Attali et « L’avenir de la vie » : ce que Jacques a dit…

Récemment, un ami m’a fait suivre cette vidéo de la chaîne AgoraTV, accompagnée du message suivant, présenté comme émanant du Pr Jean-Bernard Fourtillan :

« (…) nous apportons toutes les preuves irréfutables qui dénoncent l’Institut Pasteur, leurs commanditaires et leurs complices du Nouvel Ordre Mondial, auteurs de la fausse pandémie du Covid-19. Les peuples de France et du monde entier, qui connaissent désormais la vérité, doivent faire front et se libérer rapidement de cette dictature covidiste qui cherche à les exterminer et les asservir. Je vous communique ce texte révisionniste de Jacques Attali, extrait de L’avenir de la vie, Jacques Attali, 1981, qui confirme, dans le moindre détail, leur projet satanique et eugéniste préparé depuis longtemps :

« À l’avenir il s’agira de trouver un moyen de réduire la population. Nous commencerons par les vieux, car dès qu’il dépasse 60-65 ans l’homme vit plus longtemps qu’il ne produit et il coûte cher à la société. Ensuite les faibles puis les inutiles qui n’apportent rien à la société car il y en aura de plus en plus, et surtout enfin les plus stupides.
Une euthanasie ciblant ces groupes ; l’euthanasie devra être un instrument essentiel de nos sociétés futures, dans tous les cas de figure. On ne pourra bien sûr par exécuter les gens ou faire des camps. Nous nous en débarrasserons en leur faisant croire que c’est pour leur bien. La population trop nombreuse, et pour la plupart inutile, c’est quelque chose d’économiquement trop coûteux. Sociétalement, il est également bien préférable que la machine humaine s’arrête brutalement plutôt qu’elle ne se détériore progressivement. On ne pourra pas non plus faire passer des tests d’intelligence à des millions et des millions de gens, vous pensez bien ! Nous trouverons quelque chose ou le provoquerons, une pandémie qui cible certaines personnes, une crise économique réelle ou pas, un virus qui touchera les vieux ou les gros, peu importe, les faibles y succomberont, les peureux et les stupides y croiront et demanderont à être traités. Nous aurons pris soin d’avoir prévu le traitement, un traitement qui sera la solution. La sélection des idiots se fera ainsi toute seule : ils iront d’eux-mêmes à l’abattoir. »

(Extrait de L’avenir de la vie, Jacques Attali, 1981)

Fin du commentaire de Jean-Bernard Fourtillan

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Le virus SARS-Cov-2, à l’origine de la « pandémie » de Covid-19, a-t-il ou non été créé par l’Institut Pasteur à l’instigation des « Maîtres du Nouvel Ordre Mondial » dans le but d’exterminer une part importante de la population mondiale ?

Sur la Toile, certains sites présentent la thèse des « Illuminati, exterminateur de l’humanité » comme une certitude absolue. D’autres dénoncent les tenants de cette thèse comme des… illuminés.

Je me garderai bien évidemment de rentrer dans cette polémique inextricable, tout en faisant remarquer que le pire n’est jamais ni certain ni impossible

Le but de ce modeste article est de rétablir la vérité concernant le livre souvent cité, L’avenir de la vie, présenté comme écrit par Jacques Attali en 1981.

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Petit retour en arrière :

En novembre 2020, le Pr Jean-Bernard Fourtillan, ingénieur chimiste, expert pharmacologue, toxicologue, professeur émérite de chimie thérapeutique et de pharmacocinétique à la faculté de médecine et de pharmacie de l’université de Poitiers, est intervenu dans le film Hold-Up

Ce documentaire, coproduit par Pierre Barnérias, Nicolas Réoutsky et Christophe Cossé, a connu un énorme succès sur les réseaux succès. Il a à tel point effrayé la classe médiatico-politique que, sur injonction du régime macronien (voir intervention du porte-parole de LREM vers 2 : 25 de la précédente vidéo), la plateforme Vimeo – qui l’hébergeait – a dû le supprimer.

Dans ce film, le Pr Jean-Bernard Fourtillan accuse l’Institut Pasteur d’avoir « fabriqué » le virus SARS-Cov-2 en 2004 afin de pouvoir commercialiser un vaccin plus dangereux que le virus : « L’institut Pasteur veut flinguer 7 milliards et demi de personnes » affirme le pharmacologue. On remarquera néanmoins que jusqu’à présent l’Institut Pasteur n’a commercialisé aucun vaccin contre la Covid

A la suite de ce film, l’Institut Pasteur annonce porter plainte pour diffamation contre Jean-Bernard Fourtillan, lequel annonce à son tour avoir lui-même porté plainte le 4 décembre 2020 contre l’Institut Pasteur.

Trois jours après son dépôt de plainte, le 7 décembre donc, Jean-Bernard Fourtillan est arrêté pour exercice illégale de la médecine dans le cadre d’une enquête concernant des essais thérapeutiques qu’il a menés courant 2019 avec le professeur Henri Joyeux sur des patients atteints de la maladie d’Alzheimer.

