Réponse à Mélenchon qui ne sait pas ce qu’est un Français de souche

MelenchontribunalbethuneTiens, le revoilà, celui-là ! Il a trouvé un nouvel os à ronger, il paraîtrait que déchoir de la nationalité française des terroristes binationaux, ce serait trahir la République ! Ah bon ? Nous, on penserait plutôt qu’au lieu de les déchoir, il vaudrait mieux tuer des futurs Merah de manière préventive, et qu’on s’en fout de ce débat, la vraie question est de mettre fin à la binationalité avec les pays musulmans.

En pleine forme, il essaie par ailleurs de faire oublier aux Français que dès le soir du premier tour de 2012, à 20 heures, il se prostituait gratuitement, offrant ses 4 millions de voix à Hollande, sans contre-partie. Avec 31 ans au PS, il savait pourtant à qui il avait affaire, non ?

Il annonce donc qu’il n’appellera pas à voter Hollande en 2017. Nous prend-il pour des imbéciles ? Si c’est Hollande contre Marine Le Pen, appellera-t-il à l’abstention révolutionnaire ?

Mais, Mélenchon nous fait savoir qu’il ne sait pas ce que cela veut dire être Français de souche. Eh bien, on va lui expliquer, en deux coups de cuillère à pot. D’abord, par une vidéo de Jean-Yves Le Gallou, puis par un superbe texte de Maurice Vidal, dans un édito de Cyrano.

Et nous finirons par une magnifique leçon d’histoire que lui a administrée Bruno Gollnisch, qui, par sa tenue, a tranché avec la vulgarité de Méluche.

ETRE FRANCAIS, par JEAN-YVES LE GALLOU

POURQUOI SUIS-JE FRANCAIS, par Cyrano Maurice Vidal

http://ripostelaique.com/POURQUOI-SUIS-JE-FRANCAIS.html

Je suis Français parce que je suis de nationalité française. Que ma nationalité soit d’origine ou acquise, peu importe, pourvu que je me reconnaisse fils d’une nation, c’est-à-dire d’un ensemble d’humains unis par une communauté de territoire, de langue, de traditions et d’aspirations. Le territoire, c’est ma maison ; la langue en est la clé ; les traditions en sont les fondations ; les aspirations sont les portes et les fenêtres. Le tout, c’est mon présent. C’est ce présent localisable, parlant, historique et prospectif que j’incarne quand je me déclare Français. Mon identité est donc plus que ma carte d’identité : c’est un vouloir-être qui m’oblige à réagir contre ceux qui ne veulent pas de la France alors même qu’ils y vivent ou qu’ils en vivent. Mon identité est une action !

L’Histoire qui me porte est aussi l’Histoire que je porte dans un sentiment permanent d’auto-défense. Mon identité est un silence intérieur capable de colères. L’actuel débat sur l’identité nationale corrobore cette évidence. La France gronde en moi comme en chaque Français qui aspire à rester Français, car l’actuelle identité de la France est en train de changer l’identité des Français ! Les Français en ont assez, en effet, de vivre au quotidien l’altération de leur être. Etre Français, c’est donc être hostile à ceux qui sont hostiles aux lois françaises, à commencer par celles qui sont perçues comme lois du pays d’accueil. Je suis Français parce que je dénonce la «nouvelle France» !

Je suis Français parce que je suis révolté d’entendre, sur mon sol, des manifestants hurler des slogans antisémites ou soutenir les terroristes du Proche-Orient. Je suis Français parce que je ne supporte pas que des drapeaux étrangers ou des banderoles francophobes soient brandis agressivement lors de rencontres sportives ou dans des manifestations de rue. Je suis Français parce que je ne tolère plus les personnes qui, sous le couvert de nos lois, font le lit de leur culture en défaisant celui de la République. Je suis Français parce que je ne veux plus de ces prêcheurs qui, au nom d’une religion, tiennent des discours anti-occidentaux. Je suis Français parce que je n’apprécie pas du tout qu’il y ait dans nos banlieues des hommes et des femmes pour voir en Ben Laden un saint ou un héros.

