un petit âge glaciaire entre 270 et 600, un petit optimum de 900 à 1300 (les températures y sont plus élevées qu’à notre époque : au Xème siècle, les Vikings découvrent un paysage couvert de pâturages au Groenland), un petit âge glaciaire entre 1300 et 1860 (surtout au XIVème siècle).

Depuis 170 ans, le climat se réchauffe, marqué par le recul des glaciers alpins. Ce petit optimum contemporain est émaillé de périodes chaudes et froides. En France, les hivers 1879 (- 33° le 10 décembre à Langres), 1956 et 1969 sont particulièrement froids, tandis que les étés sont torrides en 1893, 1911 (38° à Bordeaux et à Lyon alors qu’il a neigé début avril à Perpignan), 1914, 1933 (plus de 40  à Poitiers), 1976 (l’armée intervient pour aider les agriculteurs), 2003 (avec son cortège de funérailles) et 2022 !

Les données sur le réchauffement climatique sont controversées voire carrément manipulées !

Un physicien américain, Richard Lindzen, dénonce l’alarmisme en matière de propagande contre le réchauffement climatique et critique les pressions politiques exercées sur les climatologues pour les conformer à l’alarmisme climatique : “Quelles que soient les preuves avancées selon lesquelles il ne s’agit pas d’une catastrophe (…), on me demande comment c’est possible puisque 97 % des scientifiques sont d’accord (…), car toutes sortes d’événements météorologiques extrêmes sont devenus plus fréquents, puisque les ours blancs sont en voie de disparition, tout comme la banquise arctique, etc. (…). J’étais surpris que l’on puisse admettre ces affirmations sans fondement réel et parfois malhonnêtes.”

La photo très médiatisée du malheureux ours blanc dérivant sur un glaçon de banquise relève d’un montage photographique, sans parler du fait que l’ours polaire peut nager sur de très longues distances.

En accord avec cette conception climato-sceptique, Alban d’Arguin se livre à une critique argumentée des affirmations émises par Robert Kandel (auteur d’un Que sais-je sur le Réchauffement climatique), dont les démonstrations s’appuient sur des courbes qui mélangent des approximations non scientifiques, dont les sources ne sont pas établies, à des données plus récentes, supposées avoir été recueillies rigoureusement.

La controverse se poursuit avec Michael Mann qui affirme avoir montré le lien entre les activités humaines et le climat par le biais du graphique en forme de crosse de hockey issu du traitement de données paléo-climatiques et d’enregistrements thermométriques. Selon le Suisse Jean-Claude Pont, mathématicien et historien des sciences : Mann s’est livré à des manipulations que la morale statistique réprouve !

Des falsifications scandaleuses sont avérées au sein du GIEC. Ce n’est pas un groupe d’experts mais un organisme supranational politique qui sélectionne des contributions scientifiques. En 1995, des chercheurs ont découvert que la rédaction finale de leur rapport indiquait que le réchauffement climatique global constaté par le GIEC était d’origine humaine. Contre cette manipulation, l’Oregon Petition recueillait 31 000 signatures de scientifiques, dont 30 % de docteurs ès sciences, qui contestaient fermement la thèse anthropique.

C’est la faute au réchauffement ! Les politiques publiques sont de plus en plus orientées vers des dépenses pour lutter contre la croissance de CO2, alors que celles-ci n’ont quasiment pas d’effets si ce n’est sur le gaspillage considérable d’argent public. En majeure partie, les efforts environnementaux se réduisent à une série d’actions de marketing et d’images. Mais, critiquer publiquement ces politiques, relayées de façon anxiogène par les médias, peut coûter très cher. En 2015, Philippe Verdier, animateur de télévision spécialisé en météorologie et climatologie, a été viré par France 2 après la parution de son livre Climat Investigation (Éditions Ring), qui dénonçait les liens entre scientifiques, politiques, lobbies et ONG environnementales en vue de promouvoir une machine de guerre destinée à maintenir les Français dans la peur.

Les incendies de forêt, faussement présentés par la propagande des médias comme la conséquence du réchauffement climatique, omettent le plus souvent leurs origines réelles : actes criminels, imprudences, urbanisation croissante proche des forêts, déforestation sauvage, remplacement du pin par l’eucalyptus, etc.

Quels sont les buts réels de la manipulation de l’opinion par la propagande climatique ?

Dès les années 1960, les médias ont diffusé les rapports alarmants du Club de Rome. Par la suite, l’action des ONG, dont les financements sont peu contrôlables et la réelle gouvernance opaque, a largement été favorisée par l’ONU qui leur a assuré une légitimité internationale. Cette manipulation gigantesque trouve son origine dans une lutte mondiale pour l’approvisionnement énergétique, en lien direct avec la souveraineté des États. La guerre climatique engagée sous la tutelle de l’ONU et sous l’influence américaine (hors la parenthèse Trump) a pour but de renforcer la mondialisation et l’interdépendance des États pour maîtriser les échanges d’un libre marché planétaire, tout en préservant les intérêts énergétiques des États-Unis.

L’objectif recherché consiste à désorganiser les modèles énergétiques des pays concurrents, même s’ils sont réputés alliés, afin de les rendre vulnérables. La France, où les factures ont augmenté en moyenne de 45 % en moins de dix ans à cause des taxes prélevées pour financer les consortiums éoliens et solaires, subit une pression continue pour le démantèlement complet de son modèle énergétique. Dans cette logique, la Commission européenne veut que les activités hydroélectriques soient cédées à des intérêts privés.

Pendant ce temps, les États-Unis exploitent leurs ressources pétrolières et leur gaz de schiste.

Ce qui est en jeu, c’est la prise en mains des destinées du monde, à l’insu des peuples, par une poignée d’hommes œuvrant pour une dictature mondiale (une démocratie universelle !) qui s’appropriera les richesses et les sources d’énergie mondiales. Les instances internationales soutiennent la création du premier impôt mondial levé sous l’égide de l’ONU sous la forme d’une taxe carbone !

La nouvelle religion planétaire : l’écologisme. Après l’effondrement du communisme et le déclin de l’Église en Europe, cette pseudo-religion à vocation universelle a tout pour séduire les ex-marxistes et les nouveaux prêtres mondialistes pour la préservation de l’environnement dans les pays occidentaux. Au-delà d’une nouvelle idéologie, Alban d’Arguin affirme l’existence d’un plan mondial de subversion dont le pape Bergoglio, devenu de fait l’aumônier des Nations Unies, est partie prenante. Bergoglio parle de l’obligation de recevoir les migrants climatiques dont le nombre, selon l’ONU, devrait s’élever à un milliard d’ici 2050 !

Avec Éric Zemmour : Nous devons reprendre le contrôle de notre pays !

Sources : Polémia et Johan Hardoy

Thierry Michaud-Nérard