Trois jours après son arrestation, Jean-Bernard Fourtillan est hospitalisé sans son consentement dans un établissement psychiatrique d’Uzès ; il est libéré une semaine plus tard sur décision du juge des libertés et de la détention. Le 26 janvier 2021, le Pr Fourtillan donnera cette interview à France Soir. Ce sera, à ma connaissance, sa dernière intervention publique…

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Indépendamment de la polémique sur l’intention supposée de l’Institut Pasteur de « flinguer 7 milliards et demi de personnes », il reste que les propos rapportés par le Pr Fourtillan, qu’il présente comme écrits par Jacques Attali dans L’avenir de la vie, sont formellement erronés.

Ce livre, introuvable dans le commerce depuis de nombreuses années est en quelque sorte victime de son succès. Depuis sa parution, il a été cité des milliers de fois, chaque itération édulcorant la précédente : à chaque fois, l’écart avec le libellé originel va croissant. C’est l’histoire de la petite fille qui joue au cerceau, et qui, après de nombreuses citations de citations de citations, devient l’histoire d’un guépard qui dévore une gazelle… Certes, j’en conviens, les textes de nos deux auteurs (Attali et Fourtillan) ne sont pas éloignés l’un de l’autre comme une innocente fillette peut l’être d’un guépard carnassier. Mais tant qu’à citer un auteur, autant le faire de manière rigoureuse…

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Précisions avant d’en venir au texte authentique d’Attali :

Le livre L’avenir de la vie (Ed. Seghers, 1981), N’EST PAS UN LIVRE DE JACQUES ATTALI, mais un recueil d’entretiens de personnalités de l’époque, dont Jacques Attali.

Ces entretiens ont été réalisés par le médecin et journaliste Michel Salomon. En 1992, ce Michel Salomon, aujourd’hui tombé dans l’oubli, lance le fameux (à l’époque…) Appel de Heidelberg pour une « écologie rationnelle et scientifique ».

Jusque-là, rien à dire, sauf que cet Appel, (4000 scientifiques et universitaires signataires, dont 72 prix Nobel, mazette…) s’est révélé avoir été largement subventionné par… les lobbies de l’amiante et du tabac ! Incontestablement, cet Appel a fait tache dans la carrière de scientifique et de journaliste de Salomon.

On remarquera – mais c’est naturellement un hasard – que la plupart des contributeurs de L’avenir de la vie sont juifs, dont Michel Salomon lui-même ainsi que l’auteur de la préface, Edgar Morin. On est largement dans l’entre-soi du petit-peuple-qui-a-tant-souffert, et qui maintenant, du moins pour le segment croissant qui se réclame de la tradition talmudique, est en train de nous le faire chèrement payer, à nous-autres, Européens, c’est-à-dire descendants d’Esaü.

Rappelons qu’Esaü (= Edom) – fils aîné d’Isaac, et frère rival de Jacob (littéralement : le fourbe, le trompeur) – s’est fait tondre comme un mouton par son cadet : tout le monde connaît l’histoire du plat de lentilles et la bénédiction crapuleuse accordée à Jacob aux dépends d’Esaü par un Isaac aveugle et quasiment sur son lit de mort, avec la complicité de Rébecca, épouse d’Isaac et mère de Jacob et d’Esaü.

Mais cela est un autre débat.

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Ce que Jacques a dit

Ci-dessous, le fac-simile de l’entretien entre Salomon et Attali dans L’avenir de la vie :

 

Henri Dubost




Pays de merde : grâce à Autain, Dray, Martinez, Attali, la France bientôt au niveau d’Haïti ?

Le Département d’Etat américain vient de publier sa classification annuelle des pays de la planète, selon leur niveau de dangerosité, pour les voyageurs américains. Cette classification comporte 4 niveaux, le 1 étant le plus sûr, et le 4 le plus dangereux.

La France en compagnie de l’Angleterre, de l’Espagne, de l’Italie, de l’Allemagne vient d’entrer au niveau 2 des “shithole countries” (pays de merde). Elle s’y retrouve en bonne compagnie avec la République Démocratique du Congo et le Zimbabwe.

Evidemment, la Pologne, la Hongrie, la République tchèque et la Slovaquie (groupe de Visegrad) sont toutes au niveau 1.

Sans doute déçus par un si piètre classement, certains des “meilleurs” d’entre nous ont décidé que dans le prochain classement, notre pays serait en compagnie d’Haïti – niveau 3 -, voire de la République Centrafricaine -niveau 4 -.

A toute féministe, tout honneur, Clémentine Autain, au micro de Bourdin dit qu’il faut que le droit d’asile soit accordé à tous les demandeurs. Certes, on a battu un record en 2017 – plus de 100 000 demandes acceptées – mais la France peut faire beaucoup mieux. En tant que Mélenchonette, Autain (en emporte le vent) est évidemment farouchement anticolonialiste, sauf si c’est son pays qui est colonisé par tous les grands hommes et les quelques femmes de renommées mondiales qui débarquent sur nos plages en provenance de ce phare de l’humanité qu’est l’Afrique.

