Ahed Tamimi : l’hystérique blondinette de Cisjordanie
La précédente tentative d’il y a quinze jours ayant fait un flop, l’A.F.P. (Agence de Falsification Partisane) tente de relancer l’hystéro-merdeuse Ahed Tamimi…
Le texte, relayé par tous les portails propagandistes, dont le pire est sans doute celui de Free, est un chef-d’œuvre de conditionnement, totalement partisan mais pouvant donner l’impression de l’objectivité. Pourtant, dés le premier paragraphe, la ficelle de sensiblerie victimaire apparaît, la jeune fille c’est Heidi, ou Gretel, transformée en icône, ha le joli mot bien oriental et bien chrétien !
C’est un fait bien ancré chez les amortis du cerveau gauchistes que la provocation est le summum de courage et de l’intelligence, mais ne doit pas – ça c’est fasciste – déclencher de réaction. Des antifas abrutis et violents mais intouchables aux médiartistes minables jouant du clavier, en passant par les prétentieux experts télévisuels et leurs faire-valoir animateurs mielleux, tous usent et abusent de ce moyen rhétorique lâche, facile et destructeur.
Les habitants arabo-musulmans de Cisjordanie sont passés maîtres dans cette discipline médiatique, entraînés dans des mascarades trompeuses par des activistes européens, souvent à carte de presse, prompts à se prêter à toutes les mises en scène malhonnêtes.
Qui peut croire que cette petite blondinette, hystérique mais fadasse, vive mais stupide, dont on nous dit qu’elle est lycéenne -dans un quartier ultra-protégé de Ramallah – est en quoi que ce soit représentative de la réalité des jeunes filles de Cisjordanie !
Amnesty International, que l’on ne peut pas ranger du côté des soutiens à Israël écrit dans son rapport 2016/2017 consacré à l’Autorité Palestinienne : « Les femmes et les filles continuaient de faire l’objet de discriminations dans la législation et dans la pratique. Elles n’étaient pas suffisamment protégées contre les violences, sexuelles et autres, notamment les crimes d’« honneur ». Plusieurs cas de femmes et de filles assassinées pour des questions d’« honneur » par des proches de sexe masculin ont été signalés ». Femmes dont le sort à Gaza et dans les villages cisjordaniens reculés, n’a rien à envier à celles de l’État Islamique puisque le fournisseur de chaînes est le même : l’islam.
Mais qu’importe il faut mentir encore et toujours pour que les Occidentaux se sentent coupables… de l’archaïsme ombrageux et stérile de la société cisjordanienne ?
Mensonge, par exemple la mignonnette propre-sur-elle voulait être footballeuse, pourquoi pas, il y a bien une équipe de base-ball à Gaza, sauf que le foot « féminin » se fait en vase clos, sans regard masculin et le plus souvent les premières règles sont synonymes de la fin de l’expérience ; bas les masques ! Dans un article alambiqué sur le sujet, le journal libanais l’Orient Le Jour, change son illustration afin de ne pas révéler la supercherie (mais oublie la légende : https://www.lorientlejour.com/article/1072818/cest-mon-droit-le-foot-feminin-gagne-du-terrain-en-cisjordanie.html) ; il est à noter que l’équipe féminine officielle « palestinienne » ne joue pas dans les territoires et nombre de ses joueuses sont des arabes israéliennes.
https://www.youtube.com/watch?v=7DVzrOw47z4
La première vidéo spontanée (!) de cette gosse date de 2012, elle avait donc 11 ans lors de cette provocation orchestrée, cela doit nous conduire à nous interroger sur l’usage d’enfants ; enfants soldats au Nigeria, enfants sacrifiés porteurs de bombes, enfants boucliers en Irak, enfants noyés, et toujours exhibés face à des caméras complaisantes ; mais de cela les bonnes âmes ne se soucient guère, tout comme du symbole sexiste de la jolie demoiselle, toujours filmée afin que l’on voit ses atours adolescents ; chaque époque a ses Nadia Comaneci.
L’odieuse Association France Palestine (A.F.P. cela ne s’invente pas !) s’agite et trépigne d’indignation : pas de foules monstrueuses dans les pays musulmans, pas de manifestations de soutien sous perfusion médiatique en Europe, pas d’écho dans l’opinion publique au vote de l’assemblée générale des nations unies : Jérusalem ? Tout le monde s’en moque ; les « palestiniens » ? Commencent à nous gonfler !
Tant que les arabes feront une fixette sur Jérusalem, ils seront comme le taureau face à la muleta : sans futur. Si Jérusalem retrouve son statut de capitale d’Israël et des juifs que pourront-ils exiger de plus ? Ou plus exactement que pourraient obtenir les « palestiniens » (le “P” n’existe pas en arabe) en échange : l’arrêt des implantations juives en Cisjordanie, l’incorporation dans l’essor économique d’Israël, la paix… Justement, peut être est-ce cela qu’ils veulent éviter : la paix.
Gérard Couvert