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5 et 4 ans de prison pour 2 Marocains en OQIT pour agression à la machette

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Châteauroux confrontée aux bonnes vieilles méthodes africaines…. Il parait que cette ville abriterait des migrants en situation irrégulière. Incroyable, non ?

Fait suffisamment rare : le 25 novembre, Agnès Auboin, procureure de la République de Châteauroux, a demandé et obtenu l’application de la loi contre deux marocains en OQIT après une agression à la machette. Leux hommes de 25 et 23 ans, Marocains en situation irrégulière, ont été condamnés pour des faits de violences avec machette, perpétrés dans la nuit du 28 au 29 septembre 2021, dans un appartement de Châteauroux. Leurs deux victimes avaient écopé de 30 jours d’ITT.

Les faits dans cette paisible commune de France ? Il était à peu près 23 h quand Abdel et Youssef, qui vivaient depuis 8 mois chez Karim, ont décidé d’aller frapper chez leur voisine du dessus, où se trouvait Mohamed. Ce dernier a été contraint de quitter le logement et obligé de les suivre au rez-de-chaussée, chez Karim. Là, durant des heures, il a été tabassé, humilié, s’est fait uriner dessus et a finalement été retrouvé quasi-inanimé, comme le révèlent nos confrères de la rédaction de La Nouvelle République. L’agression, filmée, a servi de base aux enquêteurs pour déterminer les différentes responsabilités dans cette histoire un peu compliquée.

La victime à la barre du tribunal : « Ils m’ont coupé avec une mâchette »

La victime a expliqué aux magistrats avoir été agressée par ces deux-là car, quelques jours avant, il avait « témoigné contre un de leurs amis, qui tapait sa femme ». « C’est pour ça qu’ils m’ont tapé, avec un bâton, et qu’ils m’ont coupé avec une machette. Ils m’ont aussi attaché à une chaise, puis mis à genoux. Là, ils m’ont filmé en train de demander pardon à leur ami… »

L’ami des agresseurs, qui fait l’objet d’un mandat d’arrêt, n’était pas présent au tribunal. Le calvaire de la victime s’est arrêté quand la police est arrivée sur les lieux, prévenue par des voisins qui avaient entendu des hurlements. Les prévenus ont tenté de prendre la fuite, le premier a été retrouvé sur le toit du petit immeuble, l’autre caché dans le hall d’une habitation voisine. Ils ont été interpellés, entendus, et compte tenu de la violence des faits qui leurs étaient reprochés, placés en détention provisoire.

Si Mohamed a été grièvement blessé, le locataire de l’appartement, Karim, a lui aussi été violenté par les deux frères, qui lui ont notamment cassé le bras. Les deux victimes ont écopé de 30 jours d’incapacité totale de travail (ITT).

« Le procès de l’immigration clandestine »

Les débats ont houleux, les avocats des agresseurs tentant de politiser le débat judiciaire en essayant de démontrer que les deux prévenus obéissaient au donneur d’ordre, qui était leur dealer, et qui exerçait sur eux une forme de chantage lié à leur situation administrative.

Dans son réquisitoire, Agnès Auboin, procureure de la République, a notamment parlé  » de volonté d’humilier « , « de scène de décapitation mimée », et a prononcé un réquisitoire de 5 ans de prison pour les trois prévenus.

Les avocats d’Abdel et Youssef ont évoqué « des petites mains qui exécutaient la sale besogne » et « le procès de l’immigration clandestine, de la misère sociale, avec deux proies idéales, qui quoi qu’il arrive n’allaient pas parler. »

La présidente du tribunal a condamné le donneur d’ordre à 5 ans de prison, avec un mandat d’arrêt à la clé. Abdel et Youssef ont été condamnés à 4 ans de prison, avec une interdiction définitive d’accès au territoire français qui sera effective dès leur peine effectuée. Si la loi avait été appliquée dès le départ à l’égard des racailles condamnées le 25 novembre, ce nouveau fait divers glauque n’aurait pas eu lieu dans cette paisible ville de province. Et combien d’actes similaires, chaque jour, passés sous silence par la presse ?

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Comme on li voit ci-dessus, il y avait déjà eu des précédents à Châteauroux…
Francis GRUZELLE

Journaliste et écrivain
Carte de Presse 55411

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Grâce à Isabelle Surply, nouvelle victoire sur l’islamisme à l’ENS de Lyon

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Avant cette nouvelle victoire Lyonnaise, Isabelle Surply la patriote a obtenu l’expulsion de l’imam intégriste de la mosquée de Saint-Chamond dans la Loire, à la surprise générale, après un combat de plusieurs mois pour que force reste à la loi.

