Slovaquie : Magnifique victoire électorale des patriotes

Enfin un îlot de miel dans un océan d’amertume ! La Slovaquie, membre de l’UE et de l’OTAN, ne veut plus se faire dépouiller par les crapules de Kiev et de l’Eurocrature. Elle vient de le faire savoir. Les Slovaques en ont assez de voir leur pouvoir d’achat s’effondrer tandis que le Zygomyr et les clandestins se gobergent avec leurs sueurs.

La Slovaquie ne veut plus d’immigrés extra-européens aux mœurs, aux coutumes et aux costumes incompatibles avec notre civilisation. Et Ursula la Hyène, qui voulait leur imposer de nouveaux contingents d’étrangers, peut plier ses dossiers et ranger son dentier. Même s’il faut la remercier pour son aide involontaire.

Car, imbue de ses arrogantes certitudes, elle a prétendu décider à la place d’un peuple souverain qui tient plus que tout à son indépendance chèrement gagnée. Or ce peuple fier l’a remise à sa vraie place. Celle d’une rombière décatie qui n’a aucune légitimité démocratique. Pas plus pour se gaver sur les vaccins que pour faire la guerre à la Russie, ou pour submerger l’Europe de ses cohortes exotiques.

Jusqu’au dernier moment, les mondialo-gauchistes ont tenté de truander l’élection

Tous les sondeurs d’opinion (quand j’entends parler de sondages, je pense à des proctologues) annonçaient la victoire facile de la gauche immigrationniste et otanesque.

Ils ont continué à délivrer leur propagande éhontée alors que les gens avaient commencé à voter, pour les dissuader de se déplacer. Et alors que le scrutin n’était pas clos, ces arnaqueurs inventaient des                  « sondages sortis des urnes » annonçant comme grand vainqueur le parti « Slovaquie progressiste » dirigé par le vice-président du Parlement européen, l’illustre Michal Smecka (un blaze de médoc contre les brûlures d’estomac, il va en avoir besoin).

Jusqu’à la fin, les gauchards ont nié la défaite avec 17 % des voix contre 23,5 % aux patriotes

Jusqu’au dernier moment, jouant la prédiction autoréalisatrice comme un vulgaire Macronescu refusant de voir les changements au Niger, ils ont continué à fêter la victoire des perdants, et à inonder les médias d’images mettant en valeur les socialo-mondialistes. En oubliant carrément les élus de la droite nationale regroupés dans le parti SMER-SD qui, pour la première fois de son histoire, atteint la majorité absolue avec ses six alliés que seules des divergences régionales pourraient opposer. Mais on oublie l’esprit de clocher quand l’ennemi est dans la place.

Cerise sur le gâteau, une fois la défaite reconnue du bout du bec, les journaputes continuaient à se lamenter sur le déroulé d’une campagne indigne avec une quantité jamais atteinte de fausses infos. Il est peu probable qu’ils aient fait leur autocritique. Dommage.

Il était de bon ton sur les plateaux des télés que les « experts » qualifient les vainqueurs de « populistes » avec cette moue en cul de poule qui leur sied si bien. Entre désolation et mépris. D’autant que le futur Premier ministre Robert Fico n’apprécie guère les LGBTetc. et le clame haut et fort. Dans son pays, ce n’est pas interdit. Et ce n’est pas près de l’être.

On respectera le résultat de l’élection, mais à contrecœur

Symbole de la hargne de tous les séides du Nouvel Ordre Mondial, la présidente Kaput Ova (c’est son nom !), loin de respecter son devoir constitutionnel de neutralité, annonçait d’un air chagrin qu’elle confierait quand même la formation du prochain gouvernement au chef du parti vainqueur, indépendamment de sa préférence personnelle, en tant que membre de la Slovaquie progressive.

J’imagine le cliquetis des petits neurones de madame Kaput cherchant quelle embrouille elle va pouvoir trouver, pour jouer un coup d’État en douceur à la Sarko ou à la Biden.

Ne pas oublier que Fico a déjà remporté les élections et a été éjecté du pouvoir, sous l’accusation d’assassinats politiques. Il a été acquitté mais entretemps, il était mis entre parenthèses. Mais c’est un battant. Ce qui ne le tue pas le rend plus fort. Et il est revenu par la volonté du peuple souverain. Plus déterminé que jamais. On comprend que les guignols, les bouffons et les lopettes qui se prennent pour les maîtres du monde commencent à s’inquiéter pour leurs miches.

