« Cette virago… qui la première institua des sociétés de femmes, abandonna les soins de son ménage, voulut politiquer et commit des crimes… elle a été anéantie sous le fer vengeur des lois… »
(Pierre-Gaspard Chaumette(1)).
Chère Sardine, Chère Mandarine, mes gentes dames.
Je puis vous l’avouer, j’aime tout, absolument tout, chez vous ; votre charme si féminin, votre sens de l’humour, vos propos aussi nuancés que châtiés, votre ouverture d’esprit, votre tolérance à l’égard des imbéciles qui ne partagent point votre avis, les causes – justes et désintéressées – que vous défendez bec et ongles, votre sens de la mesure, vos lunettes d’intellectuelles (2) et surtout cette féminité, ce « sex-appeal » ravageur qui fait fantasmer les hommes.
Je suis conscient de mes tares ; la providence m’a fait naître dans la peau d’un mâle. Hélas, pas d’un homme « déconstruit » comme vous les aimez, pas d’un homme qui serait devenu « une femme comme tout le monde » ; non, d’un macho, d’un porc libidineux, dont la jaquette ne flotte pas et qui aime les femmes, les vraies femmes. Et c’est ce côté lubrique, salace, obsédé sexuel, qu’il y a en chaque homme non déconstruit qui m’amène à vous écrire cette missive car, mes gentes dames, j’ai peur pour vos vies. Cette peur panique est partie d’un fait en apparence, anodin :
Le 21 janvier dernier, j’étais invité à une réception mondaine. Je déteste ces réunions où les gens se promènent (ou s’entassent) d’un groupe à l’autre, une coupe de champagne dans une main, un petit-four dans l’autre, en caquetant pis que des pintades dans une volière.
Les snobs appellent ça un lunch, le populo un pot (ou un vin d’honneur (3)). Comme je suis agoraphobe et que je n’aime ni le champagne ni le bruit, ces réceptions sont pour moi une purge.
Ce jour-là, j’arborais une fleur de lys à la boutonnière car vous n’ignorez point, mes gentes dames, que le 21 janvier (1793) est la date de la mort du citoyen Capet que je m’entête à appeler le Roi Louis XVI. Je ne demandais rien à personne, cherchant juste un pot de fleur dans lequel j’aurais pu vider, prestement et discrètement, mon champagne tiédasse, quand une haridelle m’est tombée dessus et, pointant ma boutonnière, m’a demandé ce que signifiait cette fleur de lys. Je lui ai donc expliqué que, tous les 21 janvier, j’honorais la mémoire du Roi-martyr (mais je n’ai pas osé ajouter « victime de la furie révolutionnaire ») et elle m’a répondu, avec un sourire carnassier qui découvrait une dentition chevaline : « Moi c’est plutôt le 3 novembre que je porte le deuil ». J’en fus fort surpris car je sais que le 1er novembre est la fête des Saints, le 2 celle des morts mais quid du 3 novembre ?
Depuis que les francs-maçons américains cherchent à faire oublier nos fêtes religieuses au profit d’Halloween, peut-être avais-je raté une étape ? J’ai donc mandé une explication et la dame m’a répondu sèchement, comme si elle voulait me mordre « C’est la mort d’Olympe de Gouges, la première féministe, celle qui a ouvert la voie à l’émancipation des femmes ».
Diantre ! Me voilà bien mouché ! Ainsi, c’est à Olympe de Gouges que l’on doit les avancées « sociétales » en matière d’égalité homme/femme (pardon : femme/homme) ?
Quiconque se passionne, comme moi, pour l’histoire de notre pays sait que les femmes l’ont dominé par leur influence auprès de nos Rois – par leur charme, leur intelligence ou les deux – du haut Moyen-Âge à la Révolution. En fait, ce sont les révolutionnaires de 1789 qui ont mis un terme au pouvoir des femmes. De grâce, mes gentes dames, avant de me traiter de « révisionniste », laissez-moi vous narrer la vie édifiante de la mère du féminisme : la fameuse Olympe de Gouges.
Elle avait les dents longues, la cuisse légère et l’envie de « péter plus haut que son QI ». Elle se fit appeler Olympe de Gouges, mais en réalité elle se nommait Marie Gouze, et était la fille d’un boucher de Montauban. C’est amusant cette attirance pour la particule chez les parvenus !
