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Valie plagie Zemmour, Valie est en Arménie !

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D’aucuns disent cette campagne présidentielle violente. Certes, pour Zemmour…

C’est surtout une grande partie de trappe-trappe. À qui va courir le plus vite derrière le candidat de Reconquête.

Éric va voir Viktor, quinze jours plus tard, Marine est chez Orban.

Il part avec Villiers à Erevan, dix jours après, Pécresse s’y précipite avec Barnier et Retailleau, sans peur du ridicule.

Si Éric Zemmour a toujours évoqué les racines chrétiennes de la France, défendant les catholiques victimes de nombreux actes christianophobes, l’on n’a jamais particulièrement noté l’activisme pro-chrétien de la présidente de la région Île-de-France. Ses subventions et soutiens allant plus volontiers aux associations LGBT, anti-racistes ou multiculturelles…

Et voili voilou que Valie se met à draguer avec ostentation l’électorat catholique, lequel n’est pas majoritairement d’origine arménienne… Si elle tenait absolument à se déplacer en terre catholique, elle aurait pu aller au Portugal ou aller embrasser, sans crainte, le pape quadruplement vacciné. Quoique François soit assez mal vu des vrais cathos, appréciant modérément ses sorties et comportements de gaucho sud-américain.

Valérie Pécresse oscille surtout avec le vent. Ça se sait depuis fort longtemps et se voit. Soutenant un temps la Manif Pour Tous, elle s’est vite ressaisie, considérant qu’il serait plus porteur de miser sur le mariage homosexuel… son ambition ayant d’abord les convictions que lui dictent les enquêtes d’opinion.

Il semblerait donc que l’une d’entre elles lui ait fait savoir que la guerre électorale pour la présidentielle française, en 2022, se jouerait en Arménie, à 4 500 kilomètres de Paris… 400 000 Français d’origine arménienne votant à droite… Sont-ils tous restés très catholiques ?

Ce voyage est tellement « énorme » qu’il ne dupera personne !  VIA, Jean-Frédéric Poisson, et Le mouvement Conservateur soutiennent déjà Zemmour, elle a tort de s’obstiner.

Plutôt que de continuer à le plagier, elle devrait se rendre à Mayotte et la Réunion, se faire couvrir de fleurs comme Marine Le Pen.

Mieux encore : destination Saint-Pierre-et-Miquelon, personne n’y va et en cette saison,  comme il n’y a plus de touristes, ils seront contents de voir quelqu’un !

Daphné Rigobert




Les laïcards sont islamophiles, les ignares laissent faire et tous effacent Noël !

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Depuis des années, maires verts, socialistes invétérés, laïcards forcenés se battent pour bannir Noël de l‘espace public, le remplaçant par des formules improbables, célébrant l’hiver ou décembre… Il ne s’agit pas d’athéisme intempestif mais de clientélisme, lequel s’appelle islamophilie voire islamisation. Bien que très actifs et à d’importants postes de décisions, ce ne sont pas les plus nombreux. Les plus redoutables sont ceux qui laissent faire…  Épiphanie, Toussaint, Pâques, Pentecôte… Tant de Français ont oublié le sens de ces  grandes fêtes chrétiennes ponctuant l’année et qu’ils célèbrent sans savoir pourquoi. 

Beaucoup ne mesurent pas à quel point les gens sont déchristianisés. C’est ainsi qu’ils laissent, dans une indifférence totale, briser des croix, détruire des crèches, attaquer des processions, démolir des églises, les profaner, etc., jusqu’au diocèse de Paris qui veut massacrer l’intérieur de la cathédrale…

Ils ne réalisent absolument pas ce qui advient, pas davantage les enjeux catastrophiques pour leur devenir. Plus rien ne fait sens. Une religion en vaut une autre ou alors ils sont d’un athéisme stupide voire haineux. Énormément de gens n’ont même plus une once de « vernis culturel » chrétien, lequel ne perdure qu’un peu chez ceux que l’on pourrait appeler les touristes mondains, pratiquant un catholicisme « social ». Ils vont à l’église pour les baptêmes, communions, confirmations, mariages et obsèques… et visitent certains musées dans lesquels il est difficile d’échapper au catholicisme dont tant d’œuvres majeures sont empreintes…                     

L’on est frappé, comme  lors de l’indécente cérémonie des obsèques de Johnny Hallyday  à la Madeleine, par l’ignorance et l’approximation des journalistes pour tout ce qui touche à la religion catholique. Il ne s’agit même pas de militantisme, ils ne savent pas…

En oubliant, en ne protégeant pas au moins leurs racines chrétiennes, en ne transmettant pas, les Français se sont sabordés. L’islam ne les a pas envahis, ils l’ont accueilli et laissé prospérer en toute indifférence… en toute inconscience…

 

 Oui ! La France est chrétienne ! Pour preuve, l’on y célèbre Noël, Pâques, l’Ascension… Ce ne sont pas des fêtes hindouistes !  Il fallait enfin surligner cette vérité basique que d’aucuns s’emploient à nier pour mieux l’effacer de la mémoire de notre pays et de nos cœurs, à des fins politiques, idéologiques et surtout servir un système mondialisé, dont, avec la « crise Covid », certains commencent à percevoir les méfaits.

Faute de croire, pour notre défense, il faut au moins redevenir des chrétiens « culturels et politiques » !

Daphné Rigobert

Les illustrations de ce texte ont plusieurs années et furent crées pour une campagne de « réinformation » sur Facebook. Etant l’auteur, je peux donc les utiliser comme bon me semble et si vous souhaitez faire de même, ne vous en privez pas.