Lundi 31 octobre, la conseillère régionale ex-RN d’Auvergne-Rhône-Alpes Isabelle Surply a fait exclure une association islamiste étudiante de l’École normale supérieure de Lyon. Témoignage du combat d’une militante patriote hors normes qui ne lâche rien.

💪🏻NOUVELLE VICTOIRE contre l'#Islamisme !
Dans cette vidéo, je vous explique comment nous avons fait exclure une association islamiste étudiante de l'@ENSdeLyon.
Prochaine étape : sa dissolution auprès de la Préfecture du Rhône.
Faites-le savoir : je ne lâcherai jamais rien ⬇️ pic.twitter.com/0FSm0Kb1Cf

— Isabelle SURPLY (@IsabelleSurply) October 31, 2022

C’est une belle victoire pour La militante patriote Isabelle Surply !

Dans cette affaire où l’islam militant bafouait une fois encore les lois de la République et la laïcité, la Région Auvergne-Rhône-Alpes et son président Laurent Wauquiez sont montés au créneau.

Si cette association islamiste étudiante   a été acceptée par l’ENS Lyon, il n’en était pas de même des catholiques, puisque l’aumônerie catholique de l’école a été supprimée récemment, comme l’explique Isabelle Surply, « Lors du forum des associations de l’ENS début octobre, explique la conseillère régionale, l’AMENS exposait un stand où se trouvaient des livres ouvertement salafistes, un courant extrêmement radical de l’islam ». Alertée, la région Auvergne-Rhône-Alpes a annoncé « être extrêmement vigilante » et avoir saisi le rectorat. Une mesure dont s’est félicitée Isabelle Surply sur Twitter. Qui prévient tout de même : « Je compte bien saisir la préfecture du Rhône pour faire dissoudre purement et simplement cette association ».

Il y a quelques mois, Isabelle Surply avait fait expulser l’imam intégriste de la mosquée de Saint-Chamond dans la Loire, à la surprise générale.

« L’expulsion et la reconduite aux Comores de l’imam de la mosquée de Saint-Chamond, Mmadi Ahamada, c’est ma victoire ! » explique sans détour Isabelle Surply, conseillère municipale de la ville et élue régionale qui nous précise au téléphone : « Mais c’est aussi la victoire de tous ceux qui m’ont soutenue. »

Il est évident que, sans elle, rien ne serait arrivé. Le gouvernement d’Emmanuel Macron et Gérald Darmanin toléraient les prêches prônant la soumission des femmes, leur interdiction du lieu de prière sous prétexte fallacieux du Covid et voile obligatoire pour les petites filles. Sans compter les liens affichés par l’imam avec la figure de la mouvance salafiste (aujourd’hui décédé) Rachid Haddache.

Tous ces faits inadmissibles ont eu le don de galvaniser l’énergie de cette mère de famille de 37 ans qui « compte bien participer coûte que coûte à la conservation de notre modèle de vie christiano-occidental ». Forte de son expérience de conseillère en entreprise, l’élue n’a cessé d’interpeller les autorités publiques. D’abord via les réseaux, puis par mail et lettres recommandées envoyées toutes les semaines aux services de la préfecture de la Loire. L’élue a  pilonné les autorités « pour qu’elles n’aient pas d’autre choix que d’appliquer la loi qui est bien faite », alertant sans relâche les médias, ces « formidables leviers ». « Une manière aussi de faire comprendre aux gens que lorsqu’ils sont impliqués, leurs élus sont efficaces. »

Des efforts qui ont porté leurs fruits : Gérald Darmanin a été obligé de se saisir saisi de l’affaire et a entamé une procédure qui s’est soldée, ce lundi 2 mai 2022 (« jour de l’aïd ! », souligne malicieusement Isabelle Surply), par l’expulsion de l’imam Mmadi Ahmada.