Marie Gouze naît à Montauban le 7 mai 1748. À l’âge de 17 ans, on la marie à un traiteur parisien de 30 ans son aîné, Louis-Yves Aubry, officier de bouche de l’Intendant de Montauban (et client de la boucherie de ses parents). Son mari meurt en 1766, emporté par une crue du Tarn.
Rien ne la rattachant à Montauban, elle rejoint sa sœur aînée à Paris. Au début des années 1770, elle en profite pour changer de nom : adieu donc Marie Gouze, ce patronyme roturier, bonjour Olympe de Gouges !
Elle devient la maîtresse de Jacques Béatrix de Rozières, directeur d’une grosse compagnie de transports militaires, et fort riche. Lorsqu’il lui propose de l’épouser, elle refuse.
Grâce à la fortune de son amant, elle put mener un train de vie dispendieux de grande bourgeoise. Elle figurait, dès 1774, dans l’ « Annuaire des personnes de condition » (4). Elle mène donc une vie « aussi luxueuse que galante » de manière ostentatoire, et acquiert une réputation de courtisane entretenue par les hommes. Puis elle s’essaie à l’écriture. Une pièce, imprégnée d’utopie humaniste, la rend célèbre : « L’esclavage des noirs, ou l’heureux naufrage ». À la fin de l’année 1790, elle écrit une autre pièce sur le même thème, « le marché des noirs ».
En plus de ses œuvres anti-esclavagistes, elle publie en 1788, des « Réflexions sur les hommes nègres », livre dans lequel elle écrit : « L’espèce d’hommes nègres m’a toujours intéressée à son déplorable sort… ». En fait, Chère Sardine, Chère Mandarine, elle menait le même combat que vous et vos amis en faveur de l’allogène basané maltraité par ce salopard d’homme blanc.
En octobre 1792, grâce à Condorcet et son épouse (née Sophie de Grouchy), Olympe rejoint les Girondins. Elle se dit républicaine, mais elle ne souhaite pas la mort de Louis XVI, c’est du moins ce que racontent ses thuriféraires car, le 18 janvier 1793, elle écrira (5) :
« Le fils de Louis Capet est innocent, mais il peut prétendre à la couronne, et je veux lui ôter toute prétention. Je voudrais donc que Louis, que sa femme, ses enfants et toute sa famille fussent enchaînés dans une voiture et conduits au milieu de nos armées, entre le feu de l’ennemi et notre artillerie. Si les brigands couronnés persistent dans leurs crimes, et refusent de reconnaître l’indépendance de la République française, je briguerai l’honneur d’allumer la mèche du canon qui nous délivrera de cette famille homicide et tyrannique. ». On voit qu’on a affaire à une femme douce, sensible, modérée et imprégnée, que dis-je, imbibée, d’humaniste maçonnique !
Olympe de Gouges est célèbre pour avoir rédigé une « Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne », dans laquelle elle affirmait l’égalité des droits – civils et politiques – des deux sexes.
Mais elle demanda aussi l’instauration du divorce, qui fut finalement adopté par l’Assemblée législative le 20 septembre 1792. Elle voulait également la suppression du mariage religieux, et son remplacement par une sorte de contrat civil signé entre concubins : le « PACS » avant l’heure !
Elle plaida aussi pour un « impôt sur les riches ». Dans les « Remarques patriotiques », elle préconisait des impôts sur les signes extérieurs de richesse. Elle avait donc aussi pensé à l’ISF !
En évoquant Olympe de Gouges, mes gentes dames, comment ne pas penser à vos combats ô combien légitimes ? Vous êtes, indéniablement, ses dignes héritières !
D’ailleurs, je suis persuadé que vous auriez aimé cette époque révolutionnaire.
Je vous imagine bien dans un cortège de sans-culottes, bonnet phrygien sur la tête, chantant « Tiens voilà du rouquin » en brandissant, au bout d’une pique, la tête d’un député rouquemoute qui avait donné une mandale à sa dulcinée. Mais vous pourriez aussi chanter « Ah ça ira ! », c’est plus classique mais pour envoyer les gens comme moi « à la lanterne », c’est bien aussi.
Je vous imagine, disais-je, et de là viennent mes craintes. Pour parler comme les plumitifs, Olympe de Gouges « cochait toutes les cases » et pourtant, elle fut arrêtée par les Montagnards le 20 juillet 1793, et déférée le 6 août 1793 devant le Tribunal révolutionnaire. 48 heures après l’exécution de ses amis girondins, elle fut condamnée à la peine de mort. Dernière ruse : elle se déclara enceinte, mais Fouquier-Tinville décida que le jugement était exécutoire.
