Sabotage de la manif de Bélâbre : le préfet Bredin devrait être viré

Il suffit de regarder les images de la manifestation de Bélâbre, qui s’est tenue le samedi 11 mars, devant la place de la Mairie, pour comprendre l’ampleur du scandale. Alors que lors des manifestations de Callac et de Saint-Brevin, les préfets locaux avaient remarquablement fait leur travail, reléguant les contre-manifestants à plusieurs centaines de mètres, à Bélâbre, les choses se passèrent totalement différemment.

On apprend des choses intéressantes quand on regarde le remarquable reportage effectué par Valeurs Actuelles. On regrettera juste que le scandale soulevé par la “Coordination Partout Callac”, informant qu’un projet industriel avec vingt emplois, ne soit évoqué que quelques secondes par Marie-Odile Trusch, porte-parole du Collectif “Non au Cada” seulement à la fin du reportage.

Ouverture d’un centre de migrants dans le village de Bélâbre (36) : des habitants témoignent, certains se sont réfugiés à la campagne pour fuir les banlieues (MàJ)

Le préfet autorisa les contre-manifestants – qui n’avaient probablement pas déclaré leur manifestation – à s’approcher à moins de 50 mètres des opposants au Cada, qui, eux, avaient déclaré leur rassemblement. Encore plus grave, alors que les gendarmes devaient assurer la sécurité de la sono, un gauchiste put se faufiler et sectionner le câble.

Donc, les manifestants ne pouvaient plus prendre la parole, n’ayant pas assuré une solution de secours avec un mégaphone, et ne pouvant couvrir les hurlements des petits bourgeois gauchistes d’en face.

Donc, ils durent se replier devant la place de la mairie, et faire leurs prises de parole, sans le moindre micro. Un déni de démocratie qui ne choqua pas les forces de l’ordre, qui ne repoussèrent pas les contre-manifestants, ni le pleurnicheur de maire Laurent Laroche, ni les gauchistes, bien sûr, et encore moins les journalistes locaux.

Nous n’avons aucun préjugé contre le préfet Stéphane Bredin, d’autant plus qu’il n’a pas imposé le Cada au maire de Bélâbre, qui le demande pour sa ville par idéologie. Nous ne le qualifierons donc pas de préfet Papon, comme d’autres de ses collègues, en pointe sur l’implantation forcée de migrants dans les campagnes.

Il n’empêche que s’il avait fait correctement son travail, les défenseurs du Cada auraient été parqués à 1 km, et que le rassemblement des opposants se serait déroulé normalement.

Donc, deux solutions possibles. Soit le préfet Stéphane Bredin est un incompétent notoire, soit il a décidé d’aider les manifestants de gauche à pourrir le rassemblement des habitants hostiles au Cada.

Dans les deux cas, dans un pays normal, avec un État neutre, le préfet doit être viré sur le champ de l’Indre, et du corps des préfets, et dégager d’une fonction publique dont il n’est pas digne.

Jeanne Bourdillon

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6 Commentaires

  1. Dans le bourbonnais, un Bredin est un simple d.esprit, un idiot. monsieur le Prefet a trouvé un emploi à sa mesure.

  2. Dans de nombreux pays le poste de préfet s’appelle gouverneur et à l’avantage de mieux décrire la fonction.

  3. mais dans un pays entièrement dominé par la dictature de l’extrême gauche et le collaborationnisme d’Etat, les préfet collabos ne risquent rien

  4. Mais il y a déjà longtemps que nous ne vivons plus dans un pays normal et particulièrement depuis 2017, il faut être aveugle, sourd, et stupide par dessus le marché, pour le nier. Les irréductibles qui s’obstinent à vanter les mérites de notre prétendue “démocratie” ont été virtuellement lobotomisés par la propagande politico-médiatique, ou l’inverse…

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