LA FABLE DU BON PATRIOTE ET DE LA MECHANTE NATIONALISTE
La girouette Macron, fidèle à son « en même temps » A et non A, n’a pu s’empêcher d’appliquer sa pratique du zig zag gauche/droite à l’amour de notre France, s’affirmant patriote après avoir dédaigné nos ancêtres qui ont fait la France, avec son sinistre « il n’y a pas une culture française ». Conscient de la part grandissante de Français qui veulent réhabiliter l’amour de notre patrie et de notre nation, il tente de glaner aussi leurs voix.
Ainsi, sans vergogne, Macron a déclaré lors de sa première réaction à la suite du 1er tour : « Je souhaite, dans 15 jours, devenir […] le président des patriotes face à la menace des nationalistes ». Avant de récidiver dans sa conclusion : « Mes chers concitoyens il n’y a pas plusieurs France, il n’y en a qu’une ! La France, la nôtre, la France des patriotes dans l’Europe qui protège » (1). Double appel à un patriotisme français. Au-delà de l’hypocrisie et de la duplicité d’un bonimenteur du mondialisme et de l’UE, cette mise en avant du thème du patriotisme confirme que des lignes ont bougé (2).
Pour autant cette différence artificielle entre patriotisme et nationalisme n’a plus lieu d’être, même si les adversaires de la souveraineté de la nation y recourent allègrement. Ils confondent nationalisme et ce qu’on devrait nommer ultranationalisme. Déjà lors du débat télévisé réunissant les 11 candidats à la présidentielle, Macron avait fait appel à la même ficelle. Face aux critiques de Le Pen envers l’UE, Macron avait rebalancé l’argument éculé et émotionnel dépourvu de rationalité du « le nationalisme, c’est la guerre » (3) (4).
Sauf que le nationalisme, ce n’est pas la guerre ! Le principe du nationalisme est d’abord apparu avec les Lumières, concomitamment d’ailleurs avec l’universalisme des philosophes, ce qui montre ainsi que les deux ne sont pas forcément contradictoires, mais qu’ils doivent s’associer de façon dialectique.
La première manifestation de ce qu’on nommera plus tard nationalisme réside dans la volonté de la nation. Cette volonté doit s’exprimer dans la souveraineté de la nation. « Le principe de toute Souveraineté réside essentiellement dans la Nation. Nul corps, nul individu ne peut exercer d’autorité qui n’en émane expressément. » (article 3 de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1789).
Le nationalisme est donc d’abord la volonté d’émancipation des individus, qui face aux forces de l’aristocratie et du clergé doivent s’organiser en nation pour atteindre cet objectif. La confirmation de cette réalité se trouve dans la dénomination adoptée par les députés du tiers-état aspirant à la révolution : ils créent « le parti national », appelé aussi « le parti patriote ». « « Le patriote combat pour la liberté », est-il évoqué (5).
C’est ce nationalisme qui concrétise le principe du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes, à travers les mouvements nationaux qui se répandent dans toute l’Europe, à la suite de la révolution française et des guerres napoléoniennes. Il aboutit dans un premier temps, à l’indépendance des peuples belges et grecs, et surtout au printemps des peuples de 1848, vaste mouvement européen qui tente de s’opposer aux dominations féodales, aristocratiques et dynastiques de monarchies multinationales (Habsbourg, russe, ottomane…). A noter que ce dernier mouvement se fait conjointement à l’idéologie du libéralisme tant politique qu’économique. C’est l’Europe des révolutions.
Le nationalisme est donc l’émancipation des nations. Sans nationalisme, pas de révolution française, pas de république française. Pas plus qu’il n’y aurait eu toutes les entreprises de décolonisation effectuées au XX° siècle, qui se réclameront d’ailleurs du nationalisme, même celles imprégnées d’islam ou de marxisme.