Devant la guillotine, elle s’écria : « Enfants de la Patrie vous vengerez ma mort ».
Et le procureur de la Commune de Paris, Pierre-Gaspard Chaumette, déclara :
« Cette virago, la femme-homme, l’impudente Olympe de Gouges qui la première institua des sociétés de femmes, abandonna les soins de son ménage, voulut politiquer et commit des crimes… elle a été anéantie sous le fer vengeur des lois. Et vous voudriez l’imiter ? Non !… Vous ne serez intéressantes et dignes d’estime que lorsque vous serez ce que la nature a voulu que vous fussiez. Nous voulons que les femmes soient respectées… nous les forcerons à se respecter elles-mêmes. »
Olympe de Gouges, était une parvenue qui se poussait du col, lequel fut coupé par le « rasoir national ». Passons à une autre intrigante qui, elle aussi, finira mal : Manon Roland.
Fille d’un graveur, en 1774, elle séjourne quelque temps au château de Versailles, et ressent comme une insulte le mépris dans lequel la noblesse tient les bourgeois.
En 1776, elle fait la connaissance de Jean-Marie Roland de La Platière, économiste réputé, inspecteur des manufactures de Picardie. Roland s’éprend de Manon et demande sa main.
Le 4 février 1780, après beaucoup d’hésitations, elle l’épouse. La vie conjugale ne l’enchante guère car elle n’éprouve que de l’affection pour son mari. Mais la Révolution, qui l’enflamme, lui donne l’occasion de mettre un terme à sa vie monotone. Le couple s’installe à Paris en décembre 1791. Manon décide d’accueillir dans son salon des hommes politiques influents : Brissot, Pétion, Robespierre et quelques autres dont Buzot qui deviendra son amant.
Grâce à ses relations au sein de la Gironde, son mari devient ministre de l’Intérieur le 23 mars 1792. Dès lors, Manon sera l’égérie du Parti Girondin. Barbaroux, Brissot, Louvet, Pétion, assistent aux dîners qu’elle offre deux fois par semaine dans son hôtel particulier.
Aux côtés de son mari, elle joue, au ministère de l’Intérieur, un rôle essentiel. Elle rédige elle-même la lettre dans laquelle Jean-Marie Roland demande au Roi de revenir sur son veto. Lettre qui provoque le renvoi de Roland, le 13 juin 1792. Mais lorsque ce dernier retrouve son portefeuille après la prise des Tuileries, le 10 août 1792, Manon dirige plus que jamais ses bureaux.
Après les massacres de Septembre 1792, elle écrit: « Danton conduit tout, Robespierre est son mannequin, Marat tient sa torche et son poignard… ». Aussi acharnée dans ses haines que dans ses passions, elle attaque Danton de plus en plus violemment. De leur côté, les Montagnards multiplient les attaques contre les Girondins, et contre Roland surnommé « Coco Roland », Manon Roland devient « Madame Coco » ou « la reine Coco ».
Le 31 mai 1793, lors de la proscription des Girondins, Manon Roland se laisse arrêter. Elle est incarcérée dans la prison de l’Abbaye puis transférée à la Conciergerie où elle reste cinq mois.
Elle est jugée le 8 novembre 1793. Tout de blanc vêtue, elle se présente devant le Tribunal révolutionnaire et la sentence est mise à exécution le soir même. Quand la charrette arrive devant Saint-Roch, des forcenés l’accablent d’injures. En montrant sur l’échafaud elle aurait déclaré :
« Ô Liberté, que de crimes on commet en ton nom ! ». En fait, on doit cette citation au lyrisme romantique du poète Lamartine. Le 10 novembre 1793, Jean-Marie Roland se suicide. Buzot, son amant, qui n’apprend la fin de Manon qu’en juin 1794, se donne lui aussi la mort…
Chère Sardine, Chère Mandarine, à cette époque, figurez-vous qu’on trouvait aussi des féministes dans l’aristocratie, entre autres, la Princesse de Lamballe, l’amie de Marie-Antoinette.
Selon les mœurs du temps, elle est initiée à la franc-maçonnerie dans la Loge féminine « la Candeur » le 12 février 1777, puis elle est élue Grande Maîtresse de la « Mère Loge Écossaise » en 1781. Elle s’intéresse aux Lumières, à l’Encyclopédie, et… au saphisme. Elle organise notamment, le 10 janvier 1781, un dîner suivi d’un bal auquel ne sont conviées que des femmes (6). Elle est donc, elle aussi, imprégnée d’humanisme maçonnique et féministe avant l’heure.
