Grâce à Isabelle Surply, nouvelle victoire sur l’islamisme à l’ENS de Lyon

Avant cette nouvelle victoire Lyonnaise, Isabelle Surply la patriote a obtenu l’expulsion de l’imam intégriste de la mosquée de Saint-Chamond dans la Loire, à la surprise générale, après un combat de plusieurs mois pour que force reste à la loi.

Lundi 31 octobre, la conseillère régionale ex-RN d’Auvergne-Rhône-Alpes Isabelle Surply a fait exclure une association islamiste étudiante de l’École normale supérieure de Lyon. Témoignage du combat d’une militante patriote hors normes qui ne lâche rien.

https://twitter.com/i/status/1587149213531607040

C’est une belle victoire pour La militante patriote Isabelle Surply !

Dans cette affaire où l’islam militant bafouait une fois encore les lois de la République et la laïcité, la Région Auvergne-Rhône-Alpes et son président Laurent Wauquiez sont montés au créneau.

Si cette association islamiste étudiante   a été acceptée par l’ENS Lyon, il n’en était pas de même des catholiques, puisque l’aumônerie catholique de l’école a été supprimée récemment, comme l’explique Isabelle Surply, “Lors du forum des associations de l’ENS début octobre, explique la conseillère régionale, l’AMENS exposait un stand où se trouvaient des livres ouvertement salafistes, un courant extrêmement radical de l’islam”. Alertée, la région Auvergne-Rhône-Alpes a annoncé « être extrêmement vigilante » et avoir saisi le rectorat. Une mesure dont s’est félicitée Isabelle Surply sur Twitter. Qui prévient tout de même : “Je compte bien saisir la préfecture du Rhône pour faire dissoudre purement et simplement cette association”.

Il y a quelques mois, Isabelle Surply avait fait expulser l’imam intégriste de la mosquée de Saint-Chamond dans la Loire, à la surprise générale.

« L’expulsion et la reconduite aux Comores de l’imam de la mosquée de Saint-Chamond, Mmadi Ahamada, c’est ma victoire ! » explique sans détour Isabelle Surply, conseillère municipale de la ville et élue régionale qui nous précise au téléphone : « Mais c’est aussi la victoire de tous ceux qui m’ont soutenue. »

Il est évident que, sans elle, rien ne serait arrivé. Le gouvernement d’Emmanuel Macron et Gérald Darmanin toléraient les prêches prônant la soumission des femmes, leur interdiction du lieu de prière sous prétexte fallacieux du Covid et obligatoire pour les petites filles. Sans compter les liens affichés par l’imam avec la figure de la mouvance salafiste (aujourd’hui décédé) Rachid Haddache.

Tous ces faits inadmissibles ont eu le don de galvaniser l’énergie de cette mère de famille de 37 ans qui « compte bien participer coûte que coûte à la conservation de notre modèle de vie christiano-occidental ». Forte de son expérience de conseillère en entreprise, l’élue n’a cessé d’interpeller les autorités publiques. D’abord via les réseaux, puis par mail et lettres recommandées envoyées toutes les semaines aux services de la préfecture de la Loire. L’élue a  pilonné les autorités « pour qu’elles n’aient pas d’autre choix que d’appliquer la loi qui est bien faite », alertant sans relâche les médias, ces « formidables leviers »« Une manière aussi de faire comprendre aux gens que lorsqu’ils sont impliqués, leurs élus sont efficaces. »

Des efforts qui ont porté leurs fruits : Gérald Darmanin a été obligé de se saisir saisi de l’affaire et a entamé une procédure qui s’est soldée, ce lundi 2 mai 2022 (« jour de l’aïd ! », souligne malicieusement Isabelle Surply), par l’expulsion de l’imam Mmadi Ahmada.

