COMMUNIQUÉ DU COLLECTIF DE LA PIERRE ATTELÉE
Hier, mercredi 21 juin 2023, nous étions 8 à être convoqués dans plusieurs gendarmeries, suite aux plaintes déposées par la maire Dorothée Pacaud.
Bien sûr tout le monde en est sorti libre. Rien d’étonnant à cela puisque nous menons notre combat à visage découvert et sans recourir à des méthodes violentes ou douteuses, méthodes que nous réprouvons.
D’ailleurs, les gendarmes nous ont bien confirmé qu’ils n’avaient rien à nous reprocher.
Alors pourquoi cet acharnement contre notre collectif ? Parce que le maire de Saint-Brevin à peine installé a décidé qu’elle voulait faire taire les opposants au CADA et lance des procédures multiples en mettant une énorme pression sur les gendarmes. On cherche donc à nous intimider, à nous impressionner afin d’obtenir notre soumission. Peine perdue, nous ne nous inclinerons pas.
La presse bien-pensante joue également un sale rôle dans cette affaire.
Elle n’a strictement aucune preuve pour justifier ses accusations mais cela ne l’empêche nullement de nous accuser sans détour, notamment d’avoir mis le feu aux véhicules et à la façade de la maison de Yannick Morez.
Cette presse n’informe pas le lecteur, elle l’embrigade. Elle hurle avec les loups. Cette presse n’est qu’une presse de propagande qui fait honte à la profession de journaliste.
Elle a, en plus des accusations d’incendie portées contre notre collectif, produit des articles indiquant que les deux personnes gardées à vue étaient membres de notre collectif. Nouveau mensonge. Aucune des deux personnes concernées n’appartient à notre collectif. Par ailleurs, les gendarmes n’ont rien à reprocher à ces deux personnes. Elles ont donc été relâchées rapidement.
Par contre notre collectif s’étonne de plusieurs faits :
Pourquoi l’enquête est-elle menée uniquement dans un seul sens, en cherchant seulement des preuves de notre culpabilité ?
Pourquoi aucune enquête n’est menée du côté opposé ? Ainsi, le soir de l’incendie des véhicules du maire, il y avait à quelques centaines de mètres seulement de son domicile des antifas sur le pont de Saint-Nazaire qui ont mis le feu. Curieusement aucune recherche n’a lieu de ce côté… et il se dit même que les caméras de vidéo-surveillance n’ont pas été regardées. Nous sommes prêts à parier que les enregistrements ont été effacés depuis.
Sur le chantier du CADA, une grue a été endommagée ainsi que des mobiles-homes. Plusieurs jeunes, 5 selon nos informations, ont été interpellés. Ils sont membres de l’ultra-gauche. Curieusement tout le monde fait silence sur cela, y compris la presse bien-pensante si prompte à nous accuser et à se dire opposée à toute violence.
Quant au chantier, il aurait dû être arrêté le temps de l’enquête. Il se trouve qu’il n’a pas été arrêté parce qu’il ne faut pas retarder les travaux du CADA. Et puis une enquête sur l’ultra-gauche ce n’est pas à cela que veulent aboutir les bien-pensants.
Enfin la voiture d’un patriote a été brûlée lors de la manifestation du 25 avril devant la mairie. Les gendarmes ont identifié le coupable qui est un antifa, mais ne l’ont pas arrêté. Cela n’intéresse pas non plus les journalistes bien-pensants. Lorsque c’est l’extrême gauche et les antifas, la presse fait silence.
Tout cela se passe dans une ambiance surréaliste avec des services de l’État complètement affolés, courant dans tous les sens, et redoutant surtout de se voir reprocher un manque d’implication pour protéger le maire et trouver les «coupables».
Loin de cette agitation et de l’hystérisation de la situation, le Collectif de la Pierre Attelée va continuer son combat pour protéger les enfants. Nous ne céderons jamais, car protéger les enfants est un combat non négociable.
Nous continuerons à nous battre à visage découvert sans nous laisser impressionner par les campagnes de presse mensongères et haineuses, ni par les pressions et procédures judiciaires de la mairie.
Nous nous battrons jusqu’au bout pour le retrait du CADA !
Le 22 juin 2023.
Le Collectif de la Pierre Attelée (collectif-non-au-cada@outlook.fr)
Boulanger, ninin, caduc, liot, ferré, mulot… voilà les gens qui font peur aux brévinois lesquels espèrent que leurs enfants ne les croisent pas vu leur dangerosité
Il faudrait calculer tout l’argent que cette femme fait perdre aux particuliers et à l’administration :
– Pour les particuliers, frais de transport et perte de temps (or le temps, c’est de l’argent).
– Pour l’administration : mobilisation de dizaines d’agents (payés par l’Etat) à des tâches inutiles.
Au total, cela doit bien faire plusieurs milliers d’euros.
Ne serait-il pas normal de lui envoyer la facture ?
Et ne peut-on lui intenter un procès si elle refuse de rembourser tous les frais dont ses caprices sont la cause ?
Est-on sûr, par ailleurs, qu’elle ne fait pas obstruction au travail de la justice en ce qui concerne la recherche des auteurs de l’incendie ?
N’y a-t-il pas de sa part un harcèlement manifeste aussi bien contre les particuliers que contre les agents de l’Etat ?
(Il faudra aussi bien sûr, surveiller de très près l’emploi du budget communal…)
Comment peut-on encore bosser pour un état si dictatorial ? J’aurai honte !
SOUTIEN !!!
Espérons que l’exemplarité de ce collectif courageux et résistant dans le sens le plus noble du terme fera tache d’huile.
c’est évident que c’est l’extrême gauche qui est derrière tout ce cirque : c’est une de leur fantaisie pour faire porter le chapeau à la droite patriote
Les prétendus “journaux” et médias sont devenus pour la plupart des officines gauchistes qui se sont donné comme mission non d’informer, mais de manipuler l’opinion publique. Ce ne sont plus des journaux, mais des agendas (au sens anglo-saxon)
La grève de la rédaction du JDD en est une illustration éclatante.
Merci pour vos articles qui sont bien les seuls à nous éclairer. Et merci pour votre action qui donne du courage à ceux qui vous lisent.
chut la 17è chambre va encore connaitre un supplément de travail
Allez les petits !