Dans le cas de la France, la nation n’est pas un regroupement ethnique. Théorisée par Renan en 1882, elle est « une âme, un principe spirituel. Deux choses qui, à vrai dire, n’en font qu’une, constituent cette âme, ce principe spirituel. L’une est dans le passé, l’autre dans le présent. L’une est la possession en commun d’un riche legs de souvenirs ; l’autre est le consentement actuel, le désir de vivre ensemble, la volonté de continuer à faire valoir l’héritage qu’on a reçu indivis. » Le nationalisme, comme politique consistant à la formation d’une nation souveraine et émancipée, est donc aussi un outil indispensable pour favoriser le vivre ensemble au sein d’un territoire.
Il est donc bien regrettable que le mot nationalisme ait aujourd’hui perdu son sens premier vertueux et qu’il soit désormais automatiquement assimilé de façon pavlovienne à fauteur de guerre ou de haine. En effet les 2 guerres mondiales ont placé le nationalisme comme responsable de ces tragédies (6).
En fait, le responsable des guerres n’est qu’un dévoiement du nationalisme qui s’effectue progressivement à partir de la 2° moitié du XIX° siècle : nationalismes ethniques qui se confrontent (pangermanisme contre panslavisme) ; manipulations de monarques contre l’étranger bouc-émissaire pour détourner un mécontentement populaire ; revanchisme français ; prise en main du nationalisme, face à la montée de l’internationalisme socialiste, par des milieux conservateurs, monarchistes, antiparlementaires ou catholiques, mais dans une veine xénophobe (7).
Pour reprendre une formule de l’historien Winock, le nationalisme libérateur devient un nationalisme dominateur. C’est dans cet esprit, commun à la majorité des Français d’alors, y compris à gauche, ironisant par exemple sur les présupposées bêtise et lourdeur de l’esprit germanique, que la portée universelle des droits de l’homme portés par la nation française est oubliée. Le fruit est mûr, si on y ajoute les visées impérialistes des grandes puissances, pour que la conflagration éclate en 1914 (8).
Alors ne soyons pas paresseux, effectuons l’effort, de nous rendre compte que le pseudo nationalisme du XX° siècle, le « nationalisme » conquérant, impérialiste, exclusif, fermé aux autres cultures, est un ultranationalisme, un national-chauvinisme agressif, qui n’a rien à voir avec le nationalisme émancipateur du XVIII° siècle.
Un combat culturel doit être mené pour réhabiliter le nationalisme des origines respectueux de l’autre. C’est un nationalisme qui doit respecter les droits du citoyen, sa liberté individuelle, son autonomie dans l’espace privé, tout en lui permettant d’être l’acteur de sa communauté nationale afin d’être mieux protégé. C’est un nationalisme qui doit encourager le débat contradictoire, ouvert aux opinions de l’autre, afin d’en tirer le meilleur pour renforcer la nation. C’est un nationalisme qui doit permettre à tout individu d’être en tension entre la possibilité de réaliser son épanouissement personnel et l’acceptation d’un minimum de contraintes collectives sans lesquelles la cohésion nationale ne peut se réaliser. C’est pourquoi même ouverte, la nation ne peut se permettre de ne pas combattre culturellement les idéologies qui souhaitent sa disparition.
Certes certains diront que le patriotisme permet déjà de réaliser cela. Rien n’est moins sûr. Car en rejetant avec mépris le terme de nationalisme, inconsciemment c’est également le concept de la nation qui est dévalué. Et rejeter la nation, c’est permettre à d’autres groupes d’occuper le vide créé, par un excès d’individualisme aboutissant à l’atomisation de la société. C’est alors faciliter l’implantation du communautarisme et à moyen terme la libanisation de la France. Donc réhabiliter le mot “nationalisme” n’est pas un débat oiseux, mais c’est dans une perspective gramscienne, un des passages obligés de la réhabilitation de la nation, préalable à la préservation de la culture française comme prédominante en France.
On peut comprendre la répulsion de certains à réutiliser ce mot de nationalisme tant pollué par les abjections commises en ce nom. Pour autant, le travail doit être réalisé en distinguant nationalisme et ultranationalisme. Si la tâche paraît insurmontable, pourquoi ne pas créer le terme de « nationisme » ? En tout cas rappelons et faisons l’éloge de la première conception du nationalisme, un nationalisme vertueux qui permet l’épanouissement individuel du citoyen, tout en exprimant tout le dégoût que peut nous inspirer le nationalisme perverti, décrit ci-avant.