 

 

 




Bachelot apporte sa bénédiction au massacre de Notre-Dame de Paris

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Si Michel Aupetit, ancien archevêque de Paris, partage la Une de Paris Match avec Pécresse, ce n’est pas par conviction politique mais parce qu’il a été paparazzé avec sa supposée dulcinée belge… Aupetit, c’est Anadingo qu’il préfère. Durant ses quatre ans à la tête du diocèse et surtout, depuis l’incendie de la cathédrale, il s’affichait partout avec elle. Quand en mars 2020, au début du confinement, il vint au Sacré Cœur de Montmartre bénir Paris, il n’était entouré que de quelques prêtres et de la maire de la capitale, celle qui n’aime que les musulmans…

 

 

De ce que l’on sait… le pire qu’il nous donna à subir commença le Vendredi saint, lors du Chemin de croix 2019. Notre-Dame de Paris venait de brûler, au lieu de célébrer cet office dans une autre église, il décida d’innover, se baladant micro à la main sur les bords de Seine, autour de Notre-Dame, réinventant les quatorze stations du Christ… appelant à prier pour « les acteurs politiques de la nation », dont beaucoup étaient responsables de l’incendie…

En deux jours, il  prouva combien il était le digne successeur de son prédécesseur et méritait son élévation au rang de monseigneur 24.  Façon Charlie et Bataclan, il convia ses ouailles à déposer des bougies sur leur fenêtre en mémoire de Notre-Dame… La mémoire du feu?

Mieux encore, il  acheva sa messe de Pâques, à Saint-Eustache,  remerciant de façon très incongrue, Nathalie Loiseau, “catho” pro GPA pro PMA, assise au premier rang (vidéo 2,  à 1 h 13)… sans justifier pourquoi,  puis évidemment, la christianophobe Anadingo et les élus locaux…  lesquels s’étaient tous précipités à l’office pascal pour y être filmés par Le jour du Seigneur.  Aupetit avait ainsi donné officiellement son onction à la liste Macron pour les européennes qui approchaient. 

Ordonné prêtre à quarante-quatre ans, l’ancien toubib de Colombes a brûlé les étapes, accumulant rapidement titres et promotions,  pour se retrouver évêque de Nanterre en 2014 et archevêque de Paris en 2017, décoré comme un sapin de la Légion d’honneur par Manu, en décembre 2018.

En avril 2019, monseigneur 24 devint alors un archevêque sans cathédrale, allant de Saint-Sulpice à Saint-Eustache, tout un symbole et peut-être pas un hasard…

Il ne ne défendit que fort peu les catholiques, pas davantage les églises parisiennes, gravement abîmées par l’indifférence de deux maires socialistes, voire profanées…

Cet archevêque, mis à la retraite d’urgence… vient de parachever son œuvre, saccageant délibérement l’intérieur de Notre-Dame de Paris par un projet d’aménagement aussi impie que ravageur en termes historiques.

Plusieurs architectes ayant eu accès aux plans décrivent des rénovations aberrantes, tel « un sentier de la découverte » conduisant les  visiteurs à travers diverses chapelles, mettant l’accent sur l’Afrique et l’Asie. Des expositions, comme «Le christianisme pour les nuls », ont aussi été annoncées. Par ailleurs, l’un des sanctuaires serait dédié à l’environnement…

Une source proche de la rénovation considère que ces innovations vont mutiler la cathédrale : « Pouvez-vous imaginer que l’administration du Saint-Siège autorise quelque chose de semblable dans la chapelle Sixtine ? », « C’est le politiquement correct devenu fou. Ils veulent faire de Notre-Dame une salle d’exposition liturgique expérimentale qui n’existe nulle part ailleurs, alors qu’elle devrait être un repère où, le moindre changement doit être traité avec la plus grande prudence. ». Un Disneyland catho avec des objets d’art contemporain, dont les « œuvres » ignobles de Louise Bourgeois !

Ce projet délirant provoqua une tribune dans les colonnes du Figaro, intitulée : « Ce que l’incendie a épargné, le diocèse veut le détruire », parfait résumé du massacre d’Aupetit.

Plus de cent personnalités, dont Stéphane Bern, Alain Finkielkraut et Pierre Nora, y ont exprimé leurs craintes face au projet épouvantable. « Le diocèse de Paris veut en effet profiter du chantier de restauration pour transformer l’intérieur de Notre-Dame en un projet qui en dénature entièrement le décor et l’espace liturgique », peut-on lire dans ce texte, fustigeant un aménagement « prévoyant bancs amovibles, éclairage changeant en fonction des saisons, projections vidéo sur les murs, etc.». Les signataires de la tribune ont lancé un appel à respecter « l’œuvre de Viollet-le-Duc, le travail des artistes et des artisans », afin de « restituer au monde un monument sublime ».

Les temps étant au sabordage de notre civilisation, dont notre Histoire et nos églises, tout s’accélérant depuis la dictature Macron : le projet de réaménagement intérieur de la cathédrale a reçu un avis favorable des experts du patrimoine et d’abord, de l’ignominieuse Roselyne Bachelot. 

C’est ici que la promesse de Macron de rebâtir Notre-Dame  de Paris « plus belle encore » prend pleinement son sens, prouvant que « ce type pas fini » n’est qu’un psychopathe destructeur.

On ne sait encore qui sera monseigneur 25, dans le contexte actuel, mieux vaut ne pas se faire d’illusions…

Seule l’élection d’Éric Zemmour pourrait arrêter ce carnage christianophobe, affligeant la France et les Français.

