Si les enseignants étaient autre chose que des Bisounours…

Si les enseignants avaient la plus infime des dignités, ils ne se contenteraient pas de leur marche à Bisounours. Ah non alors ! Ils refuseraient de faire cours jusqu’à ce que ce gouvernement de salauds, de traîtres, d’incompétents notoires, qui ont fait de la France la risée du monde, avec leurs plus gros succès :

  • « les masques ça sert à rien » ; mais « mettez-les » ;
  • « on touche pas aux banlieues sensibles » mais « couvre-feu dans les métropoles » ; « arrosez de fric les racailles, protégez-les, laissez les trafiquer » mais « tirez sur les Gaulois portant un gilet jaune » (à rappeler que l’achat des gilets jaunes avait été rendu obligatoire par le gouvernement) ;
  • « ne condamnez par les racailles » mais « condamnez lourdement ceux qui leur résistent »

etc.

Et que je taxe le Gaulois, et que j’augmente les tarifs de l’énergie nécessaire aux activités économiques et domestiques, et que je le blesse aux armes de guerre, et que je privatise à tout- va ce qui appartient aux Français qui l’ont payé de leurs deniers, ce qui représente un vol manifeste, et que je ne réagisse pas aux 120 coups de couteau donnés chaque jour !

Alors, je le répète, si les enseignants avaient des couilles – Mesdames, ne vous offusquez pas, je crois que beaucoup d’entre vous en réclament – même des toutes petites, des noisettes de couilles, des pois chiches, ils refuseraient de retourner au travail jusqu’à ce que :

  • les agresseurs qui sont légions dans notre pays aient été virés sans ménagement
  • que le regroupement familial de gens qui ne vivent que de nos allocations (c’est beau la France, le Gaulois qui devrait profiter des fruits de son travail entretient des gens qui le haïssent, c’est un comble)
  • que tous ceux qui n’ont aucun droits, que les faux mineurs de 35 ans, que les imams qui prônent la haine et la conquête de l’Occident, soient tous gentiment raccompagnés à la porte (en Arabie saoudite, essayez donc de vous infiltrer sans papiers, vous risquez… la décapitation, puisque c’est la coutume de ces gens)
  • que les familles de ceux qui ont agressé un Français, civil, militaire ou policier, de quelque façon que ce soit, prennent aussi la sortie (ces enflures ont fait la fête après la décapitation de ce martyre de professeur)
  • que les magistrats collabos et indignes qui ne cessent de se protéger par des lois soient démis de leurs fonctions, car des lois ça peut aussi se défaire
  • et que les appels au meurtre des hommes par des pétasses soient durement sanctionnés, car lesdites pétasses portent une énorme responsabilité.

Voilà ce qu’il faudrait. Et les professeurs sont assez nombreux pour paralyser le système.

Sauf que… les syndicats, pourtant fortement minoritaires, qui ne représentent que 7 % de la profession, et encore… ces noyaux de pourrissement, de vendus de collabos, de traîtres à leur pays, ont malheureusement de très grandes gueules. Tous les moyens leur sont bons pour menacer, faire virer, inquiéter, brimer, opprimer, puis conduire au suicide les récalcitrants, c’est-à-dire ceux qui refusent de se laisser agresser et réagissent. Finalement ils sont encore plus tordus que ceux qui, suivant la symbolique de Jésus, recommandant de tendre la seconde joue après avoir été frappé sur la première, se complaisent dans une perpétuelle culpabilisation, car désirer que l’on détruise les familles (la leur donc, du moins je le suppose), que l’on mette fin à la liberté et aux libertés (celles de s’exprimer librement, de se soigner puisque les hôpitaux sont en voie de décrépitude et que les médecins spécialistes manquent cruellement), que l’on dénigre notre propre culture au profit de celles de peuples barbares, qu’on voile les femmes ou au minimum qu’on leur interdise de se vêtir à leur convenance, qu’on les viole dans la plus grande impunité en invoquant la méconnaissance de nos lois comme si les viols n’étaient pas punis de mort dans plus d’un pays musulman, ceux-là sont des ordures qui devraient être mis au ban de la société.

Et m… ! Moi, je n’ai colonisé personne (du même coup, c’est vrai, je n’ai pas construit d’écoles, d’hôpitaux, de routes, de bâtiments administratifs, de jardins dans ces pays d’un ailleurs aux mœurs si douces), je n’ai agressé personne, je n’ai jamais reçu la moindre aide sociale y compris lorsque je me suis trouvée seule à élever mes enfants dans des conditions très difficiles, je paye mes impôts (trop, je suis exsangue), je suis pourtant solidaire de la misère et j’aide les autres quand je le peux, j’essaie de participer à la vie de mon pays, et je ne le trahis pas.

L’Éducation nationale serait-elle à ce point le mammouth que dénonçait il y a une trentaine d’années Claude Allègre, incapable de réagir face au pire des problèmes qu’ait eu à affronter notre pays ? À savoir sa destruction programmée ! Oui, car elle est noyautée par ces syndicats imbéciles pourtant si peu représentatifs et par la majorité de sa direction aux ordres d’un pouvoir dissolu dans un gauchisme à vomir. Alors les lamentations forcées dont l’unique objectif est d’empêcher que la légitime colère du peuple puisse s’exprimer, il est temps d’y mettre fin. Politiques et leurs complices les magistrats, les associations de pourrisseurs, les syndicats, ne mesurent pas actuellement le gouffre dans lequel ils précipitent le peuple de France… et qui les engloutira eux aussi. Ils s’imaginent à l’abri. Comme ils se trompent.

Louise Guersan