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Honte à Jill Biden de traîner partout un époux dans cet état !

 

Certes, cet homme fut une ignominieuse crapule, un mafieux sans aucun scrupule dont le fils est la parfaite synthèse… mais aujourd’hui, ce n’est plus qu’un très grand vieillard, anormalement sénile pour ses quatre-vingts ans. Et comme on le voit dans nombre de reportages, Jill le traîne partout…

Nous connaissons tous ses chutes et ses « lapsus » mais il vient de se surpasser !

Biden : la chute qui tombe mal

Après les effroyables incendies ayant ravagé Lahaina, tuant 114 personnes et engendrant plus de 1 000 disparus… Joe a mis deux semaines à se rendre à Mauï, auparavant, cela devait lui être impossible. Et pour cause… Quand on voit dans quel état il est à la sortie du « placard »… probablement, après un traitement « dynamisant »… Il est presque pitoyable.

À peine avait-il posé le pied sur le sol hawaïen, que Biden que lançait joyeusement  une plaisanterie de très mauvais goût: « Vous avez ressenti la chaleur ici ? C’est un sol chaud, mec », remarque fort mal perçue au vu des circonstances.

Puis il a raconté un début d’incendie dans sa cuisine : « J’ai bien cru que j’allais perdre ma femme, ma Corvette de 1967 et même mon chat »

Les habitants étaient furieux d’une telle désinvolture…

« Écouter parler de votre maison avec un petit incendie, de presque perdre votre chat et votre Corvette… tandis que des enfants ont été carbonisés et que de nombreux enfants figurent parmi les disparus. Vous êtes si déconnecté de la réalité, vous ne savez même pas comment vous adresser aux gens ordinaires. Vous êtes tout simplement répugnant et méprisable. »

Épuisé, Biden finira par piquer du nez, comme cela lui arrive très souvent… lors de la cérémonie à Maui en l’honneur des centaines de personnes décédées (3’20 mn dans la vidéo).

Pour être convaincu du diagnostic, il suffit d’observer son regard totalement perdu (5’02 dans la vidéo), alors qu’il va entrer dans son avion…

Quand on a un conjoint dans un tel état, on le protège et, pour son image, on le dissimule. Jill Biden est une autre ignoble qui, pour préserver ses intérêts et ceux de leur mafia, traîne partout son vieux Joe, totalement diminué, ridicule, alors que la planète entière ricane…

Toutes ce simagrées sont couvertes par les politocards mondialistes, hurlant au complotisme dès qu’on les confronte à la vérité et aux évidences.

 

Biden veut construire un train reliant le Pacifique à l’Océan Indien !

Ce qui est ahurissant, c’est que les Américains tolèrent un tel spectacle et ne demandent pas a minima que la vice-présidente le remplace, tant il est incapable de sauver la moindre apparence. Et d’aucuns osent en parler comme de l’homme qui terrorise Poutine et va l’écraser…

Pour le reste, on sait quels intérêts dirigent véritablement les États-Unis…

Sauf « pacte avec le diable », sleepy Joe sera incapable de se représenter et d’assumer une campagne présidentielle.

La République américaine est vraiment en état de putréfaction avancée.  

Mitrophane Crapoussin 

 




Nomination d’un procureur spécial pour “enquêter” sur Hunter Biden…

C’est une nomination qui prête à sourire telle l’annonce de Zelensky s’attaquant à la corruption… D’ailleurs, le nom des Biden est particulièrement lié à l’Ukraine et à cette endémie affectant gravement ce pays.

L’annonce surprise intervient alors que le vieux Biden amorce une campagne poussive pour un deuxième mandat. Évidemment, la Maison-Blanche n’a pas réagi à cette annonce.

David Weiss, procureur fédéral, enquêtait déjà sur «des allégations de conduite criminelle par, entre autres, Robert Hunter Biden».

