Respirer Calais 2020 : tout pour les migrants, rien pour les Calaisiens !

La liste de gauche Respirer Calais 2020 avec à sa tête la communiste Virginie Quénez vient d’obtenir le soutien de Damien Carême, ancien maire de Grande-Synthe et actuellement député européen, très connu pour avoir installé le Camp de la Linière sur le site de sa commune et y avoir encouragé l’installation de milliers de clandestins.

À Calais, la campagne bat son plein et c’est à qui obtiendra les soutiens les plus originaux. La Liste RN menée par Marc de Fleurian se targue du soutien d’une députée britannique pro-Brexit, la liste LR de la maire sortante Natacha Bouchart est soutenue par le Frère Xavier Bertrand, président de la région des Hauts-de-France, ce qui n’a rien d’étonnant vu le nombre de francs-maçons aux affaires à la mairie de Calais. Et Respirer Calais 2020, le « collectif citoyen » de gauche réunissant le PC, le PS, LFI, EELV, Génération.s et autres nostalgiques des kolkhozes se réjouit du soutien de l’inénarrable Damien Carême.

Damien Carême, élu maire de Grande-Synthe ( Nord, 59) en 2001 sous l’étiquette socialiste a été encensé par toute la gauchiasserie universelle pour avoir fait de sa ville la capitale de la biodiversité en 2010, ce qui serait tout à son honneur si la bio diversité en question restait bio et oubliait la diversité. Le camarade Carême rejoint EELV en 2014, juste après sa réélection, ce qui constitue pour le moins une trahison de ses électeurs socialistes mais chez ces gens-là… La ville de Grande-Synthe est, à cette époque et comme nombre de communes du littoral du Nord de la France, confrontée à un afflux de réfugiés, irakiens, afghans etc… Ni une ni deux, l’édile s’offre son camp aux frais de l’État et du contribuable, le camp de la Linière auquel ses protégés s’empresseront de mettre le feu dans une gigantesque rixe inter ethnique. Qu’à cela ne tienne, le bon Damien les installera dans le gymnase de l’Espace Jeunes du Moulin, sans aucune considération pour les gamins de Grande-Synthe qui ont ainsi perdu leur espace de rencontre et de jeux. Mais qu’importe, chez les EELV, on a qu’une priorité : les autres. Et les nôtres peuvent bien crever.


Et que dire de la zone naturelle du Puythouck, entièrement ravagée par des camps sauvages de clandestins et qu’une famille méritante s’obstinait à nettoyer par ses propres moyens sans aucun autre soutien de la mairie que la distribution de quelques sacs poubelles. Monseigneur Carême est trop bon. Il a même créé l’Association nationale des villes et territoires accueillants qu’il préside, naturellement. On vous laisse deviner accueillants pour qui. Heureusement pour les habitants de Grande-Synthe, M. Carême a les dents longues et s’est donc fait élire député européen, ce qui a permis à son successeur Martial Beyeart, homme de gauche mais un peu plus raisonnable, de faire un peu de ménage en évacuant le gymnase et en assurant le nettoyage et l’entretien de la zone naturelle du Puythouck totalement délaissée par l’ancienne municipalité « écologiste. » Depuis le départ de Damien Carême, on respire à Grande-Synthe et l’herbe repousse.

Un soutien clairement pro invasion

Le collectif Respirer Calais 2020 a donc reçu le soutien de ce formidable personnage qui n’a que «l’exilé » à la bouche , se prétend écologiste et se moque totalement des zones naturelles de sa commune, exactement comme nos joyeux EELV calaisiens qui se réjouissaient de l’installation de la jungle sur une zone hyperprotégée et ne voyaient aucun inconvénient à la disparition des espèces rares présentes sur le site. À Respirer Calais, on vit migrants, on respire migrants. Leur programme est tout un programme… pro-invasion. En voici quelques extraits édifiants : « nous recréerons le conseil des migrants pour en faire un véritable lieu de concertation et de coordination entre les acteurs institutionnels et humanitaires ». Entendons par « acteurs humanitaires » les institutions grassement financées par Soros comme L’Auberge des migrants et qui vivent sur le dos des « exilés ». « Nous ne laisserons pas s’installer des sites non gérés ». Autant dire qu’ils les géreront après avoir encouragé leur installation. « Nous veillerons à apaiser les tensions et nous lutterons contre les peurs irraisonnées en recréant du lien entre toutes les populations et dans tous les quartiers. Nous proposerons la création d’une cellule juridique d’accompagnement des nouveaux arrivants, qui devra évaluer leurs droits sous huit jours dès leur entrée dans le réseau d’accueil ». Calais va donc devenir un « réseau d’accueil » et grâce à Respirer Calais, les clandestins s’installeront de façon pérenne sur le territoire à peine huit jours après leur arrivée. « Ce réseau sera constitué de petits centres dispersés dans la région dans un rayon de 100 km et non pas concentrés à Calais ». Ce sont les communes autour de Calais qui vont être contentes lorsque ces cryptomarxistes abreuvés de dictature bien-pensante vont leur imposer d’offrir leurs salles polyvalentes et leurs gymnases à une horde de clandestins crasseux ! Et enfin, une dernière mesure qui vaut son pesant de quinoa bio : « nous favoriserons l’hébergement citoyen des demandeurs d’asile ». En clair, les vieux boomers pourront s’amuser et accueillir chez eux tous les Mamadou de la Terre, moyennant certainement une aide de la municipalité et les No border auront enfin une rente pour se vautrer toute la journée à ne rien faire d’autre que jouer du djembé et fumer des joints avec la diversité.

Respirer Calais 2020, c’est la fonctionnarisation du punk à chiens et de la boomeuse ménopausée en mal d’exotisme mais c’est surtout l’oubli absolu de la population de souche qui aimerait bien qu’on s’intéresse à elle autrement que pour la traiter de « facho » dès qu’elle réclame à bouffer pour ses gosses. Le collectif qualifie de « peurs irraisonnées » les réactions des Calaisiens qui se font régulièrement attaquer, détrousser, agresser par les migrants et dont les filles ne peuvent plus sortir le soir de peur de se faire violer au coin d’un parking.

Clodovéa Malle