« Il ne faut pas pratiquer le tri sélectif », dit-elle.

Révélation : la bobo (et violée la plus célèbre du panorama politique – viol subi à 22 ans sur le chemin de l’université Paris-VIII-Saint-Denis par un type armé d’un couteau – pas de dénonciation sur l’origine du braquemart) n’est pas écolo.

Pas bon pour ton look, cocotte.

Un point Godwin à Julien Dray pour avoir dénoncé les prochaines rafles dans les centres pour clandestins si la loi mollassonne proposée par Emmanuel Macron et Gérard Collomb sur les personnes entrées clandestinement sur notre sol est votée.

« Je sais ce que ça veut dire quand on va donner la possibilité aux services de descendre dans les centres de migrants et cela apparaîtra comme cela », a-t-il jugé quand on lui a demandé s’il connaissait la connotation du mot.

Argument classique des immigrationnistes : déranger les clandestins dans leur installation, dans leur prise de visibilité dans le décor, c’est refaire la rafle du Vel d’Hiv à la puissance 10.

Pas de différence entre l’envoi des juifs vers Auschwitz et la mort, et le renvoi des clandos chez eux. Doit-on penser que Dray banalise la “Shoah” ?

Attention, Julien, t’es pas loin du révisionnisme.

Et voilà, Philippe Martinez, secrétaire général du syndicat communiste CGT, qui y va de son petit couplet, exigeant de derrière sa moustache, que les migrants clandestins puissent se mouvoir en toute liberté dans l’Hexagone : « L’histoire de notre pays et le devoir de notre pays c’est d’accueillir des gens qui sont dans la souffrance, les accueillir tous, tous » et « dans de bonnes conditions ».

Evidemment, cet accueil si généreux sera pris en charge par les contribuables et les travailleurs. J’espère qu’aucun des derniers syndiqués CGT ne verra dans cette prise de position une alliance avec le patronat – le MEDEF réclame également une accélération de l’immigration de masse – au détriment des six millions et demi de chômeurs nationaux.

Fais gaffe, Philippe, tu es en passe de devenir un allié objectif de Gattaz.

Et sur BFM, Jacques Attali s’intéresse à notre âme. Nous risquons de la pourrir si nous ne traitons pas bien les migrants, confie-t-il à Ruth Elkrieff.

Nous le remercions de prendre soins de notre arrière-cour psychique. C’est très gentil.

Quand Jacques Attali va à Calais, il est horrifié.

Par la dégradation de la ville ?

Par l’insécurité qui y règne ?

Par les barrages élevés par les clandestins sur les routes ?

Trop trivial. Trop réel.

« J’ai vu de mes yeux vus, des policiers envoyer du gaz sur des jeunes gens pour les faire partir et on m’a raconté d’autres choses… », dit le thérapeute de nos âmes.

« Nous sommes une nation morale », poursuit l’Attila de la nation.

Il compatit avec le migrant, obligé d’être à Paris ou à Calais alors qu’il préférerait être chez lui, migrant heureusement aidé par « quelques associations magnifiques » mais hélas, « comme dans les années 40 », des Calaisiens dénoncent ceux qui accueillent des migrants chez eux.

Un point Godwin pour Jacquouille !

Avec ce qu’il a gagné comme points G., il devrait les échanger contre ce superbe poster.

Attali est une allégorie de la synthèse CGT-patronat-Dray-Autain.

Peu importe que les Français de souche soient maltraités, ce qui compte ce sont les migrants. Il faut que leur autorisation provisoire de séjour soit accompagnée systématiquement d’une autorisation de travail. Ils sont une « chance pour l’Allemagne », dit le saint homme. Depuis Bernard Stasi, on sait qu’ils le sont aussi pour la France. On peut le constater tous les jours.

Il n’est donc pas normal que la France soit le 5e ou 6e pays d’accueil. Elle doit devenir le premier. Pour cela, Jacquouille est prêt à payer davantage d’impôts et donc à demander aux fripouilles de Bercy de nous dévaliser un peu plus. Et qu’on ne lui parle pas d’appel d’air, un phénomène « imaginaire ».

Quant à la délinquance des migrants, il a une explication : c’est parce qu’ils ne sont pas traités correctement. Si nous leur fournissions travail, compte en banque, crédit illimité non remboursable, diplômes, femmes blanches, automobiles, et sans doute quelques armes, ils ne seraient pas voleurs, violeurs, assassins.

Quelle vision ! Quel grand homme que ce Saint Jacques contemporain !

Les quatre cavaliers de l’Apocalypse migratoire que sont Autain, Dray, Martinez, Attali désirent accélérer notre disparition dans le trou à merde de niveau 4.

Pour cela, ils veulent non seulement que les travailleurs français, les retraités français, les entrepreneurs français, les derniers paysans français, déjà rackettés par le pouvoir en place, paient toujours plus pour accueillir les envahisseurs, mais qu’ils la ferment devant le Grand Remplacement, devant l’islamisation galopante, face à leur mise à mort spirituelle et physique, face à la destruction de leur civilisation.