À 18 ans, Isabelle adhère au Front national

Depuis toujours, cette grande et belle jeune femme affiche une énergie et une combativité qui forcent l’admiration. Tant son courage est immense. L’échec du « vivre ensemble », elle connaît, elle l’a vécu. Lors de ses années de collège à La Seyne-sur-Mer. Elle raconte : « Là-bas j’étais celle qui se fait harceler ; trop catho, trop bien élevée, trop “première de classe ”, ils m’ont même fait manger de la boue ! ». Jusqu’à ce jour où, contrainte de se déplacer avec des béquilles, un camarade lui fait un crochet-patte. Elle ajoute : « Ce jour-là, j’ai vidé mon casier et j’ai annoncé à mes parents que je n’y retournerais plus. Je les ai suppliés de m’inscrire dans un pensionnat catholique, chez les religieuses. »

Le goût du militantisme et de la politique, c’est son père qui l’a transmis à Isabelle Surply. Elle se souvient, comme si c’était hier : « En famille, on en parlait beaucoup. » . Logiquement à  18 ans, elle adhère au Front national et rejoint tout naturellement les rangs de la Manif pour tous car, pour elle, « la défense de la vie, c’est sacré ». Devenue stéphanoise d’adoption, elle est élue au conseil régional d’Auvergne-Rhône-Alpes depuis 2015, puis à la municipalité de Saint-Chamond en 2020, ville de 35.000 habitants. Elle revendique aujourd’hui le statut de conservatrice et de populiste au sens où « militer, c’est s’occuper des gens, et les gens, je les aime ! » clame la jeune élue.

Isabelle Surply se veut aussi une lanceuse d’alerte. Un exercice dangereux dans la France de Macron. Car, depuis le mois de mars 2022, l’élue est sous le coup d’une mise en examen pour diffamation à l’initiative du Conseil du culte musulman pour les mêmes propos qui ont permis aux autorités d’expulser l’imam. Une situation kafkaïenne… Mais bien française.

Des faits bien plus graves ont bouleversé le quotidien d’Isabelle Surply, : les menaces de mort, de décapitation, de viol, de « On va tuer tes bébés » sont devenues le quotidien d’Isabelle Surply. Du jour où, en 2016, elle poste une vidéo sur les réseaux sociaux d’un rassemblement de femmes voilées dans une rue de Lyon avec ce commentaire : « Ai-je encore le droit de dire que je ne suis plus chez moi ? ». Terrible constat dans la France de 2022.

Elle dépose plainte. Huit ou neuf fois, sans succès. Isabelle Surply avoue : « Jusqu’à aujourd’hui, j’étais un peu naïve, je pensais que c’était normal, ce silence des autorités. » Mais aujourd’hui, ses amis et l’ASLA (Association de soutien des lanceurs d’alerte) qui lui ont spontanément fourni un avocat et constitué une cagnotte pour ses frais de justice lui font prendre conscience que « tout ça peut très mal se terminer pour elle et sa famille ». Une situation qui justifierait sa mise sous protection par l’État qui ne vient pas. Car Isabelle Surply indispose Gérald Darmanin et la clique au pouvoir !

Pas facile d’être une patriote dans la France de 2022. Pas facile de faire appliquer la loi dans la République d’Emmanuel Macron, dans une France qui s’islamise jour après jour, avec la complicité des élites gauchistes, des ministres, de nombreux juges aux ordres d d’un pouvoir décadent et aux abois.

Francis GRUZELLE
Journaliste et écrivain
Carte de Presse 55411

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A St-Étienne, Oussama A. marchait armé d’un couteau en criant “Allah Akbar”

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A Saint-Étienne, dans la Loire, les policiers ont arrêté Oussama A., un individu qui marchait dans la rue armé d’un couteau en criant “Allah Akbar”. Il a menacé de mort les agents et fait l’apologie du terrorisme. Il était visé par une OQTF. L’auteur, âgé de 31 ans, est en situation irrégulière et visé par une Obligation de quitter le territoire (OQTF). Il a été placé en garde à vue.

Scène presque ordinaire dans une France à la dérive. Des policiers de Saint-Etienne (Loire) ont interpellé Oussama A., un individu de 31 ans qui marchait dans la rue muni d’un couteau en criant «Allah Akbar». Apologie caractérisée du terrorisme et menace envers une personne dépositaire de l’autorité publique (PDAP) ont motivé l’arrestation de cet individu de 31 ans. Il a été interpellé par des agents de police à Saint-Etienne . L’homme marchant dans la rue armé d’un couteau en criant «Allah Akbar» ,’a pas eu le temps de faire des victimes.

Selon les sources policières, il s’agit d’un certain Oussama A., connu des services de police et faisant l’objet d’une Obligation de quitter le territoire (OQTF).

