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Amélie Paul : « Ma dénonciation de la dictature sanitaire m’a diabolisée au Québec ! »

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Nous avons fait connaissance avec la chanteuse québécoise Amélie Paul à l’occasion de cette vidéo qui a fait le tour du monde :

https://odysee.com/@ameliepaul:8/message-de-sant-publique-conseils-pour:4

Ici sur Odysee car… censurée par YouTube ! Dans cette vidéo, Amélie Paul démolit en quatre minutes chrono l’énorme escroquerie de la dictature sanitaire. Une vidéo délicieuse, à voir et à revoir !

Amélie Paul a accepté de répondre aux questions de Riposte laïque.

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Riposte Laïque : Le public français vous connaît peu. Pourriez-vous vous présenter ?

Amélie Paul : J’évolue depuis plus de 20 ans dans le milieu culturel québécois. J’ai commencé comme mannequin et ça m’a permis de voyager partout ! J’ai passé deux mois à faire le tour de la France, et je suis même allée en Corse. J’ai adoré la mentalité de l’Île ! 

La mode et les concours de mannequin m’ont aussi permis de voyager à Londres, New York, Los Angeles et m’ont ouvert des portes pour obtenir des petits rôles à la télévision et au cinéma. 

Mais c’est surtout quand j’ai obtenu un premier rôle dans une comédie musicale que j’ai eu un coup de foudre pour le chant ! Je savais à peine chanter… Disons que je faisais semblant, mais je n’avais aucune technique vocale ! [NdRL : rires…]

RL : Mais votre carrière de chanteuse commence… en Asie !

AP : Oui ! Un jour j’ai vu une annonce : « Cherche chanteuse pour se joindre à un groupe de musique top 40 pour contrats en Asie ».  J’ai passé l’audition et j’ai été acceptée. On m’a engagée plus pour mon attitude et ma personnalité que pour mon talent à ce moment-là… Pendant quatre ans, j’ai donné des spectacles partout en Asie : Indonésie, Corée du Sud, Hong Kong, Malaisie, et même Vladivostok en Russie !

Je sortais avec le chanteur du groupe et à travers nos voyages, nous avons formé parallèlement un groupe rock/alternatif anglophone, Mythical Number, qui a connu un certain succès sur la scène underground montréalaise.

Nous avons sorti un EP de chansons originales en 2010 : Another Day :

RL : Après l’Asie, retour au Québec, via… l’Europe !

AP : Un jour j’ai eu l’occasion de passer une audition pour animer l’émission québécoise Call TV qui était enregistrée à Vienne, en Autriche.  L’émission avait mauvaise réputation, mais l’aventure m’appelait, alors j’y suis allée et j’ai eu la chance de passer près de deux ans à Vienne.  Et ça a été mon école d’animatrice de télévision.  

Par la suite, j’ai animé quelques émissions au Québec et j’ai formé deux groupes de musique corpo pour performer dans les festivals et divers événements à travers le Québec, Nouveau-Brunswick et aussi au Hard Rock Casino à Atlantic City.

RL :  Votre dernier clip est sorti très récemment. Pouvez-vous nous le présenter ?

AP : Névrose, c’est une chanson rock alternatif francophone qui se veut une introspection, une mise à nue à travers le chaos de l’époque que nous traversons. 

La musique a été écrite par le réalisateur québécois André LeClair. J’ai ressorti un vieux texte que j’avais écrit il y a environ huit ans, et dont les paroles collaient parfaitement avec ce qu’on vit en ce moment.  Ce texte date d’une période de ma vie assez sombre, mais où j’étais bousculée par des épisodes d’ « éveil »… Je me sentais tellement différente des autres ! Je ne sentais pas, disons, « normale »…  C’est pour ça que je dis : « Mon cœur est l’asile, de tous les moutons noirs, mais je resterai docile jusqu’à nos jours de gloire. » 

Ben voilà ! C’est aujourd’hui nos « jours de gloire », c’est pourquoi j’ai décidé de ne plus être docile !

RL : D’autres projets en préparation ?

