TV-Libertés, une brillante réussite de la patriosphère
Nous étions au 4e anniversaire de TV-Libertés, ce samedi. Cela fait six années que nous avons entendu parler pour la première fois de ce projet fou : monter une télévision internet, sans publicité, avec seulement les dons des contributeurs.
C’était à l’occasion d’une journée Polemia, en 2012, où Philippe Milliau, le concepteur et l’âme du projet, avait expliqué ses objectifs, devant une salle qui ne demandait qu’à croire à la concrétisation d’un projet aussi audacieux.
Il a pourtant fallu deux années pour réussir à mettre tout cela sur pied. On imagine les milliers d’heures nécessaires pour trouver un local adapté, peaufiner le projet, nommer un chef des programmes, un responsable technique, embaucher des jeunes journalistes, des techniciens, et surtout lever les fonds nécessaires.
On songe aux efforts et à l’énergie qu’il a fallu à Philippe Milliau pour mettre en harmonie un tel assemblage. Après moult péripéties, ce seront Martial Bild pour les programmes, et Arnaud Soyez pour la technique, qui seront aux manettes.
Puis vint enfin le premier journal de TV, le 30 janvier 2014, avec une double présentation d’Elise Blaise et d’Olivier Frèrejacques, pionniers de l’équipe.
D’abord prudents, les animateurs élargiront petit à petit le nombre d’émissions, et donc les heures d’antenne. Parmi les réussites de la chaîne, bien évidemment l’inévitable Bistro Libertés, mais aussi I-Média, animé par Jean-Yves Le Gallou et Hervé Granchamp, Tête à Clash, animé par l’ancien des Grandes Gueules de RMC Franck Tanguy, ainsi que des émissions économiques, avec Olivier Pichon et Pierre Jovanovic.
Dans un autre registre, Christian Combaz amène ses rubriques de la France profonde, avec “La France de Campagnol”.
Ajoutons de nombreuses émissions culturelles et historiques, qui font de cette chaîne un lieu de réinformation unique en France, et l’apparition d’une radio, animée par Arnaud Menu, et d’une lettre européenne, Euro-Libertés, dirigée par Philippe Randa.
Mais là n’est pas la plus belle réussite de Philippe Milliau et de son équipe, dont on peut voir les noms ci-dessous.
https://www.tvlibertes.com/notre-redaction-nos-contributeurs
En effet, TV-Libertés a réussi à à nouer des partenariats avec nombre de composantes de la sphère patriotique ou identitaire, sans le moindre sectarisme.
https://www.youtube.com/watch?v=oBte5Nsco_Y
Nous avons ainsi eu plusieurs fois le plaisir d’être invités, que cela soit dans le zapping du Journal du Jour, à Bistro Libertés, au journal de Radio Libertés ou à Tête à Clash.
Et à chaque fois que nous avons franchi les portes de l’immeuble, nous avons toujours été fort bien accueillis, que cela soit par Catherine, les autres salariés de TV-Libertés ou les journalistes qui nous interrogeaient.
Ajoutons, sans faire de flagornerie excessive, nous qui avons fêté nos dix ans il y a quelques mois, que TV-Libertés a renforcé le camp de la résistance patriotique et de la réinformation, et amené un savoir-faire qui complète le remarquable travail mené par Radio Courtoisie, Fdesouche, Boulevard Voltaire, Le Salon Beige, Nouvelles de France, Synthèse nationale, peut-être un peu de Riposte Laïque et Résistance républicaine, et de tous ceux qui, à leur façon, résistent au politiquement correct et à sa dictature, en affirmant leur amour de la France, de sa civilisation et tout simplement de la Liberté.
Mais le plus important, c’est peut-être le côté “découvreur de talents “de la télé patriote qui nous marque. Combien de chercheurs, d’écrivains, de militants, d’hommes politiques éloignés du politiquement correct défilent chaque semaine dans les locaux de TV liberté et donc sur vos écrans ? Imaginez-vous pouvoir voir sur TF1 ou Canal + des émissions remettant en cause les éoliennes, le réchauffement climatique, le macronisme, l’immigration, et dénonçant les manipulations médiatiques comme le fait un Le Gallou avec le talent qu’on lui connaît ?
A TV Libertés il n’y a pas de sujet tabou, pas de débat interdit, pas de censure… La vie intellectuelle y bat son plein.
TV Libertés, c’est, en 2018, l’équivalent des Salons du XVIIIe siècle où l’on découvrait Diderot, d’Alembert et Voltaire…
Donc, longue vie à TV-Libertés, et à l’année prochaine pour ses cinq ans.
Pierre Cassen et Christine Tasin
https://www.youtube.com/watch?v=qApRnJs1Um4