“A mort le flic” : la presse italienne évoque le cas du policier Jallamion

Le quotidien indépendant La Verità a publié un article évoquant le cas de Sébastien Jallamion, policier ayant relaté dans A mort le flic ! (aux éditions Riposte Laïque) sa descente aux enfers après avoir osé fustiger, en septembre 2014, le groupe Etat Islamique sur Facebook suite à l’enlèvement et à la décapitation du Français Hervé Gourdel en Algérie.

Article paru dans le quotidien italien indépendant La Verità


En voici la traduction :


Il écrit sur Facebook contre ISIS – un gendarme français risque la prison jugé pour quelques articles et une photo de Al Bagdadi au centre d’une cible

Article signé Fabrizio Cannone

Diverses fois, nous avons mis en lumière comment la France est un pays parcouru d’oppositions irréductibles historiques, politiques, idéologiques. Charles Maurras (1868-1952) une des figures cultes de la droite transalpine, parlait de France anti-France, identifiée avec les traîtres à la patrie : marxistes, républicains et franc-maçons.

Dans ce scénario de contre positions nettes et irréductibles, un jeune policier français est en train de payer cher pour ses prises de position sur ISIS, sur le terrorisme et sur l’islamisation, risquant jusqu’à être arrêté après avoir perdu autant son travail que son salaire.

L’officier  est le brigadier Sébastien Jallamion (45 ans) apparu en scène après l’énième attentat de matrice islamique.

Qu’on se souvienne que depuis le cas de Charlie Hebdo à aujourd’hui, les victimes du terrorisme sur le sol transalpin sont environ 250.

Encore au 1er octobre dernier, deux jeunes filles de 20 et 21 ans ont été littéralement égorgées par Ahmed Hanachi, un clandestin connu par les services de sécurité.

Mais aussi pendant les années précédant le carnage du Bataclan, les Français étaient souvent visés par les terroristes islamiques de Al Qaeda et de l’Etat Islamique. Dans de nombreux épisodes, les victimes ont été des policiers ou membres des forces de l’ordre. Après la décapitation du guide de montagne Hervé Gourdel (2014) premier cas de meurtre d’un Français qui ait été diffusé sur les réseaux sociaux, Jallamion, compréhensiblement indigné a posté sur Facebook quelques articles anonymes pour dénoncer l’islamisation qui est en cours en Europe.

Jallamion a été dénoncé par une collègue d’origine maghrébine qui était parmi ses contacts Facebook.

De cet épisode a commencé l’interminable calvaire de l’agent de la sécurité publique. Après la dénonciation, Jallamion a fini dans l’étau de la hiérarchie policière, souvent plus prompte à combattre “le racisme” et “l’islamophobie” (même simplement verbale) que les bouchers en chair et en os.

Depuis ce moment le policier a eu sa carrière détruite et a subi de nombreuses procédures internes.

On peut trouver facilement ses articles sur le Net, réellement, ils ne contiennent rien d’extrémiste.

La chose qui lui a été majoritairement reprochée dans les divers procès à sa charge (devant le Conseil de discipline de la police) est d’avoir mis l’image de Al Bagdadi, le calife autoproclamé qui guide l’Etat Islamique, au centre d’une cible.

Cependant, le chef de ISIS est (ou a été) l’homme le plus recherché du monde et la cause directe de centaines de victimes innocentes sur le sol européen ou non.

On peut certainement ne pas apprécier des images de ce genre, mais il résulte difficile de dire qu’elle doit porter à la suspension de l’activité d’un policier après plus de 15 ans de service honoré.

Sans aucune vraie infraction, le policier qui peut-être  dérangeait déjà sa hiérarchie puisqu’il était sympathisant du Front National, a été condamné à 5000 € de pénalité par le tribunal de Paris et, n’ayant pas de quoi payer, a fait appel dans d’autres cours de justice pour revoir le jugement. Il risque, au cas où la condamnation serait confirmée et à nouveau l’impossibilité de payer, bel et bien 6 mois de prison.

