Sandrine Rousseau a donc agressé un enfant qui jouait aux LEGO !
Le drame est survenu alors que Sandrine s’en revenait d’une promenade avec son mari déconstruit, lequel marchait un pas derrière elle, la tête basse et prononçant à intervalle régulier des « Oui, oui, ma dulcinée verte » lorsque ladite dulcinée interrompait son interminable monologue pour lui demander : « Tu n’es pas d’accord ?! » La courgette déconstruite agissait toujours ainsi depuis que, un jour, elle avait imprudemment répondu à son écolo-dragon pas rigolo : « Je ne suis pas entièrement d’accord avec toi. » S’en était alors suivi une scène mémorable d’hystérie recyclable, plus une semaine de purée de tofu sans sel pour le contrevenant !
Tout en marchant, Sandrine préconisait de prendre garde à ne pas écraser d’insectes et particulièrement les moustiques assoupis et repus de sang, suivant les conseils avisés de son ami Aymeric Caron, un humanoïde bilieux long comme un teckel en chewing-gum et qui se vantait d’être un révolutionnaire de gauche… vivant dans les beaux quartiers de Versailles où il terrorisait la population avec son air de dingue échappé de l’asile d’Arkham – les fans de Batman comprendront !
Soudain, stoppant net sa marche et son monologue long comme le fleuve Amazone – qui portait cette fois-ci sur la nécessité de déboulonner les statues de Napoléon parce que ce dernier ne passait jamais la serpillère dans ses palais et qu’il aurait maintes violé par le regard l’impératrice Joséphine, laquelle, nous dit-on, ne s’en plaignit jamais ! –, Sandrine rougit comme un tourteau à point et arbora son meilleur regard de démence exaltée.
Puis, avec un doigt aussi accusateur que celui du Commandeur désignant Don Juan, elle pointa un petit garçon qui jouait dehors avec ses LEGO et ce, au mépris du génocide d’insectes qu’il était en train de perpétrer en se vautrant ainsi, lui et ses jouets, sur un tapis d’herbe.
« Assassin ! » hurla Sandrine, tétanisant autant les parents de l’enfant que sa baudruche déconstruite, qui en avait pourtant vu d’autres. Transfigurée en mère Fouettard de l’Écologie, elle poursuivit : « Les LEGO sont en plastique comme les Chamallows sont en guimauve ! Et le plastique ce n’est pas chic : il tue les ours blancs, les grenouilles vertes, les pandas roux et les haricots rouges ! Mais toi, tu t’en moques, tu joues aux LEGO, une entreprise ultra-capitaliste qui, en plus d’exploiter l’Afrique, l’Asie, le désert du Nevada, le lac Baïkal, le Bas-Poitou et les îles Kerguelen, refuse d’utiliser de la matière recyclée, sous le prétexte fallacieux que cela ne répond pas à son exigence de qualité ! Maudis soyez-vous par le Grand Radis bio turgescent, toi et ta famille, petit exploiteur blanc esclavagiste, écocide et féminicide !
Là, pour que le lecteur comprenne bien le delirium tremens de Sandrine – dû sans doute à l’absorption excessive de betterave fermentée ! –, il faut savoir que la célèbre marque danoise a effectivement renoncé à utiliser du polyéthylène téréphtalate (PET) recyclé. Car : « Cette solution s’avère techniquement trop complexe : le nouveau processus de fabrication aurait un impact plus élevé que l’utilisation actuelle de plastique à base de pétrole selon le fabricant. […] L’utilisation du PET recyclé aurait nécessité d’importants investissements dans de nouveaux équipements de production et aurait impliqué des étapes supplémentaires. Des complications qui auraient eu pour conséquence d’augmenter les émissions de gaz à effet de serre, allant à l’encontre des objectifs de réduction de l’empreinte carbone de Lego. »
https://www.linternaute.com/actualite/economie/3609897-article/
Reprenons notre histoire…
Sandrine, agitant ses bras comme une éolienne excitée par le vent d’ouest, s’en prenait donc à un garçonnet de cinq ans, inconscient à son âge qu’il était à ce point un danger raciste pour la planète. Lequel garçonnet pleura toutes les larmes de son corps en réalisant que non seulement les monstres du placard existaient bel et bien mais encore qu’ils ne ressemblaient pas du tout à ceux, nettement plus sympathiques, du film d’animation Monstres et Compagnie, géniale création des studios Pixar.
