Savez-vous que le Coran est un puits de sciences ?

Selon la tradition islamique, le Coran renferme tout le savoir de ce dont l’être humain a besoin ici-bas. Ainsi, toutes les découvertes scientifiques passées ou présentes s’y trouvent, et les chercheurs qui passent des nuits blanches à se gratter la tête pour améliorer les connaissances de l’humanité n’ont qu’à aller vendre des cacahuètes dans les souks, car Allah les a déjà devancés. Son inépuisable savoir est valable dans le temps et l’espace. Il n’a rien laissé au hasard. Il a tout rédigé dans son testament qu’il a transmis à Mahomet, son Envoyé auprès des humains qui n’ont qu’à l’ouvrir pour trouver toutes les réponses à leurs questionnements.

« Lis, au nom de ton Seigneur qui a créé, qui a créé l’homme d’une adhérence. Lis ! Ton Seigneur est le Très noble, qui a enseigné par la plume [le calame], a enseigné à l’homme ce qu’il ne savait pas » (sourate 96, versets 1 à 5).
Ce verset est la preuve que le Coran renferme tout le savoir de la vie matérielle et spirituelle du croyant.
Il est la démonstration que l’homme est incapable de dépasser Allah, et c’est ce que ressassent les oulémas depuis quatorze siècles.

De tels versets, il en existe quelques dizaines dans le Coran, ce qui fait dire à certains Sarrasins que l’islam est une religion de sciences et de savoir. Mêmes quelques historiens et politiciens occidentaux à la recherche du sensationnel, suivent cette piste jalonnée de mensonges et sans issue.
Et pour conforter la véracité de ces versets coraniques, les exégètes abbassides ont inventé des hadiths équivalents. Ainsi, selon Abou Ad-Darda –Al-Ansari ( un compagnon du Prophète), ce dernier a dit :
« Celui qui prend un chemin pour rechercher la science, Allah lui fait prendre par cela un chemin vers le Paradis (rapporté par Tirmidhi –sounan N°2682).

Un autre hadith dit : « Il faut aller chercher la science même en Chine ».
S’instruire, c’est déjà un pas aux portes du Paradis.
Ce hadith prouve que les Abbassides connaissaient, à l’époque, la route de la soie.
“N’est-ce pas Lui qui a établi la Terre comme lieu de séjour, placé des rivières à travers elle, lui a assigné des montagnes fermes et établi une séparation entre les deux mers  – Y a-t-il donc une divinité avec Allah? Non, mais la plupart d’entre eux ne savent pas.” (sourate 27, verset 61
« Il a donné libre cours aux deux mers pour se rencontrer » (sourate 53, verset 19)
« Il y a entre elles une barrière qu’elles ne dépassent pas » (sourate 53, verset 20).

Ces versets ont permis à une revue islamique basée à Londres (Al-Furqan-Ta-Ha Publishers) de déclarer que le commandant Jacques- Yves Cousteau, le célèbre océanographe, s’est converti à l’islam, car il a confirmé ce que le Coran a déjà révélé, depuis quatorze siècles.
Cette déclaration avait fait le tour du monde et l’Islamie rentra alors en transe. Devant cette farce aussi épaisse que la couche atmosphérique, la fondation Cousteau a dû faire un démenti afin de faire taire ces allégations mensongères de cette conversion à l’islam.

Le commandant Cousteau ne s’est jamais converti à l’islam. D’ailleurs, il fut enterré au sein d’un cimetière chrétien, en Gironde, dans sa ville natale à Saint-André-de-Cubzac, dans le caveau familial.
Pour les allahistes , la densité de l’eau douce et de l’eau salée devient subitement un miracle d’Allah.
Ce phénomène était pourtant bien connu des Phéniciens et des Grecs, avant l’avénement islamique.
La religion de paix et d’amour a fait du plagiat sa spécialité.
Une autre rumeur avait circulé durant quelques années auprès de certains mahométans affirmant que le commandant Cousteau aurait découvert au fond des océans un poisson sur le corps duquel était écrite  la devise islamique suivante : Lâ ilâla Allah (il n’y de divinité qu’Allah). Mais en fin de compte, ce fut un canular de plus ajouté dans la caisse scientifique islamique.

Par contre, les savants de l’islam se taisent quand on évoque les absurdités du Coran où par exemple, il est mentionné que la Terre est plate.
« Et quant à la Terre, Nous l’avons étalée et y avons placé des montagnes immobiles et y avons fait pousser toute chose harmonieusement proportionnée » (sourate 15, verset 19).
« Et la Terre, Nous l’avons étendue et Nous y avons enfoncé fermement des montagnes et y avons fait pousser toutes sortes de magnifiques couples de végétaux » (sourate 50, verset 7).
« Et c’est Allah qui vous a fait de la Terre un tapis » (sourate 71, verset 19).

Lire aussi les versets 53 de la sourate 20,10 de la sourate 43,6 de la sourate 78,30 de la sourate 79,20 de la sourate 88 et 6 de la sourate 91
Dans le Coran, il n’y a aucun verset qui évoque les sciences de la Terre (géologie) et encore moins la botanique. Mais malgré cette vérité coranique, les oulémas islamiques persistent et signent : le Coran reste un puits de sciences sans fin.
Invraisemblable mais vrai, car l’esprit allahiste est coriace et jamais à court d’arguments !