En 1789, la Révolution gronde. En octobre 1789, la famille royale est amenée à Paris et la Princesse de Lamballe la suit dans sa nouvelle résidence, le palais des Tuileries. En 1791, la Reine l’informe de son projet de fuite. La famille royale est rattrapée à Varennes. Ensuite tout s’accélère. Au cours de la journée du 10 août 1792, la foule envahit le palais et la Princesse suit la famille royale qui se réfugie à l’Assemblée législative. C’est alors qu’est prononcée la déchéance du Roi et son incarcération au donjon du Temple. La Princesse accompagne la famille royale au Temple le 12 août.
Elle y est incarcérée avec eux. Le 19, elle est conduite à la prison de la Force. Les 2 et 3 septembre 1792, une foule armée de barres de fer et de piques encercle les prisons de Paris. La Princesse, tirée de sa cellule au matin du 3, est introduite devant une commission improvisée en hâte et sommée de « nommer ceux qu’elle avait reçus à sa table ». Après cet interrogatoire, elle est « élargie », terme qui devait être interprété comme une libération et qui se traduit en fait par une mise à mort.
Le « Dictionnaire historique des rues de Paris », de Jacques Hillairet, relate la fin tragique de la Princesse de Lamballe : « Un perruquier du nom de Charlat lui ôta son bonnet du bout de sa pique et la blessa légèrement, tandis qu’un autre égorgeur lui jetait une bûche dans les reins. La Princesse tomba et fut criblée de coups.
On lui ôta ses vêtements ; elle resta ainsi près de deux heures exposée, nue, à la risée lubrique de la foule. On la traîna ensuite jusqu’à la borne située à l’angle des rues du Roi-de-Sicile et des Ballets, sur laquelle on appuya sa tête qu’un nommé Grison scia avec son couteau et mit au bout de sa pique. Le perruquier Charlat lui ouvrit la poitrine, lui arracha le cœur qu’il plaça au bout de son sabre, tandis que suivirent d’autres mutilations obscènes et sanguinaires ».
Adam Pitt raconte que sa tête est promenée au bout d’une pique jusqu’à la tour du Temple et agitée devant les fenêtres de l’appartement de Marie-Antoinette qui s’évanouit.
Chère Sardine, Chère Mandarine, je sais vos sympathies pour les idées d’Olympe de Gouges et de Manon Roland, et c’est pour cela que je tremble pour vous. Quand on connaît les pratiques des révolutionnaires (et des islamistes) envers les femmes « libérées » et qui aspirent à diriger les choses, on se dit que si ces gens-là arrivent au pouvoir, vous allez raser les murs, rabattre votre caquet et numéroter vos abattis…Et hélas, trois fois hélas, vous ne pourrez pas compter sur la main secourable de quelques Gaulois, ces porcs libidineux. Ceux-ci préféreront croiser les mains sur leur bas-ventre de peur que vous n’attaquiez leur « service trois pièces ».
C’est idiot un homme déconstruit, et de surcroît, c’est lâche !
Cédric de Valfrancisque
1)- Pierre-Gaspard Chaumette était le procureur de la Commune de Paris.
2)- Intellectuelles de gauche car il est bien connu qu’à droite il n’y a que des brutes au front bas.
3)- On se demande ce que l’honneur vient faire là-dedans ?
4)- C’était un peu l’ancêtre du « Bottin mondain ».
5)- Soit quelques jours avant l’exécution de Louis XVI.
6)- Dîner suivi d’un bal qui, dit-on, aurait fortement choqué Marie-Antoinette.
Trois sottes qui voteraient pour Noël si elles étaient des dindes. Et hop, les trois bécasses passeraient à la casserole.
Cedric de v ” les femmes influencent les hommes de pouvoir…? Influencer n est pas la même chose que prendre les décisions et agir….Il y a comme une marge d erreur…et une frustration et…quel est le prix à payer ? la servitude, la soumission, l infériorité, le mépris ? C est bizarre cela me rapelle toutes les sociétés trop machistes comme l islam…Les hommes ont le beau role, les femmes subissent…Vive Olympes de Gouge qui voulait l égalité h/f, la fin de l esclavage, l égalité citoyenne,le droit de vote, l école pour tous,la fin des mariages décidés par les familles, le divorce avec consentement mutuel etc Beaucoup de femmes à toutes les époques ont décidé de leur vie, not les commerçantes, les artistes, les riches….L argent donne le pouvoir et n a pas de sexe
Dans 30 ans ces abruties idéologisées, devront porter le hijab et se soumettre aux diktats islamiques, il est pas beau le futur de notre pays. L’opinion “orientée” par tous les organes du pouvoir, des médias et des idéologues se fixe sur les retraites, mais élude toutes les problématiques sociétales, civiques, civilisationnelles qui se rajoutent chaque année un peu plus, du fait de l’immigration incontrôlable, et de la société démentielle sur le pan civique et comportementale qui est entrain de se générer, détruisant tous les équilibres sociétaux si difficilement établis jusque là.