Le policier s’est rendu en Suisse en attendant le jugement final. S’il doit payer et ne réussit pas à trouver la somme demandée (rappelons : pour des articles anonymes publiés sur sa page Facebook)  il a fait savoir au travers d’un message vidéo qu’il restera en exil pour ne pas subir l’humiliation de la prison en compagnie des délinquants auxquels il avait l’habitude de faire la chasse.

Etant donné que Jallamion a une famille et que depuis deux ans il ne perçoit aucun salaire, l’association patriotique Riposte Laïque a publié en toute hâte cet été le petit livre écrit par le policier (cf. S.Jallamion A mort le flic! Edition Riposte Laïque 2017 –  12,50 €) pour le soutenir autant économiquement que moralement en faisant connaitre ce cas complètement orwellien, aux instances qui comptent.

Dans la préface du pamphlet qu’on lit comme un roman policier de science fiction, son avocat Fréderic Pichon dit que Sébastien Jallamion “est un patriote courageux qui est en train de payer le prix fort pour avoir dit à voix haute ce que ses collègues de la police nationale constatent tous les jours”.

Traduit de l’italien au français par Anne L.


Pour se procurer A mort le flic ! sur Amazon : Lien




Je serai le 30 septembre à la Librairie Française à Paris pour dédicacer A mort le flic !

Lorsque j’étais jeune policier et que j’exerçais mes fonctions à la BAC en Seine-Saint-Denis, mon chef de groupe avait pour habitude d’employer fréquemment une expression que je garde en mémoire : “La peur n’évite pas le danger.” C’est dans cet état d’esprit que je participerai pour la première fois à une séance de dédicaces de mon livre A mort le flic ! à la Librairie Française, 5, rue Auguste Bartholdi – 75015 Paris, le samedi 30/09/2017 de 14h30 à 18h30.

Au vu du contexte actuel et de la propension d’une certaine catégorie de la population à vouloir créer des troubles, un service d’ordre sera mis en place pour la sécurité de tous. Il n’y a cependant pas de psychiatre de prévu, c’est pourquoi les déséquilibrés devront se contenter d’un traitement dont l’aspect médical peut être contestable, mais qui a fait la preuve de son efficacité.

Cet événement, vous l’aurez compris, revêt un caractère exceptionnel en ce qu’il constitue pour moi la première apparition publique annoncée à l’avance alors même que je n’ai pour l’heure aucune garantie quant à ma situation sur le plan judiciaire, malgré les demandes de mon avocat Me Gabriel Versini, restées sans réponse.

Ce sera donc l’occasion de vérifier la détermination de ceux dont j’ai relaté les exploits dans mon livre, tout en leur adressant un message clair : la mienne est sans faille.

Je vous attendrai donc à la Librairie Française en espérant pouvoir échanger avec vous, et profite de cet article pour rappeler à ceux qui cherchent à se procurer A mort le flic ! qu’ils peuvent l’acquérir sur Internet (Amazon, Fnac, Les 4 Vérités, Librairie Française, Boutique Riposte Laïque, etc.) ou en le commandant dans n’importe quelle librairie. Il sera bien entendu également disponible à la vente sur place.

Dans l’attente de pouvoir échanger avec vous, je vous remercie d’avance pour votre participation à cette rencontre cordiale, où se rendront quelques invités-surprises…

Rendez-vous samedi 30/09/2017 à partir de 14h30 !

Sébastien JALLAMION




Vidéo-choc : Sami Aldeeb dénonce l’acharnement contre Jallamion

Sébastien Jallamion, l’ancien policier actuellement exilé en Suisse pour échapper à l’emprisonnement suite à sa condamnation à une peine de jours amendes devenue définitive, pour avoir publié anonymement sur son compte Facebook des textes et des images fustigeant l’islam et les terroristes ayant enlevé et décapité le français Hervé Gourdel en septembre 2014 en signe d’allégeance à Daesh, a rencontré le docteur Sami Aldeeb. Celui-ci a réagi dans une vidéo dont nous vous livrons la teneur en exclusivité :

Dénonçant l’inquisition qui s’installe actuellement en France, le docteur Sami Aldeeb dresse depuis la Suisse un bilan qui devrait alerter l’opinion sur les problèmes liés à la répression de la liberté d’expression et au traitement de l’islam.