À 18 ans, Isabelle adhère au Front national

Depuis toujours, cette grande et belle jeune femme affiche une énergie et une combativité qui forcent l’admiration. Tant son courage est immense. L’échec du « vivre ensemble », elle connaît, elle l’a vécu. Lors de ses années de collège à La Seyne-sur-Mer. Elle raconte : « Là-bas j’étais celle qui se fait harceler ; trop catho, trop bien élevée, trop “première de classe ”, ils m’ont même fait manger de la boue ! ». Jusqu’à ce jour où, contrainte de se déplacer avec des béquilles, un camarade lui fait un crochet-patte. Elle ajoute : « Ce jour-là, j’ai vidé mon casier et j’ai annoncé à mes parents que je n’y retournerais plus. Je les ai suppliés de m’inscrire dans un pensionnat catholique, chez les religieuses. »

Le goût du militantisme et de la politique, c’est son père qui l’a transmis à Isabelle Surply. Elle se souvient, comme si c’était hier : « En famille, on en parlait beaucoup. » . Logiquement à  18 ans, elle adhère au Front national et rejoint tout naturellement les rangs de la Manif pour tous car, pour elle, « la défense de la vie, c’est sacré ». Devenue stéphanoise d’adoption, elle est élue au conseil régional d’Auvergne-Rhône-Alpes depuis 2015, puis à la municipalité de Saint-Chamond en 2020, ville de 35.000 habitants. Elle revendique aujourd’hui le statut de conservatrice et de populiste au sens où « militer, c’est s’occuper des gens, et les gens, je les aime ! » clame la jeune élue.

Isabelle Surply se veut aussi une lanceuse d’alerte. Un exercice dangereux dans la France de Macron. Car, depuis le mois de mars 2022, l’élue est sous le coup d’une mise en examen pour diffamation à l’initiative du Conseil du culte musulman pour les mêmes propos qui ont permis aux autorités d’expulser l’imam. Une situation kafkaïenne… Mais bien française.

Des faits bien plus graves ont bouleversé le quotidien d’Isabelle Surply, : les menaces de mort, de décapitation, de viol, de « On va tuer tes bébés » sont devenues le quotidien d’Isabelle Surply. Du jour où, en 2016, elle poste une vidéo sur les réseaux sociaux d’un rassemblement de femmes voilées dans une rue de Lyon avec ce commentaire : « Ai-je encore le droit de dire que je ne suis plus chez moi ? ». Terrible constat dans la France de 2022.

Elle dépose plainte. Huit ou neuf fois, sans succès. Isabelle Surply avoue : « Jusqu’à aujourd’hui, j’étais un peu naïve, je pensais que c’était normal, ce silence des autorités. » Mais aujourd’hui, ses amis et l’ASLA (Association de soutien des lanceurs d’alerte) qui lui ont spontanément fourni un avocat et constitué une cagnotte pour ses frais de justice lui font prendre conscience que « tout ça peut très mal se terminer pour elle et sa famille”. Une situation qui justifierait sa mise sous protection par l’État qui ne vient pas. Car Isabelle Surply indispose Gérald Darmanin et la clique au pouvoir !

Pas facile d’être une patriote dans la France de 2022. Pas facile de faire appliquer la loi dans la République d’Emmanuel Macron, dans une France qui s’islamise jour après jour, avec la complicité des élites gauchistes, des ministres, de nombreux juges aux ordres d d’un pouvoir décadent et aux abois.

Francis GRUZELLE
Journaliste et écrivain
Carte de Presse 55411

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A St-Étienne, Oussama A. marchait armé d’un couteau en criant “Allah Akbar”

A Saint-Étienne, dans la Loire, les policiers ont arrêté Oussama A., un individu qui marchait dans la rue armé d’un couteau en criant “Allah Akbar”. Il a menacé de mort les agents et fait l’apologie du terrorisme. Il était visé par une OQTF. L’auteur, âgé de 31 ans, est en situation irrégulière et visé par une Obligation de quitter le territoire (OQTF). Il a été placé en garde à vue.

Scène presque ordinaire dans une France à la dérive. Des policiers de Saint-Etienne (Loire) ont interpellé Oussama A., un individu de 31 ans qui marchait dans la rue muni d’un couteau en criant «Allah Akbar». Apologie caractérisée du terrorisme et menace envers une personne dépositaire de l’autorité publique (PDAP) ont motivé l’arrestation de cet individu de 31 ans. Il a été interpellé par des agents de police à Saint-Etienne . L’homme marchant dans la rue armé d’un couteau en criant «Allah Akbar» ,’a pas eu le temps de faire des victimes.

Selon les sources policières, il s’agit d’un certain Oussama A., connu des services de police et faisant l’objet d’une Obligation de quitter le territoire (OQTF).

UN POLICIER BLESSÉ

“La scène s’est déroulée vers 20h40, lorsqu’à l’approche des fonctionnaires venus l’interpeller, l’individu s’est rebellé tout en faisant l’apologie du terrorisme et menaçant de mort les policiers, dont un a été blessé.” confirme un magistrat du parquet de Saint-Etienne joint par téléphone.