Weiss a fait savoir au ministre qu’il estimait être arrivé à un stade de son enquête nécessitant qu’il soit nommé procureur spécial : «Il a demandé à être nommé. Après avoir examiné sa requête, ainsi que les circonstances extraordinaires entourant ce sujet, j’ai conclu qu’il était dans l’intérêt général de le nommer procureur spécial»

Hunter Biden, 53 ans, est accusé par la justice d’avoir fraudé le fisc et d’avoir acquis une arme à feu alors qu’il était toxicomane… Mais il est aussi accusé par Donald Trump, et de nombreux autres républicains, de corruption et d’avoir fait des affaires plus que douteuses en Ukraine et en Chine, alors que Joe Biden était vice-président de Barack Obama (2009-2017), profitant des réseaux et de l’entregent de son père.

Ils assurent que le ministère de la Justice tente à tout prix d’éviter une peine de prison au fils de Joe. La nomination de David Weiss n’a pas donc fait taire les détracteurs de Hunter Biden….

“On ne peut pas faire confiance à David Weiss et c’est juste un nouveau moyen d’étouffer la corruption de la famille Biden», a dit à l’AFP Russell Dye, porte-parole du président de la commission des affaires judiciaires.

Un porte-parole de Donald Trump a de son côté accusé le ministère de la Justice de protéger la famille Biden «depuis des décennies» :  «Si ce procureur spécial est réellement indépendant (…), il conclura vite que Joe Biden, son fils à problèmes Hunter et leurs complices (…) devraient répondre de leurs actes.»

Tout laisse donc à penser que cette nomination a été spécialement faite pour faire encore traîner cette affaire voire l’étouffer.

Truand de père en fils, depuis des décennies, jusqu’alors… les Biden défendent fort bien leurs « affaires », sachant qui acheter… et à quel prix !

Et c’est à cette engeance qu’obéit l’UE, Macron en tête !

Daphné Rigobert

 

Joe Biden en toute vérité ou presque…

 




Est-ce parce que Biden se plante tout le temps que son chien mord le personnel ?

 

Son équipe fait tout pour sauvegarder son image de papy dynamique et éviter les chutes. C’est ainsi que les marches de l’escalier d’Air Force one ont été diminuées en nombre et donc élargies… Joe devrait moins tomber.

Cependant, son cabinet ne peut éviter les bourdes et autres problèmes de mémoire. Donc pendant que Jill batifolait avec sa copine Brizitte, le chef de la Maison-Blanche a déclaré que seulement 100 personnes étaient  mortes du coronavirus aux États-Unis.

https://ripostelaique.com/jill-biden-et-brizitte-trogneux-en-villegiature-au-mont-saint-michel.html

De plus, c’était au cours d’une allocution consacrée à la santé mentale des Américains… de quoi inciter à se préoccuper vraiment de la sienne :

« Nous ressentons encore la profonde perte de la pandémie. Comme je l’ai mentionné, plus de 100 personnes sont mortes. C’est 100 chaises vides autour de la table de la cuisine. Pour chaque perte, il y a tellement de gens laissés derrière avec le cœur brisé. »

Une énième bévue… cependant rapidement corrigée dans la transcription officielle du discours… Si la mention de « 100 personnes » y est bien présente, le nombre a été barré pour être remplacé par le terme « million », convenant davantage aux estimations de l’Organisation Mondiale de la Santé. Plus exactement, les données de l’OMS font état d’environ 1 127 000 décès causés par le Covid-19 aux États-Unis, depuis 2020.

Cette erreur survient à peine quelques jours après qu’il ait encore commis un lapsus, lors du sommet de l’Otan à Vilnius. Biden avait en effet appelé le président ukrainien du nom de son homologue russe :  « Vladimir et moi… », avait-il commencé, avant de se reprendre : « Je ne devrais pas être si familier, Monsieur Zelensky et moi. Quand il ne veut pas construire un train entre le Pacifique et l’Océan Indien…

https://ripostelaique.com/biden-veut-construire-un-train-reliant-le-pacifique-a-locean-indien.html

Un président visionnaire et d’exception

Il n’est que Nancy Pelosi, 83 ans, chef de file des démocrates à la chambre des représentants, pour le trouver fantastique :