 

Daphné Rigobert

 

 

 

Lettre de Zemmour publiée dans Le Point

 

Chers compatriotes,

Depuis des mois, un projet visant à déconstruire la cathédrale de Paris sous prétexte de la restaurer se met en place. Depuis hier, il entre dans sa phase de réalisation.

Amoureux de la splendeur de notre civilisation, je ne peux rester silencieux face à cette effroyable entreprise visant à dénaturer l’édifice le plus visité au monde, centre de gravité de la chrétienté française et symbole de notre Nation.

Le lendemain matin de l’incendie, qu’aurait dû décider Emmanuel Macron ? Faire reconstruire à l’identique la cathédrale, à l’intérieur comme à l’extérieur, et laisser les services des Monuments historiques accomplir leur noble mission. Au lieu de quoi, mû par un orgueil follement déplacé, il a lancé un concours pour moderniser la cathédrale, et a créé une structure opaque dirigée par un général, usine à gaz dispendieuse, destinée à satisfaire ses caprices.

Puis, le dossier de Notre-Dame a été dissimulé sous le sceau du secret le plus absolu. Jusqu’à ce qu’on apprenne qu’un nouveau projet était né, visant à bouleverser radicalement l’intérieur de la cathédrale. Emmanue Macron en est si satisfait qu’il a invité le principal concepteur, un prêtre progressiste aux songes fumeux, à l’Élysée. Le président de la République tente de faire passer les passionnés de Notre-Dame pour des passéistes, des ringards. Mais depuis quand la modernité consiste-t-elle à défigurer un chef-d’œuvre inouï pour le remplacer par un fantasme imbécile ?

Deux ans après l’incendie, notre cathédrale continue de périr, emportée par les flammes du politiquement correct. « Espaces émotionnels », « chapelle écologique », « parcours initiatiques », « peinture abstraite » : dans une fournaise d’abstractions imbéciles et kitsch, les démons du wokisme s’acharnent sur le trésor le plus émouvant de Paris.

Les pilotes de ce projet manifestent une perception biaisée, vicieuse, de l’Histoire. Ils voient en Notre-Dame un mille-feuille où chaque dirigeant imprime sa marque, « quoi qu’il en coûte ». Ils prennent la fidélité pour un manque d’audace. À tout cela, il y a une raison : ils n’aiment pas la France. Ils considèrent, comme Emmanuel Macron le dit lui-même, qu’il n’y a pas de culture française. Ils encouragent tout ce qui peut déconstruire le cœur de notre civilisation.

Il n’est pas encore trop tard pour bien faire. Emmanuel Macron doit donner l’ordre d’annuler ce projet, le plus vite possible. Et, si d’aventure il s’obstine à laisser défigurer la cathédrale de Paris, lorsque je serai élu président de la République, je m’engage solennellement à ce que Notre-Dame redevienne Notre-Dame. J’inscris cette intention, de manière définitive, dans mon programme électoral.

Vive notre Histoire, vive notre Art et, surtout, vive la France.

Éric Zemmour

 

Chemin de Croix autour de Notre-Dame, 19 avril 2019

Messe pascale du 21 avril 2019, à Saint-Sulpice

 




Notre-Dame de Paris : le massacre continue, voilà Louise Bourgeois !

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Le pape François vient de mettre monseigneur Aupetit à la retraite. Cependant, nous avons tout lieu de continuer à nous inquiéter pour la cathédrale… Le gauchiste sud-américain, immigrationniste, islamophile,  ne va certainement pas nommer un archevêque « réactionnaire ». Il est fort probable que les projets aberrants d’aménagement intérieurs de Notre-Dame de Paris, version Disneyland, se poursuivent…

Michel Aupetit a confié ce réaménagement au père Gilles Drouin, qui conduit ce saccage historique avec allégresse, faisant dire à des architectes connaissant bien ce projet indigne qu’il va « mutiler la cathédrale ». Outre d’innombrables délires, le prêtre en charge de cette « modernisation » veut dans les chapelles latérales exposer : « des tableaux anciens des XVIe et XVIIIe siècles qui dialogueront avec des objets d’art contemporains »… C’est alors que nous apprenons que l’une des artistes « contemporaine » pressentie est Louise Bourgeois.

Née à Paris en 1911, cette plasticienne, mariée à un Américain, a fait toute sa carrière à New York où, elle décéda en 2010.  Cette féministe, passionnée de psychanalyse « est surtout connue pour sa sculpture et ses installations monumentales, mais pratique également la peinture et la gravure. Elle explore des thèmes tels que l’univers domestique, la famille, le corps, notamment les organes sexuels, tout en abordant une approche qui se traduit comme une manifestation des subconscients et la réactivation de souvenirs de son enfance. Elle est proche des mouvements  expressionnistes abstraits et du surréalisme, ainsi que du mouvement féministe mais reste toute sa vie non affiliée à une mouvance particulière. » (Wikipédia)

À quelques kilomètres d’Apt, à Bonnieux, dans le Vaucluse,  une « église » porte son nom. Il s’agit d’une église franciscaine du XVIIe siècle, vendue à la Révolution comme bien national, de 25 mètres de long sur 8 mètres de large. Longtemps utilisée comme grange, elle fut transformée en espace d’exposition en 1998, son propriétaire demandant alors à Louise Bourgeois d’en concevoir le mobilier.