AP : Aujourd’hui, je suis les enseignements de Diesse Ghis (Dr Ghislaine Lanctôt):

 

Je suis mon âme ! Je lui donne carte blanche et je fais ce qu’elle me dicte, sans attendre de résultat.  J’ai toujours pleins de projets, pleins d’idées en tête et je les fais au quotidien. Mais je vis plutôt dans le présent : j’arrête de me projeter dans l’avenir. Pour le moment, il y a des choses qui bougent côté musique, je verrai où ça me mène.  Je continue de faire des entrevues parce que j’ai toujours 5000 questions à poser et j’adore ça ! Et je veux continuer à produire des bulletins humoristiques de La Vérité Brutale :

RL : Avez-vous des contacts avec des producteurs français ? Aura-t-on la chance de vous voir et de vous entendre en tournée dans notre pays, dès que la coronadinguerie se sera calmée ?

AP : Ah ! En voilà un but à long terme que j’adorerais réaliser : faire des spectacles en France ! J’adorerais vraiment ça ! J’aime la France, je me suis sentie chez moi quand j’y suis allée. Étrangère, et chez moi à la fois !  Je connais quelques artistes, là-bas, en France, mais plutôt de la scène hip hop. Je ne connais pas de producteur français.  L’appel est lancé ! Et le terme « coronadinguerie », ça me va très bien !

RL : Qu’est-ce qui vous a amené à pousser un « coup de gueule » contre la dictature sanitaire ?

AP : Tout simplement parce qu’en parallèle aux émissions que je faisais sur la télé québécoise, j’ai suivi pendant trois années une formation de naturopathe !

Dès le début de ce qu’ils appellent « la pandémie », ça a été plus fort que moi : j’ai commencé à faire des vidéos pour dénoncer l’absurdité des mesures qui détruisaient la santé des gens.  J’ai mené également une série d’entrevues sur la dictature sanitaire, et tout a déboulé ensuite !

RL : En tant que naturopathe, vous avez une approche amoureuse de la nature…

AP : Oui, j’aime beaucoup me promener en forêt. C’est ça qui me ramène à l’équilibre quand ça ne va pas.  Les arbres ont un pouvoir particulier sur moi. J’aime la santé « au naturel ».  L’intelligence suprême avec la Nature est complètement ignorée par la médecine allopathique.  Et ça, ça me dépasse !  On vit dans un mensonge d’une telle ampleur…

J’ai beaucoup fait la fête quand j’avais vingt ans, jusqu’au début de la trentaine. Maintenant je prends grand soin de mon corps : je ne bois pas, ne fume pas, je ne prends aucune drogue, aucun produit animal, je ne prends aucun médicament.  Pour moi, mon corps est un temple sacré, et j’y fais attention.

RL : Quel est votre regard de naturopathe sur la crise sanitaire actuelle ?

AP : Si je vous dis vraiment ce que je pense, l’article sera censuré ! [Note de RL : certainement pas sur Riposte Laïque, chère Amélie !]. Selon moi, la médecine moderne est un mensonge. Les micro-organismes sont produits par la cellule devenue instable pour entamer le nettoyage du corps. Rien à voir avec un virus pathogène qui saute sur le monde pour nous attaquer !  C’est incroyable qu’on puisse faire croire ça aux gens.  Je suis de l’école de pensée d’Antoine Béchamp plutôt que de celle de Pasteur [NdRL : voir un très prochain article du docteur Alain de Peretti sur la faillite de la vision pasteurienne de la maladie, et la victoire posthume du Dr Béchamp, totalement inconnu du grand public].

Pour Béchamp, et c’est aussi ma vision des choses, le microbe n’est rien et le terrain est tout. La santé vient toujours de l’intérieur, et non de l’extérieur.

RL : Les lecteurs de Riposte Laïque vous connaissent depuis la fameuse vidéo que j’ai évoquée au début de notre entretien où vous « mettez en boîte » la culture de la peur dans laquelle nous enferment les « élites » politiques, médiatiques, médicales… Quel a été l’impact de cette vidéo au Québec et au Canada ? Etes-vous maintenant « diabolisée » par les médias de l’oligarchie ?

AP : Oui, les médias mainstream, ici, ne diffusent plus mes chansons et ne parlent plus de moi.  Même ma radio locale, où j’ai déjà fait des chroniques santé et qui diffusait régulièrement ma musique dans le passé, ne veut plus être associée à mon nom ! 

Certains journalistes ont voulu faire des articles sur moi par rapport à mes positions sur la Covid, mais j’ai refusé les entrevues qu’ils m’ont proposées. Je trouve les journalistes trop hypocrites. Ils prétendent être sympas avec moi, mais je les vois venir… Tout ce qu’ils veulent, c’est me discréditer.