A mon tour d’avoir un point Godwin : qu’est-il arrivé à quelques traîtres en 1944, à la Libération ?

Marcus Graven




Attali : les réfugiés vont faire de l’Europe la première puissance du monde

Jacques Attali, ce « Dieu vivant qui sait tout » et comme tel sollicité par tous les plateaux télé, se réjouit de l’arrivée en masse des « migrants dignes, magnifiques, souvent bien formés, jeunes, pleins de dynamisme ». La seule chose qu’il ose déplorer est que nous n’en accueillons pas assez.

https://lesobservateurs.ch/2017/10/18/jacques-attali-il-est-honteux-que-leurope-naccueille-pas-ces-migrants-dignes-magnifiques-souvent-bien-formes-jeunes-pleins-de-dynamisme/

Ces migrants seraient l’avenir de la France !  De futures élites ! Grâce à leur goût réputé pour l’étude… ils formeraient les futures équipes de savants européens !

Exit la France moisie, « populiste », rance, vieille, ringarde, franco-française !

Que ces gens issus d’un passé révolu aillent au diable !

« Les réfugiés vont faire de l’Europe la première puissance du monde ! ». Rien de moins !

http://www.lesoir.be/archive/recup/988143/article/debats/2015-09-13/attali-refugies-vont-faire-l-europe-premiere-puissance-du-monde
Bravo Jacquot ! Quel prophète tu fais ! Venus d’Afrique et de pays musulmans derniers de la classe sur tous les plans, d’après  toi, à peine toucheraient-ils les territoires européens que ces migrants se transformeraient en champions du travail, de l’exercice intellectuel ! T’es un fin anthropologue et un subtil psychologue ! Les Allemandes et les Suédoises, déjà bien renseignées et servies par tes « réfugiés dignes et magnifiques », te remercient !

Mais quelques bémols se glissent parfois au sein même des prophéties du Grand Jacquot.  Le futur mirobolant de l’Europe, « première puissance du monde » grâce au talent et à la productivité des migrants, peut évoluer au fil d’un même discours, jusqu’à se transformer en un monde cauchemardesque, inhumain, digne du llle Reich. Mais attention ! sans que ce mondialisme immonde soit en quelque façon  remis en cause ! Car le Grand Jacques porte double casaque et deux discours. L’un se flatte d’être conseiller des Princes (voire même faiseur de Rois, enfin, de Présidents.e.s) et  à ce titre, pour le moins, d’orienter le politique.  L’autre facette du Jacquot est le Prophète, qui voit tout, n’hésite pas à prédire les catastrophes, comme s’il n’y avait en rien contribué ! Regardez cette vidéo jusqu’au bout (20 mn environ) et vous ne serez pas déçu.

https://m.youtube.com/watch?v=k40RpYZlvkQ

Mais trêve de baratin élitaire pro-migrants, pseudo humaniste et pseudo-économique, qui n’a qu’une fonction d’enfumage et de lubrification du corps social, pour faciliter la pénétration massive des hordes migrantes. Préparation préalable du terrain pour que la dictature de l’UE n’ait plus besoin de se cacher derrière  son petit doigt.

Tenons-nous en aux faits :  Il est notoire qu’une infime minorité de migrants travaillent et que la majorité d’entre eux ne sont pas employables. S’ils sont entretenus, nourris, logés et soignés, on peut se douter que, dans une société utilitaire et impitoyable comme la nôtre, c’est parce qu’ils ont vocation à être utiles aux « élites ». Utiles pour remplacer les populations « d’accueil » mais aussi activer cet effacement en faisant le sale boulot (couteaux, machettes, véhicules-béliers divers, kalachnikovs, liste non exhaustive).

Le sens des décisions politiques crève les yeux :

D’un côté nos fossoyeurs aux manettes de l’Etat cassent l’armée et la police (vouées normalement à la défense de la France et des Français), cherchent à désarmer les particuliers détenteurs d’armes.

De l’autre ils ouvrent grand les frontières à des multitudes d’hommes musulmans, jeunes, africains, nord africains, afghans, erithreens, soudanais, échauffés par un baratin culpabilisateur et victimiste, typiquement gauchiste, appris par cœur et reposant sur un alibi post-colonial.

https://www.youtube.com/watch?time_continue=508&v=ZgbtqKmXj6A

https://www.youtube.com/watch?time_continue=508&v=ZgbtqKmXj6A

Un argumentaire victimisme préfabriqué par Macron et ses sbires (qui ont accusé la France d’être un pays coupable de génocide, rien que ça !), prêché et rabâché auprès des migrants par les milices gauchistes, pour susciter leur agressivité. Des migrants très compétents… quand il s’agit de terroriser et tétaniser les populations autochtones dont les « gouvernances »  redoutent le soulèvement. Une main d’œuvre en effet plus utile aux « élites » que nos pauvres SDF, voués comme tous les autochtones à disparaître.

Quand les peuples se battent entre eux, leurs Seigneurs et Maîtres sont tranquilles.