C’est ainsi que Louise Bourgeois revisita tout le mobilier liturgique… Dans le chœur, une croix en bronze remplace l’autel, chaque moitié de la traverse de la croix représente une main… Deux blocs de marbre rose martelés, posés l’un sur l’autre, font fonction de bénitier, des seins généreux tapissent l’intérieur de la paroi du bloc supérieur… Une poupée en chiffon rose, sous cloche, représente la Vierge Marie allaitant son bébé… Une structure en partie grillagée évoque un confessionnal, dans lequel se trouve un christ crucifié en chiffon…

Que cette impie frappadingue ait produit des œuvres éminemment choquantes pour des chrétiens, peu importe. Que l’évêché de Paris veuille en installer dans la plus belle église de France est un sacrilège christianophobe qu’il convient de dénoncer et d’empêcher.

 

Daphné Rigobert

 

communication@diocese-paris.net

 

 

 




Toujours aussi vulgaire, Macron a tutoyé son pote le pape!

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A sa demande, le pape François a donc rencontré Macron pendant une heure.  Il y a peu de chance que cette audience, se voulant séduire l’électorat catholique le charme, tant notre petit dictateur a laissé se multiplier les actes christianophobes sur notre territoire, sans réagir. Si selon les chiffres du Comité interministériel de la laïcité, 48 % des Français « se sentent liés » au catholicisme, ce n’est pas majoritairement avec  Bergoglio, le gaucho sud-américain étant plutôt mal vu de la plupart des cathos, très nostalgiques de Benoit XVI.

L’adoption en juin dernier de la loi Bioéthique, avec la PMA pour toutes, les embryons médicaments et les chimères… a profondément traumatisé l’électorat catholique conservateur, sept ans après une forte mobilisation contre l’ouverture du mariage aux couples de même sexe… 62 % des catholiques considèrent qu’ils ne sont pas pris en compte en tant que citoyens par les dirigeants politiques et 82 % en tant que catholiques, relève une enquête de l’Ifop pour l’hebdomadaire Le Pélerin, publiée le 20 octobre dernier. Toutefois, 85 % des catholiques interrogés considèrent que la présidentielle « représente un enjeu majeur dont dépend l’avenir du pays ». De quoi laissé présager une importante mobilisation de cet électorat en 2022…

Un président qui place un livre du putride pédophile André Gide sur sa photo officielle, invite des homosexuels et des trans à se trémousser sur le perron de l’Elysée pour « fêter » la musique… ne peut plaire aux catholiques…

Il est vrai que Macron et le pape François ont certains points communs, dont un  amour immodéré des migrants et une passion pour le « vaccin » anti-Covid!

Le pape  fut l’un des premiers à mettre le Vatican en dictature, instaurant un passe sanitaire et dans un grand élan chrétien, faisant virer les membres du personnel refusant la vaccination. Puis dans une vidéo mémorable, en espagnol, vantant les mérites des injections miracles, celles de l’amour…

Manu le judicieux a offert au pape deux livres sur Saint Ignace, comme si ce jésuite de chez jésuite ne connaissait pas sa vie par coeur… «Un petit livre sur Ignace de Loyola que tu connais mieux que moi », a déclaré  Macron, tutoyant le Souverain pontife…  lui expliquant que le livre avait été écrit par l’avocat et académicien François Sureau: « C’est un ami à moi mais il m’attaque tout le temps », puis il lui a offert une seconde biographie, plus ancienne et plus rare, rédigée en 1585 par Giovanni Pietro Maffei. 

Avant de le quitter, Macron a dit au pape : « Je t’ai fatigué avec toutes ces histoires ». Et le pontife de répondre : « Tu ne m’as pas fatigué ». Remerciant le chef de l’Église catholique, Manu a conclu: « Merci de ta patience ».  Nous ne saurons point ce que Manu lui a confié… C’est peut-être préférable.

Outre des gestes bien trop incongrus et familiers, ce malappris de Manu a tutoyé le pape pour faire croire à une grande proximité avec lui, qui n’est point. Si le pape comprend peut-être un peu le français, il ne le parle pas, quant à Macron il ne semble pas qu’il parle italien, langue dans laquelle s’exprimait l’évêque de Rome…

Une fois de plus, il s’est comporté comme un lamentable dircom, faisant un numéro pour les caméras, il a fait honte à la France, corroborant à l’instar des inoubliables photos avec les jeunes dealers Antillais de Saint-Martin, combien il était intrinséquement vulgaire. Michel Onfray le qualifie régulièrement de grossier personnage… A juste titre!

Mitrophane Crapoussin




Fabrice Di Vizio traîné devant l’Ordre des avocats pour « vulgarité »!

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L’effervescent et très combatif Fabrice Di Vizio est visé par une procédure disciplinaire de l’Ordre des avocats, pouvant entraîner son renvoi. À travers un document de vingt-trois pages (!), ayant épié la totalité de ses propos sur les réseaux sociaux, il lui est fait grief de sa vulgarité et d’ainsi violer le Code de déontologie…

« La commission des réseaux sociaux et médias de l’Ordre a considéré que les publications (…) dont elle a été saisie contenaient des termes manifestement vulgaires, que ces propos étaient susceptibles de constituer, s’ils étaient établis, un manquement aux principes essentiels de la profession d’avocat (…) au principe de dignité, de conscience, de probité, d’humanité, d’honneur, de délicatesse, de modération, de courtoisie et de prudence. » Que ça !

Ayant recensé, sur dix pages, la totalité de ses interventions dans TPMP, l’émission d’Hanouna, des reproches similaires lui sont aussi adressés.

Faute de pouvoir détruire Di Vizio pour son travail, il est ainsi attaqué du fait de son positionnement anti-passe, son engagement pour la liberté vaccinale, son soutien aux soignants licenciés, etc., sans oublier les milliers de plaintes ayant perturbé jusqu’à la Cour de Justice de la République, comme l’avait rapporté le faux gentil procureur Molins. La vindicte n’aura attendu que deux mois.