UN POLICIER BLESSÉ

« La scène s’est déroulée vers 20h40, lorsqu’à l’approche des fonctionnaires venus l’interpeller, l’individu s’est rebellé tout en faisant l’apologie du terrorisme et menaçant de mort les policiers, dont un a été blessé. » confirme un magistrat du parquet de Saint-Etienne joint par téléphone.

Le policier blessé s’est vu attribuer un jour d’incapacité totale de travail.

Le véhicule de police a également été dégradé par des coups de pieds de l’interpellé.

Selon l’article 433-3 du Code pénal, toute personne menaçant de commettre un crime ou un délit dans ce même contexte est susceptible d’écoper d’une amende de 75.000 euros et de cinq ans d’emprisonnement.

Mais, la loi française, très stricte au niveau des textes, sera-t-elle correctement appliquée et rendue pour Oussama A. ?

Francis GRUZELLE
Journaliste et écrivain
Carte de Presse 55411

 

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Darmanin excuse la meurtrière de Lola, les narco font la loi à Nantes et Marseille

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Darmanin excuse la meurtrière de Lola, les narco font la loi à Nantes et Marseille

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Les fusillades des narcotrafiquants dans les grandes villes et les cités témoignent de l’impuissance du ministre de l’intérieur Gérald Darmanin.

A quoi sert le ministre de l’intérieur Gérald Darmanin ?  Le locataire gratuit de la place Beauvau n’avait toujours pas réagi dans la journée de lundi, au meurtre de Lola, pas davantage que le ministre de la justice Éric Dupond-Moretti. Silence radio aussi du président Emmanuel Macron. Le même Darmanin s’était déplacé par avion à Rennes quelques minutes après qu’un tag ait été découvert sur la mosquée. Interrogé par Calvi, Gérald Darmanin ose affirmé que « cela faisait à peine 1 mois que l’Algérienne meurtrière de Lola devait quitter la France ». Il insiste sur le fait qu’elle n’était pas connue des services de police, donc pour lui, « c’est normal qu’une personne qui doit quitter le pays y soit encore un mois plus tard. ». Il insiste aussi sur le fait que l’assassin aurait été victime de violences conjugales, autrement dit « le discours de l’excuse pour justifier l’inaction de l’Etat, voire excuser le crime abominable ».

Et pendant que Gérald Darmanin disserte sur les plateaux de télévision, le narcobanditisme prend ses quartiers à Nantes et à Marseille. Un constat effectué par nos confrères de la rédaction du quotidien Le Monde qui écrivent « Aujourd’hui, on est face à des jeunes qui sont parfois montés très vite [dans le trafic] et qui sont sans foi ni loi »,  en citant un enquêteur de police aguerri. « On voit beaucoup plus de gros calibres, d’armes de guerre. Ça tire à tout-va et parfois même à l’aveuglette. Plus rien ne semble réfléchi. On est dans l’épidermique. Il n’y a même plus de souci de discrétion. »

A Nantes, les innocentes victimes collatérales des narcotrafiquants tombent elles aussi. Ainsi, Esteban, 18 ans, s’est effondré un soir au pied d’un immeuble, dans la cité d’à côté. Rue Théophile-Guillou, à Saint-Herblain, en périphérie de Nantes. Une Audi s’est arrêtée. Deux détonations ont claqué dans la nuit. Le jeune homme a été tué d’une balle dans le dos. Par erreur. Il était au mauvais endroit au mauvais moment.

Les parents de la victime Stéphanie et David Le Costevec crient leur désespoir. Stéphanie et David Le Costevec n’en savaient rien, mais ce petit quartier discret, qui ne porte même pas vraiment de nom, abritait l’un des trente points de deal alors recensés dans l’agglomération nantaise. « On a toujours su que notre fils s’était trouvé au mauvais endroit au mauvais moment », dit aujourd’hui Mme Le Costevec. Esteban, jeune garçon « sans histoire », intérimaire en maçonnerie, a été pris à son insu dans ce qu’ils appellent « une guerre de territoires »… 

 A Marseille, la guerre de la drogue tue des hommes de plus en plus jeunes

Encore trois jeunes hommes, âgés de 24 à 27 ans, connus de la justice pour avoir été mêlés à des affaires de drogue pour l’un, de violences avec arme pour le deuxième, et de transport d’arme pour le dernier, ont été interpellés mi-septembre au terme de minutieuses investigations, menées par la Direction territoriale de la police judiciaire (DTPJ) de Nantes. Le mobile paraît se confirmer : visés par une bande rivale lors d’une précédente fusillade en juin 2019 dans un autre quartier nantais, Bellevue, les suspects auraient tiré ce soir-là « en réponse ».

