Thaïs d’Escufon persécutée par la Macronie et les juges
Un physique de viking, des arguments imparables, un constat qui glace le sang, des chiffres en millions de migrants accueillis à l’appui, Thaïs d’Escufon dérange les politiques.
Des migrants en train d’être recueillis dans la mer Méditerranée par SOS Méditerranée.
Une manifestation de militants de Génération identitaire avant que l’association ne soit dissoute par les politiques au pouvoir en France.
Depuis lundi, les articles de la presse locale et nationale s’enchaînent pour parler du procès des militants de Génération Identitaire contre SOS Méditerranée. Et avec eux, un flot ininterrompu de mensonges à l’encontre des 22 prévenus et des figures de proue du mouvement dissous, Thaïs d’Escufon, 23 ans, et Jérémie Piano, 28 ans, candidat RN aux élections législatives dans les Bouches-du-Rhône en 2015 et aux dernières législatives pour le mouvement d’Éric Zemmour Reconquête. Dix-neuf hommes et trois femmes sont donc jugés depuis lundi à Marseille. Le procès, prévu devant le tribunal correctionnel de Marseille du 10 au 19 octobre, porte sur l’occupation du siège marseillais de l’association SOS Méditerranée (2) le 5 octobre 2018. Un procès très politique et orchestré par le pouvoir. Ce dernier veut tuer dans l’œuf la révolte d’une jeune élite française qui aime la France, et qui refuse que notre pays soit transformé en Liban d’ici 10 ans.
Cultivée, éduquée, ancienne porte-parole de génération identitaire la France, Thaïs d’Escufon (1) dérange en France. Comme Christine Tasin, présidente de Résistance Républicaine, elle ose dénoncer le grand remplacement en cours. Elle s’attaque aussi au président Emmanuel Macron qui a signé le pacte migratoire de Marrakech. Pour la faire taire, il y a eu un acharnement médiatique et judiciaire contre la jeune Toulousaine, qui refuse que la France devienne africaine d’ici 20 ans.
Un physique de viking, des arguments imparables, un constat qui glace le sang, des chiffres en millions de migrants accueillis à l’appui, Thaïs d’Escufon dérange les politiques, les juges, les décideurs, Emmanuel Macron et tous les complices d’une immigration de masse.
L’ennui pour tous ses adversaires, c’est qu’elle est redoutablement intelligente et instruite, méritante aussi. Elle est née à Toulouse en 1999 au sein d’une famille catholique de la bourgeoisie française ayant dix enfants. Elle a grandi à Drémil-Lafage, à dix kilomètres de Toulouse, en Haute-Garonne. Elle a obtenu un baccalauréat littéraire au lycée Pierre-Paul-Riquet, à Saint-Orens-de-Gameville, puis décroche en 2016 une licence de langues étrangères à l’Université Toulouse-Jean-Jaurès.
Considérée comme une influenceuse dans le combat contre l’invasion migratoire, les pouvoirs publics français n’ont eu de cesse de la faire taire. Des consignes ont été données par le pouvoir aux médias généraliste subventionnés par l’état via les aides annuelles à la presse. Subitement, et sans raison, les réseaux sociaux l’ont banni. Ils n’ont pas encore osé lui retirer sa carte bancaire !
Comme cela ne suffisait pas, Thaïs d’Escufon a subi un harcèlement judiciaires, les services de la sécurité intérieure traçant ses moindres déclarations au lieu de s’intéresser aux islamistes intégristes qui préparent des assassinat ou des attentats sur le sol français. Car Thaïs d’Escufon doit disparaitre socialement.
Même des juridictions correctionnelles de villes pratiquement inconnues l’ont assigné. L’avant dernière comparution en date remonte à un peu plus d’un an devant la juridiction de Saint-Gaudens ( en Haute-Garonne, pour tous los lecteurs qui ne connaitraient pas cette localité de l’arrière-pays). Le 9 septembre 2021, la jeune femme a été condamnée à deux mois de prison avec sursis « pour injures publiques », après la publication d’une vidéo anti-migrants.
Mais, Thaïs d’Escufon ne se décourage pas. Elle explique : “le contexte actuel de répression politique de la Macronie à l’encontre des patriotes n’est pas la preuve de la force du pouvoir en place mais au contraire de sa faiblesse. Ils savent que nous progressons chaque jour un peu plus : les victoires populistes comme en Italie et en Suède en sont une preuve. La durabilité du gouvernement Orban, aussi. Et chez nous, un candidat à la présidentielle a pu défendre lors des dernières élections, de façon explicite, une politique de re migration soutenue par la majorité des Français juste avant que le RN ne constitue un groupe historique à l’Assemblée. Bref, les choses changent. Et dans le bon sens. Alors bien sûr, comme tous les Français attachés à leur pays, je suis impatiente que tout se règle au plus vite : mais nous devons faire preuve de patience et ne rien lâcher. Et surtout pas les militants qui, comme les 22 de Marseille, luttent en première ligne….”.