Ah ! Olympe de Gouges… On n’devrait jamais quitter Montauban !
Adorable Sandrine, ineffable Clémentine, la seule chose que vous avez réussi à déconstruire pour l’instant, c’est votre agencement neuronal.
Même en montant sur l’escabeau, vous n’arriverez pas à faire pipi dans le lavabo, na!
“Je suis devenue gouine, c’est la faute à Sandrine, et moi je suis travelo, c’est la faute à Rousseau”
Ce n’est pas grave, c’est 7000€ par mois plus les avantages!
A côté de ça, elle se battent pour que les kons prennent la retraite à 1200€ brut!
Ceux qui ont déjà plus de 1200€ ont leur fait quoi?
Ceci ne ne va pas être un marché de dupes comme le passage des anciens contrats à 39 heures et les nouveaux embauchés à 35 heures? Le delta du salaire entre les 39 et 35 venait en déduction des augmentations générales?
Au bout du compte le patron payait 35 pout tout le monde.
Les syndicats ont accepté cette infamie travailler moins et gagner autant!
Quel mensonge.
Méfions nous !
Quand Adam et Eve ont eu accès à la connaissance (autrement dit quand ils sont sortis de l’animalité), Dieu a dit à l’homme: “tu travaillera à la sueur de ton front” et à la femme: “tu enfantera dans la douleur”.
La Femme, sous l’impulsion de femmes comme celles décrites dans l’article, a fini par “se libérer” (hi! hi! hi!) en travaillant comme les hommes, avec les conséquences que l’on sait, alors qu’il suffisait de briguer un traitement équitable pour l’homme et la femme en tenant compte de leur complémentarité et d’abolir toutes les prérogatives masculines.
Résultat: double peine.
Maintenant elle fait tout pour se libérer de la malédiction de l’enfantement.
M’enfin ? Personne n’a donc compris ? Ces deux folles attendent avec la plus grande impatience, d’être attrapées et ligotées, par des patriotes, pour être violées par une meute de gros chiens, des “danois” par exemple… C’est pour ça qu’elles profèrent leurs insanités ! C’est seulement pour provoquer !
Excellent article très intéressant au point de vue de l’histoire de la révolution mais s’il vous plaît n’insultez ni les sardines, ni les mandarines qui sont utiles à la société ce qui n’est pas le cas de ces deux connes. J’espère que la bascule à Charlot va bientôt reservir. Je rêve du jour où je verrai la tête de ces connards de la nupes rouler dans la sciure.
Elles ressemblent à deux copains que j’avais à l’école.
des gamines de 5 ans qui jouent aux adultes, pas plus.
les BECASSES finiront à la casserole maghrebine
Et une casserole maghrébine à la bécasse pour la table 12, une!
50 ans chacune 100 ans à elle deux .100 ans pour le lot 100ans de conneries 🤣
😄👍L’inoubliable traversée de Paris !
Et elles les grosses, moitié gélatine et saindoux, les nichons qui déballent sur la brioche, du mou , rien que du mou..
Ah superbe , j’en ai appris sur les 2 dernières , merci , en plus malgré leurs fins vous m’avez fait bien rire. Souhaitons à Sardine et Mandarine qu’elles ne finisse pas sur la bascule à charlot qui doit bien encore exister quelque part.
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Cher monsieur,
Je ne doute pas de la pertinence de votre article mais il est vraiment trop long (c’est le cas de la plupart des articles de ce site)
Pour être lu il vaut mieux être concis avec en gras les arguments principaux. Vous aurez ainsi une plus grande audience.
Je compte sur votre compréhension et vous remercie de vos contributions.
Vous devez faire partie de ces français, qui se sont fait greffer un téléphone portable dans la main et, après avoir reçu un vaxxin à ARNm ont vu leurs pouces devenir comme les pouces d’une certaine partie la super famille des hominoïdés , ce qui leur permet de discuter seulement avec quelques signes.