“Ce président a fait un travail remarquable, a-t-elle affirmé. C’est une personne d’une telle connaissance, d’une telle vision pour le pays, d’une telle connaissance des problèmes, d’une telle réflexion stratégique et un tel législateur, et en plus de tout cela, une personne qui se connecte avec le peuple américain. Il doit juste sortir là-bas. Être président est un travail intense. Je peux le dire en tant que présidente. Vous faites votre travail. Mais il doit simplement s’assurer que le peuple américain sait, à cette table de la cuisine, ce que tout cela signifie pour eux, en termes d’emplois et de salaires, de réduction de l’inflation”…

Commander,  chien dangereux

Joe Biden et Jill avaient emménagé à la Maison-Blanche avec deux chiens, Champ et Major, des bergers allemands. Après le décès de Champ, les Biden avaient présenté le nouvel élu de leur cœur : Commander (« Commandant » en français), un jeune berger allemand dynamique.

Toutefois, il mord, vient de révéler la presse américaine, selon des documents du Secret service, chargé de la sécurité des hautes personnalités de l’État, documents obtenus par le biais de demandes d’accès à l’information faites par l’organisation conservatrice Judicial Watch.

Commander est impliqué dans dix incidents dont une victime ayant dû se rendre à l’hôpital… Dans l’un des cas, Jill Biden « n’arrivait pas à reprendre le contrôle » du jeune chien qui fonçait sur un membre des services secrets de la Maison-Blanche…

« Ce n’est qu’une question de temps avant qu’un agent ou un officier ne soit attaqué ou mordu », écrit un employé des services secrets dans un courriel cité dans ces documents. Et preuve que Washington ne badine pas avec cette affaire, la porte-parole de la Maison-Blanche, Karine Jean-Pierre, a dû évoquer ce  sujet le 25 juillet en point presse.

Le directeur des communications de Jill avait déjà indiqué à la chaîne CNN que la Maison-Blanche était un lieu « unique et souvent stressant pour les animaux de compagnie » et que les Biden tentaient d’établir un nouveau protocole. D’ici là, Commander devra être à nouveau dressé ou maintenu dans une zone dédiée.

Major, autre chien des Biden, avait été envoyé en 2021 au Delaware, fief familial des Biden, pour suivre des cours de dressage après avoir mordu au moins un employé de la Maison-Blanche. Toutefois, sur recommandation de spécialistes, les Biden avaient dû finalement s’en séparer et le confier à des amis vivant « dans un environnement plus calme ».

Un chien qui mord n’est pas forcément plus méchant ou plus agressif que les autres. La morsure n’est, en fait, que son ultime recours dans une situation de danger ou d’inconfort. Nos amis à quatre pattes préfèrent souvent éviter ce qui les menace ou les embarrasse. Ce n’est que lorsqu’ils n’ont plus d’autre moyen de s’en défaire qu’ils passent à l’acte.

Donc Commander a un grave problème : la sénilité de son papa ? Ou comme avec Hunter, Joe ne lui a rien inculqué, ne lui enseignant aucune limite ?

Daphné Rigobert




Jill Biden et Brizitte Trogneux en villégiature au Mont Saint-Michel…

 

Depuis longtemps, Jill avait très envie de passer une semaine en France sans son sénile Joe-Joe. Comme les Biden sont des parasites, pour ne rien payer, on lui bricolé une espèce de visite officielle griffée Unesco.

Arrivée le 24 juillet, elle s’est précipité dès le lendemain à l’Élysée  pour retrouver sa grande copine, Brizitte, décrivant leur relation comme celle «de deux amies ensemble, comme deux sœurs». Auparavant, Dadame Macron était allée à Roissy dire au revoir à Yan Meng, son filleul  panda, qui rentrait en Chine mais qu’elle doit aller voir en novembre au centre de Chengdu avec le directeur du zoo de Beauval.

Brizitte Trogneux ayant fait de gros progrès en anglais depuis son arrivée à l’Élysée, où elle nous avait ridiculisés lors d’un voyage en Grèce… elles pourront échanger sans témoins sur l’escalier plus court dont est désormais équipé Air Force one pour éviter les chutes à répétition de Joe et celle qui menace le Foutriquet.

