Apparemment, il semble nécessaire que l’on retarde l’âge de la retraite, comme avant Mitterrand (et tout le monde trouvait ça normal à l’époque de travailler jusqu’à 65 ans), sinon ça ne tiendra pas.
Et pour moi, quelque chose qui ne marche plus, on en change. Même si on en a pas envie. Principe de réalisme. Gouverner c’est prévoir, et on ne fait pas l’Autruche.
Par ailleurs, je ne suis pas contre une dose de capitalisation, à condition que ça permette de financer des industries en France et que, pour une fois, je paye pour moi…
Par ailleurs, chaque système répartition/capitalisation a ses avantages et ses inconvénients.
Sur le moyen et long terme, la capitalisation pourrait permettre d’avoir des rendements très supérieurs à ceux de la répartition et permettre de faire des réserves. d’argent SI la bourse chute, la répartition est la pour éviter que tout s’écroule.
Il faut donc faire en sorte de prendre le meilleur des deux, et non pas le pire des deux, ce dans quoi excelle malheureusement la France.
Je retiens toutefois l’idée qu’il faut aussi tenir compte des différences de situations (pénibilité, début d’activité, etc.), des autres dépenses exorbitantes de l’État (immigration, etc.), que ça nous serait imposé par l’oligarchie européenne (il me faudrait plus d’infos là-dessus) et apparemment du fait que la courbe des retraités pourrait à un moment s’inverser, puisque le baby-boom va disparaître.
Sur la pénibilité, une femme disait qu’on ne peut pas travailler en crèche après 60 ans. D’où vient ce délire que travailler en crèche serait un travail pénible ? (à la limite, les prof, vu ce qu’est devenue l’école, je comprendrai mieux, mais les crèches ?). A ce prix-là, tous les boulots sont pénibles. Bref, les gens veulent être payés à rien faire, c’est surtout ça.
De toute façon, moi qui ai commencé très tard à travailler, je suis hors sujet et je suis convaincu que je n’aurai quasiment rien…
Par contre, la seule chose qui me remplit de joie, c’est de voir Macron se coltiner l’extrême gauche, lui qui n’aime pas qu’on l’emmerde.
Quelque part, j’ai très envie que ça dure longtemps et que ça le pourrisse, lui et son gouvernement à la con.
On va voir cette fois comment il s’échappe. Dans tous les cas, il devrait y avoir un de nos ennemis qui perdra.
C ‘est déjà ça.
Albert Nollet
Surtout que le principal problème à l’heure actuelle pour les franchouillards, ce n’est même plus l’age de départ ou la durée des cotisations, mais la possibilité d’arriver entier à cet age de retraite. Car dans l’environnement actuel avec les invasions, les vaxs poisons, les épidémies à virus manipulés, la guerre ethno qui guette et même les bombardements Russes qui peuvent arriver à chaque instant, ce n’est pas du tout gagné !
Mais non, ils ne vont pas s’entretuer, cette pseudo opposition de gens qui ont voté Macron en avril dernier n’est qu’un jeu de rôle destiné à fixer l’électorat populaire afin qu’il ne se détourne vers le RN et MLP …Quant aux pseudos gauchistes, ce sont , pour la plupart, des supplétifs du ministère de l’Intérieur, vieille pratique toujours efficace.
Tout ça est du guignol, ne l’avez vous pas encore compris ? ils sont de mèche et font semblant…..
malheureusement pour les travailleurs qui vont devoir bosser 2 ans de plus pour alimenter la caf, l’ukraine et les nantis
Tout à fait, les regarder ! Plus il y a un rejet du Perruquée et sa compagne Perruqué..(Ahahahahaha !)mieux c’est !
Si le bordel que les gauchistes de tout poil foutent partout, tout le temps et en tous lieux, pouvait faire tomber Macron et sa clique de baltringues ce serait, dans un premier temps, un immense soulagement. Toutefois la partie ne serait pas gagnée pour autant parce qu’il faudrait alors tout faire pour que ces mêmes gauchistes ne prennent pas le pouvoir, sinon tout serait à refaire. Remplacer la peste macronienne par le choléra mélenchonien n’arrangera rien !… Ce qu’il faudrait, c’est reprendre la main, virer les instances européennes, retrouver la maîtrise de notre destin et rétablir notre souveraineté nationale. C’est la condition sine qua non pour la reconquête de notre indépendance.