Et au vu de l’ambiance… N’oublions pas que cet avocat est aussi  un grand catholique revendiqué, qui va au bout de ses convictions, aidant et secourant… en opposition avec les prises de position serviles de la Conférence des évêques de France…

À juste titre, Fabrice Di Vizio dénonce une chasse aux sorcières de la part du Conseil de l’Ordre, lequel fait  de la politique, tenant absolument à complaire au gouvernement. Dans un communiqué de presse, paru en juillet 2021, « l’Ordre s’est montré ouvertement en faveur du passe sanitaire comme outil de coercition à la vaccination et en appelait à la vaccination obligatoire, en raison de l’état catastrophique de la situation (…) le Conseil de l’Ordre ne supporte pas qu’un avocat « grande gueule » vienne dénoncer un système complètement corrompu ! »

Et Di Vizio d’énumérer mensonges, collusions, mesures liberticides, etc., que nous ne connaissons que trop, dont cet extraordinaire rapport de l’Agence technique de l’information sur l’hospitalisation (ATIH), précisant qu’en 2020, les hospitalisation dues au Covid ne représentaient que 2 % de la totalité…

Au terme de cet entretien, le journaliste l’interviewant lui pose une question un peu inepte, qu’agacé, l’avocat lui retourne… Ne ratez pas le jubilatoire feu d’artifice final.

Di Vizio, pour le meilleur et pour le rire !

Daphné Rigobert

https://www.youtube.com/watch?v=aAgdiqq1QHI




Enfin un hijab unisexe, merci Benetton !

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Vous en rêviez, Benetton l’a inventé !

Lancé en début d’automne, il arrive à point nommé. Cette marque  a eu toujours le sens du timing et surtout, celui du marketing. Elle aime beaucoup les religions. Certaines plus que d’autres, de préférence, les catholiques… après une religieuse et un prêtre s’embrassant, elle avait donné dans et l’œcuménisme. Nul aura oublié ce montage de Benoit XVI bouche contre bouche avec un imam du Caire…

Ce hijab est pratique pour les chauves, les vilains pifs, les victimes de rhinopharyngites… car il se remonte. Cette fin de Covid n’étant plus qu’une épidémie de rhumes, à condition de bien se laver les patoches, cela pourrait en éviter certains.

Ce hijab a été lancé avec le rappeur Ghali, né en Italie de parents tunisiens et « gloire » locale…

« Je suis fatigué que tout ce qui est arabe ou tunisien soit associé à quelque chose de négatif », a déclaré ce jeune homme, cité par le média espagnol La Razon, « Je pense qu’il est important de dire que cette diversité est une valeur ajoutée ».

Il est vrai que choisir le hijab comme symbole positif de la culture musulmane est judicieux, surtout, après la pub faite au voile islamique par le Conseil de l’Europe, avec le succès que l’on sait…

Plutôt que de militer pour sa suppression, mieux vaut en affubler tout le monde, c’est plus simple. C’est aussi plus seyant qu’une casquette à l’envers ou qu’une vilaine capuche, voire la superposition des deux. Cela dissimulerait enfin tous les moches et les mal coiffés.

Macron qui souffre d’un problème de calvitie, fort mal assumé, pourrait l’adopter, résolvant ainsi un double problème, dont sa dhimmitude. Le Drihan, Blanquer, Schiappa, Wargon… résoudraient aussi leurs soucis de coiffitude.

En fait, une fois de plus, Benetton n’a rien inventé. Cet objet existe depuis longtemps et en français, s’appelle cagoule ou passe-montagne. La seule novation de cette marque déclinante a été d’en faire un produit musulman, surfant ainsi sur le halal, prouvant donc  que le Grand Remplacement devient aussi une valeur commerciale.

Daphné Rigobert

Démonstration !

https://www.youtube.com/watch?v=4cNTV4DY4O4h




Pour son dernier show, Tapie n’avait pas besoin d’une cathédrale !

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Qu’il y ait eu foule au stade Vélodrome et sur le Vieux port se comprend. Que l’évêque de Marseille ait accompagné un tel cirque dans sa cathédrale est inadmissible !

Il ne me revient pas de rappeler à Monseigneur Aveline ce qu’est une messe et une messe d’obsèques… sa liturgie, ses traditions, sa solennité, son recueillement.

Nul n’est tenu de faire précéder une inhumation par une messe, retransmise en direct par La Provence et LCI.

À la tribune, Borloo, Muselier, Payan, Samia Ghali… il me semblait qu’il s’agissait d’un office religieux, pas d’un meeting lors duquel les discours et hagiographies succèdent les uns aux autres, sous des applaudissements nourris.

C’était hallucinant d’indignité.

Il est fort à parier que tout ce spectacle ait été organisé par la famille de Bernard Tapie… en cathos touristes : ceux qui vont à l’église pour leur baptême, communion, mariage et obsèques… laquelle avait oublié l’essentiel. Un essentiel dont, peut-être, elle ignorait tout.
Ils croyaient lui rendre hommage… par un rituel, plus ou moins folklorique…

Une messe burlesque étant peut-être devenue du dernier chic, un marqueur social.

Depuis les obsèques de Johnny Hallyday à la Madeleine, tout a basculé. Les prêtres et officiants tolèrent tout, n’importe quoi, en un indécent mélange des genres.

Ces simagrées impies sont un outrage aux catholiques !