Je suis Français parce que je n’ai plus la sollicitude que j’avais naguère pour les «sans-papiers» et autres hors-la-loi qui squattent nos églises et méprisent nos droits en exigeant des droits différentiels. Je suis Français parce que je n’accepte plus que des élèves ordonnent qu’on réécrive les cours d’Histoire au seul motif que l’enseignant leur présenterait une vision exclusivement judéo-chrétienne du monde. Je suis Français parce que je ne comprends plus que des étudiants musulmans récusent la mixité, les enseignantes, les enseignants non musulmans, la pensée déiste, encyclopédiste, athée, les Lumières, les cours de littérature, de philosophie, de physique, de biologie, de sport, en un mot tout ce qui gêne leurs convictions célestes. Je suis Français parce que je suis excédé de ne plus pouvoir mettre, à Noël, une crèche dans une vitrine ou un sapin dans une école sans déclencher une commission d’enquête.

Le Français que je suis enrage d’apprendre qu’un train peut être un lieu de tabassage ou de viol, voire un moyen de transport quasi gratuit pour ces anonymes qui tabassent et qui violent, et dont l’identité, systématiquement tue, se révèle pourtant par ce silence même ! Le Français que je suis serre les poings lorsqu’il entend Dominique Baudis avouer personnellement «ne plus pouvoir sortir dans certains quartiers sans se faire traiter de «sale Français» (FR3 Toulouse, 1999) ! Le Français que je suis souffre de savoir qu’en 2002, François Bayrou – qui s’était rendu à Strasbourg dans le cadre de la campagne présidentielle – a vu les vitres de la mairie où il se trouvait brisées par des pierres, comme s’il était le Mal, et qu’en 2005, Nicolas Sarkozy, visitant une cité «difficile» d’Argenteuil, a été caillassé de la même façon comme s’il était le Diable ! Le Français que je suis n’est pas près d’oublier l’image incroyable du visage de Jacques Chirac couvert de crachats de «jeunes» lors d’une visite à Mantes-la-Jolie, le 4 mars 2002, ni la Marseillaise sifflée en 2001, 2007 et 2008 au stade de France !

Je suis Français lorsque je m’insurge contre la tiers-mondisation de nos cités, d’où les autochtones sont chassés au prorata de l’arrivée des étrangers, conformément à une politique immigrationniste suicidaire qui aligne progressivement notre pays sur le Kosovo – devenu musulman à 90% en moins de 50 ans ! Je suis Français lorsque je vomis le racisme anti-blancs, comme tout autre forme de racisme, et par conséquent, lorsque je tempête contre la “discrimination positive» – en laquelle j’aperçois l’avancée du «racisme positif» sitôt qu’elle se fonde sur la couleur, et du «politiquement correct» dans ce qu’il peut avoir d’imbécile et de pleutre ! Je suis Français lorsque je fulmine contre les lois françaises appliquées du bout des lèvres dans les «cités» et les «banlieues». Je suis Français en refusant de baisser les yeux quand je croise les occupants de zones hypocritement qualifiées de «non-droit». Je suis Français lorsque je n’entends plus être une victime «ethnique» de la violence ordinaire, que ce soit pour une aile froissée, une priorité refusée, une cigarette que je n’ai pas la chance d’avoir sur moi, un sandwich au jambon jugé «insultant», un geste ou un mot interprété de travers, ou le simple fait d’être là.

Je suis Français quand j’anticipe les violences qui n’auraient pas manqué d’éclater dans tout l’Hexagone au soir du 18 novembre 2009 si la victoire frauduleuse de l’équipe de France de football avait été obtenue, non contre l’Irlande, mais contre l’Algérie. Je suis Français quand je constate, scandalisé, que les fêtes du Nouvel An célèbrent le renouvellement flambant neuf du parc automobile ! Je suis Français quand j’exige que soient sévèrement punis ceux qui téléphonent aux pompiers et aux médecins pour les faire tomber dans d’immondes traquenards. Je suis Français quand s’agitent en ma mémoire les voyous qui saccagent nos lieux de vie parce qu’un des leurs s’est tué accidentellement au volant d’un véhicule volé, et qui, profitant de ce drame, jettent par la fenêtre de leur immeuble frigidaires, machines à laver, téléviseurs et autres objets «anodins», défoncent les devantures de locaux et de magasins à la voiture bélier, attaquent les commissariats au lance-roquette, accueillent les forces de l’ordre à coups de pierres, de boules de pétanque, de cocktails Molotov, de revolver ou de fusil, incendient tout ce qui peut brûler, trafiquent la poudre, les véhicules et les armes… quand ils ne s’engagent pas dans des cellules terroristes pour semer sur notre sol ou ailleurs la dévastation et la mort !