A défaut, ce serait la libanisation des esprits et le climat de défiance entre des individus de communautés différentes dont une, aujourd’hui et demain, aspire à dominer les autres. En effet, le national-chauvinisme le plus actif aujourd’hui, préservé de toute critique comme c’est étrange, est l’islam mahométan. La nation de l’oumma revendique un ultranationalisme fermé, exclusif et de supériorité, ce genre de nationalisme dévoyé, qui, lui, conduit bien à la guerre : « Vous êtes la meilleure communauté qu’on ait fait surgir pour les hommes vous ordonnez le convenable, interdisez le blâmable et croyez à Allah. Si les gens du Livre croyaient, ce serait meilleur pour eux, il y en a qui ont la foi, mais la plupart d’entre eux sont des pervers », a déclaré Mahomet dans le coran (s3,v110).
Pour finir de montrer le sophisme que constitue cette distinction factice entre nationalisme et patriotisme, on constatera qu’il est singulier que les adversaires du terme nationalisme aient préféré adopter le terme patriotisme. En effet, ils font souvent partie d’une famille idéologique qui n’a jamais cessé de dénoncer les nostalgiques de la terre et des racines, d’ironiser sur « la terre, elle, ne ment pas », comme autant de symptômes d’une France rance. Or, en choisissant le terme de patriote, ils contribuent à un éloge de la terre, puisque le patriote étant le dévouement d’un individu envers sa patrie et que cette dernière, étymologiquement, est la terre des pères, le patriotisme est le dévouement de l’individu pour sa terre.
A l’inverse, le nationalisme, étymologiquement, est une conception tournée vers les hommes, puisque c’est la solidarité et le dévouement à l’égard d’un « ensemble de personnes vivant sur un territoire commun, conscient de son unité ». Leur souci habituel de l’humain par-delà la terre aurait dû donc leur faire préférer l’appellation de nationalisme.
Pour finir, Macron devrait savoir que ses scrupules ne l’empêcheront pas d’être critiqué par tous les cosmopolites ou internationalistes, qui ne font pas de différences entre patriotisme et nationalisme (9). Ainsi était-ce le cas de Guy de Maupassant : « Si la guerre est une chose horrible, le patriotisme ne serait-il pas l’idée-mère qui l’entretient ? » Alors, Macron, le patriotisme, c’est la guerre ?
Jean Pavée
(2) Effectivement, les lignes bougent. Trop lentement, mais elles bougent. Les patriotes ont su imposer le débat sur le souverainisme, la remise en question de l’omnipotence de l’UE et le retour à l’amour de la France. Pour capter les voix des patriotes et les détourner du FN, le premier fut Sarkozy, mais son amour de la France ne fut que paroles, paroles. Vers la fin de la campagne de 2007, Royal avait senti le danger de délaisser totalement l’idée de la nation à gauche. Aussi timidement, avait-elle alors introduit le drapeau tricolore et La Marseillaise dans ses meetings de campagne.
2012 avait marqué une pause, sauf chez Marine Le Pen ; la dynamique a repris de plus belle pour cette campagne de 2017 ; il n’y a qu’à voir le grand nombre de candidats ayant achevé leur discours par un « vive la République, vive la France », le grand nombre de drapeaux français dans les meetings et même la reprise de la Marseillaise chez Mélenchon ; sans oublier la critique de l’UE de la part de tous les candidats, y compris Fillon et Hamon qui disent qu’il va falloir l’amender… Sauf Macron qui ne lui a jamais fait le moindre reproche.
