Salauds ! A cause de vous, un homme poignardé par un clandestin multirécidiviste est mort…

Le 8 août dernier, j’avais publié un article, suite à l’agression mortelle subie au couteau, dans un bus parisien, à 7 heures du matin, par un homme  présenté comme un quinquagénaire par les médias qui ne disaient pas un mot sur l’assassin.

https://ripostelaique.com/legorge-du-jour-avait-50-ans-il-etait-dans-un-bus-parisien-a-7-heures-du-matin.html

Ainsi, il est intéressant de comparer le traitement médiatique du Parisien (qui, au moins, a évoqué l’affaire, contrairement au reste de la presse française) avec ce que j’avais écrit.

Un passager d’un bus RATP, âgé de 50 ans et originaire du Val-de-Marne, a été mortellement et « gratuitement » poignardé par un cycliste qui tentait de monter dans le véhicule avec son vélo. Le drame a eu lieu ce mercredi à 6 h 20 à l’arrêt du 255, porte de Clignancourt (XVIIIe), au nord de Paris.

(…) « Un passager s’en est offusqué », relate une source policière. Un autre témoin entend l’agresseur « demander à sa victime s’il parle arabe ». Ce dernier, qui ne semble pas le connaître, lui enjoint de « le laisser tranquille ». Le cycliste sort alors un couteau, le poignarde à la carotide et quitte le bus. La victime tente de le poursuivre, mais s’effondre sitôt sur la chaussée.

Bien évidemment, au lendemain de la mort d’Adrien, qui avait révolté la France entière mais avait été passée sous silence par les médias, ces derniers, et le régime qui les paie, n’avaient pas envie que nos compatriotes sachent ce que Jacques Guillemain, dans un article qui avait eu un grand succès, avait confirmé : nos compatriotes tombent de plus en plus souvent sous des coups de couteau presque toujours assénés par des musulmans.

https://ripostelaique.com/la-liste-des-francais-egorges-par-des-musulmans-sallonge-tous-les-jours.html

Un article du journal “Le Point” nous en dit davantage ce jour. Quelques jours après le meurtre, les policiers ont arrêté le coupable qui nie avoir porté un coup de couteau et affirme avoir seulement frappé sa victime (à la gorge) avec son porte-clefs. Et il fait le coup, à 6 heures du matin, alors qu’il veut monter avec son vélo dans un bus, de l’état alcoolique et de la prise de stupéfiants pour minimiser sa responsabilité dans ce meurtre. Bref, ce serait un malheureux accident, causé, toujours selon l’assassin, par la panique, s’étant cru menacé. Voilà un témoignage qui confirme la taqîya des musulmans qui ont toujours besoin de se victimiser pour justifier leurs agressions et leurs crimes.

http://www.lepoint.fr/faits-divers/homme-tue-dans-le-bus-a-paris-le-suspect-mis-en-examen-et-ecroue-16-08-2018-2244027_2627.php

Mais le plus révoltant n’est pas là. On apprend d’abord que ce multirécidiviste était en situation irrégulière. On apprend ensuite que l’homme, qui multipliait les fausses identités, était, selon la formule habituelle, défavorablement connu des services de police en raison de multiples délits, dont des vols avec violence.

Bien que n’ayant pas suivi d’études de droit, je conclus donc que, dans la France de Macron-Philippe-Collomb, un Maghrébin, probablement musulman (il a utilisé les rituels d’égorgement des adeptes d’Allah), en situation irrégulière, ayant multiplié les fausses identités et les agressions, était toujours en liberté et qu’aucune procédure d’expulsion n’avait été entreprise. J’en conclus également que ce refus de renvoyer dans leur pays les clandestins délinquants a été assumé par ce régime, par la voix du Premier ministre, Édouard Philippe, à l’Assemblée nationale, qui se refusait, avec une certaine morgue, à envisager ne serait-ce que l’expulsion des fichés S étrangers, de même que l’incarcération des fichés S ayant obtenu la nationalité française.

https://www.bfmtv.com/mediaplayer/video/philippe-sur-les-fiches-s-les-expulser-tous-les-enfermer-tous-dire-cela-c-est-meconnaitre-profondement-nos-outils-de-renseignement-1052063.html

