RER Châtelet : constat du “grand remplacement” à l’oeuvre

Il est toujours étonnant de revenir dans la Région parisienne et en particulier dans Paris. Je passe beaucoup de temps en Province, dans le calme d’un village de campagne, et je reste stupéfait, à mon retour, par la vitesse du « Grand Remplacement », et des marquages publicitaires racistes anti-Blancs, dits racisés.

C’est plus frappant lorsque l’on prend le RER et que l’on débarque à la station Châtelet. Les Blancs y deviennent minoritaires. Cette station, refaite à neuf de carrelages muraux en verre, ne devrait pas tarder à connaître les joies du « Street Art », les plaisirs du tambour et de la fumette à haute dose. Je n’y ai pas rencontré Hidalgo.

Métro ligne 4, je dois aller à Simplon. Nous sommes quelques rares Français de souche à voyager sur ce bout de ligne. Cela provoque une sorte de solidarité lorsque nos regards franchouillards se croisent. Des regards qui disent tous la même chose ! Où sommes-nous ?

Non seulement la population n’est plus celle que j’ai connue il y a seulement 15 ans, mais les boutiques de ce quartier parisien non plus. Entre Château Rouge et Porte de Clignancourt, c’est des multi-souks divers. J’ai même pu y voir une boutique de godasses d’occasion. Un amoncellement de godasses usées. De vieilles chaussures avachies, venues tout droit de nos poubelles. De vieux croquenots, des sandales crades sur des étagères entières, ni restaurées, cirées, nettoyées. Elles sont dans leur jus. Je jette un œil et j’y vois une faune bigarrée, quelques Blancs aussi. L’exemple de la misère ambiante.

Maite Anchustegui : “Si le grand remplacement remplace des gens comme toi, je ne vois pas d’inconvénients.” Une amoureuse des animaux ! Elle ne peut pas être tout à fait idiote.

La publicité n’est pas innocente. Sa mission est double. Elle excite l’envie, la jalousie, le désir et incite à la vente. Mais elle a aussi la fonction de changer le regard des citoyens.

  

 

 

 

 

ptique.

Dans chaque pub, la sélection est faite à travers la couleur de peau.

, plein de fric, bien pervers, et blond de préférence. Souvent, le flic est une femme blanche moralisante, sous les ordres d’un commissaire ou d’un juge noir, etc.

Le Français est cuisiné chaque jour à la sauce poivre et sel, et chaque jour le poivre devient l’élément principal, et comme dirait l’autre, « ça pique » le Blanc.

Bientôt, la grenouille française de souche sera cuite. Elle sera présentée et agrémentée d’une sauce poivre au banquet de l’Union européenne, avec du thé à la menthe pour les convives d’Arabie et du Qatar. Bon appétit.

Gérard Brazon (Libre Expression)