Je suis Français quand des rappeurs veulent « niquer la France», quand Houria Bouteldja traite mes compatriotes de «souchiens», quand je dénonce l’islamisation de mon pays comme des pays européens, quand je plaide pour une Europe laïque et féministe, quand j’admire Malek Boutih, Malika Sorel, Hamid Zanaz, Kébir Jbil, Pascal Hilout, Sihem Habchi, Abdennour Bidar… tous issus de l’immigration et tous honneur de la France par leur engagement authentique en faveur des valeurs républicaines. Je suis Français quand je soutiens les Droits de l’Homme, quand j’en appelle à l’universel par la femme – qui est l’Homme – et par l’Homme, qui ne vaut que par l’universel.

Je suis Français plus que jamais quand, au nom de cet universel, je pense aux Français qui ont donné leur vie non seulement pour que je n’aie pas à donner la mienne, mais encore pour que je puisse vivre les valeurs qui les ont tenus debout quand tout s’écroulait autour d’eux. Ces valeurs ne doivent pas être noyées dans je ne sais quelle honte nationale : c’est par elles et pour elles que je suis ce que je suis. Je suis Français par résistance !

QUAND BRUNO GOLLNISCH EXPLIQUE L’HISTOIRE DE LA FRANCE A MELENCHON-PEILLON

Jeanne Bourdillon

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38 Commentaires

  1. M. Mélanchon, vraiment, donne la nausée. Sa seule nationalité à lui, c’est le parti communiste qui depuis 1945 a tout fait pour exalter le patriotisme des Russes et pour étouffer celui des autres nations européennes.

    “Notre patrie à nous, c’est nos villages, nos autels, nos tombeaux, tout ce que nos pères ont aimé avant nous…. Mais leur patrie à eux, qu’est-ce que c’est ? Vous le comprenez, vous ? Ils l’ont dans le cerveau ; nous l’avons sous les pieds. Il est vieux comme le diable, le monde qu’ils disent nouveau et qu’ils veulent fonder dans l’absence de Dieu. On nous dit que nous sommes les suppôts des vieilles superstitions ; faut rire ! Mais en face de ces démons qui renaissent de siècle en siècle, sommes une jeunesse, Messieurs ! Sommes la jeunesse de Dieu. La jeunesse de la fidélité ! Et cette jeunesse veut préserver pour elle et pour ses fils la créance humaine, la liberté de l’homme intérieur. (Général Charrette de La Contrie)

  2. Petite mise au point !
    Constatons plutôt : pas d’italien, pas d’espagnol, pas de portugais, pas de suisse, pas de belge, pas de grec, pas d’allemand, pas d’autrichien, etc… pas d’européens donc !
    Les auteurs d’attentats en France depuis 20 ans : que des “français” !
    Khaled Kelkal 1995
    Boualem Bonsai 1995
    Karim Boussa 1995
    Abdelkader Bouhadjar 1995
    Abdelkader Mameri 1995
    Main Ait Ali Belkacem 1995
    Nasserine Slimani 1995
    Rachid Ramda 1995
    Safe Bourada 1995
    Mohamed Merah 2012
    Abdelkarim Dekhar 2013
    Mehdi Nemmouche 2014
    Bilal Nzohabonayo 2014
    Chérif Kouachi 2015
    Said Kouachi 2015
    Amedy Coulibaly 2015
    Sid Ahmed Ghlam 2015
    Yassin Salhi 2015
    Ayoub El-Khazzani 2015
    Ahmad Al Mohammad 2015
    Samy Amimour 2015
    Omar Ismaïl Mostefaï 2015
    Salah Abdeslam 2015
    Brahim Abdeslam 2015
    Bilal Hadfi 2015

    Mais attention, surtout pas d’amalgame !!

    • Gelel Attar,arrêté hier au maroc. Belge marocain, né en Italie. Bravi l’europe.

