Que reste-t-il du G7 après la fanfaronnade de juin en Bavière ?
Le glacier de la Marmolada, dans les Alpes italiennes, n’est pas le seul à s’effondrer. Le G7, ce G-lacier de fanfarons et de dhimmis, qui s’étend du Japon aux États-Unis, est aussi en train de s’affaisser.
Non par le réchauffement climatique, mais par le réchauffement patriotique des peuples.
Que reste-t-il de cette fanfaronnade orchestrée par le minable Olaf Scholz, soutenu par la prétentieuse et vicieuse Ursula Von der Leyden, en juin dernier en Bavière ?
Boris Johnson, au Royaume dit Uni, qui a été le premier à vouloir montrer ses pectoraux à Poutine, a fini par être le premier à baisser son froc.
En Italie, Mario Draghi n’en peut plus. Acclamé à son arrivée comme le sauveur de l’Italie, il jette l’éponge. Il a présenté sa démission. Le président italien l’a refusée. Il maintient Mario au gouvernail. Mais comment peut-on gouverner un pays quand on ne le veut plus ?
En France, Emmanuel Macron, la petite grenouille qui veut se faire aussi grosse qu’un boeuf, patauge dans la bouse. Ce n’est pas un Darmanin à la langue fourchue qui le sauvera. Il est à une petite Borne d’une catastrophe comme la France ne l’a jamais vue.
Aux États-Unis, Biden est en train de se faire humilier comme aucun président américain ne l’a été, à l’exception du fervent musulman Hussein Obama dont la courbette devant le roi saoudien, Abdullah, au sommet du G20 à Londres en 2009, est restée dans la triste mémoire des États-Unis.
Au Japon, le Premier ministre, Fumio Kishida, est en deuil. Il vient d’apprendre que les anciens premiers ministres se font canarder.
Au Canada, un Justin Trudeau s’enfonce de plus en plus profondément dans la dhimmitude.
Que reste-t-il du G7 de la Bavière ?
Que des culs nus.
Messin’Issa