“Diviser pour régner”, vieille stratégie impériale…  Nos sacrificateurs, idéologues soixante-huitards aux manettes institutionnelles et prêts à tout pour les garder, n’ont rien inventé !

Il fallait juste un gros coup de pouce migratoire pour modifier la composition ethnique et religieuse de l’Europe afin de la précipiter dans le chaos, la libanisation. Scénario propice à  la prédation des mafias en tous genres, qui a permis notamment la dissolution de la Yougoslavie.

La submersion migratoire, la dissolution des Nations et des peuples européens, est un passage à l’acte monstrueux qui fait frétiller les banksters mondialistes. Tout épatés par leur propre culot, de voir leur trahison et leur stratégie criminelle s’accomplir sans que soit ébranlée – pour le moment –  la passivité des populations européennes dont ils ont programmé le sacrifice, corps et biens.

Victor Hallidée 




Minc et Attali, prêts à tous les mensonges historiques pour nous imposer l'islam au nom de la mondialisation

Le débat sur l’islam fait couler beaucoup d’encre. Il fait triturer dans tous les sens l’histoire de ce pays, la France, jusqu’à la rendre méconnaissable.
On avait déjà entendu parler le « marxiste » de cabinet de François Mitterrand, un certain Jacques Attali, qui nous a fait sur cette question à controverse un numéro de claquettes à épisode.
Le premier, c’était dans une courte interview de « 20 minutes ». Il y avait alors trouvé, je le cite : « l’islam libérateur ».
Evidemment, ce n’est pas Attali qui doit porter toute sa vie la bourqua, ni devoir subir la lapidation, comme ce jeune couple que l’on a pu récemment voir subir le châtiment suprême, à cause de leur amour coupable, en se faisant écraser la tête, mais pas trop vite, pour que le jeune homme et la jeune fille sentent dans leur chair le prix de leur faute impardonnable aux yeux de la charia et de la coutume. Les deux coupables seront ensuite jetés dans un trou à peine creusé, tout juste recouverts d’une pelletée de terre de quelques centimètres d’épaisseur, comme pour mieux être livrés aux charognards.
Ce n’est pas Jacques Attali dont la famille a dû participer à cette mise à mort sauvage, puis changer de ville ou de village pour échapper aux regards lourds d’opprobre.
Ce n’est pas notre « marxiste de cabinet ministériel » qui doit affronter les potences publiques iraniennes, destinées aux hommes de « mauvaises mœurs », ni se faire assassiner, comme un gouverneur Pakistanais musulman ou comme ce Pakistanais chrétien et ministre des minorités, parce que l’un et l’autre étaient ouvertement opposés à la loi qui réprime, par la peine de mort, le délit de« blasphème »…
Le sieur Attali, -cet ignare prétentieux qui joue au fin connaisseur du Talmud, du Coran et de la Sunna, cet ignare pompeux qui a manifestement oublié que ces aïeux Juifs en Afrique du nord devaient y vivre comme des sans-droit à vie, en leur qualité de dhimmi-, l’ex conseiller du Président Mitterrand, a un compère : C’est Alain Minc, un personnage parfaitement désintéressé lui aussi.
Comme Attali -qui veut nous apprendre une version révolutionnaire de l’histoire de France et de l’Europe, en nous faisant suivre les cours magistraux d’un nouvel universitaire « humoriste » nommé Djamel Debbouze*1-, Alain Minc, taille allègrement dans l’histoire de ce pays.
Interrogé par l’équipe de la « matinale », Alain Minc nous a expliqué : qu’il était pour faire une entorse temporaire à la loi de 1905.
Pourquoi ? Parce qu’en 1905, il n’y avait en France que « trois églises », le catholicisme, le protestantisme et le judaïsme » … qu’elles avaient bénéficié « d’un héritage » de lieux de cultes, lieux pour lesquels le problème c’est que : « le dimanche pour les églises, le samedi pour les synagogues, ces lieux sont vides ». Tandis que ce ne serait pas le cas des mosquées.
Conclusion de monsieur Minc : les musulmans, qui n’étaient pas ici, en France, en 1905, n’ont rien hérité. Il faut donc compenser le fait qu’ils n’ont pas hérité d’un patrimoine existant avant la loi de 1905, en faisant une entorse temporaire, pour eux, à cette loi, pour qu’ils construisent des mosquées.
Monsieur Minc, ce n’est pas beau de mentir. Regardez comme votre nez s’allonge.
Alain Minc cherche à faire accroire, avec la complicité de la jeune journaliste qui le questionne, que les « trois églises » étaient avant 1905 des églises d’Etat, qu’elles étaient trois Eglises officiels, avec lieux de culte financés par les impôts de la République, et avant, que c’était le cas avec la Monarchie. En conséquence, elles (les « trois églises ») disposeraient d’un « héritage » financé par les impôts des Français d’avant la loi de séparation…. Et passez muscade.
Pour qui monsieur Minc prend-il les citoyens français et leur représentation ?
Les prend-il pour des gogos de la porte de Montreuil, auxquels un camelot déploie son art pour vendre coûte que coûte un service d’assiettes, voire une cuisine équipée, dont ils n’ont absolument pas besoin.