Le policier blessé s’est vu attribuer un jour d’incapacité totale de travail.

Le véhicule de police a également été dégradé par des coups de pieds de l’interpellé.

Selon l’article 433-3 du Code pénal, toute personne menaçant de commettre un crime ou un délit dans ce même contexte est susceptible d’écoper d’une amende de 75.000 euros et de cinq ans d’emprisonnement.

Mais, la loi française, très stricte au niveau des textes, sera-t-elle correctement appliquée et rendue pour Oussama A. ?




Darmanin excuse la meurtrière de Lola, les narco font la loi à Nantes et Marseille

Les fusillades des narcotrafiquants dans les grandes villes et les cités témoignent de l’impuissance du ministre de l’intérieur Gérald Darmanin.

A quoi sert le ministre de l’intérieur Gérald Darmanin ?  Le locataire gratuit de la place Beauvau n’avait toujours pas réagi dans la journée de lundi, au meurtre de Lola, pas davantage que le ministre de la justice Éric Dupond-Moretti. Silence radio aussi du président Emmanuel Macron. Le même Darmanin s’était déplacé par avion à Rennes quelques minutes après qu’un tag ait été découvert sur la mosquée. Interrogé par Calvi, Gérald Darmanin ose affirmé que “cela faisait à peine 1 mois que l’Algérienne meurtrière de Lola devait quitter la France”. Il insiste sur le fait qu’elle n’était pas connue des services de police, donc pour lui, “c’est normal qu’une personne qui doit quitter le pays y soit encore un mois plus tard.”. Il insiste aussi sur le fait que l’assassin aurait été victime de violences conjugales, autrement dit “le discours de l’excuse pour justifier l’inaction de l’Etat, voire excuser le crime abominable”.

Et pendant que Gérald Darmanin disserte sur les plateaux de télévision, le narcobanditisme prend ses quartiers à Nantes et à Marseille. Un constat effectué par nos confrères de la rédaction du quotidien Le Monde qui écrivent « Aujourd’hui, on est face à des jeunes qui sont parfois montés très vite [dans le trafic] et qui sont sans foi ni loi »,  en citant un enquêteur de police aguerri. « On voit beaucoup plus de gros calibres, d’armes de guerre. Ça tire à tout-va et parfois même à l’aveuglette. Plus rien ne semble réfléchi. On est dans l’épidermique. Il n’y a même plus de souci de discrétion. »

A Nantes, les innocentes victimes collatérales des narcotrafiquants tombent elles aussi. Ainsi, Esteban, 18 ans, s’est effondré un soir au pied d’un immeuble, dans la cité d’à côté. Rue Théophile-Guillou, à Saint-Herblain, en périphérie de Nantes. Une Audi s’est arrêtée. Deux détonations ont claqué dans la nuit. Le jeune homme a été tué d’une balle dans le dos. Par erreur. Il était au mauvais endroit au mauvais moment.

Les parents de la victime Stéphanie et David Le Costevec crient leur désespoir. Stéphanie et David Le Costevec n’en savaient rien, mais ce petit quartier discret, qui ne porte même pas vraiment de nom, abritait l’un des trente points de deal alors recensés dans l’agglomération nantaise. « On a toujours su que notre fils s’était trouvé au mauvais endroit au mauvais moment », dit aujourd’hui Mme Le Costevec. Esteban, jeune garçon « sans histoire », intérimaire en maçonnerie, a été pris à son insu dans ce qu’ils appellent « une guerre de territoires »… 

 A Marseille, la guerre de la drogue tue des hommes de plus en plus jeunes

Encore trois jeunes hommes, âgés de 24 à 27 ans, connus de la justice pour avoir été mêlés à des affaires de drogue pour l’un, de violences avec arme pour le deuxième, et de transport d’arme pour le dernier, ont été interpellés mi-septembre au terme de minutieuses investigations, menées par la Direction territoriale de la police judiciaire (DTPJ) de Nantes. Le mobile paraît se confirmer : visés par une bande rivale lors d’une précédente fusillade en juin 2019 dans un autre quartier nantais, Bellevue, les suspects auraient tiré ce soir-là « en réponse ».