Mais dans le Coran, il y est mentionné la présence de sept cieux superposés. À cet effet, il est écrit dans le livre saint islamique :
« Nous avons créé, au-dessus de vous, sept cieux. Et Nous ne sommes pas inattentifs à la création » (sourate 23, verset 17).
« N’avez-vous pas vu comment Allah a créé sept cieux superposés » (sourate 71, verset 15).
Lire aussi les versets 3 et 4 de la sourate 67.
Mais d’où vient cette affirmation coranique ?

Selon saint Irénée de Lyon, l’un des plus illustre pères de l’Église du IIe siècle : “Le monde se compose de sept cieux. Y habitent les vertus, les anges et les archanges ; ils remplissent les fonctions du culte envers le Dieu bon et créateur de tout. C’est pourquoi est abondante l’habitation de l’esprit de Dieu. Le prophète Isaïe énumère (Isaïe 11,2) sept formes de son culte qui ont reposé sur le Fils de Dieu, le Verbe, au moment de son Incarnation. La première est la Sagesse : elle contient toutes les autres. Moïse en a donné le modèle dans son candélabre à sept branches” (Démonstration apostolique 12,761).
D’après le Talmud de Babylone, Yahvé a créé la Terre et sept cieux qui sont : Vilon Rakia, Shechakim, Zeval, Ma’on, Makhon, Aravot.

Les légendes mésopotamiennes mentionnent aussi sept astres qui peuvent être parfois des cieux et en même temps des dieux ou des déesses : La Lune (Sin), le Soleil (Shamash), Mars (Zal-Me-Gar), Jupiter  Sag-Me-Gar), Saturne (Sag-Ush), Vénus (Dilbat) et Mercure (Gud-Ud).
Le judaïsme et le christianisme avaient pris une longueur d’avance sur l’islam en visitant l’histoire de la Mésopotamie…
En clair, le Coran ne fait que recopier des idées anciennes qui le précèdent de près de deux millénaires, si ce n’est davantage. Une fois de plus, le copiage a permis à l’islam de prospérer sur le lit de l’indigence et la paresse intellectuelles.
Une autre contre-vérité scientifique saute aux yeux quand on ouvre le Coran. En effet, il est écrit dans la sourate 18, verset 86 : « Et quand il eut atteint le Couchant, il trouva que le soleil se couchait dans une source bouillante, et, auprès d’elle il trouva une peuplade impie. Nous dîmes : « Ô Dul-Qarnayn ! Ou tu les châties, ou tu uses de bienveillance à leur égard ». Lire aussi le verset 38 de la sourate 36.

Dans le verset 86 de la sourate 18, Allah y évoque Alexandre le Grand, le conquérant macédonien, qui est considéré par l’islam comme un prophète.
Selon Abu Daoud (817-888, auteur des six collections des hadiths de Mahomet) et Ahmad Ibn Hanbal ( 780-855, fondateur de la quatrième école du sunnisme, la plus rigoriste, le hanbalisme, et célèbre avec son recueil des hadiths : le Mousnad), le prophète de l’islam a dit (rapporté par Abu Dharr, un compagnon de Mahomet) : « J’étais assis en croupe sur la monture du Messager, installé sur son âne, alors que le soleil se couchait. Il dit : « sais-tu où se couche le soleil ? » Je répondis Allah et son prophète le savent mieux que quiconque. Il dit : « Il se couche dans une source d’eau chaude ».

Cette croyance est certainement puisée dans la mythologie mésopotamienne et notamment celle de Gilgamesh, roi akkadien du II millénaire av. J.-C (les épopées de Gilgamesh et le Déluge sumérien).
Le Coran considère aussi que les étoiles sont suspendues au premier ciel juste au-dessus de la Terre pour l’éclairer la nuit.
Il est écrit dans la sourate 15, verset 12 : « Certes Nous avons placé dans le ciel des constellations et Nous l’avons embelli pour ceux qui regardent ».
Ou encore : « Nous avons décoré le ciel le plus proche (au-dessus de la Terre) d’un décor : les étoiles » (sourate 37, verset 6).
Lire aussi les versets 61 de la sourate 25, 40 de la sourate 36, 12 de la sourate 41 et 5 de la sourate 67.
Ces versets coraniques sont plagiés du Talmud de Babylone que ses rédacteurs ont puisé dans les écrits de l’astronomie mésopotamienne.
Il y a aussi des versets coraniques concernant l’eau, les vents, les montagnes, les tremblements et certains éléments ayant trait à la nature.

À titre d’exemple, quand il y a un manque de pluie qui provoque une sécheresse, le Coran invite les musulmans à prier. Cette prière s’appelle : la salât d’al-Istisqâ (prière de la demande de la pluie à Allah).
Et [rappelez-vous] quand Moïse demanda de l’eau pour désaltérer son peuple, c’est alors que Nous dîmes : « Frappe le rocher avec ton bâton ». Et tout d’un coup, douze sources en jaillirent, et certes, chaque tribu sut où s’abreuver ! – « Mangez et buvez de ce qu’Allah vous accorde ; et ne semez pas de troubles sur la Terre comme des fauteurs de désordre » (Coran, Sourate 2, Verset 60).