Nous sommes en présence d’un pur sophisme. Le sieur Minc nous assène un grossier argument de bateleur politique, un argument de saltimbanque politique qui sait que le journaliste qui l’accueille sur le plateau ne lui fera pas remarquer que : dans ce pays, ni le protestantisme, ni le culte juif, qui ne sont pas des « Eglises », n’ont été religions d’Etat et qu’elles n’ont pas reçu de lieux de culte financés par les impôts de tous avant 1905.
Pour les protestants, comme pour les Juifs vivant en France, les lieux de cultes ont donc été tous construits avec l’argent des fidèles protestants et avec l’argent de ceux des Juifs fréquentant les synagogues, pas avec les impôts.
L’argument de base du sieur Minc, pour justifier la suspension « temporaire » de la loi de 1905, n’est donc qu’un syllogisme artificiel et mensonger : puisqu’avant 1905, « trois Eglises » ont bénéficié de fonds publics pour bâtir leur patrimoine cultuel, puisqu’une quatrième Eglise, l’islam, n’était pas en France avant et, depuis qu’il est présent et bien présent, qu’il souffre d’une mesure prise contre celles qui étaient déjà là, alors, parce que nous ne permettons pas l’inégalité, nous allons mettre l’islam à égalité avec les « trois autres Eglises ». Pour préserver l’égalité, nous allons lui financer des mosquées, avec l’argent des contribuables, comme c’était avant 1905.
Grossier subterfuge et gros mensonge
Il est vrai que grâce à deux ou trois générations de « pédagogistes » -qui ont, avec l’aide des « réformes » et des directives ministérielles, saccagé l’école- ont n’apprend plus grand-chose aux jeunes générations. Mais, tous les Français ne sont pas encore totalement frappés d’une maladie qui aurait totalement fait oublié le passé et qui permettrait aux menteurs professionnels de leur faire avaler une grosse couleuvre anti laïque en acceptant de mettre la main à la poche pour financer un culte qui, de son côté, refuse énergiquement les normes de base de ce pays.
Rappelons ici au duo de comiques involontaires, que l’islam, même en France ou de France, refuse encore, en particulier, le droit d’avoir ou non une religion et le droit d’en changer, surtout lorsque l’on est musulman. Parce qu’un chrétien changeant de religion, pour devenir musulman, ça c’est un droit de changer de religion qui enthousiasme ce brave et bon islam qui « libère » le non musulman de ses « fausses croyances » et/ou de son « impiété ».
Si l’islam, via ses associations, avait dit : nous, c’est comme les autres. Nous, on est une croyance. Si un croyant de chez nous veut sortir de notre croyance, il en a le droit, comme un catholique ou un protestant, ou comme un Juif ; il peut sortir de sa religion pour : ne plus en avoir ou pour en prendre une autre.
Mais, ce n’est pas le cas.
Jean Pierre Chevènement doit s’en souvenir, lui qui s’est fait renvoyer à ses chères études quand, pour chercher à mettre en place ce qui est devenu le CFCM et ses relais régionaux, a expliqué aux associations musulmanes partenaires, que la future structure musulmane devrait être assise sur le Droit français en matière de liberté religion et de Non-religion.
Ses partenaires lui ont opposé la charia.
Ils lui ont imposé un Droit éternel qui n’autorise pas « l’apostasie ».
Les autres religions se sont « gallicanisées ». Elles ont renoncé à la prétention de disposer d’une population moralement captive. L’islam, qui revendique l’égalité de traitement, au moyen d’une suspension temporaire de la loi de 1905, via des hommes comme Minc, et d’autres comme Attali qui le trouve « libérateur et attrayant » (ce qui est personnellement son droit), oublie de nous dire : qu’il ne veut pas être à égalité avec les autres croyances. Il oublie de nous dire, et Attali-Minc à sa suite, qu’il persiste à imposer le dogme constitutif du 7ème siècle. Il refuse de nous dire : qu’on peut être né musulman et devenir autre chose, si on le décide librement.
Les musulmans ont bien le droit d’être musulmans et de vouloir le rester, mais ils n’ont pas le droit, sous prétexte « d’égalité », de nous faire devenir, malgré nous et contre nos convictions en matière de liberté de religion et de non-religion, ses bailleurs de fonds.
Alain Rubin
(1) Comme le réaliste soldat d’indigène, fantassin dans une unité d’assaut, tirant au fusil une main dans la poche, l’historien Debbouze fait des recherches historiques, « une main dans la poche ». Il fait des découvertes historiques du même acabit. C’est ainsi qu’il découvre que l’islam existait deux millénaires et demi avant l’apparition du prédicateur arabe de la Mecque-Médine et précédant sa révélation (coran). « L’islam aurait 3000 ans d’existence en France et s’y serait déployé avant le christianisme ». Notre marxiste de ministère, et d’autres institutions non fondées sur le bénévolat, reprend cette extraordinaire « découverte », faisant précéder le christianisme, en France, par l’islam. Ainsi, les armées franques mérovingiennes qui stopperont le djihad initial devant Poitiers (732), la civilisation gallo-romaine, les Celtes et les Romains, auraient d’abord été frottés au prêche coranique, avant de découvrir la parole des missionnaires chrétiens et d’être entrainés dans le christianisme général faisant suite à la conversion de Clovis….