Pendant que Gérald Darmanin est aux abonnés absents, à Marseille la guerre de la drogue tue des hommes de plus en plus jeunes. Trente-cinq règlements de comptes, qui ont fait vingt-quatre morts et de nombreux blessés, ont déjà eu lieu au cours des neuf premiers mois de l’année dans la cité phocéenne. Sans susciter de réaction particulière de la part du même Gérald Darmanin.

Heureusement, à défaut d’un ministre de l’intérieur compétent, les policiers Marseillais disposent de performantes écoutes téléphoniques.

« Et moi, je vais l’éclater. Il faut trouver la moto. J’ai les soldats, des gens vaillants, j’ai les armes, j’ai une guitare [kalachnikov]. Tu fais mon pilote, si je l’éclate à lui ? Et on récupère toi et moi le charbon [plan de revente de drogue]. A 180 000 [euros] dans le mois, tu gagnes des sous là ! Toutes les semaines, tu as ton enveloppe. Nous, on monte pas au quartier. Quand y a un problème, on rafale, on tire, on les massacre ! » Lorsqu’ils captent cette conversation, le 14 avril 2020, grâce à un micro dissimulé dans le véhicule d’un homme qu’ils soupçonnent d’être un trafiquant, les policiers n’en croient pas leurs oreilles. Ils ont là les préparatifs d’un règlement de comptes destiné à reprendre le point de vente de stupéfiants de la cité marseillaise du Petit Séminaire (13e arrondissement).

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Selon un commissaire de police de la cité phocéenne, joint par téléphone, « Bon nombre de ces fusillades sont qualifiées de tentatives d’assassinat, cela étant dû à la « maladresse » des auteurs ou à l’usage d’armes qui s’enrayent, signatures d’un certain amateurisme aux yeux des policiers. Dans une ville où même les médias tiennent la comptabilité morbide des règlements de comptes, la police judiciaire et les magistrats chargés de la lutte contre le narcobanditisme redoutent que le chiffre final soit, en 2022, plus élevé qu’en 2021, déjà une année noire, avec trente-cinq règlements de comptes et trente morts, marquée par un pic durant l’été, avec dix-neuf règlements de comptes ».

Gérald Darmanin oublie une chose : tous les français ne sont pas favorables aux égorgements dans les rues, aux fusillades du grand banditisme, au grand remplacement et à une immigration de masse.

Francis GRUZELLE
Journaliste et écrivain
Carte de Presse 55411

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11 septembre : tentative de détournement d’un avion obligé de se poser à Lyon

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L’homme, présent dans l’allée centrale, a tenté de forcer le cockpit et menaçait les passagers d’un vol Nice-Paris, dimanche 11 septembre

On apprend seulement aujourd’hui qu’un homme a tenté de forcer le cockpit d’un avion se dirigeant vers Paris, le 11 septembre dernier (qui correspond à un anniversaire funeste). Le vol a dû être dérouté d’urgence à Lyon. On en sait plus ce mercredi. L’incident s’est déroulé sur un vol easyJet Nice-Paris qui a été dérouté en urgence à Lyon en fin de matinée, dimanche 11 septembre 2022. En cause : le comportement suspect d’un passager qui a menacé le personnel de bord pour tenter d’entrer dans la cabine de pilotage.

Les autorités ont refusé de fournir l’identité de l’auteur de cet acte. On sait seulement que, dès le décollage, l’homme assis dans l’avion est très agité. « Il a demandé à voir le pilote », indique l’une des passagères, contactée par téléphone plusieurs jours après les faits. La situation empire alors dans les airs. L’homme, très menaçant, circule dans alors l’allée. Il divague, menace, insulte les passagers et les hôtesses du vol à destination de Paris.