Puis la First lady assistera à la levée du drapeau américain dans l’enceinte de l’Unesco, symbole du retour des États-Unis au sein de cette organisation onusienne, dont le siège se situe dans le 7e arrondissement de Paris, place de Fontenoy. Jill Biden y prononcera aussi un discours aux côtés de la directrice générale de l’Unesco, l’ancien ministre de la Culture de Hollande, Audrey Azoulay.

Mercredi, après une visite au cimetière américain de Saint-James, à Montjoie-Saint-Martin pour « rendre hommage aux soldats américains ayant perdu la vie » durant la Seconde Guerre mondiale, elle ira avec Brizitte visiter le Mont-Saint-Michel, où dadame Macron n’était plus venue depuis début juin, par un mémorable jour de grand vent sous sa perruque…

https://ripostelaique.com/jour-de-grand-vent-sous-la-perruque-de-brichel.html

Le retour des États-unis à l’Unesco

Les États-Unis ont officiellement rejoint l’Unesco le 30 juin 2023. Ils l’avaient quittée sous Donald Trump, en 2017, en dénonçant les « partis pris anti-israéliens persistants » de cette institution. Ce retrait, accompagné de celui d’Israël, était effectif depuis décembre 2018.

Son retour s’inscrit dans un contexte général de rivalité croissante avec la Chine. Seuls dix pays s’y sont opposés, dont l’Iran, la Syrie, la Chine, la Corée du Nord et la Russie.

Les États-Unis avaient déjà quitté l’Unesco en 1984, sous Ronald Reagan, invoquant l’inutilité et les débordements budgétaires de l’organisation, qu’ils avaient ensuite réintégrée en octobre 2003.

Leur retour est un soulagement pour l’organisation, dont les contributions américaines équivalaient à 22 % du budget. Washington s’est engagé à rembourser intégralement ses arriérés, atteignant 619 millions de dollars, soit davantage que le budget annuel de l’Unesco, évalué à 534 millions de dollars.

Du pognon ! Du pognon ! Et encore du pognon ! Au moins, cette fois, ce n’est (peut-être) pas pour le pitre Zelensky !

Mitrophane Crapoussin




Malgré le mandat d’arrêt contre Poutine, l’Afrique du Sud maintient les Brics !

L’Afrique du Sud organisera bien en août le prochain à Johannesburg le sommet des Brics, où Vladimir Poutine est invité, malgré le mandat d’arrêt émis par la Cour pénale internationale (CPI) à son encontre.

“Nous avançons dans l’organisation du sommet des Brics et finalisons les discussions sur le format”, a déclaré Cyril Ramaphosa, précisant que cette rencontre rassemblant l’Afrique du Sud, le Brésil, la Chine, l’Inde et la Russie aurait lieu “physiquement”.

L’Afrique du Sud préside actuellement les Brics, groupe de cinq grandes puissances émergentes qui entend peser davantage dans les institutions internationales, jusqu’ici dominées par les États-Unis et l’Europe…

“Nous allons organiser ce sommet des Brics physiquement, nous nous sommes tous engagés à avoir un sommet où nous pourrons nous regarder dans les yeux”, a poursuivi Ramaphosa,  “Nous n’avons pas tenu un sommet physiquement depuis… près de trois ans. Il ne sera pas virtuel.”

En tant que membre de la CPI, l’Afrique du Sud est théoriquement censée arrêter le président russe s’il entrait sur son territoire. Toutefois, Pretoria refuse de condamner Moscou depuis le début de la guerre en Ukraine.

Puissance diplomatique continentale, l’Afrique du Sud affirme adopter une position neutre pour pouvoir “jouer un rôle dans la résolution des conflits”, avait expliqué Cyril Ramaphosa, précisant s’être entretenu à plusieurs reprises avec Poutine.

Son pays a par ailleurs accueilli en février des exercices navals avec la Russie et la Chine au large de ses côtes, suscitant l'”inquiétude” des grandes puissances occidentales. Les liens entre l’Afrique du Sud et la Russie remontent à l’apartheid, le Kremlin ayant alors apporté son soutien à l’ANC.