Minc et Attali, prêts à tous les mensonges historiques pour nous imposer l’islam au nom de la mondialisation

Le débat sur l’islam fait couler beaucoup d’encre. Il fait triturer dans tous les sens l’histoire de ce pays, la France, jusqu’à la rendre méconnaissable.
On avait déjà entendu parler le « marxiste » de cabinet de François Mitterrand, un certain Jacques Attali, qui nous a fait sur cette question à controverse un numéro de claquettes à épisode.
Le premier, c’était dans une courte interview de « 20 minutes ». Il y avait alors trouvé, je le cite : « l’islam libérateur ».

Evidemment, ce n’est pas Attali qui doit porter toute sa vie la bourqua, ni devoir subir la lapidation, comme ce jeune couple que l’on a pu récemment voir subir le châtiment suprême, à cause de leur amour coupable, en se faisant écraser la tête, mais pas trop vite, pour que le jeune homme et la jeune fille sentent dans leur chair le prix de leur faute impardonnable aux yeux de la charia et de la coutume. Les deux coupables seront ensuite jetés dans un trou à peine creusé, tout juste recouverts d’une pelletée de terre de quelques centimètres d’épaisseur, comme pour mieux être livrés aux charognards.

Ce n’est pas Jacques Attali dont la famille a dû participer à cette mise à mort sauvage, puis changer de ville ou de village pour échapper aux regards lourds d’opprobre.
Ce n’est pas notre « marxiste de cabinet ministériel » qui doit affronter les potences publiques iraniennes, destinées aux hommes de « mauvaises mœurs », ni se faire assassiner, comme un gouverneur Pakistanais musulman ou comme ce Pakistanais chrétien et ministre des minorités, parce que l’un et l’autre étaient ouvertement opposés à la loi qui réprime, par la peine de mort, le délit de« blasphème »…

Le sieur Attali, -cet ignare prétentieux qui joue au fin connaisseur du Talmud, du Coran et de la Sunna, cet ignare pompeux qui a manifestement oublié que ces aïeux Juifs en Afrique du nord devaient y vivre comme des sans-droit à vie, en leur qualité de dhimmi-, l’ex conseiller du Président Mitterrand, a un compère : C’est Alain Minc, un personnage parfaitement désintéressé lui aussi.

Comme Attali -qui veut nous apprendre une version révolutionnaire de l’histoire de France et de l’Europe, en nous faisant suivre les cours magistraux d’un nouvel universitaire « humoriste » nommé Djamel Debbouze*1-, Alain Minc, taille allègrement dans l’histoire de ce pays.
Interrogé par l’équipe de la « matinale », Alain Minc nous a expliqué : qu’il était pour faire une entorse temporaire à la loi de 1905.

Pourquoi ? Parce qu’en 1905, il n’y avait en France que « trois églises », le catholicisme, le protestantisme et le judaïsme » … qu’elles avaient bénéficié « d’un héritage » de lieux de cultes, lieux pour lesquels le problème c’est que : « le dimanche pour les églises, le samedi pour les synagogues, ces lieux sont vides ». Tandis que ce ne serait pas le cas des mosquées.
Conclusion de monsieur Minc : les musulmans, qui n’étaient pas ici, en France, en 1905, n’ont rien hérité. Il faut donc compenser le fait qu’ils n’ont pas hérité d’un patrimoine existant avant la loi de 1905, en faisant une entorse temporaire, pour eux, à cette loi, pour qu’ils construisent des mosquées.

Monsieur Minc, ce n’est pas beau de mentir. Regardez comme votre nez s’allonge.
Alain Minc cherche à faire accroire, avec la complicité de la jeune journaliste qui le questionne, que les « trois églises » étaient avant 1905 des églises d’Etat, qu’elles étaient trois Eglises officiels, avec lieux de culte financés par les impôts de la République, et avant, que c’était le cas avec la Monarchie. En conséquence, elles (les « trois églises ») disposeraient d’un « héritage » financé par les impôts des Français d’avant la loi de séparation…. Et passez muscade.

Pour qui monsieur Minc prend-il les citoyens français et leur représentation ?
Les prend-il pour des gogos de la porte de Montreuil, auxquels un camelot déploie son art pour vendre coûte que coûte un service d’assiettes, voire une cuisine équipée, dont ils n’ont absolument pas besoin.