  3. D ‘ ailleurs je ne comprend pas pourquoi tous ces africains et maghrébins veulent maintenant devenir ” français ” alors qu’ ils ne le voulaient pas avant et nous ont combattu pour ne pas l ‘ etre !!!!
    le général de- Gaulle avait bien reçu leur message à travers le FLN algérien et leurs avait donné leur indépendance !!!
    ces maghrébins et africains n ‘ ont rien à faire dans notre pays et ni en Europe non plus !!!!

    • Ils ne veulent pas devenir Français (d’ailleurs, à l’impossible nul n’est tenu), ils veulent seulement avoir un chiffon de papier disant qu’ils le sont pour pouvoir détruire la France plus facilement. Ils ne s’en cachent d’ailleurs pas.

  4. Comment peut-on se dire français dans un pays de culture chrétienne en s’habillant comme un bédoin, en levant le cul au ciel et en éructant “je nique la France”

  5. Evidemment que Français de souche ne peut rien évoquer pour cet individu. Né à Tanger, de parents eux mêmes nés en Algérie, de grands-parents espagnoles et italiens, plus un endoctrinement marxiste léniniste, on ne peut rien espérer d’autre.

  6. ” …l’amusement public avec les djihadistes … ” à partir de 4’05 dans l’interview de Mélanchon. Je pense que les familles des 130 mort du 13 novembre seront ravis d’apprendre que la mort de leurs proches ont ” amusé ” (sic) le public…

  7. Les remarques de Mélenchon face aux explications de B. Gollnisch sont vraiment minables.

    • Comme toute son espèce, il n’a aucun argument plausible, et donc, il coupe la parole et se met à braire.
      “France, mère des art, des armes et des lois…”

      • Et aussi :
        Plus me plaît le séjour qu’ont bâti mes aïeux
        Que des palais romains le front audacieux,
        Plus que le marbre dur me plaît l’ardoise fine,
        Plus mon Loire gaulois que le Tibre latin,
        Plus mon petit Liré que le mont Palatin,
        Et plus que l’air marin, la douceur angevine.

        Ça, ce marxiste n’en a jamais entendu parler.

        • Mais si, mais si, il en a entendu parler.Mais pour la gent mélenchonnesque , rien n’est beau, n’est grand, n’est vrai, n’est vertueux, avant les penseurs des Lumières et la Révolution Française:
          “Du passé faisons table rase…..
          L’Internationale sera le genre humain…”
          Et on sort la mitraillette.

          • En ce cas, il ne connaît des uns et de l’autre que ce qu’en racontent les livres scolaires – c’est à dire pas grand chose.

        • zcck7 – merveilleuse poésie de Joachim du Bellay ….il est loint le temps où nous l’avons appris en classe qui en dit long sur nos racines, nos “souches” merci de nous la remettre mémoire

  8. On peut se considérer comme français de souche quand on a la peau blanche et qu’on a résidé et travaillé pour, outre gagner sa vie, faire prospérer le pays de père ou mère en fils et fille durant de nombreuses générations!

  9. Je suis une française de souche de par mes ancêtres d’aussi loin que j’ai pu le remonter dans mon arbre généalogique, mais surtout je le ressens physiquement et douloureusement quand mon coeur saigne en voyant tous ces musulmans s’afficher en public par un style vestimentaire particulier dans mon pays. Il est clair qu’ils cherchent à se rendre bien visible, dans quel but? Je pense qu’on le saura bientôt. Mais ce pays n’est plus ma France je suis désolée de le dire et ce ne sera certainement pas mieux. L’immigration a fait plus de mal que de bien.

  10. “Moi j’aime la France comme on aime une mère”, j’aime beaucoup cette phrase de Bruno Gollnisch qui résume bien ce que veut dire être français.

  11. @ Jeanne Bourdillon
    Merci, c’est exactement ce que je ressens, mais vous le dites tellement mieux que moi !