Dans un autre chapitre du Saint Coran on retrouve ces versets : « Implorez le pardon de votre Seigneur, car Il est grand Pardonneur, pour qu’Il vous envoie du ciel, des pluies abondantes, et qu’Il vous accorde beaucoup de biens et d’enfants, et vous donne des jardins et vous donne des rivière ».. (Coran, Sourate, 71, Versets 10,11 et 12).
Même l’émissaire d’Allah a fait la prière de la demande de la pluie. On rapporte qu’Aïcha (l’épouse favorite de Mahomet) a dit : « Le Prophète a pris place sur la chaire de la mosquée, puis il a glorifié Allah et l’a loué avant de dire : « Vous vous plaignez de la sécheresse de vos terres et du retard de la pluie sur son temps ! Or, Allah vous a ordonné de L’invoquer et vous a promis de vous exaucer ! ».

Il a dit ensuite : « Louange à Allah le Seigneur des univers, le Souverain du Jour du Jugement ! Il n’y a de dieu qu’Allah ! Il fait ce qu’Il veut ! Mon Dieu, Tu es Allah et il n’y a de dieu que Toi le Suffisant en Soi alors que nous sommes les pauvres ! Fais descendre sur nous la pluie et fais en sorte que ce que Tu fais descendre sur nous soit une force et un message jusqu’à un terme déterminé. Puis, il descendit du minbar (chaire) pour faire deux inclinaisons. C’est alors qu’Allah fit apparaître un nuage qui tonna dans le ciel et lança des éclairs avant de se transformer en pluie avec la volonté d’Allah ». [Rapporté par Abou Dâoud].
Le miracle d’Allah ne se fit pas attendre. Aussitôt dit, aussitôt fait. Juste après la demande de Mahomet, Allah a ouvert les vannes de ses retenues d’eau.

Cette prière de la demande de la pluie (salât al-istisqâ), l’islam l’a copiée intégralement du judaïsme et du christianisme. Rien de nouveau, à l’est de la Mecque comme à l’ouest.
Dès qu’un tremblement arrive en terre d’islam, surtout quand il est de forte amplitude sismique, c’est la ruée vers la mosquée, le kamis et le voile. Au secours, la fin du monde est toute proche, entend-on sur toutes les bouches. C’est le retour au messianisme par la grande porte alors qu’on a tendance à l’oublier, de temps à autre, aux pays Allahistan.
Oh là là, le magma, l’écorce terrestre, les plaques tectoniques n’existent pas et ne s’enseignent pas, et pas du tout, dans les médersas du Khorasan!

Les tremblements de terre font rappeler aux croyants qu’Allah les surveille, d’en haut.
Il est écrit dans la sourate 99 qui est copiée littéralement de la Bible :
Au nom de Dieu, le Plus Gracieux, le Plus Miséricordieux.
1. Quand la Terre est sévèrement cahotée
2. Et la Terre éjecte ses charges
3. L’humain se demandera : « Que se passe-t-il ? »
4. En ce jour, elle dira sa nouvelle
5. Que son Seigneur lui a commandé
6. En ce jour, les gens parviendront de toutes directions, pour que soient montrées leurs œuvres
7. Qui que ce soit qui fait le poids d’un atome de bien le verra
8. Qui que ce soit qui fait le poids d’un atome de mal le verra.

Pendant ce temps, l’oligarchie, à marché forcée, est train de transformer la France en un pays “d’Allah a dit” et “du Prophète a dit”. Une contrée de la talibanisation. Et pour s’en apercevoir, il suffit de faire une balade à Paris et sa banlieue.

Il ne reste qu’aux islamo-gauchistes, aux progressistes adeptes du multiculturalisme, du vivre-ensemble, et aux mondialistes champions du vivre-entre-soi, d’arborer sur leur front une zabiba (la marque déposée de la bigoterie islamique), afin de prouver leur allégeance à l’islam conquérant.
Finalement, la lâcheté, la compromission et la soumission sont devenues les bases de la République qui a jeté à la poubelle la laïcité qui faisait sa fierté, pour ne pas affronter l’islam et ses soldats.
En conclusion, on peut dire sans se tromper que l’oligarchie politico-médiatique est forte avec les faibles (les victimes) et lâche avec les forts (coupables).

La perversion et la lâcheté conduiront la France à la désintégration suivie d’une guerre de religion atroce, ce n’est qu’une question de temps, car l’oligarchie refuse de reconnaître la dangerosité de l’islam et lui déroule en plus le tapis rouge… Il fallait vraiment être inconscient pour semer politiquement les ingrédients criminels d’une telle situation quasi insurrectionnelle qui n’est souhaitable pas pour personne, et dont seuls les plus faibles en subiront les conséquences. Comme d’habitude!

Hamdane Ammar