Le mois dernier,  Ramaphosa a conduit une délégation de chefs d’État africains (Afrique du Sud, Sénégal, République démocratique du Congo, Égypte, Ouganda) en Ukraine puis en Russie, pour tenter un accord de paix entre Kiev et Moscou. La mission n’a pas eu de résultats tangibles, mais elle a fait entendre la voix du continent africain, lequel a aussi beaucoup souffert des conséquences de ce conflit, notamment par la forte augmentation du prix des céréales.

L’offre de médiation africaine a été rejetée par Zelensky, qui ne veut pas négocier avec Moscou tant qu’il y aura encore des soldats russes sur son sol, Poutine la jugeant “très difficile à mettre en oeuvre”.

Le vieux Joe et la tante Ursula n’ont qu’à bien se tenir : les Brics ne sont pas à leurs ordres !

Mitrophane Crapoussin




USA : la Cour suprême abolit la discrimination positive à l’université !

Six juges sur neuf de la Cour suprême  ont considéré contraire à la Constitution les procédures d’admission sur les campus prenant en compte la couleur de la peau ou l’origine ethnique des candidats.

Beaucoup d’universités « ont considéré, à tort, que le fondement de l’identité d’une personne n’était pas sa mise à l’épreuve, les compétences acquises ou les leçons apprises, mais la couleur de sa peau. Notre histoire constitutionnelle ne tolère pas ça », écrit le magistrat John Roberts au nom de la majorité. «L’étudiant doit être traité en fonction de ses expériences individuelles, mais pas sur des critères raciaux.»

À la fin des années 1960, plusieurs universités avaient introduit des critères raciaux et ethniques dans leur procédure d’admission, afin d’augmenter la part des étudiants noirs, hispaniques et amérindiens.

Ces politiques dites de « discrimination positive » ont toujours été très critiquées, beaucoup les jugeant opaques et y voyant du « racisme inversé ». Saisie à plusieurs reprises depuis 1978, la Cour suprême avait interdit les quotas, mais avait toujours autorisé les universités à prendre en compte, parmi d’autres, les critères raciaux.

Cette fois, elle s’est prononcée dans le cadre d’une plainte déposée en 2014 contre les plus vieilles universités privée et publique des États-Unis, Harvard et celle de Caroline du Nord, accusées de discriminer les étudiants d’origine asiatique.

Ces derniers, obtenant des résultats nettement supérieurs à la moyenne, seraient plus nombreux sur les campus si leurs performances étaient le seul critère de sélection, avait plaidé l’association Students for Fair Admission.

La Haute Cour leur a donné raison, estimant que « malgré leurs bonnes intentions », les procédures d’admission dans ces universités utilisaient des catégories raciales « imprécises » et des « stéréotypes » raciaux.

Cette volte-face a suscité un concert d’applaudissements à droite : « C’est un grand jour pour l’Amérique », « on revient à un système au mérite », a écrit sur Truth Social Donald Trump, artisan de ce revirement puisqu’il a profondément remanié la Cour pendant son mandat.

Dans une allocution télévisée, le vieux Biden a évidemment exprimé son « profond désaccord » et sa « déception » après cet arrêt qui « s’écarte de décennies de jurisprudence ». Il a appelé les universités à ne pas « abandonner » leur objectif de diversité. « Nous ne pouvons pas laisser la Cour avoir le dernier mot », a-t-il ajouté, en glissant qu’elle n’était « pas normale ».

Vert, rayé ou à petits pois… Ce qui n’est pas normal c’est que le seul critère ne soit pas la valeur de l’étudiant !

Mitrophane Crapoussin

 




Et maintenant, Biden confond l’Ukraine avec l’Irak…

Ca va de mal en pis pour Biden. Mi-juin, il nous parlait de son projet de train reliant le Pacifique à l’Océan Indien… achevait un discours par «God save the Queen »… et le voilà qui confond l’Ukraine avec l’Irak…

Biden veut construire un train reliant le Pacifique à l’Océan Indien !

À la question, lancée par des journalistes à la Maison Blanche, de savoir si Vladimir Poutine était désormais affaibli, Biden a répondu : « C’est difficile à dire, mais il perd clairement la guerre en Irak ». Nullement contredit, le président américain a ajouté que le chef d’État russe était « un paria à travers la planète » suite à la rébellion avortée d’Evgueni Prigojine et du groupe Wagner en Russie.

