Souchiens contre souchattes : la bataille finale

Le “souchien” (de garde) défend ses acquis civilisationnels lui ayant permis d’atteindre une certaine équité un confort qui attire, d’où la présence d’étrangers qui en grande majorité cherchent à s’y associer épousant même son projet destinal culturel (les développements humains et citoyens) alors que la “souchatte” mord la main qui lui offre une telle opportunité et préfère ronronner à la moindre caresse ennemie allant dans le sens du dénigrement peu importe si la main qui procure ce plaisir est en réalité envieuse souvent celle d’une secte/mafia/association criminelle voilà la différence frontale entre ces deux espèces d’humanité.

L’une défend en effet la souche vivace qui permet d’être ce vivier de liberté émettant à profusion le surgissement d’âmes libres, l’autre épouse l’idée qu’il vaut mieux se soumettre au plus offrant peu importe ce qu’il est car la souchatte n’aime que la force (comme l’a montré Pasolini dans Salò), ce que même les prostituées (qui ne sont pas des trainées) se refusent d’accomplir.

La souchienne défend elle aussi bec et ongles si l’on peut dire son droit de conserver sa lignée comme le font d’ailleurs toutes les autres souches d’où émergent les ethnies depuis la nuit des temps. La souchatte,cette trainée (slut) est, elle, esclave volontaire de l’instant qui fait juste d’elle un objet à con/sommer parmi mille dans les harems non haram des puissants s’amusant avec ces pisseuses le long de leurs terrasses face à la mer tandis que les hélicos ronronnent emportant en eux d’autres souchattes allant pisser la propagande du jour sur la face des soumis avides de servitude masquée ou le S.M en acte puissance mille.

Il y avait d’ailleurs cette idée chez leurs théoriciens (Foucault lisant Sade et Bataille (son “érotisme“, “histoire de l’œil“, “bleu du ciel“), Deleuze s’abreuvant de Masoch et Blanchot) de “vivre” les tensions du monde dans une sorte de pan-sexualité torturée, manipulée, tandis qu’au sein des rapports hors sexualité les relations seraient détendues, aseptisées, silencieuses, ironiques en permanence ; et à la moindre polémique ou tension la personne émettrice serait justement désignée comme déviante (aujourd’hui “complotiste”) car elle ne jouerait pas le jeu du nouveau Code (au sens baudrillardien) celui de laisser pisser et d’aller passer son envie d’en découdre dans la simulation asexuelle des maîtres et esclaves que le porno avait déjà amorcé (mais là c’est puissance mille).

Tout cela n’est pas suffisant, excitant dirait Bataille, le must étant de transformer réellement l’ensemble des gens réels en esclaves (in)volontaires avec cette fantastique laisse et tous ces liens (bonds) que deviennent le masque et les restrictions aussi absurdes les unes que les autres; quelle jouissance pour les souchattes en effet d’observer tous ces esclaves réels boire avidement leur pisse propagandiste ! La dernière en date provenant de Biiden (et non Baïden, certains disent Truump comme Bertrand Badie sur France Cul/ture) ce bidet de Biiden dans lequel les souschattes se lavent frénétiquement actuellement et qui explique par exemple que l’exigence de présenter une carte d’identité lorsque l’on va voter en Géorgie et ailleurs serait “raciste” parce que les “afro-américains” seraient incapables d’en avoir une alors qu’il suffit de la demander au Département d’État ; et même Coca-Cola proteste par exemple car ces réformes électorales introduites par les républicains  interdiraient de nourrir et d’abreuver (de Coca?)les électeurs dans les queues sous le prétexte “raciste” que cela pourrait  inciter les gens rendus indécis et devenus si pauvres par l’État Providence démocrate à remercier les souchattes qui font office de marionnettes ou prothèses appelées pompeusement “députés” (ouaf ouaf!!) en votant pour elles comme cela se fait ailleurs envers les personnes âgées en échange de boîtes de chocolat et autres paniers cadeau, des pratiques qui sont bien sûr inconnues en France, eh bien Coca n’en a cure…Et c’est la curée contre ces réformes électorales pourtant pleines de bon sens qu’affectionnent bien sûr les souchiens ces “déplorables”, ce qui ne plaît guère aux souchattes déchaînées (“raciste, raciste”).

Le côté méprisant de cette histoire consiste pour les souchattes à pisser aussi de cette copie propagandiste en veux-tu en voilà sur la misère du monde que Trump avait refusé de laisser entrer alors que cela fabriquait des électeurs en plus n’ayant donc même pas besoin de carte d’identité y compris s’ils sont clandestins le pompon évidemment.

Et ces grosses compagnies en sus de Coca-Cola qui veulent ainsi boycotter la Géorgie comme la MLB (ligue de basket ball) signent à tire-larigot des contrats en Chine, pays ultra démocratique s’il en est... Mais les souchattes adorent les tyrannies (c’est féminin en plus) et les voilà parties à l’assaut telles des hyènes de tout ce qui est faible comme ce pauvre Tapie sur lequel elles se sont bien essuyées en lui rentrant bien dans la tronche que le temps de la compréhension est “mort”, même si bien sûr des cohortes d’esclaves fonctionnarisés (ou pas) vont pisser du rapport en trois exemplaires pour démontrer (avant de caler les armoires) que “la” cause d’une telle animosité proviendrait du “racisme systémique” et non de cette ancestrale loi du plus fort qui domine les structures humaines et animales depuis des lustres d’où cette fuite en avant des souchattes à tout détruire, auto-extinction, victoire des moustiques punaises et autres “mauvaises” herbes (racisme végétal) au lieu de civiliser peu à peu, cultiver la nature humaine vers l’affinement et non seulement la conservation agressive.

Il s’avère que les souchien(ne)s disent là aussi “stop” aux souchattes: allez réaliser vos besoins tyranniques ailleurs.

Lucien Samir Oulahbib