Et clou du spectacle : la sortie de la cathédrale sur « We are the champions », cantique cathodique du groupe Queen, connu pour sa piété et sa pratique des valeurs de l’Église…

Daphné Rigobert

Liturgie des funérailles

https://liturgie.catholique.fr/celebrer-en-toutes-occasions-sacramentaux/les-funerailles/la-celebration-des-obseques/296423-priere-defunts-foi-esperance/

https://www.youtube.com/watch?v=OIDact5CQB0




Dictature sanitaire : les « cathos tradis » entrent en résistance

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L’histoire se répéterait-elle ?… Alors qu’à Londres, le général de Gaulle était essentiellement entouré de membres de la droite dite « extrême » (lui-même était proche de l’Action Française), à Vichy en revanche, le premier gouvernement du Maréchal Pétain était en quasi-totalité formé d’hommes de gauche : voir les annexes en fin d’article.

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En cette période de Pâques, qui ose violer ouvertement les diktats sanitaires du pouvoir macronien ?

Des « cathos tradis », autrement dit des catholiques pas réputés très très à gauche, c’est le moins qu’on puisse en dire…

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Quelques explications à l’usage de nos lecteurs peu familiers des arcanes catholiques…

Les catholiques traditionnalistes (ils se nomment eux-mêmes « cathos tradis ») n’appartiennent pas tous, loin s’en faut, au courant schismatique lebfevriste. La lettre apostolique Summorum Pontificum cura (« La sollicitude des Souverains Pontifes ») publiée le 7 juillet 2007 par le pape Benoît XVI réinscrit la célébration de la messe traditionnelle dans le cadre « normal » de la vie liturgique.

A noter que la messe traditionnelle n’avait d’ailleurs jamais été interdite par Rome, mais « seulement » encadrée de manière très contraignante afin de décourager les éventuels prêtres réfractaires au nouveau rite. A partir de la publication de la lettre Summorum Pontificum cura, lettre également appelée Motu proprio (« de son propre mouvement »), le prêtre n’a besoin d’aucune autorisation pour une célébration privée, et au niveau d’une paroisse, la décision de célébrer une messe selon le rite traditionnel revient au curé, qui n’a plus à en référer à son évêque, ni encore moins à Rome.

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Mais venons-en aux faits… La scène se déroule ce samedi 3 avril dernier en l’église Saint-Eugène, paroisse « tradi » du 9ème arrondissement de Paris. Cette scène aligne scandale sur scandale :

  • L’église est bondée (entre 300 et 400 fidèles selon un témoin)
  • Personne (ou presque) ne porte de muselière, en tout cas aucun des membres du clergé ni des servants
  • La messe dure quatre heures
  • Elle s’accompagne de nombreux baptêmes pendant lesquels c’est la même eau bénite qui servira à l’ensemble des catéchumènes
  • Aucune « distanciation sociale » n’est respectée – l’expression désigne l’obligation de respecter une distance minimale entre personne, mais elle sonne comme une espèce d’apartheid… Voir l’affaire Chalençon qui montre que la « Haute » se dispense très bien des contraintes qu’elle impose au bon peuple, via sa docile flicaille)
  • Lors de la communion, c’est sur la langue – comme le veut la tradition – et non dans la main, que les fidèles reçoivent l’hostie des mains du prêtre. A noter que pendant la communion, ni le prêtre ni les servants ne portent de muselière
  • La cérémonie se termine bien après 19h, autrement dit en violation du décret gouvernemental qui oblige chaque gentil citoyen à être à la niche dès 19h, afin de pouvoir écouter BFM TV, LCI et autre France 2 diffuser la bonne parole gouvernementale, via ses journaleux à la botte.

Dès la fin de la cérémonie, une vidéo prise par une ouaille de la paroisse Saint-Eugène a été diffusée sur le site officielle de l’église. Devenue virale, cette vidéo a été reprise par de nombreux médias kollabos (Le Parisien, Huffingtonpost, LCI, FranceBleu…), avec les commentaires horrifiques que l’on devine.

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Ci-dessous le lien vers un article du Parisien, avec la vidéo en question et le témoignage d’un certain « Etienne » :

https://www.leparisien.fr/video/video-pretres-et-fideles-sans-masques-pas-de-distanciation-une-messe-sans-regles-sanitaires-celebree-a-paris-05-04-2021-C7FZPZMLH5BOPDPGOTAMQXPMB4.php

« Par souci d’anonymat, nous alerte Le Parisien, le prénom a été changé » : les cathos sont tous des terroristes en puissance, c’est bien connu. Attention : « Etienne » précise bien qu’il n’est pas catholique ! Il était simplement venu assister au baptême de son frère. On respire…

« Etienne » nous fait part de l’épouvante que lui a inspirée cette scène effroyable… Commentaires du Pharisien – pardon, du Parisien :

« Horrifié, [Etienne] a tenu à alerter Le Parisien en nous envoyant le lien de la vidéo de la cérémonie, mise en ligne samedi et toujours visible ce lundi. « J’ai un peu halluciné en assistant à cette messe. Il y avait très peu de personnes portant le masque, même les prêtres n’en avaient pas. A aucun moment les gestes barrière n’ont été respectés » ».