Trous de mémoire, lapsus… Le 46e président des États-Unis multiplie les bévues depuis son arrivée au pouvoir en 2021. Il est régulièrement surnommé « la machine à gaffes » par la presse américaine, qui a publié des dizaines de classements de ses « meilleures » erreurs. Il est évident qu’il ne s’agit pas de gaffes mais de sénilité. Il n’est qu’à observer son regard et sa démarche… d’où le fait qu’il tombe si souvent.

Lors de l’ouverture du sommet international de l’Asie du Sud-Est à Phnom Penh, en novembre dernier,  Joe avait confondu le Cambodge et la Colombie… fin septembre, lors d’une conférence de la Maison Blanche, il avait apostrophé une parlementaire républicaine… morte dans un accident un mois plus tôt…

Qu’il soit victime précoce des effets de l’âge n’a rien de réjouissant, même si c’est une ordure politique. Ce qui est scandaleux, c’est de se servir d’une marionnette, lisant à grand peine les textes de son prompteur, pour lui faire assumer des fonctions qu’il n’exerce certainement pas et lui faire dire et répéter qu’il va se représenter aux prochaines présidentielles…

Il se dit que ce serait Obama qui dirigerait les Etats-Unis en sous-main, l’on ne sait. Ce qui est certain, c’est que ce n’est pas Biden.

Mitrophane Crapoussin

 




Biden veut construire un train reliant le Pacifique à l’Océan Indien !

 

Quand Biden ne chute pas, il profère des inepties. La santé mentale du vieux Joe ne s’arrange vraiment pas…

Biden : la chute qui tombe mal

« Nous avons l’intention de construire un chemin de fer du Pacifique jusqu’à l’océan Indien”, a-t-il déclaré  à la League of Conservation Voters lors de leur dîner annuel à Washington.

Cette annonce ahurissante a  été immédiatement raillée sur les réseaux sociaux.

« Initiative audacieuse, monsieur le président », a tweeté Jason Chaffetz, contributeur de Fox News et ancien membre du Congrès du GOP.

Quelques jours plus tard… c’est par un surprenant « God save the Queen »… que  Biden a conclu un discours consacré à la lutte contre la violence par armes à feu, lors d’un rassemblement à West Hartford dans le Connecticut.

Alors qu’il avait déjà terminé un premier discours par un classique « God bless you all and may God protect our troups » (« Que Dieu vous bénisse et protège nos soldats »), s’adressant à nouveau au public pour expliquer qu’il ne pourrait pas comme à son habitude s’attarder pour saluer les participants, mais qu’il allait poser pour des photos, il  s’est alors exclamé « Alright ? God save the queen, man » (« C’est d’accord ? Que Dieu sauve la reine, mon vieux »), avant de poser le micro.

Très embarrassée, une porte-parole de la Maison-Blanche a immédiatement déclaré qu’en fait il « s’adressait à quelqu’un dans la foule »… sans autre précision. Ce qui est d’autant moins crédible que c’est désormais Charles III qui règne en Angleterre…

Certes, le président des États-Unis peut apparaître comme très distrayant… mais il est surtout très inquiétant. Et bien plus inquiétante encore, «l’armée des ombres» qui l’a poussé à se représenter à la présidence.

Mitrophane Crapoussin




Une base secrète chinoise à Cuba ?

 

En 2021, à l’arrivée de Joe Biden au pouvoir, ses services ont été alertés des menées de la Chine pour installer des bases à travers le monde, en particulier à Cuba.

Évidemment, tous les protagonistes se sont empressés de nier : aucun des trois pays n’avait la moindre connaissance d’un tel projet. Cependant, dans un article du 8 juin 2023, le Wall Street Journal soutient le contraire, citant des “responsables américains qui ont connaissance de documents hautement classifiés”.

