Sétif, 8 mai 1945 : les habituels traîtres demandent repentance à la France

Lecour-Grandmaison, Manceron et Ferbiaz, les habituels ennemis de la France…

Cette année encore « les ennemis de la France », certains collectifs comme « Sortir du colonialisme » ou « L’Autre 8 mai 1945 », vont certainement se manifester pour « réclamer » de l’Etat Français « qu’il reconnaisse les massacres commis en Algérie, à Sétif et sa région, le 8 mai 1945.

«Que s’est-il passé le 8 mai 1945, et les jours suivants, à Sétif et dans le Constantinois?»

Ces manifestations bénéficiant bien entendu du soutien de la Mairie de Paris et de la Ligue des droits de l’homme.

Il est tout de même étonnant que des intervenants aussi « prestigieux » que Olivier Le Cour Grandmaison, maître de conférence en sciences et philosophie politiques à l’université d’Evry-Val d’Essonne, que Gilles Manceron, historien, qu’Emmanuelle Sibeud, professeur d’histoire contemporaine à l’université Paris 8, que Louis-Georges Tin, président du CRAN, Catherine Coquery-Vidrovitch, professeur émérite d’histoire de l’Afrique à l’université Diderot Paris 7 et Patrick Farbiaz, animateur de « Sortir du colonialisme », ainsi que quelques autres « pseudo-historiens », occultent, volontairement, les débuts de ces tragiques événements alors que, paraît-il, les stigmates de cette tuerie collective demeurent visibles 73 ans après !

Toutes ces voix qui se font entendre régulièrement et militent pour le « Vivre ensemble » et le rétablissement de relations apaisées avec l’Algérie et qui se mobilisent afin de lever le voile sur ces événements, prémices de la « guerre d’Algérie », et cela dans le but unique que l’État français reconnaisse officiellement et publiquement les crimes commis en son nom, pas uniquement le 8 mai 1945 mais également tout au long de son histoire coloniale.

Elles ne se satisfont pas de la déclaration d’Emmanuel Macron à Alger : « Il y a bien eu crime contre l’humanité durant la période coloniale en Algérie (par l’armée française) ». Cela était bien précisé car il est évident que, pour le président, et pour ces « ennemis de la France », le FLN et l’ALN n’ont jamais commis de crimes contre l’humanité (par exemple le massacre des Harkis en 1962).

Sans doute espèrent-ils toujours que le président Macron signe un jour l’appel « Pour la reconnaissance des crimes coloniaux », lancé par Olivier Le Cour Grandmaison, le CRAN, M’Hamed Kaki de l’association Les Oranges et quelques autres ?

Revenons sur le déroulement réel des événements du 8 mai 1945 :

*Une manifestation pro-indépendantiste, mais soi-disant pacifique, avance vers le centre-ville de Sétif. Un jeune algérien, Saâl Bouzid, élève un drapeau algérien au-dessus de la foule. Un coup de feu part et il est tué. Qui a tiré ? On ne le saura jamais, comme toujours en pareil cas (Qui a tiré le 26 mars 1962 rue d’Isly à Alger ?). Notons seulement qu’il aurait fallu un «sniper» professionnel pour abattre au fusil ce jeune algérien à plusieurs dizaines de mètres au milieu de milliers de manifestants !

Immédiatement cette foule de manifestants (pacifiques et non armés) se rue sur le centre-ville et égorge 23 européens innocents, enfants, femmes et vieillards, et fait plus de 80 blessés, à l’arme blanche et armes à feu. Et comme cela était forcément prémédité, dans les localités autour de Sétif on dénombre en même temps plus de 72 morts.

Cela est toujours passé sous silence, or, s’il n’y avait pas eu ces premiers massacres il n’y aurait pas eu de répression… CQFD !

Il y aurait eu, selon certains historiens et conférenciers, 45.000 morts algériens au cours des jours qui ont suivi ce 8 mai 45 dans toute la proche région (C’est un mensonge bien entendu).

D’autres sources font état d’environ 20.000 morts (C’est également un mensonge), mais il est vrai que l’on n’est pas à 20.000 morts près !

Des chercheurs algériens du Centre Historique sur l’Algérie, Messieurs Mesli et Arroua, ont estimé le nombre de victimes de la répression entre 8 et 10.000 et affirment que tous les autres chiffres ne sont que de la propagande politicienne.

Selon l’historien Gilles Manceron : « La France serait de nos jours encore malade de n’avoir pas reconnu cette page sanglante de son histoire et les séquelles de son passé colonial prolongeraient le racisme républicain et seraient à l’origine des soubassements des manifestations racistes et islamophobes d’aujourd’hui, même au cœur de l’État ».

Si c’est lui qui le dit ! Si la France est malade c’est surtout de nourrir en son sein quelques citoyens indignes, qui la haïssent. Ils sont tout en même temps « des ennemis de la France et de l’Algérie ». 

Vous faites partie de cette extrême gauche qui, par ses actes et ses paroles attise les haines et motive les déferlements des «casseurs cagoulés» qui attaquent et brûlent nos policiers et brisent tout, dans les rues de nos cités.

Manuel Gomez

image_pdfimage_print
16

8 Commentaires

  1. Ajoutons qu’un jour comme le 8 mai 1945 , où la France avait d’autres priorités, presque toute notre force armée était en Allemagne. Sétif était sous la garde, comme toute l’Algérie, de recrutés locaux.

    • Des juifs d’Algérie figurent parmi les victimes de ce pogrome anti-français.On ne retient aujourd’hui,par idéologie,que la répression de ce massacre raciste et djihadiste.

  2. 10.000, 40.000 morts ??? Mais de quoi parle t-on : jusqu’en 1830 et la colonisation. les cotes d’Afrique du nord hébergeaient des peuplades qui ont asservi et massacré des millions d’esclaves capturés en Afrique subsaharienne comme en Europe…ce n’est pas pour rien que toutes les cotes méditerranéennes, depuis l’Espagne jusqu’en Grece ont encore de nos jours de tours de guet qui permettaient d’alerter les villageois de l’arrivée des “barbaresques”.

  3. Il y a bien eu au moins 2 “crimes contre l’humanité” en Algérie française : l’épuration ethnique des Algériens non-musulmans par les djihadistes FLN achevée en 1962 et le massacre génocidaire des Harkis. Les massacres génocidaires du 8 mai 1945 résultent d’un appel au djihad des messalistes.La répression ne fit pas dans la dentelle non plus,mais n’eut rien d’exceptionnel.

Les commentaires sont fermés.