Selon la passagère interrogée, « Il disait aux hôtesses : « toi, je te prends par le fion ». Il insultait les gens d’obèses, il insultait les femmes… » La situation devient de plus en plus tendue : « il nous a demandé si on tenait à nos petites vies. Il avait les yeux explosés. »

La tension monte alors au point que l’homme se rue vers le cockpit et tente de forcer la porte de celui-ci. « Heureusement, une hôtesse s’est interposée », indique une passagère, et il semblerait que la cabine de pilotage ait été verrouillée…

Arrêté et transféré à l’hôpital psychiatrique Le Vinatier

Le pilote contacte alors la tour de contrôle de Lyon et annonce à la radio que l’avion va être dérouté à l’aéroport de Lyon Saint-Exupéry. À l’atterrissage, en fin de matinée, les gendarmes des transports aériens ont interpellé l’individu.

Selon les informations fournies ^par la préfecture de région du Rhône, « l’homme a ensuite été placé en garde à vue, mais cette dernière a été levée sur décision médicale ». Ben voyons…

Toujours selon les autorités qui ont refusé d’indiquer le prénom et le nom de l’auteur (ce qui peut laisser supposer qu’il ne serait pas français), l’individu « souffrirait de troubles d’ordre psychologique, ce qui expliquerait son comportement excessif dans l’avion ». Il a été conduit à l’hôpital psychiatrique Le Vinatier, à Bron, dans la banlieue de Lyon.

Une question se pose désormais aujourd’hui : avec tous les anciens terroristes libérés (plus d’une centaine par an) des prisons françaises, la sécurité est-elle assurée dans les transports aériens ?

Francis GRUZELLE
Journaliste et écrivain
Carte de Presse 55411

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44 000 attaques au couteau par an en France, et l’Etat ne fait rien !

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Il y a 7 ans, la France était sous le choc  : le chef d’entreprise Hervé Cornara était décapité par un islamiste et sa tête accrochée au grillage d’enceinte de son entreprise. Depuis, les attaques au couteau mortelles se sont banalisées.

« L’Etat Macron » n’a cessé de restreindre la vente et la possession des armes à feu, au motif que celles-ci seraient dangereuses. Pourtant, la plupart des meurtres commis dans notre pays sont perpétrés à l’aide d’un couteau. Les chiffres sont là, même si la presse quotidienne, toujours aux ordres d’un pouvoir aux abois, passe sous silence les nombreux égorgements de français, et lorsqu’elle le fait, passe sous silence les prénoms et noms des auteurs.

Lundi 29 août, peu de médias ont relaté cette attaque au couteau, survenue avenue Bujault, non loin du bas de la Brèche à Niort. Pourtant, dimanche, peu avant 20 heures, deux hommes sont agressés à coups de couteau par un troisième qui tente de prendre la fuite. L’un d’eux, Ammar, 49 ans, va succomber, poignardé à plusieurs reprises. Le principal suspect Abbas sera interpellé peu après par la police de Niort, encerclé par de nombreux témoins qui ont assisté à la scène.

Et nos confrères d’Ouest France distillent le charabia habituel : « ​Mis en examen pour assassinat, Abbas, 42 ans, vivait depuis plusieurs années dans les Deux-Sèvres. Il travaillait, louait un appartement, ses papiers étaient en règle. Ceux qui le connaissent ne comprennent pas…. ». Ben voyons, un brave mec, subitement déséquilibré !

Meurtres : actualités en direct – Ouest-France.fr

https://www.ouest-france.fr/faits-divers/meurtres
Un autre exemple le 1 er septembre 2022 :

Essonne : un homme de 42 ans tué d’un coup de couteau, sa …

https://www.francebleu.fr/infos/faits-divers-justice/essonne-une-femme…
Pourtant les chiffres officiels (minorés ?) sont terribles. Chaque jour, 120 français sont attaqués au couteau dans les rues de nos villes et de nos campagnes.

120 attaques au couteau ont-elles lieu chaque jour en France

https://www.tf1info.fr/justice-faits-divers/120-attaques-au-couteau-ont-elles-lieu..
Ce chiffre est fourni par la sénatrice LR Valérie Boyer qui affirme « qu’il y a 120 attaques au couteau chaque jour en France ». « La France orange mécanique », conclut la sénatrice des Bouches-du-Rhône dans un tweet, faisant le décompte des derniers faits divers de ce type. L’élue de la République égrène les assassinats survenus sur une courte période de 48 h « Toulouse un blessé, Loriol S/Drome un mort, Metz un mort, Amiens un mort, Angers 3 morts… Ces tragédies sont classées/cachées à la rubrique faits-divers alors qu’il s’agit de faits de société ! ».