Le moins que l’on puisse dire, c’est que son constat est implacable, et que la fin de son intervention devrait inciter nos élites à prendre conscience de la réalité du problème. A moins bien sûr qu’ils estiment en savoir plus sur le sujet que l’auteur de cette vidéo, qui pour mémoire a enseigné pendant de nombreuses années le droit arabe et musulman dans plusieurs universités européennes, et traduit le Coran en plusieurs langues…

Mais comme le dit l’adage, il n’y a pire sourd que celui qui ne veut pas entendre !

Martine Chapouton

Pour aider Sébastien Jallamion et découvrir son histoire incroyable, procurez-vous son livre A mort le flic ! aux éditions Riposte Laïque




Sébastien Jallamion fiché S ! La France devient vraiment une dictature !

La nouvelle a été annoncée par l’intéressé lui-même sur les réseaux sociaux, preuve à l’appui : l’ex-policier Sébastien Jallamion est fiché S depuis décembre 2015. Ceux qui ont déjà lu le livre A mort le flic ! que Riposte Laïque a décidé d’éditer savent que l’acharnement ubuesque dont Sébastien  Jallamion a été l’objet est digne d’un roman de Kafka, à cette différence près que tout est parfaitement factuel.

Cette surveillance ordonnée par l’Etat est clairement attentatoire aux libertés individuelles dont se réclament les démocraties occidentales, puisqu’il est indiqué dans la marche à suivre d’exercer une surveillance discrète de Sébastien Jallamion, et de faire une fiche de renseignement indiquant notamment quel véhicule il utilise, qui l’accompagne, dans quelle direction il se rend, quels sont les objets qu’il transporte, etc.

Fiche S publiée par Sébastien Jallamion

Rappelons que Sébastien Jallamion était Brigadier Chef de police, de surcroît Officier de Police Judiciaire, et qu’il a subi les foudres d’une certaine hiérarchie après avoir publié sur Facebook, de manière anonyme, des contenus fustigeant l’islam et les islamistes dont le chef de Daesh, en réaction à l’enlèvement et à la décapitation d’Hervé Gourdel en Algérie en septembre 2014.

Rappelons également que Sébastien Jallamion a été dénoncé par une de ses “collègues”, puis à la justice par sa propre hiérarchie, en l’espèce Albert Doutre qui était le Directeur départemental de la sécurité publique du Rhône à l’époque, et que ce qui a suivi n’est ni plus ni moins qu’une mise à mort sociale dont tous les détails sont racontés avec précision dans A mort le flic !

L’existence de la Fiche S qui le concerne a donc de quoi inquiéter l’opinion, car il s’agit ni plus ni moins qu’une preuve supplémentaire de la manière dont le pouvoir peut s’acharner sur un citoyen, au détriment des valeurs qu’il prétend défendre.

Nous avions révélé l’exil de Sébastien Jallamion vers la Suisse, au moment précis où il a été sommé de payer la somme de 5000 euros sous peine de séjourner 200 jours en prison, ses publications sur Facebook ayant fait l’objet d’une condamnation à des jours amende par la Cour d’Appel de Lyon devenue définitive. Son témoignage avait été visionné par plus de 220.000 personnes sur les réseaux sociaux, sans alerter le moins du monde la caste journalistique en dehors de quelques médias courageux de la presse libre, tels que le journal Présent ou Radio Courtoisie.

Les droits d’auteur liés à la vente d’A mort le flic ! permettront peut-être à Sébastien Jallamion de se tirer de ce mauvais pas, et nous espérons qu’il pourra se joindre au rassemblement organisé pour les 10 ans de Riposte Laïque le 2 septembre 2017 à Paris. Pour l’heure, ce n’est pas encore acquis…

Nous nous doutons bien que cela ne signifiera pas la fin des persécutions dont il est l’objet, tant il est clair aujourd’hui, et aussi aberrant que cela puisse paraître, qu’il est considéré par les autorités comme un “danger public”, à l’instar de Pierre Cassen, de Christine Tasin, Richard Roudier, Boris Le Lay, ou de tant d’autres patriotes qui subissent les foudres d’un acharnement judiciaire qui ne cesse de s’étoffer au fil du temps.