(4) Récidive ce mercredi soir dans un meeting à Arras, où hystérique cette fois-ci il hurle que Le Pen nous mènerait à la guerre : https://www.youtube.com/watch?v=9Jk-jrHZH3w
« le nationalisme, c’est la guerre », vieille antienne de Mitterrand lorsqu’il s’agissait de faire peur tout en instrumentalisant le FN à ses propres ambitions. Dans le même genre, on ressort parfois la citation de l’écrivain gaulliste Romain Gary : « Le patriotisme, c’est d’abord l’amour des siens, le nationalisme, c’est d’abord la haine des autres. » ; citation sans doute inspirée de celle de de Gaulle en 1951 : « Le patriotisme, c’est aimer son pays. Le nationalisme, c’est détester celui des autres. » Comme quoi, même les meilleurs d’entre nous peuvent se tromper. Et je ne parle pas de Juppé.
(5) C’est dans ce sens que le mot nationalisme va être utilisé pour la 1ère fois dans la langue française, pour être d’ailleurs condamné en tant que mouvement révolutionnaire, par l’abbé Barruel en 1798 qui le perçoit comme une immoralité du « patriotisme jacobin ». Le Grand Dictionnaire universel de Pierre Larousse en 1874 présente le nationalisme dans le même sens : « l’existence propre des peuples à l’état de nations indépendantes ».
(6) De façon paresseuse pour certains, par intérêt dans le cas des communistes et des libéraux, idéologies internationalistes rivales, l’appellation « nationalisme » en devint l’unique responsable.
Pourtant le nationalisme émancipateur de la nation n’est en rien responsable des drames futurs, malgré les efforts entrepris par des historiens pour démontrer faussement que la Terreur de 1793 était forcément inscrite dans 1789, que la conscription de 1792 pour défendre la nation contre les armées contre-révolutionnaires de la 1ère coalition européenne était annonciatrice de l’inéluctabilité des futures guerres, via les mobilisations générales, etc.
(7) En Allemagne s’est développé un nationalisme ethnique qui conduit à la vision du pangermanisme. Or certains territoires européens étaient multiethniques. Ainsi un pangermanisme va-t-il se heurter frontalement à un panslavisme. Le concept de nation est parfois confondu avec le concept de race. Des monarques s’emparent du nationalisme, les idées nationales se révélant très mobilisatrices pour manipuler les sujets de l’empire allemand ou russe, en les dressant vers l’étranger transformé en bouc-émissaire. Des haines entre nationalités sont ainsi entretenues par les États voulant détourner un mécontentement populaire.
Dans le cas de la France, le nationalisme laisse la place à un revanchisme, qui d’un rejet de l’Allemand à partir de la défaite face à la Prusse en 1870, va glisser progressivement à un nationalisme qui exclut l’étranger. Jusque-là c’était avant tout la gauche républicaine et sociale qui avait mis en avant le nationalisme. On le voit encore partiellement à cette époque avec son refus, à l’image de Gambetta, de baisser les armes devant l’envahisseur allemand. Ou bien avec l’œuvre du début de la Troisième République, portant sur l’école obligatoire et la conscription, ainsi que l’usage du français généralisé.
Pour autant, une partie de cette gauche, est devenue internationaliste avec le développement des idées de Marx et la création des Internationales. Face à ce qu’ils ressentent comme un danger, les milieux conservateurs, monarchistes, antiparlementaires ou catholiques vont progressivement s’approprier à leur tour le nationalisme, mais dans une veine xénophobe. La métamorphose est consommée à partir de la crise boulangiste et de l’affaire Dreyfus. Le terme de nationalisme va être alors abandonné par la gauche à ce qu’on nommera désormais l’extrême-droite. Ce qui conduira à un autre sens du mot nationalisme apparu déjà dans le Grand Dictionnaire universel de Pierre Larousse en 1874 : « Préférence aveugle et exclusive pour tout ce qui est propre à la nation à laquelle on appartient ».
(8) Mais ne nous y trompons pas, le patriotisme enseigné par les hussards de la République a des points communs avec ce nouveau nationalisme, qu’on devrait plutôt nommer national-chauvinisme. Le sentiment que la nation française est supérieure aux autres nations, et qu’elle a un rôle civilisateur à mener, d’où son entreprise de colonisation. Et les Clemenceau patriotes, amoureux de leur patrie sans sentiment de supériorité, ne sont pas majoritaires. Pour reprendre une formule de l’historien Winock, le nationalisme libérateur devient un nationalisme dominateur.