En politique, un pouvoir doit assumer les conséquences de ses actes. Et comme il ne le fera pas, les citoyens doivent, de manière claire,  pouvoir expliquer la vérité à leurs compatriotes avec les mots idoines. Emmanuel Macron, Édouard Philippe, Gérard Collomb ont commis une faute professionnelle. Dans n’importe quelle profession, c’est la porte, sans indemnités. Mais, à la différence de fautes professionnelles accidentelles, la leur est totalement volontaire et donc encore plus impardonnable. Avec tous leurs complices immigrationnistes, politiques, associatifs, artistes, experts et autres, ils ont sur les mains le sang de celui qu’on appelle le “quinquagénaire du bus de Paris”. Ils ont sa mort sur la conscience. C’est de leur faute si l’assassin était en liberté, ce sont eux qui, délibérément, ont livré la malheureuse victime, qui a juste eu le courage de protester contre un acte insupportable et délictueux, au poignard du criminel musulman. Ce sont eux qui, en ne prenant aucune mesure contre la prolifération du nombre des coups de couteau et des égorgements subis par nos compatriotes de la main des envahisseurs qui nous haïssent, mettent en danger la vie et l’intégrité physique de millions de Français à qui il peut arriver ce qui est arrivé à Adrien et à tant d’autres.

Ils ne pourront pas s’en sortir ainsi ; un jour, ils devront répondre de leur criminelle activité, d’autant plus que, malgré cette véritable épidémie de meurtres, ils continuent à faire venir en France des nouveaux clandestins, de la même nationalité qu’un assassin de médecin allemand.

http://www.fdesouche.com/1060551-offenbourg-all-un-medecin-assassine-de-plusieurs-coups-de-couteau-par-un-migrant-somalien-son-assistante-grievement-blessee

En attendant, j’espère un jour participer à une manifestation où le mot d’ordre sera : “Dehors Macron, complice des assassins, Dehors Philippe, complice des égorgeurs, Dehors Collomb, complice des islamistes !”. J’espère voir toutes les ordures immigrationnistes dans une cage en verre, rappelant le procès de Nuremberg.

Je voulais conclure ce coup de gueule en direction d’autres collabos, les journalistes. Sans doute échaudés par l’émotion suscitée par l’assassinat d’Adrien Perez, ils ne donnent plus aucun renseignement sur les victimes. Comment s’appelait le mort de 50 ans de l’autobus parisien ? Avait-il une femme, des enfants, allait-il à son travail ? Quel genre d’homme était-ce ? Comment s’appelait-il ? Quelle tête avait-il, on aimerait voir sa photo. Eh bien, rien, il ne restera qu’un homme de 50 ans “victime d’une rixe”. Et rien d’autre, comme s’il n’avait jamais existé, finalement. À la fosse commune !

Comme le trentenaire décédé le jour de son anniversaire, poignardé à mort, comme le jeune homme de 27 ans, entre la vie et la mort à Grenoble, dont on n’a pas de nouvelles, comme le jeune homme de 19 ans, à Bondy, qui s’est défendu quand des racailles ont voulu lui voler son scooter et qui est, lui aussi, entre la vie et la mort.

Ils vont les laisser dans un coma artificiel pendant un mois, le temps qu’on ne parle plus de l’affaire, et on annoncera leur mort, en noyant le poisson, quand l’émotion sera retombée, comme cela s’est fait à Issoire, où un homme de 46 ans est officiellement décédé un mois après son agression.

http://www.leparisien.fr/faits-divers/puy-de-dome-un-quadragenaire-decede-un-mois-apres-son-agression-10-08-2018-7849131.php

En pratiquant une véritable omerta sur ces crimes de masse, les journalistes, au service du pouvoir, contribuent à tuer une deuxième fois les victimes, dépersonnalisées, dont, bien sûr, on tait l’origine des assassins.

Ce qualificatif, pour conclure, s’adresse à tous les complices de l’invasion migratoire musulmane qui ont sur les mains le sang de nos victimes et à tous ceux qui organisent l’omerta autour de ces crimes racistes : Salauds !

Lucette Jeanpierre