La Slovaquie, un exemple qui fait honte à la France

Certes c’est un petit pays de 5,4 millions d’habitants. Coincé entre la Pologne et la Hongrie. Avec une frontière commune avec l’Ukraine. La Slovaquie n’a pas de bombes atomiques. Ni de siège permanent au Conseil de sécurité de l’ONU. Mais ce pays ne s’est jamais laissé abattre malgré les invasions et les crimes des Turcs, des nazis et des Soviets.

De quoi faire honte à la majorité des « bons Français » si prompts à ramper devant le plus fort du moment. Et à collaborer avec les ennemis de la patrie et les envahisseurs. Sans même qu’on le leur demande.

La Slovaquie est un petit pays. Pourtant à lire et entendre l’affolement des commentateurs autorisés, on se réjouit à les voir se démener à sonner le tocsin. Affolés. Perdant les pédales. Comme si les Sarrasins étaient au pied de la citadelle. Euh non, mauvais exemple. Ça, ils les fêteraient plutôt en leur offrant leurs pièces d’or, leurs femmes et leurs filles.

Cette panique, d’autant plus mal orchestrée qu’ils ne s’attendaient pas à se faire blackbouler de la sorte, est porteuse d’espoirs. Car, soyons fous, imaginons que demain Donald chasse l’usurpateur et récupère son trône… Et soyons encore plus fous, imaginons que les Français se réveillent enfin, virent Macronescu et l’enferment à la Santé pour soigner ses hémorroïdes… Vous voyez le pataquès chez les Bilderberg, Soros, Davos, Trilatérale et autres Young Leaders.

Les lignes de force du nouveau gouvernement

D’abord, opposition à toute aide militaire supplémentaire à l’Ukraine qui a reçu une contribution disproportionnée par rapport aux ressources de la Slovaquie. On ne pourra pas obliger le mendigot de Kiev à rendre ce qu’il a touché indûment, mais pour son gang, fini les petits cadeaux, en plus des canons et des tromblons : plus de versements aux Bahamas et aux îles Cayman, ni de virées dans les 5 étoiles avec call-girls haut de gamme.

Robert Fico surfe sur le mécontentement des Slovaques devant le taux d’inflation le plus élevé de la zone euro, lié au blocus économique contre la Russie, principal fournisseur de gaz et de pétrole. Et il s’appuie sur le sentiment pro-russe d’une partie de la population. Plus de la moitié de ses concitoyens ont une bonne opinion des Russes et 70 % considèrent que le conflit en Ukraine est le résultat d’une provocation de l’Occident, pilotée par les USA.

Fico veut aussi une Slovaquie « débarrassée des amateurs et des gaffeurs sans expérience qui nous entraînent dans des aventures telles que l’immigration et la guerre ». Macrounette et Jean-Brit doivent avoir les oreilles qui sifflent. Ah ! si les Français pouvaient les leur déboucher avec une bonne claque, électorale s’entend !

Fico ne veut pas non plus des arrivages continus de prétendus réfugiés. Fermeture des frontières à des individus qui seraient, selon lui, cause de délinquance, de criminalité, de terrorisme et porteurs de maladies. Salaud de facho ! Il en profite parce que dans son pays on a le droit de le dire. Sur ce terrain-là, il est sur la même longueur d’onde que Viktor Orban, le Hongrois. Toujours ami de Trump. On compte nos alliés.

Qui plus est, ce monstre de Fico dit apprécier Poutine et propose d’avoir des relations apaisées, mieux, positives avec la Russie. Selon « The Guardian » généralement bien informé à l’international, la Slovaquie pourrait même être le prochain nouvel allié de la Russie. Au risque de disloquer l’Eurocrature. N’en jetez plus ! Dommage que la blondasse ritale se soit déballonnée au moment crucial. Elle nous a fait rater le bouquet du feu d’artifice.

La quasi-totalité des médias de grands chemins français déversent les uns une bile amère, les autres des vomissures acides sur le nouveau patron de la Slovaquie. Entre calomnies, ragots et procès d’intention. Ils doivent commencer à craindre pour les places de copinage, les connivences, les petits privilèges et les subventions des banksters.

Je ne sais pas si l’essai sera transformé comme on dit au rugby, mais c’est déjà un bon début.

Christian Navis

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