C’est dans cet esprit, commun à la majorité des Français d’alors, ironisant par exemple sur les présupposés bêtise et lourdeur de l’esprit germanique, que la portée universelle des droits de l’homme portés par la nation française est oubliée. Le fruit est mûr, si on y ajoute les visées impérialistes des grandes puissances, pour que la conflagration éclate en 1914. Ah oui au fait l’impérialisme économique ? Mais pourquoi diantre, puisque l’impérialisme économique est aussi responsable de la guerre, M. Macron n’indique-t-il pas que « le libéralisme, c’est la guerre ». Parce qu’il sait très bien que l’impérialisme, ce fut aussi un libéralisme dévoyé, de même que l’ultralibéralisme actuel, qui ne repose pas sur la libre concurrence entre partenaires dans une situation de départ équilibrée n’a rien à voir avec le libéralisme proposé par les théoriciens libéraux.
(9) ou de Voltaire : « Il est triste que souvent, pour être bon patriote, on soit l’ennemi du genre humain » ; ou du socialiste antimilitariste, futur fasciste, Gustave Hervé en 1911 : « mépris, arrogance et égoïsme sont les trois éléments fondamentaux du patriotisme » ;
ou Alphonse de Lamartine contre la nation : « Je suis homme avant d’être Français, Anglais ou Russe, et s’il y avait opposition entre l’intérêt étroit de nationalisme et l’immense intérêt du genre humain, je dirais, comme Barnave : « Périsse ma nation, pourvu que l’humanité triomphe ! ».
La France parlementaire (1834-1851) : œuvres oratoires et écrits politiques, Alphonse de Lamartine, éd. A. Lacroix, Verboeckhoven, 1864, vol. 2, p. 382
Définitions Larousse:
Nation: Ensemble des êtres humains vivant dans un même territoire, ayant une communauté d’origine, d’histoire, de culture, de traditions, parfois de langue, et constituant une communauté politique.
Patrie: Pays où l’on est né ou auquel on appartient comme citoyen, et pour lequel on a un attachement affectif.
Si Macron se met à employer des mots comme patriote,c’est uniquement pour séduire….Puisqu’il a pris conscience de l’importance que cela a pour les électeurs de MARINE
Mais EN AUCUNE FACON,il n’est patriote?Ce faux cul exploite la crédulité des
braves gens .
Après les élections il ne se souviendra même plus de tout ce qu’il a pu dire.Et ceux qui auront voter pour lui s’en mordront l’âme !!!
Bravo J.Pavé ! Diffusons cet article.
“on constatera qu’il est singulier que les adversaires du terme nationalisme aient préféré adopter le terme patriotisme.”( Jean Pavée )
Au contraire, ils revendiquent me semble-t-il leur attachement à la révolution française qui comptait un mouvement politique “Le parti patriote ” qui rassemblait ceux avaient demandé la convocation des États généraux . Le terme patriote est devenu durant la révolution française un synonyme de partisan de la Révolution.Enfin, on peut noter que Bissot le chef des Girondins ( guilotiné en 1793 ) avait fondé un journal dénommé ” “le patriote français”.
Oui, bien ! ; mais Macron pense-t-il tout ce qu’il dit ou bien alors croit-il à ce qu’il pense. Si oui, est-il intelligent ou est-ce nous qui sommes stupides pour ne pas penser comme lui ? Tout cela devient grave au regard des 60% d’intention qu’il accumule encore à ce jour. Est-ce cela la démocratie? Je renonce…
chaque mot à un sens precis,certains s emploient à tout embrouiller
cf parler de racisme au sujet de l islam…
Excellent article parfaitement étayé qui permet de remettre à leur place ceux qui ânonnent toujours les mêmes rengaines éculées faute d’arguments vrais à nous opposer sur le fond vital de notre combat. En quelque sorte un Pavée dans la mare des faussaires patentés, si je puis me permettre ce clin d’œil …