Rocard un pourri ? Juste un fossoyeur de la France qui réclame des obsèques nationales !
Ce jour, Christine Tasin, évoquant la mort de Michel Rocard, utilisait le mot “pourri” pour qualifier l’ancien premier ministre.
http://ripostelaique.com/rocard-mort-dun-pourri.html
Comme souvent, si nombre de commentateurs ont approuvé le verdict, certains se sont montrés choqués par l’expression, estimant que cela ne se faisait pas d’insulter quelqu’un qui vient définitivement de fermer les yeux.
Je proposerai donc de la qualifier simplement de fossoyeur de la France, et d’ennemi du monde du travail. Résumons donc rapidement le parcours de ce personnage, né en 1930.
Porteur de valises en Algérie, avec les chrétiens de gauche et les gauchistes.
Arrive au PS avec une posture gauchiste, dans la lignée de mai 68, pour droitiser au maximum la ligne du PS, et faire passer Mitterrand pour un gauchiste.
Rocard, c’était le parrain politique de Valls, c’était la loi El-Khomri. Le contrat d’entreprise à la place du contrat de branche. C’est l’homme qui, au nom de ses principes (le contrat supérieur à la loi) s’opposait, dès 1982, à ce que, lors du passage de 40 heures à 39 heures, la 40e heure soit payée aux salariés.
Rocard, c’était aussi la Nouvelle-Calédonie, la complicité avec Pisani, qui devait aboutir à ce qu’on a appelé l’indépendance-association, lors des accords de Matignon, livrant des pans de l’île aux kanaks manipulés par les gauchistes.
Rocard, c’était le RMI, autrement dit une approche qui transformait les gens en assistés à vie, sans obligation de travailler. La déstructuration de la société, la négation de la valeur travail, au nom d’un humanisme teinté de tiers-moindisme.
Rocard, c’est celui qui a balancé la CSG aux salariés, au nom de l’égalité républicaine.
Rocard, c’était naturellement la laïcité ouverte, moderne, dynamique, etc, qui se satisfaisait, en 1989, du voile à l’école des trois collégiennes de Creil.
Rocard, c’était un des pires militants européistes, et comme le disait Christine, un militant de l’entrée de la Turquie dans l’Europe. Il suffit d’entendre ses derniers discours, au lendemain du Brexit où il appelle ouvertement à la disparition de ce qu’il reste de souveraineté nationale, attribuant aux Etats-nations la responsabilité de l’échec de l’Europe.
Rocard, c’est encore lui qui nous explique que nous sommes responsables de l’invasion migratoire, parce qu’on aide pas suffisamment les pays à retenir leurs immigrés !
Rocard, c’était la culture de l’excuse, la prévention plutôt que la répression, etc.
Rocard, c’était un décentralisateur, un privatisateur, un ennemi de l’Etat fort et stratège.
Rocard, c’était le contraire de ce que Chevènement avait de meilleur.
Rocard, c’était un homme de droite, déguisé en socialiste, qui s’apprêtait à soutenir Juppé aux prochaines présidentielles.
Rocard, c’était un ennemi de la France, tout simplement, un immigrationniste fou.
Rocard, c’était un minable, suffisamment imbu de lui-même pour estimer qu’il mérite un hommage national aux Invalides, rien de moins ! Voilà un politicard qui a passé sa vie à vouloir dissoudre la Nation, et qui réclame à la France un hommage digne de lui !
Et, en outre, un hommage dans les locaux du PS, lui qui se préparait à rouler Juppé !
C’est cet homme qui, bien que n’ayant pas postulé aux primaires, avait osé, en 2007, demandé à Ségolène Royal de se retirer pour lui laisser la place !
Finalement, la seule chose dont on doit être gré à Mitterrand, c’est de nous avoir évité Rocard.
Mais on doit à tous les Mitterrand-Rocard-Juppé la perte de souveraineté de la France, son invasion migratoire, son islamisation et son ensauvagement. On a donc le droit de qualifier ces gens là de traitres et de pourris, comme l’a fait Christine.
Jeanne Bourdillon