Combien d’autres patriotes sont-ils sous le coup d’une fiche S ? Comment la France peut-elle encore se targuer d’être une démocratie dès lors qu’elle permet ce genre de “flicage” de sa population ? Depuis quand ceux qui la défendent sont-ils potentiellement dangereux ?

Saluons la capacité de résistance de ces dissidents, de ces lucioles, pour paraphraser Philippe de Villiers citant Alexandre Soljenitsyne, car ils incarnent cet espoir qui nous anime de voir enfin s’écrouler le piédestal d’une oligarchie qui ne se soucie que de son maintien au pouvoir, au détriment de l’intérêt général.

Sébastien Jallamion nous a fait savoir qu’il intenterait une procédure judiciaire contre la décision prise de le mettre sous surveillance, y compris devant la Cour Européenne des droits de l’Homme, ce qui à l’évidence devrait être long et coûteux. Gageons que ce nouveau combat en vaut la peine, à l’heure où nos libertés fondamentales fondent comme neige au soleil.

Martine Chapouton




Présent publie une interview de Sébastien Jallamion, un ex-policier en exil

Interview parue dans le journal Présent du 3 Aout 2017

Ancien policier condamné à 200 jours-amendes pour un total de 5 000 euros en raison de la publication sur Facebook, sous pseudonyme, d’un photomontage impliquant le chef de l’Etat islamique Abou Bakr Al Baghdadi, Sébastien Jallamion a dû s’exiler. Il témoigne dans A mort le flic, un petit livre « numéro 1 des ventes » en ce moment sur Amazon, du véritable harcèlement dont il a été victime de la part de sa hiérarchie et de l’administration.
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— Sébastien Jallamion, vous êtes aujourd’hui exilé politique en Suisse pour des faits se limitant, à l’origine, à la publication, sur Facebook et sous pseudonyme, de propos jugés « islamophobes ». Pourriez-vous rappeler brièvement les griefs qui vous sont reprochés ?
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— J’ai été dénoncé à ma hiérarchie par une collègue de travail musulmane, gardien de la paix, après avoir publié en septembre 2014 des textes et des images, dont un photomontage représentant le chef de l’Etat islamique Abou Bakr Al Baghdadi dans le viseur d’un fusil sniper, en réaction à l’enlèvement et à l’assassinat de notre compatriote Hervé Gourdel en Algérie. Mon compte Facebook était anonyme, et ne laissait pas transparaître ma qualité de policier. J’ai fait l’objet d’une enquête administrative, puis d’une procédure disciplinaire à l’issue de laquelle j’ai été suspendu pour une période de 24 mois. Parallèlement, la direction départementale de la Sécurité publique a saisi la justice et j’ai été poursuivi puis condamné à 5 000 euros d’amende par le Tribunal correctionnel de Lyon. Le parquet ayant fait appel, j’ai été jugé et condamné par la Cour d’appel de Lyon à 200 jours-amendes à 25 euros avec inscription au bulletin numéro 2 du casier judiciaire, pour incitation à la haine ou à la discrimination envers une catégorie de la population en raison de son appartenance à la religion musulmane. Il convient de préciser qu’il n’y a ni plainte, ni partie civile dans cette affaire.
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Entre-temps, ayant décidé de témoigner de ma situation et de militer ouvertement pour les valeurs et les idées que je défends en tant que citoyen engagé, j’ai reçu ma révocation pure et simple par voie postale. Je n’entrerai pas dans les détails de tout ce qu’il m’a fallu affronter, puisque je l’ai relaté précisément dans mon ouvrage A mort le flic ! J’ai dû m’exiler en Suisse pour éviter un emprisonnement de 200 jours, la peine étant devenue définitive, et n’ayant pas les moyens, étant sans emploi, d’acquitter mon amende.
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— Comment expliquez-vous l’acharnement pervers et insensé de la hiérarchie policière à votre égard pour de simples publications sur Facebook ?
