Le titre de sa causerie du jour est Kill the messager (tuez celui qui annonce la bonne nouvelle). Eh oui, politiques, médecins vendus et médias s’acharnent sur celui qui dit la vérité… et il règle ses comptes en citant des noms, en expliquant ce qu’il fait et ce qu’il suffit. Ça décoiffe, et, comme toujours, on apprend plein de choses.

Sous-titre : « nous avons le droit d’être intelligents » !

J’ai résumé ou transcrit ce qui me semblait le plus important mais il faut écouter toute la vidéo, bien sûr ! En italique des extraits de son discours.

Incidemment on apprend qu’il a porté plainte contre les plus insultants contre lui, et notamment contre Karine Lacombe ! Remerciée de son travail par Macron avec la Légion d’honneur, ça dit tout !

Il parle des innombrables attaques qu’il a subies, même ad hominem sur la couleur de sa barbe… « quand on en est là, c’est qu’on a perdu ». « quand on ne peut pas se battre contre la réalité scientifique c’est qu’on a perdu ».

Comparaison terrible entre nos dirigeants, journaleux etc. avec Goebbels ! Si vous répétez avec suffisamment de conviction vous pouvez convaincre les gens qu’un carré est un cercle. C’est de la propagande et ça ne résiste pas au temps. Il y a plein de pays qui utilisent l’hydroxychloroquine et plein de pays qui se fichent de nous !

Notre institut est le plus grand en France et en Europe, on a des millions de données !!!  On a 600 données par patient !!!

Les gens, à Marseille, comprennent ce qui se passe. Ce n’est pas la même maladie, il y a plusieurs épidémies. 40 000 personnes sont passées par ici, cela permet de comprendre tous les cycles. Les gens étaient inquiets de risques d’arythmie cardiaque, on a donc fait vérifier 26 000 personnes par un cardiologue spécialisé et on a appris il y a 15 jours sur le site de l’OMS que le médicament qui donnait de l’arythmie c’est le remdésivir !!! 76 % de plus qu’avec l’hydroxychloroquine, mais la presse n’en parle pas évidemment.

Avoir réussi à faire croire que l’hydroxychloroquine était un danger, c’est un des tours de prestidigitation les plus extraordinaires que j’aie jamais vu. Il va falloir du temps pour que cela soit reconnu.

Nous, on a traité presque 17 000 personnes avec hydroxychloroquine et azythromycine. Et on a un taux de mortalité de 0,20 % tout confondu, aucun n’est décédé d’un accident cardiaque. La moyenne des gens qui sont morts chez nous c’est 81 ans, donc des gens plus vieux que l’espérance de vie.

Ça va se savoir. Il va falloir plus que 5 plateaux de télé excités pour arrêter la marche du monde !

On a un mail de Delfraissy qui écrit à Fauci qu’on ne pouvait pas tester les gens, c’est pas vrai, on pouvait les tester, nous a testé tout le monde.

J’ai été insulté sur tous les plateaux télé, la ministre de la Recherche n’a jamais eu un mot pour défendre la recherche ! Le Président de l’Inserm qui m’agresse ! Le président du CNRS qui m’agresse ! Mais qu’est-ce que c’est que ce pays où on est prêt à détruire des chercheurs les  plus connus ? Mais vous êtes fous ou quoi ? J’ai baptisé 700 bactéries depuis qu’on connaît les bactéries ! Personne n’a fait ça au monde !

Quand, le 16 mars j’ai dit il faut diagnostiquer et traiter, le ministre disait « restez chez vous, ne voyez pas de médecin et ne prenez pas de chloroquine ». Il a fallu attendre mai pour qu’ils disent « il faut que les médecins voient les malades » !

La remise en cause de tout ce qui a été trouvé dans ce pays est extrêmement grave.

Et plus on aura raison plus on sera ennuyés car reconnaître qu’on s’est trompés, c’est reconnaître qu’il y a eu 25 % de morts en trop ! Donc ils vont pas arrêter de nous empoisonner… Ils ont même refusé d’essayer !!! Les gens du New Jersey qui font comme nous ont des résultats comparables aux nôtres ! 

Actuellement l’épidémie diminue, le nombre de cas diminue. On a une dizaine de cas par jour et parmi eux à peu près 20 % de vaccinés. On sait pas trop quelle est la proportion qui va augmenter.

Comme l’an dernier, le nombre de cas diminue à la fin du printemps.

Les nouveaux variants risquent de partir d’endroits où il y a des groupes d’animaux sauvages comme les visons.