« Sur la vidéo, on assiste aussi à une série de baptêmes où les personnes se plongent la tête dans l’eau [« Etienne » parle plus exactement de « flotte »…] d’un même baptistaire, les uns après les autres. Je suis encore sous le choc. A un moment où la situation sanitaire en France est grave, où on en est à fermer les écoles… Voir de tels comportements… C’est tout simplement criminel ! C’est dangereux ! »

Et Le Parisien d’ajouter :

« Pourtant, la consigne est claire du côté du diocèse de Paris : le port du masque pour les plus de 11 ans est obligatoire dans les églises, la distanciation également. Contacté par Le Parisien, l’institution catholique s’est dit stupéfaite après avoir visionné la vidéo : « De toute évidence, lors de cette messe, aucune consigne sanitaire n’a été respectée, déplore le diocèse. Nous nous désolidarisons totalement de ce type de comportement, qui n’est pas conforme aux règles données par le gouvernement. Nous allons aviser les personnes responsables de cette messe et allons, en interne, donner des suites ». »

Ce mardi 7 avril, la vidéo avait été retirée du site de l’église Saint-Eugène, sans doute sur ordre de l’évêché de Paris…

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On attend avec impatience les commentaires atterrés que des témoins de la « rupture du jeûne » musulman, chaque soir au coucher du soleil, ne manqueront pas d’envoyer à ces mêmes médias kollabos.

Rappelons que le ramadan – cette année, du 13 avril au 13 mai – n’est absolument pas un jeûne au sens chrétien du terme puisque les mahométans sont autorisés (c’est ce qu’ils appellent l’Iftar) à faire bombance du coucher du soleil à son lever le lendemain. A tel point que « la période de jeûne est synonyme de hausse vertigineuse de la consommation »

« La hausse de la consommation des familles durant cette période est spectaculaire », témoigne ainsi Pascal Pouvrasseau, directeur commercial des supermarchés Casino au Sénégal dans ce même article. Une tartufferie – doublée d’une aberration diététique… – qu’on peut évidemment  extrapoler à l’ensemble des musulmans de la planète.

Le gratuit 20mn s’inquiète de la gêne occasionnée aux musulmans par les règles concernant le couvre-feu, soulignant que « le repas quotidien de rupture du jeûne [est] habituellement une composante sociale, conviviale voire festive du mois du ramadan. »

C’est trop gentil à lui

Henri Dubost

 

Annexes du premier paragraphe de cet article :

  1. Aucun historien « officiel » n’a réfuté les thèses soutenues par Jean-Claude Valla dans ses deux livres : L’extrême droite dans la Résistance (2 vol., Éd. de la Librairie nationale, 2000) et La gauche pétainiste (Éd. de la Librairie nationale, 2001)
  2. « Divine surprise » en décembre 2017 : France 5 diffusait deux émissions sur ces sujets, intitulées précisément « L’extrême droite dans la Résistance » et « Quand la gauche collaborait ». A noter que les auteurs de ces deux documentaires, Florent Leone et Christophe Weber, ont réussi l’exploit de ne jamais citer les ouvrages de Jean-Claude Valla…
  3. Le Maréchal Pétain obtint les « pleins pouvoirs » grâce aux députés de gauche (et donc du Front populaire). Certes, les 80 parlementaires qui votèrent contre étaient majoritairement de gauche (mais la gauche était précisément majoritaire dans les deux chambres…) ; certes Léon Blum lui-même a voté contre, mais il s’abstiendra prudemment de prendre la parole durant les débats qui ont précédé le vote, et il ne donnera aucune consigne de vote…
  4. Sur le registre de l’Assemblée, le 10 juillet 1940, le décompte des 569 voix favorables à l’octroi des pleins pouvoirs à Pétain fait état de 286 parlementaires de gauche et 283 de droite. 36 parlementaires de la SFIO votent contre Pétain, mais 90 votent pour. L’« historien » Henri Rousso a le culot d’affirmer que l’absence de la plupart des 72 députés communistes a faussé le scrutin et pu faire pencher la balance du côté des « pour », oubliant un détail : à partir de la signature, le 23 août 1939, du « Pacte germano-soviétique », communistes et nazis étaient en pleine lune de miel (ils le resteront jusqu’au 22 juin 1941 – début de l’opération Barbarossa – soit pendant les plus sombres des heures les plus sombres de notre histoire…). Il est évident que les communistes qui n’ont pas participé au vote (à la suite du décret-loi d’Édouard Daladier du 26 septembre 1939 interdisant le Parti communiste) auraient suivi les consignes du PC« F » et auraient voté pour les « pleins pouvoirs ».
  5. Commentaire à ce sujet de l’historien juif Simon Epstein : « Les [10] députés communistes [sur 72] ayant dénoncé le pacte germano-soviétique sont là [exclus du PC« F », ils apparaissent sous la dénomination d’ « Union populaire française »] et ils votent en majorité pour Pétain [7 pour et 3 contre]. Quant aux autres, ceux qui sont restés fidèles à la nouvelle ligne du parti [et qui sont donc absents au moment du scrutin], ils soutiennent le Pacte et sont en phase défaitiste révolutionnaire aiguë, ils sont hostiles à tout effort de résistance nationale […] ce n’est certainement pas sur eux, en juillet 1940, qu’on pouvait compter pour défendre une République dont ils dénonçaient, depuis l’automne 1939, le caractère impérialiste, belliciste et bourgeois »
  6. Le 13 octobre 1940 le communiste Guy Môquet a été arrêté non pour « faits de résistance » comme l’enseigne l’histoire officielle, mais parce qu’il distribuait des tracts accrédités par le PC« F » de l’époque, appelant « les soldats allemands et les ouvriers français [à s’unir] contre le grand capital »… Une vérité historique fort dérangeante, totalement occultée par la doxa dominante… C’est ainsi qu’un Michel Onfray s’est vu cloué au pilori pour s’en être fait l’écho dans sa « chronique mensuelle » de novembre 2011. Courageusement, le philosophe a promptement supprimé cette « chronique » de son site officiel : http://mo.michelonfray.fr/chroniques/la-chronique-mensuelle-de-michel-onfray-n%C2%B0-78-novembre-2011/  

 




L’avenir nous prouvera-t-il que le Pape avait raison ?