Selon ce quotidien, la Chine et Cuba ont conclu un accord prévoyant le paiement de “milliards de dollars” à La Havane pour installer une station d’écoute, capable d’intercepter des communications tels que les appels téléphoniques, emails ou transmissions de données par satellite. Cette station se trouverait à cent kilomètres à peine de la Floride et pourrait espionner tout le sud des États-Unis hébergeant grand nombre d’installations militaires…

La Chine a tout intérêt à construire une station d’espionnage à Cuba. Poser un pied sur le continent américain est essentiel, quel que soit le conflit ou bras de fer dans lequel elle peut être impliquée, à Taïwan ou en mer de Chine, il y a toujours un risque d’intervention nord-américaine. Il est donc vital pour Pékin d’être informée au mieux des capacités militaires américaines.

De plus, en Chine, l’État et les grands groupes travaillent en bonne intelligence, si cette station permet d’espionner des entreprises texanes ou de Floride, les informations seront certainement fort utiles à leurs concurrents chinois.

Enfin, Pékin peut aussi considérer qu’il luit faut se doter des mêmes armes que les États-Unis. Si ce projet existe vraiment, les Chinois vont le justifier, en rappelant que Washington dispose d’accord de renseignement avec Taïwan, donc que les États-Unis disposent aussi de postes d’écoute à proximité immédiate de leur pays…

Le timing de publication de cette information est aussi très intrigant. La dernière fois que les activités chinoises d’espionnage ont tenu le haut du pavé médiatique, c’était à l’occasion de l’affaire dite du ballon “espion”, en février 2023. À l’époque, le secrétaire d’État américain, Anthony Blinken, avait dû annuler une visite en Chine pour protester contre ce qui était perçu comme un acte agressif de la part de Pékin. Il se trouve que ce voyage avait été reprogrammé pour la fin juin.

L’on peut donc se demander si ces rumeurs ne visent pas à saboter ce déplacement.

Daphné Rigobert




Biden nomme un musulman ambassadeur de la liberté religieuse

C’est la première fois de l’histoire des États-Unis qu’un musulman accède à cette fonction.

Rashad Hussain, nommé par Joe Biden, le 30 juillet dernier, est donc devenu le nouvel ambassadeur de la liberté religieuse. Sa nomination a été très largement approuvée au Sénat, par 85 voix contre 5. Il succède ainsi au catholique Sam Brownback, nommé par l’ex-Président Donald Trump.

Rashad Hussain est le sixième titulaire de cette fonction. D’origine indo-américaine, il est notamment connu pour avoir été membre du cabinet spirituel d’Obama et envoyé spécial des États-Unis à l’Organisation de la coopération islamique. Ses compétences religieuses et linguistiques – il connaît le Coran par cœur, et parle couramment l’arabe et l’ourdou – lui ayant permis d’œuvrer en faveur de la protection des minorités religieuses dans les pays musulmans.

C’est  Clinton qui, en 1998, avait  crée le Bureau de la liberté religieuse internationale, avec à sa tête un ambassadeur de la liberté religieuse à l’étranger. Directement intégré au sein du département d’État, cet organisme publie chaque année un rapport sur l’état de la liberté religieuse dans le monde, en recommandant des politiques pour la favoriser. 

Ce n’est pas la première fois qu’un non-chrétien devient ambassadeur de la liberté religieuse. En 2014, Obama avait nommé  le rabbin David Saperstein pour succéder à Suzan Cook, une Afro-Américaine protestante.

En effectuant un tel choix, Joe Biden marche donc sur les pas de son prédécesseur démocrate. « L’annonce d’aujourd’hui souligne l’engagement du Président à construire une administration qui ressemble à l’Amérique et reflète les personnes de toutes les confessions », indiquait la Maison-Blanche, le 30 juillet dernier. 

Pour Mokhtar Ben Barka, professeur de civilisation américaine à l’université de Valenciennes, le Président reste ainsi fidèle à « sa position de catholique de gauche », en « s’insérant parfaitement dans la lignée du pape François ». C’est même, selon ce spécialiste, « une nomination symptomatique de l’œcuménisme plaidé par Joe Biden ».

Autre raison possible à  cette nomination : les tensions grandissantes avec Pékin. En nommant un musulman à ce poste,  Biden chercherait à envoyer un message à la Chine, accusée de violations des droits de l’homme dans la province du Xinjiang, où vit la minorité musulmane ouïghoure.

Mitrophane Crapoussin