En effet, être confronté à Sandrine dans cet état c’est une expérience pour le moins traumatisante. Inutile de préciser que la coloquinte déconstruite de Sandrine se contentait d’assister à la scène dans un silence sépulcral, gardant encore en mémoire la purée de tofu sans sel…
Les parents du petit coupable blanc – même blond aux yeux clairs, ce qui aggravait son cas ! – défendirent bien entendu leur progéniture. Mal leur en prit, car cela remit une pièce dans le jukebox détraqué de Sandrine : « Ah, je vous devine, tous les deux ! Vous êtes des suppôts de l’extrême droite la plus vile ! Vous regardez CNews et vous êtes abonnés au Journal du dimanche ! Pire, votre chien s’appelle Doriot ! »
Le chien en question, qui s’appelait en réalité Doudou, s’était prudemment retranché derrière les jambes du papa, en aboyant mollement, de peur de s’attirer les foudres la furie verte. D’abord impuissant face à une Sandrine déversant ses invectives excrémentielles comme si elle s’était muée en station d’épuration, le papa en question décida qu’il était temps d’agir.
Ayant reconnu la célébrité verte enragée, et fort comme un homme pas déconstruit, il chopa Sandrine au collet pour l’attacher solidement à une chaise. Ensuite, il s’en alla chercher son barbecue, l’alluma et y déposa une grosse entrecôte, qu’il enfourna par morceaux dans la bouche de Sandrine. Enfin, il la détacha et, sans lui retirer le moindre vêtement – c’eût été mal interprété et, par ailleurs, Sandrine ne souffrait pas la comparaison avec sa blonde épouse magnifique aux yeux bleus et femme assumée jusqu’au bout des ongles –, lui flanqua une fessée qu’on avait jadis omis de lui mettre pour calmer ses ardeurs. Puis il la relâcha.
Notons que, durant toute la scène, le saladier déconstruit de Sandrine n’émit pas la plus petite objection, craignant d’intervenir mal à propos et d’être renvoyé à la purée de tofu sans sel ! À moins que ce ne fût là une vengeance secrète de sa part, l’histoire ne le dit pas…
Appelée à la rescousse, la maréchaussée – qui fait très peur à Sandrine, contrairement à la gentille diversité émeutière ! – déboula, suivie de près par le SAMU. On obligea le papa à se faire vacciner contre la rage verte, par précaution et, après avoir administré un calmant à l’intéressée – plus de la pommade appliquée sur ses fesses, rouges comme des haricots évidemment rouges (faut suivre, hein ?!) par une secouriste lectrice de Valeurs actuelles ! – on l’envoya faire une cure de repos. Initiative qui convint parfaitement au potiron déconstruit de Sandrine, profitant de cette parenthèse de liberté pour manger de la viande rouge et boire du pinard en regardant des films de Stallone, pendant tout le temps que dura la convalescence de sa harpie !
Quant au petit garçon, ses parents lui offrirent une montagne de LEGO non recyclés pour le consoler de sa fâcheuse et non moins effroyable expérience avec un clystère écologique !
(Ceci est une parodie d’appellation contrôlée !)
(PS : des lecteurs me rappellent judicieusement que Sandrine Rousseau est divorcée. C’est pourquoi je précise que je lui ai refilé un mari pour les besoins de la mise en scène.)
Charles Demassieux
Sandrine MARTEAU … Plus bête qu’un requin marteau… (Observez les dégâts faits par un vaccin qui n’en est pas un) !!! ☣
Très drôle! Ca me reconstruit. Par contre, le delirium tremens de Sandrine, moi, perso, je le trouve très épais.
Même dans une fiction, je l’aurais fessée fesses nues pour voir si elle avait le cul propre.
@Tri Martolod. Autre fiction. Je lui aurais longuement démontré par son côté pile, ce qu’est un viril gaillard bien construit que la pimprenelle en aurait eu les larmes aux yeux de bonheur….
Merci !!!! Ca fait du bien de rigoler, j’enregistre
Bonne journée à vous et faites – en d’autres.
Quand est-ce qu’une autorité va prendre la décision de faire enfermer cette folle dingo à perpétuité ???
Excellent!
Il est juste décevant que cette histoire sorte de votre imagination et ne soit pas réelle.
Le titre m’a surprise mais les faits qui y sont décrits ne m’ont pas paru impossibles, notamment que Rousseau agresse un enfant et que le père de cet enfant lui colle une fessée. Mais j’ai eu un gros doute en lisant le mot “mari”. Je savais qu’elle était divorcée. Remariée ? Un homme peut-il être assez fou pour vouloir vivre avec une telle punaise, qui ne cesse de clamer sa haine du sexe masculin ? Ce serait vraiment d’une très grande perversité, du grand masochisme !
Oui, c’est une fiction et j’avais besoin d’un mari. Donc je me suis arrangé avec la réalité…
Pour info, en dehors de la bestiole (insecte) dont l’appareil buccal est de type piqueur-suceur et qui a “la désagréable habitude de sécréter une odeur nauséabonde, notamment lorsqu’elle se sent menacée,”
le mot “punaise” désigne également une “personne petite, malingre, peu imposante. (Familier) et par extension une personne malveillante”
La comparaison me paraît par conséquent tout à fait appropriée.
Non ! Elle ne clame pas sa haine du sexe masculin, mais sa haine de l’homme BLANC hétéro !