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— Je l’explique d’abord par la façon de fonctionner de la hiérarchie. Il suffit qu’elle vous prenne en grippe pour vous faire vivre l’enfer. On déplace des fonctionnaires pour «raison de service » – il s’agit en pratique de sanctions déguisées – et lorsque les éléments concernés osent intenter une procédure devant le Tribunal administratif et qu’ils obtiennent gain de cause, c’est l’Etat qui doit réparer le préjudice du fonctionnaire, jamais la personne précise qui en est la cause. Je rappelle que chaque année, tous grades confondus, ce sont plus de cinquante fonctionnaires de police qui décident de mettre fin à leurs jours. Même s’ils laissent une lettrd’adieu explicite, ou qu’ils passent à l’acte eservice, c’est l’omerta. Officiellement, tous ondes « problèmes personnels », leur hiérarchin’est jamais inquiétée. Mon propos n’est pas dgénéraliser en évoquant ces cas. Il y a des chefde service qui gèrent parfaitement la dimension humaine de leur métier. Curieusement, csont ceux qui ont les carrières les moins fulgurantes. Cette situation doit cesser.
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Par ailleurs, il est clair que mon orientatiopolitique et le militantisme dont j’ai faipreuve en dehors du service n’ont pas pesé ema faveur, c’est le moins que l’on puisse dire. Enfin, j’ai l’impression que tout ce qui touche à la critique de l’islam est désormais systématiquement traité sous le volet judiciaire, au point qu’il semble que nous ne sommes pas loin de la réintroduction du délit de blasphème dans notre pays. Il suffit de constater l’augmentation du contentieux judiciaire à ce sujet depuis quelques années pour s’en convaincre.
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— Dans votre livre, vous évoquez à plusieurs reprises les accointances socialistes et maçonniques d’une importante partie de la hiérarchie policière.
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— Il suffit de lire mon livre pour comprendre de quoi je parle. Sortis de leur contexte, ces propos peuvent paraître excessifs, il n’en reste pas moins qu’ils correspondent à une réalité, et j’en suis la preuve vivante. Peut-être d’ailleurs un peu trop vivante aux yeux de certains.
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— Ne pensez-vous pas que la « mort sociale » que vous subissez résulte de la transgression d’un quelconque tabou suprême ? Si oui, lequel ?
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— La dictature du politiquement correct est une réalité. Elle s’est immiscée dans les médias, dans les entreprises, dans nos institutions. Elle est le corollaire dune politique visant à promouvoir et imposer le multiculturalisme. Par ailleurs, et alors même que de plus en plus de voix s’élèvent pour dénoncer le chantage à l’islamophobie pratiqué en France par les Frères musulmans, utilisant nos lois pour mieux les faire reculer, force est de constater que la justice leur donne raison. Si nous ne réagissons pas, l’islam politique, qui est déjà une réalité dans de nombreuses banlieues françaises, risque de s’imposer bientôt, alors même que la Cour européenne des droits de l’homme a estimé, dans un arrêt de 2001, que la charia (loi islamique) était incompatible avec les droits de l’homme et la démocratie.
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Ce qui est en jeu, c’est le devenir de notre civilisation. Qu’on le veuille ou non, l’islam nous a déclaré la guerre, et ses soldats nous la mènent par tous les moyens possibles. Ce n’est ni par l’aveuglement, ni en tentant encore et toujours d’acheter la paix sociale au détriment de nos valeurs, que nous la gagnerons.
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Propos recueillis
par Arnaud Raffard de Brienne
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Pour se procurer A mort le flic :
site internet Riposte laïque , Riposte laïque,
B.P. 32, 27 140 Gisors et sur Amazon.
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Lien vers l’article original : https://present.fr/2017/08/02/ex-policier-exil/