  12. Réponse à Nicole Un Français de souche est en effet un Français né en France et de parents Français de plusieurs générations nés en France. Les Français papier n’ont rien de Français surtout s’ils ne respectent rien des coutumes, des lois, des mœurs, de la gastronomie, du folklore et du catholicisme. Marre de ceux qu’ils veulent être français en imposant leurs lois, ils quittent leur pays par intérêts financiers et non pour une amélioration de leur vie.
    C’est donc toute la nuance (l’importance) de ne pas jouer sur le mot «FRANCAIS»…

  13. (Suite….)
    Un français de souche, c’est donc un français dont les souches (les racines, vous l’aurez compris) sont sorties du sol de France… et ce, depuis des générations.
    Un… anglais qui est en France, avec des parents eux-mêmes nés en France, mais dont les grands-parents sont nés en Angleterre (c’est juste un exemple) ne sera pas un français de souche.

    Dans un arbre généalogique, lorsque l’on a la curiosité de faire le sien, et que nous y lisons les lieux de naissance de nos ancêtres, tous nés quelque part en France, et ce depuis… disons 1800… là, nous pouvons affirmer être FRANÇAIS DE SOUCHE.

    Bien sur, on peut être français de cœur, et n’aimer que la France, et vouloir la servir,

    C’est donc toute la nuance (l’importance) de ne pas jouer sur le mot “souche”…

    • Moi, je suis Française de souche. Du coté de mon père on est remonte jusqu’en 1600 et de ma mère jusqu’en environ 1300

  14. Jeanne, j’aime beaucoup vous lire, et je vous remercie de vos messages toujours très pertinents…

    Mais, pour moi, un FRANÇAIS DE SOUCHE, est bien décrit dans ces trois mots : français de souche, ce que, bien sur, vous savez parfaitement…

    Une souche, c’est une racine, quelque chose enfoui dans une terre, et qui en poussant, en grandissant, donne à son tour des bourgeons qui deviendront des grands arbres.

    Si cette “racine-souche” sort d’un sol “étranger” et est transplanté sur le sol français, rien à faire, la souche sera toujours venu d’ailleurs…

    un âne né, par hasard dans une écurie, vous ne ferez jamais un cheval de course…

    • Tout le monde est venu d’ailleurs à un moment donné. La question est de savoir si ces racines, qu’elles soient longues de 10 ans, de 10 siècles ou de 10 millénaires, nous les plongeons toujours avec amour dans la terre où nous avons choisi de vivre.

  15. Son comportement est conforme à ses origines : né au Maroc d’une mère espagnole, effectivement, comme Français de souche on peut faire mieux. Mais peu importe, ce n’est pas une raison pour cracher, nier, dénaturer et raconter n’importe quoi sur les racines de notre pays, la France. Qu’il retourne au Maroc ou bien qu’il s’installe en Espagne et bon débarras, il ne manquera à personne.

  16. je pense en tant que Français , que Meluche st parfaitement à sa place sur la première photo, et qu’il devrait retourner en CP pour refaire son éducation.

  17. D´un autre côté, je dois avouer que moi non plus, je ne sais pas ce qu´est être “français de souche”. Mais je sais deux choses:
    1/Je suis français de coeur
    2/Mélenchon, vieux facho, je t´enc….

    • Jacksoul, si vous ne connaissez pas la réelle signification de français de souche, lisez mon texte cité plus haut.
      Mais je pense que vous savez ce qu’est une souche ? une racine ?

      • Simone Weil : “L’enracinement est peut-être le besoin le plus important et le plus méconnu de l’âme humaine (…) Le déracinement est de loin la plus dangereuse des sociétés humaines ” (L’enracinement)

  18. Peluche est franc- .Mac : d’où cette idéologie mortifère qui n’a rien d’humaniste , il est à lui seul l’exemple du parfait idéologue qui suit son parcours qui ne peut mener q’au chaos menant à une dictature genre Corée du Nord .

  19. La réponse va de soi : qui sait ce qu’est un Mélenchon???? Alors, ne Mélanchon pas tout. La souche, c’est la base de l’arbre sans laquelle il n’existerait pas, et Mélanchon non plus. Même pas surpris car depuis le temps je vois bien ou il veut en venir…Il veut effacer toute identité pour prendre la place….Un politique quoi, rien d’autre, prêt à tout pour exister.

  20. Le pôvre, faut pas lui en vouloir, quand il est né, sa souche à due être arrachée trop tôt et mélanchée aux autres souches, raison pour laquelle il ne se reconnait pas dans cette définition, ce qui explique son point de vue.

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