Pourquoi sur RL toujours parler de cette malade mentale ? Ça lui permet d’exister, c’est vraiment dommage, il y’a certainement des sujets bien plus intéressants à traiter
L’actualité est plutôt démoralisante. Alors une petite parodie de ce genre de temps à autre contre les cinglés qui nous pourrissent la vie, ça permet de décompresser. Je suis pour.
Parce qu’elle nous fait marrer et que ça détend !
dommage que ce fusse une parodie !!!!!!
Hillarant! Certains passage m’ont rappele Frederick Dard, plus connu sous son pseudonyme San Antonio (meme si ce dernier etait socialiste). Cela mis a part, il m’est arrive a plusieurs reprises, au milieu de la nuit en me rendant au toilette dans le noir (j’ai une tres bonne vision laterale qui percoit dans les tenebres) de marcher sur un lego abandonne par mon fils, pieds nus. Combien de fois aie-je maudit ces objects nocifs pour ma sante plantaire!
Ah le Lego qui vous écorche les pieds ! Quel parent n’a pas connu ça ?
Dans un “Don Camillo” de Gino Cervi, une militante communiste à l’allure de Sardine Ruisseau a été agressée un soir, et on lui a peint les fesses en rouge ! Scandale dans le village ! Le Christ a fini par faire avouer Don Camillo : c’est lui qui a immobilisé la harpie. “Mais qui a passé la peinture ?” demanda le Christ. “Son mari !” répondit Don Camillo. ☺
Jolie improvisation, bien tournée, qui aura bientôt (espérons le) une valeur prophétique.
Pouvoir assister à la scène de la fessée, ainsi décrite, me comblerait de bonheur … surtout si LCI et BFMtv filment l’évènement en direct.
Mais cet espoir? n’est qu’un beau rêve.
Magnifique description de sa lopette déconstruite.
Merci Charles pour ce fou rire comme ça fait du bien dans ce monde décadent
Au début je croyais que c’était vrai, ça aurait pu. Avec Sandrine on n’est pas à un délire près, c la scène du BBQ, là j’ai dit ça va trop loin pour une histoire vraie.
J’ai adoré les qualificatifs pour le déconstruit, comme coloquinte qui est un nouveau mot pour moi, un concombre amère et purgatif, je le verrais mieux pour Sandrine, qui est amère et qui fait chi,r.
Je vais me coucher moins niaiseuse.
Ras le bol des petites phrases de Sandrine Rousseau!!
Parodie de fellation contrôlée ? J’ai cru jusqu’au bout que c’était vrai.
“La moquerie est souvent indigence d’esprit”, LA BRUYERE.
Souvent, mais pas toujours, et ici on est dans l’exception!!! Bravo, quel plaisir de rouler ces débiles du monde politique écolo-bobo dans la farine (sans gluten). Je vais diffuser cette pépite autour de moi. MERCI.
Il faut dire que si La Bruyère s’était moqué de madame de Montespan comme je me moque de Sandrine,il aurait connu les murs de La Bastille. Moi, j’ignore où ils vont m’envoyer pour m’être moqué de l’idole verte !
Mais où vas-tu chercher tout cela Charles ? Moi qui te prenais pour un garçon sérieux…
Bref, j’ai passé un très bon moment avec tous tes adjectif si imagés, et des éclats de rire ont fusé à plusieurs reprises, signe que ton texte est vraiment hilarant.
Si seulement la Sandrine pouvait le lire… et qu’un proche t’envoie ensuite la vidéo de sa réaction, cela nous voudrait peut-être un second tome de ta part… Je croise les doigts.
Salut Josiane. Je crains que madame Rousseau n’ait pas le même sens de l’humour que nous… Bien à toi.
Ah ! Ça fait du bien de rigoler ! Par les temps qui courrent, c’est de plus en plus difficile…
Charles, tu force quand même pas mal la caricature, là !! :-))
Et je viens, à l’instant, de comprendre le “Je hais les légos !! ”
Je crois que la sardine a confondu lego et … LEGAUX !!! est-ce légal ça ? mort de rires en tout cas …
Bien vu, je n’y avais même pas pensé…😉
Qu’est-ce que vous nous racontez là, Charles Demassieux ? Cette espèce de mante religieuse – verte et à lunettes – se serait remariée ? Il n’a pas peur, le gars. C’est plus que de la déconstruction, c’est de l’inconscience. Ou du masochisme ?
Très Très bien vu !
Merci…
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😂😂😂
Kabout, imagine son surnom !! ” quéquette ” ahahahah …
Un chef d’œuvre votre article !
Peut-être pas, mais un défouloir en tout cas !😉
Charles, j’attends avec une impatience qui a de plus en plus de mal à être contenue, le jour ou la sardine passera à la casserole, c’est à dire le jour où elle sera “enrichie” comme il se doit …
D’ailleurs, dans le mot “enrichie” il y a “chie” …
Cette harpie, cette cinglée, cette dégénérée, je vais épuiser tout le dictionnaire tant tous ces qualificatifs lui vont tellement bien …