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Il y a un an la Communauté de l’Emmanuel publiait un article intitulé « Musulmans, Islam : comprendre le pape François »- cf. http://emmanuel.info/actualites/pape-francois-lislam/ – L’année 2017 a-t-elle donné raison aux thèses exposées ?

Tout d’abord, concernant les réfugiés choisis par le Pape François lors de son voyage à Lesbos, souvenons nous qu’il décida de ‘rapatrier’ uniquement des musulmans – l’auteur justifiait le geste car : « La mission du vicaire du Christ, pasteur universel, est de s’occuper des brebis qui sont dans la bergerie et aussi de celles qui sont au-dehors.» A cet argument, on doit bien sûr répondre que le Pape agissait en faisant un acte nécessairement observé par tous. Ce faisant, il parut ignorer la souffrance des Chrétiens d’Orient. Quelle que soit la dimension pastorale de son geste, pouvait-il minimiser ou traiter avec légèreté sa portée politique ?

Quand de surcroît l’article expose que : « Certains (musulmans) ont vu dans le geste du Pontife une vraie figure de Père », on répondra que les paroles du Pape durant l’année 2017 furent le plus souvent d’accueillir les immigrés pour ce qu’ils sont et l’islam en tant que tel ; politique en laquelle il a eu le soutien de la CEF (Cf ; Mgr Ribadeau Dumas) : « Accueillir les migrants fait partie des points non négociables. » Est-il Père celui qui encourage autrui dans son erreur et le favorise au détriment des siens ? Aussi ne saurait-on être véritablement  surpris en ce début 2018 par la superbe du Vatican face à l’appel au secours lancé par d’ex-musulmans devenus chrétiens : http://exmusulmanschretiens.fr/ . Ne pas répondre à leur appel parait aux yeux du commun des mortels les tenir pour quantité négligeable et assez contraire à la mission du successeur de Pierre…

Le St Père rapportait (rapprochait) aussi la violence musulmane à la violence de chacun. Pour l’ article de l’Emmanuel : « Le pape François insiste sur le fait que les chrétiens sont aussi sujets au fondamentalisme et à la violence. » Dire que la violence est partout, venue par maintes nations (USA inclus), se peut : Juifs contre Hamas, Hamas contre Juifs. Mais Le St Père n’a pas fait ce rapprochement-là. Au contraire il évita de parler de la violence étatique  – ce en quoi il eut été justifié – et minimisa dramatiquement  la violence du fondamentalisme islamique en la rapprochant de piètres violences familiales privées, qui sont d’une tout autre nature et dimension. Le St Père parlait de la violence de l’Homme durant que nos maux viennent aussi et peut-être avant tout de celle de l’Etat ou d’organisations terroristes telles Al Quaïda, DAESH, etc. In fine là aussi la dimension politique de son propos est comme omise.

Sur la violence inhérente à l’Islam, l’article expose que le Pape eut raison de dire que toute véritable religion ne peut être porteuse de violence. Nous y voyons un double raccourci : Tout d’abord, par une acception étendue du mot « religion » Pape François omet de parler des textes fondateurs de l’islam. Or, le Coran et les Hadiths sont bel et bien porteurs de cette extrême violence. Secondement, il assimile l’islam à une ‘véritable religion’, quand nous croyons que la Révélation est achevée avec la venue du Christ sur la terre. Se placer en contradiction au regard des paroles de Dieu et de toute la tradition de l’Eglise Catholique ne peut manquer de troubler les fidèles, et ceux qui voudraient l’être…

Au-delà des trois arguments exposant aux fidèles en quoi le St Père était justifié, et au-delà de la contestation d’iceux, il semble que l’on puisse gagner en compréhension en élargissant notre regard : Le Pape doit-il être en chacun de ses gestes tel le Christ, ou est-il en ceux-ci aussi un acteur politique observé par le monde entier ?

Pour nous, Catholiques, le Pape est Prêtre et Pasteur, enseignant, et tout autant chef gouvernant des communautés catholiques. Ce qu’on accepte, humblement, d’un prêtre qui agit dans le silence à l’image de Jésus-Christ doit-il être repris dans le même comportement par le Chef de l’Eglise agissant sous le feu des médias du monde entier ? Quand le St Père lave les pieds des migrants le jeudi saint, il agit dans sa fonction de Prêtre, telle que toute la vie de Jésus-Christ le fut. Quand il propose Amoris Laetitia, il est Pasteur, mais quand il voyage et se mêle de la politique des Etats ou des organisations, son agir est-il assimilable à un rôle liturgique ou pastoral ? Le Pontife suprême a bien sûr le droit et le devoir d’agir en Pasteur politique, et par là d’enseigner. Mais il nous semble en ces moments qu’il doit prendre soin de tous les effets politiques possibles ! Ainsi la Communauté de l’Emmanuel n’était-elle pas justifiée de légitimer ceux-ci par un agir christique ou liturgique.

Ce Pape est atypique ! Tout ce que nous pouvons dire après cette nouvelle année de pontificat est que le résultat au sein de nos sociétés occidentales n’est pas un apaisement : Un tiers des musulmans en France se déclarent favorables à la Charia.

Alors quid ? L’avenir nous prouvera-t-il que le Pape avait raison ? Beaucoup s’inquiètent, et ne comprennent pas.

Bertrand du Boullay