Saint Denis, martyre
Cet article a été publié le 2 juin 2014 sous le titre « Saint-Denis : mais où sont passés les Parisiens ? ». Mais les aléas de l’informatique et des attaques subies par le site de Riposte Laïque ont fait disparaître de l’affichage toutes les illustrations de l’article le rendant moins explicite.
Pour avoir une preuve tangible du remplacement de notre population et pour palper la réalité du chambardement imposé à la France par les hommes politiques de tous bords, une visite à Saint-Denis (93) est une démonstration de l’étendue de la catastrophe sociale que vit la France sur son lit de mort.
Français de province, j’ai voulu mesurer la transformation de nos banlieues en me rendant sur place à Paris. Le choc a été amer.
Circulant à pied dans les trois communes de Gennevilliers, Montreuil et Saint-Denis, je me suis trouvé à « Bab-el-Oued-sur-Seine », à « Bamako-sur-Seine », avec leurs rues, leurs marchés, leurs souks, leurs mosquées, leurs langues, leurs dialectes, la langue française n’ayant guère droit de cité, avec djellabas, kamis, chéchias, burqas, voiles de toutes les couleurs ou à la dominante noire de l’obscurantisme. J’étais pourtant bien réveillé ce vendredi 23 mai 2014. Il était 14 heures. J’étais assis devant la basilique cathédrale de Saint-Denis, nécropole des rois de France, qui a été transformée en musée et dont la façade est en cours de restauration. La basilique s’apprêtait ce soir-là à recevoir un concert africain pour célébrer l’abolition de l’esclavage.
Il y a une mosquée dans les environs immédiats de la basilique et c’était l’heure de la prière du vendredi. En moins d’un quart d’heure, j’ai vu défiler des dizaines et des dizaines de salafistes avec leurs vêtements caractéristiques, leur tunique raccourcie en signe d’humilité, de musulmans et de musulmanes, voilées bien sûr. Un contraste saisissant !
A tous les Français encore à l’abri dans leurs petites villes, leurs bourgs et leurs villages, je dédie ces quelques photos prises devant la basilique de Saint-Denis qui porte le nom du 1er évêque de Paris, décapité vers 250 par l’envahisseur romain. Ces Français, dans leur majorité, vivent dans une bulle sécurisée et désinformée par la volonté des hommes politiques et des médias. Dans leurs rues, ils ne croisent sans doute pas d’adeptes de Mahomet, de femmes dont le seul maquillage est un sac de charbon. Ils n’ont pas le plaisir d’entendre les chants des muezzins qui appellent à la prière cinq fois par jour et qui hurlent, dans les haut-parleurs, en arabe, à 4 heures du matin : « La prière est meilleure que le sommeil ». Ces Français doivent se réveiller sur les dangers de l’islamisation qui accélère son envahissement de notre pays depuis 10 ans, avec la bénédiction et la lâcheté de nos politiques et de l’Europe de Schengen, et qui ne tardera pas à remplacer nos lois françaises par la charia, la loi musulmane. A quoi cela sert-il de se soucier de quelques jihadistes rentrant de Syrie quand il y a déjà, dans nos murs et à nos portes, des centaines d’embrigadés, de soldats d’Allah prêts à donner l’assaut ?
Si ces photos scandalisent certains d’entre vous, c’est tant mieux. Ce sont des faits, c’est notre réalité. Vous ne pouvez pas la nier. Saint-Denis est devenue Saint-Denistan (en attendant une autre appellation islamisée). Sous le régime islamique du califat auquel aspire tout musulman, vous aurez à choisir entre l’asservissement aux lois totalitaires de l’islam et le couteau ou les explosifs d’un jihadiste de retour de Syrie ou d’ailleurs.
Votre propre pays ne sera plus le vôtre.
Bernard Dick
Au 19/05/2015, nombre d’attaques terroristes mortelles