Le choc des chiffres, le poids des mots. Déjà le 7 juillet 2022, dans une question écrite au Sénat, la sénatrice LR Valérie Boyer déclare à propos de l’assassinat d’Alban Gervaise à Marseille, le 10 mai dernier : « Les résultats de la dernière étude de 2020 de l’Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales sont édifiants. Elle estime que le nombre de victimes d’agressions à l’arme blanche monte à 44.000 entre 2015 et 2017, soit plus de 120 victimes par jour en moyenne. » Car l’état français n’a pas eu le courage de publier des chiffres plus récents, afin de ne pas affoler la population.

La sénatrice Boyer avait déjà tiré la sonnette d’alarme un an plus tôt, toujours au palais du Luxembourg, cette fois après la mort de Théo, 18 ans, poignardé à Claye-Souilly. Valérie Boyer renvoie donc à l’Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales (ONDRP), organisme rattaché à l’Intérieur et dissout en 2020. Ses missions ont été reprises en partie par le service de statistiques du ministère.

Des calculs tiré de l’Insee et réalisés par « Le Figaro »

Les rapports mentionnant les armes blanches ne sont pas une vue de l’esprit, car les chiffres sont bien puisés dans les bilans du ministère de l’intérieur. Publiés une première fois en novembre 2019, ces chiffres reviennent sur les « violences physiques hors ménage » à partir des données que l’Insee produit tous les ans pour son enquête « Cadre de vie et sécurité (CVS) ». C’est ici que l’on peut lire que « chaque année entre 2015 et 2017, 1,3% des personnes de 14 ans et plus déclarent avoir été victimes de violences physiques de la part d’une personne ne vivant pas avec elles au moment des faits, soit en moyenne 653.000 personnes par an ». Parmi ces 653.000 victimes, « 18% déclarent avoir été violentées avec au moins une arme ». Et sur « ces victimes de violences armées, 37% évoquent une arme blanche ». 

Les données sont simplement transcrites en pourcentage. Le calcul, lui, a été fait par Le Figaro : un article de février 2020, titré « Plus de 120 agressions à l’arme blanche ont lieu chaque jour en France », reprend l’enquête de l’ONDRP : « Sa dernière étude, (…) estime le nombre de victimes d’agressions à l’arme blanche à 44.000, soit plus de 120 victimes par jour en moyenne ! Ce chiffre correspond, en effet, à 37% des 118.000 personnes ayant déclaré, chaque année, en moyenne, avoir subi des violences physiques armées ». Ces statistiques se retrouvent citées telles quelles dans la presse, au Sénat par Valérie Boyer ou encore à l’Assemblée nationale, en 2020, par l’ex-député non-inscrit José Evrard.

Francis GRUZELLE
Journaliste et écrivain
Carte de Presse 55411

 




Scandale : prison et amende requises contre notre président Guy Sebag

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« Ce sont toujours nos enfants qui se font assassiner par les mêmes ! » Cette phrase aurait pu être prononcée par Assa Traoré, sans que les chiens de garde de l’industrie de l’antiracisme n’y trouvent quelque chose  à redire ! Mais il s’agit de propos rapportés par Lucette Jeanpierre, dans un article paru le 8 août 2018, et qui a valu une nouvelle procédure à Riposte Laïque, à l’encontre de Guy Sebag, en sa qualité de directeur de publication.

https://ripostelaique.com/legorge-du-jour-avait-50-ans-il-etait-dans-un-bus-parisien-a-7-heures-du-matin.html

Ce propos est celui de la mère d’une victime tristement célèbre, Adrien Perez, ce jeune homme courageux mort sur le parking d’une boîte de nuit où il venait de fêter son 26e anniversaire. Le drame s’est passé à Meylan, en Isère, le 29 juillet 2018 ; il a voulu défendre des amis, agressés sans raison par des racailles et l’a payé de sa vie.

Hélas, la violence gratuite ne fait pas la une des journaux ! C’est bien pour cette raison que l’auteur de l’article avait souhaité pointer du doigt plusieurs « faits divers » particulièrement sordides et présentant toujours le même scénario : des courageux qui se rebellent contre l’inacceptable et le paient de leur vie, la plupart du temps dans l’indifférence générale des grands médias.

La dernière exaction en date, lors de la publication de l’article, est l’égorgement du passager d’un bus parisien qui, à 7 h du matin, heure de pointe, avait protesté contre un individu qui voulait monter dans le bus avec une bicyclette. Après avoir demandé à sa victime si elle parlait arabe, il l’a poignardé mortellement à la gorge.