Nous sommes en présence d’un pur sophisme. Le sieur Minc nous assène un grossier argument de bateleur politique, un argument de saltimbanque politique qui sait que le journaliste qui l’accueille sur le plateau ne lui fera pas remarquer que : dans ce pays, ni le protestantisme, ni le culte juif, qui ne sont pas des « Eglises », n’ont été religions d’Etat et qu’elles n’ont pas reçu de lieux de culte financés par les impôts de tous avant 1905.
Pour les protestants, comme pour les Juifs vivant en France, les lieux de cultes ont donc été tous construits avec l’argent des fidèles protestants et avec l’argent de ceux des Juifs fréquentant les synagogues, pas avec les impôts.

L’argument de base du sieur Minc, pour justifier la suspension « temporaire » de la loi de 1905, n’est donc qu’un syllogisme artificiel et mensonger : puisqu’avant 1905, « trois Eglises » ont bénéficié de fonds publics pour bâtir leur patrimoine cultuel, puisqu’une quatrième Eglise, l’islam, n’était pas en France avant et, depuis qu’il est présent et bien présent, qu’il souffre d’une mesure prise contre celles qui étaient déjà là, alors, parce que nous ne permettons pas l’inégalité, nous allons mettre l’islam à égalité avec les « trois autres Eglises ». Pour préserver l’égalité, nous allons lui financer des mosquées, avec l’argent des contribuables, comme c’était avant 1905.

Grossier subterfuge et gros mensonge

Il est vrai que grâce à deux ou trois générations de « pédagogistes » -qui ont, avec l’aide des « réformes » et des directives ministérielles, saccagé l’école- ont n’apprend plus grand-chose aux jeunes générations. Mais, tous les Français ne sont pas encore totalement frappés d’une maladie qui aurait totalement fait oublié le passé et qui permettrait aux menteurs professionnels de leur faire avaler une grosse couleuvre anti laïque en acceptant de mettre la main à la poche pour financer un culte qui, de son côté, refuse énergiquement les normes de base de ce pays.

Rappelons ici au duo de comiques involontaires, que l’islam, même en France ou de France, refuse encore, en particulier, le droit d’avoir ou non une religion et le droit d’en changer, surtout lorsque l’on est musulman. Parce qu’un chrétien changeant de religion, pour devenir musulman, ça c’est un droit de changer de religion qui enthousiasme ce brave et bon islam qui « libère » le non musulman de ses « fausses croyances » et/ou de son « impiété ».
Si l’islam, via ses associations, avait dit : nous, c’est comme les autres. Nous, on est une croyance. Si un croyant de chez nous veut sortir de notre croyance, il en a le droit, comme un catholique ou un protestant, ou comme un Juif ; il peut sortir de sa religion pour : ne plus en avoir ou pour en prendre une autre.
Mais, ce n’est pas le cas.

Jean Pierre Chevènement doit s’en souvenir, lui qui s’est fait renvoyer à ses chères études quand, pour chercher à mettre en place ce qui est devenu le CFCM et ses relais régionaux, a expliqué aux associations musulmanes partenaires, que la future structure musulmane devrait être assise sur le Droit français en matière de liberté religion et de Non-religion.
Ses partenaires lui ont opposé la charia.
Ils lui ont imposé un Droit éternel qui n’autorise pas « l’apostasie ».

Les autres religions se sont « gallicanisées ». Elles ont renoncé à la prétention de disposer d’une population moralement captive. L’islam, qui revendique l’égalité de traitement, au moyen d’une suspension temporaire de la loi de 1905, via des hommes comme Minc, et d’autres comme Attali qui le trouve « libérateur et attrayant » (ce qui est personnellement son droit), oublie de nous dire : qu’il ne veut pas être à égalité avec les autres croyances. Il oublie de nous dire, et Attali-Minc à sa suite, qu’il persiste à imposer le dogme constitutif du 7ème siècle. Il refuse de nous dire : qu’on peut être né musulman et devenir autre chose, si on le décide librement.

Les musulmans ont bien le droit d’être musulmans et de vouloir le rester, mais ils n’ont pas le droit, sous prétexte « d’égalité », de nous faire devenir, malgré nous et contre nos convictions en matière de liberté de religion et de non-religion, ses bailleurs de fonds.

Alain Rubin

(1) Comme le réaliste soldat d’indigène, fantassin dans une unité d’assaut, tirant au fusil une main dans la poche, l’historien Debbouze fait des recherches historiques, « une main dans la poche ». Il fait des découvertes historiques du même acabit. C’est ainsi qu’il découvre que l’islam existait deux millénaires et demi avant l’apparition du prédicateur arabe de la Mecque-Médine et précédant sa révélation (coran). « L’islam aurait 3000 ans d’existence en France et s’y serait déployé avant le christianisme ». Notre marxiste de ministère, et d’autres institutions non fondées sur le bénévolat, reprend cette extraordinaire « découverte », faisant précéder le christianisme, en France, par l’islam. Ainsi, les armées franques mérovingiennes qui stopperont le djihad initial devant Poitiers (732), la civilisation gallo-romaine, les Celtes et les Romains, auraient d’abord été frottés au prêche coranique, avant de découvrir la parole des missionnaires chrétiens et d’être entrainés dans le christianisme général faisant suite à la conversion de Clovis….