Pour ma part, je préfère la prose de Monseigneur Cédric de Valfrancisque .
Il est vrai que j’ai appris à lire autrement que ce qu’on apprend à l’école républicaine, et que je préfère la prose humoristique de l’auteur à un gazouillis (oui, j’écris en français) écrit avec un pouce agile.
C’est un article qui est fait pour être lu sur un portable pas sur un vieux bouquin du XVIIIeme. Ne critiquez pas les portables, vous êtes dessus régulièrement.
Vos verres de vue, c’est du 6.75?
Dans les livres, vous ne lisez que les images?
Vous utilisez l’indice de lisibilité Scolarius?
Quand le doigt montre la lune, les gens comme vous font l’exégèse du doigt.
Quant à moi j’ai été très intéressé par cet article, je n’aurais jamais considéré la soi-disant Olympe de Gouges sous cet aspect sans l’avoir lu.
Il y vraiment des gens qui ne veulent plus faire d’efforts!
Arminius est un être fatigué…..de la vie
J’ai trouvé, au contraire que l’auteur (que j’apprécie infiniment)avait remarquablement résumé des vies pas mal remplies, dont j’aimerais connaître le détail…ce qui me conduit à rechercher ces biographies à la bibli municipale. Personne ne devrait se sentir obligé de lire un article qu’il juge trop long; et il y a évidemment la possibilité de lire en diagonale…de sauter un paragraphe etc. Bien écrire est un art, à prendre ou à laisser; on ne dit pas à un peintre de tronquer son tableau. Cordialement.
Tout cela est fort bien dit et m’apporte un éclairage nouveau sur les événements qui ont émaillé la période post-révolutionnaire. Curieusement, à cette époque, le sort des femmes de caractère finit toujours mal comme il finira mal pour ces insoumises qui, exècrent les hommes pourtant garants de leur condition de femme libre d’aujourd’hui, si jamais la Charia venait à s’installer durablement sur l’hexagone? Merci à l’auteur d’avoir mouché au point G ces gentes dames qui bannissent les hommes de leur avoir donné autant de liberté.
A propos des 2 pseudo-féministes, Autain et Rousseau, je partage entièrement l’avis de Zemmour, qui dit que la Nupes sera bientôt un parti de femmes et de racisés. Le but c’est de rabaisser l’homme Blanc, qui est déjà bien abaissé.
Elles veulent le pouvoir, et prendre leur revanche sur le patriarcat Blanc. On ne les entend jamais sur les violences commises, par les chances pour la France.
Magnifique !!!
ces deux féministes ne disent rien quand des machos blancs de plus de 50 ans s’attaquent à une vierge à l’ile de Ré
Vivement la guerre , nous serons là et partout , ils ne pourront plus se cacher et comme dirait notre ami « nous irons les chercher même dans les chiottes «
Mr Killroy is watching you!
Le dernier qui a écrit “je suis partout” a mal fini.
Brasillach est mort fusillé en 45.
Pour être tout à fait franc, je dois dire que si ces deux harpies subissaient le même sort qu’Olympe et Manon ça ne me ferait ni chaud ni froid. Pour paraphraser le célèbre aphorisme “qui vit par l’épée périra par l’épée” je dirai : celles qui attisent la haine des hommes “non-déconstruits” périront de la main des fous d’Allah ou finiront dans un de leurs harems, et elles l’auront bien cherché ! En outre, il n’y aura personne pour les plaindre parce que celles-et-ceux qui seraient tentés de le faire auront bien trop peur de ce qui pourrait leur arriver. Sandrine, la tête de gondole du féminisme hystérico-délirant sera certainement la première sur la liste tellement elle se démène en tous sens et en tous lieux avec une obstination maniaque qui pose question quant à sa santé mentale.
Je suis de votre avis 😈
Mais oui voyons, Olympe de Gouges, celle qui inventa la gougère au fromage, à moins que ce ne fut la pratique de la gouge profonde.
C’est sur qu’elles seraient les premières à y passer si d’aventure nos chers morpions réussissaient.
ohé,les 2 betteraves….
https://i83.servimg.com/u/f83/19/48/51/99/cc90bc10.jpg
Vous êtes belles les 🥥ttes
Au Q I de 🐦 amoins que cela soit au Q I de 🦟
Excellent merci Kabout
Génial, comme toujours.
J’ouvre, impatiente de me régaler avec vos trouvailles.
😄👍
kabout t as l humour noir !!