L’audience du procès eut lieu le 10 juin dernier devant la 17e chambre du tribunal correctionnel de Paris. On constate qu’après la grève des avocats, fortement menacés par la réforme des retraites, après la crise du coronavirus, il importe à cette justice, soi-disant « engorgée » de traiter en priorité les affaires touchant au contrôle de la liberté d’expression. Et tout laisse penser qu’elle veut la peau de Riposte Laïque : le procureur, une jeune femme issue de l’École de la magistrature n’a rien demandé de moins que six mois de prison avec sursis et 10 000 € d’amende contre notre président, Guy Sebag !

Les passages soumis à l’appréciation des juges pour « incitation à la haine » sont les suivants :

« Il est donc fort probable que, comme le disait la mère d’Adrien Pérez, cette affaire confirme que ce sont toujours les mêmes qui tuent nos enfants ». Reprendre le commentaire de la mère d’une victime et émettre une opinion sur la véracité des propos tombe donc sous le coup de la loi !

Nous avons ensuite le passage suivant : « Par contre, aucune démarche n’est entamée contre les porteurs de couteau, musulmans la plupart du temps, qui égorgent nos enfants les uns après les autres, chaque jour  (…) Nos dirigeants désarment les Français, et foutent une paix royale aux musulmans à couteau ». À l’heure où Mélenchon rêve de désarmer la police, pour la rendre « plus sympathique » (ben voyons !), le contrôle des armes à feu est devenu de plus en plus tatillon. Au nom de la lutte contre le terrorisme, la Commission européenne recommande un contrôle accru des détenteurs d’armes à feu. Par contre, silence sur les armes blanches, bien que l’on sache qu’elles sont systématiquement utilisées lors des attaques terroristes perpétrées au nom d’Allah !

https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F33658

 

Couteaux et poignards peuvent être librement achetés et détenus, nous dit la loi, même si leur port (et leur transport) doit être justifié par un motif légitime. Sauf que la découverte d’une arme blanche sur un individu ne peut être faite que lors d’une fouille. Or les forces de l’ordre ne peuvent procéder à une fouille que sur réquisition d’un procureur ou dans le cadre d’une enquête judiciaire. Le propos de Lucette Jeanpierre est donc parfaitement exact : ces armes blanches peuvent circuler en toute impunité, alors que se multiplient partout les attaques au couteau. Il y a donc de facto une réelle permissivité pour les armes blanches, et tout citoyen devrait avoir le droit d’avoir une opinion sur le sujet, si l’on admettait l’existence d’un débat démocratique dans ce pays. Hélas, cela ne semble pas vraiment le cas !

https://ripostelaique.com/120-agressions-au-couteau-par-jour-en-france.html

Enfin, le dernier passage, objet du litige, est le suivant : «  Cyrano avait bien raison, dans son dernier édito, d’évoquer la double peine subie par les Français, victimes des agressions musulmanes et de la Sécurité routière ». Un propos qu’il faut resituer dans son contexte : d’une part, on demande aux forces de l’ordre de verbaliser à outrance, notamment pour des excès de vitesse souvent ridicules, et de l’autre on leur donne des consignes, dans certaines zones de non-droit, pour ne pas poursuivre les délinquants, souvent issus de la diversité, au nom d’une « paix sociale » espérée en retour.  Les personnes concernées, souvent des citoyens de la France périphérique, subissent donc la double peine : vaches à lait pour la sécurité routière et victimes toutes désignées de l’insécurité. Or la police est un service public, payé par le peuple. Quoi de plus légitime que de pouvoir donner son avis sur la politique menée en matière de police, lorsqu’elle peine à garantir la protection des gens ?

Bref, il n’y a pas grand-chose à charge dans ce dossier ! L’attaque en justice contre Riposte Laïque pour cet article est d’autant plus grotesque qu’aucune association dite antiraciste n’a cru bon se joindre à la plainte. Or quand une cause est captive, ces associations se privent rarement de tenter d’en profiter ! C’est le ministère public seul, chargé en théorie de défendre les intérêts de la collectivité,  qui a pris l’initiative de cette poursuite !

Il n’y a plus qu’à espérer que les magistrats du siège seront sensibles aux arguments de maître Pichon, qui en sa qualité de conseil, a défendu avec brio Riposte Laïque dans cette affaire.

Mis en délibéré, le jugement sera rendu courant septembre.

Hector Poupon