Franchement, je n’ai pas besoin d’eux. Qu’est-ce que j’en ai à faire d’avoir de la visibilité dans la presse mainstream ?! Je fais mon bout de chemin sur les réseaux sociaux et ça me va très bien comme ça. Les gens ont peur d’être associés à moi ! Il y a deux mondes ici :  les conformistes d’un côté [NdRL : le troupeau des covidés , selon la terminologie RL…], et les méchants « complotistes » de l’autre. Ces deux mondes sont clairement irréconciliables.

Je me suis fait censurer plusieurs vidéos sur ma chaîne YouTube et pour éviter de perdre ma chaîne complètement, j’ai pratiquement supprimé toutes mes vidéos ! Elles sont maintenant disponibles sur ma chaîne Odysee. J’ai ouvert une nouvelle chaîne YouTube pour publier mon contenu plus « controversé ».  L’autre chaîne, je vais la garder pour la musique. C’est là que j’ai publié le vidéo clip de Névrose d’ailleurs.  Ils ne vont quand même pas censurer de la musique ?! [NdRL rires…]

RL : Sentez-vous monter la défiance de l’opinion publique envers le pouvoir politique et médiatique, comme elle monte en France ?

AP : De plus en plus de gens s’éveillent et réalisent que les mesures sanitaires n’ont rien à voir avec la santé mais sont des décisions purement politiques. À la marche du 13 mars dernier à Montréal, nous étions 50 000 personnes dans les rues ! On sent que les gens commencent à percevoir le mensonge et la mascarade du système. 

Mais j’ai l’impression que les Québécois sont quand même très conformistes et dociles. Ils attendent que ça passe… Beaucoup croient encore que les vaccins vont tout régler et que, quand une grande majorité sera vaccinée, on pourra revenir à notre vie « d’avant ».  Même si nos dirigeants nous annoncent clairement qu’il n’y aura pas de retour à la vie « normale » ! 

Je ne sais pas quand est-ce que les gens vont réaliser qu’ils sont pris dans un plan bien plus grand qu’ils ne le pensent, et que ça va très au-delà de notre gouvernement québécois. C’est mondial ! Les gens vont devoir arrêter d’attendre ou d’espérer un sauveur extérieur, et faire un gros travail d’introspection.

RL : Le scandale mondial AstraZeneca (voir ici pour la France) a-t-il eu des répercussions au Québec et au Canada ?

AP : Le vaccin AstraZeneca a été banni dans dix-sept pays, je crois… Mais ici, au Québec, il est considéré comme… sans danger ! C’est François Legault [NdRL : Premier ministre du Québec] qui nous l’a dit, donc ça doit être vrai ! [NdRL : rires…]. D’ailleurs, il s’est fait injecter ce vaccin, lui.  Je me sens rassurée ! J’ai tellement hâte que ça soit mon tour ! [NdRL : rires…]

RL :  Vous savez que notre site, Riposte Laïque, est extrêmement critique sur l’islam que nous considérons, non comme une religion, mais comme une idéologie totalitaire. Le sujet fait-il partie de vos préoccupations ? Quel regard portez-vous sur la politique du Premier ministre canadien Justin Trudeau sur l’immigration ?

AP : L’islam ne fait pas beaucoup partie de nos préoccupations, ici, au Québec.  Par contre, je suis bien sûr contre toutes ces politiques mondialistes qui visent à détruire l’identité culturelle des peuples !  Aujourd’hui, tout est « raciste », tout est « homophobe », « transphobe »… Dire qu’on est fier de notre culture québécoise et qu’on veut la protéger, figurez-vous que c’est faire preuve de « racisme » ! 

Je suis contre l’immigration en grand nombre, bien sûr, parce que je crois que cela fait rentrer de la main d’oeuvre à petit salaire et que ça nuit aux travailleurs de notre pays. On dirait que Trudeau veut volontairement noyer notre culture « canadienne » (s’il en reste une !) pour nous transformer en pays multiculturaliste qui n’a plus de particularité spécifique.  Je n’ai rien contre les gens qui viennent s’établir au Québec ou au Canada, mais je crois qu’ils ont un devoir, celui de s’adapter à la culture de leur pays d’accueil.  Quand je voyageais, j’étais toujours tellement contente d’apprendre la langue et les coutumes du pays et je m’adaptais à leur culture. Je ne comprends pas qu’il puisse en être autrement.

Nous assistons à la démolition des différentes cultures et l’abrutissement de la prochaine génération

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Propos recueillis par Henri Dubost