Pendant que Gérald Darmanin est aux abonnés absents, à Marseille la guerre de la drogue tue des hommes de plus en plus jeunes. Trente-cinq règlements de comptes, qui ont fait vingt-quatre morts et de nombreux blessés, ont déjà eu lieu au cours des neuf premiers mois de l’année dans la cité phocéenne. Sans susciter de réaction particulière de la part du même Gérald Darmanin.

Heureusement, à défaut d’un ministre de l’intérieur compétent, les policiers Marseillais disposent de performantes écoutes téléphoniques.

« Et moi, je vais l’éclater. Il faut trouver la moto. J’ai les soldats, des gens vaillants, j’ai les armes, j’ai une guitare [kalachnikov]. Tu fais mon pilote, si je l’éclate à lui ? Et on récupère toi et moi le charbon [plan de revente de drogue]. A 180 000 [euros] dans le mois, tu gagnes des sous là ! Toutes les semaines, tu as ton enveloppe. Nous, on monte pas au quartier. Quand y a un problème, on rafale, on tire, on les massacre ! » Lorsqu’ils captent cette conversation, le 14 avril 2020, grâce à un micro dissimulé dans le véhicule d’un homme qu’ils soupçonnent d’être un trafiquant, les policiers n’en croient pas leurs oreilles. Ils ont là les préparatifs d’un règlement de comptes destiné à reprendre le point de vente de stupéfiants de la cité marseillaise du Petit Séminaire (13e arrondissement).

 A Marseille, l’extrême violence se banalise chez les jeunes impliqués dans le trafic de drogue

Selon un commissaire de police de la cité phocéenne, joint par téléphone, “Bon nombre de ces fusillades sont qualifiées de tentatives d’assassinat, cela étant dû à la « maladresse » des auteurs ou à l’usage d’armes qui s’enrayent, signatures d’un certain amateurisme aux yeux des policiers. Dans une ville où même les médias tiennent la comptabilité morbide des règlements de comptes, la police judiciaire et les magistrats chargés de la lutte contre le narcobanditisme redoutent que le chiffre final soit, en 2022, plus élevé qu’en 2021, déjà une année noire, avec trente-cinq règlements de comptes et trente morts, marquée par un pic durant l’été, avec dix-neuf règlements de comptes”.

Gérald Darmanin oublie une chose : tous les français ne sont pas favorables aux égorgements dans les rues, aux fusillades du grand banditisme, au grand remplacement et à une immigration de masse.

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Thaïs d’Escufon persécutée par la Macronie et les juges

Un physique de viking, des arguments imparables, un constat qui glace le sang, des chiffres en millions de migrants accueillis à l’appui, Thaïs d’Escufon dérange les politiques.

Des migrants en train d’être recueillis dans la mer Méditerranée par SOS Méditerranée.

Une manifestation de militants de Génération identitaire avant que l’association ne soit dissoute par les politiques au pouvoir en France.

Depuis lundi, les articles de la presse locale et nationale s’enchaînent pour parler du procès des militants de Génération Identitaire contre SOS Méditerranée. Et avec eux, un flot ininterrompu de mensonges à l’encontre des 22 prévenus et des figures de proue du mouvement dissous,  Thaïs d’Escufon, 23 ans,  et Jérémie Piano, 28 ans, candidat RN aux élections législatives dans les Bouches-du-Rhône en 2015 et aux dernières législatives pour le mouvement d’Éric Zemmour Reconquête. Dix-neuf hommes et trois femmes sont donc jugés depuis lundi à Marseille. Le procès, prévu devant le tribunal correctionnel de Marseille du 10 au 19 octobre, porte sur l’occupation du siège marseillais de  l’association SOS Méditerranée (2) le 5 octobre 2018. Un procès très politique et orchestré par le pouvoir. Ce dernier veut tuer dans l’œuf la révolte d’une jeune élite française qui aime la France, et qui refuse que notre pays soit transformé en Liban d’ici 10 ans.

Cultivée, éduquée, ancienne porte-parole de génération identitaire la France, Thaïs d’Escufon (1)  dérange en France. Comme Christine Tasin, présidente de Résistance Républicaine, elle ose dénoncer le grand remplacement en cours. Elle s’attaque aussi au président Emmanuel Macron qui a signé le pacte migratoire de Marrakech. Pour la faire taire, il y a eu un acharnement médiatique et judiciaire contre la jeune Toulousaine, qui refuse que la France devienne africaine d’ici 20 ans.

Un physique de viking, des arguments imparables, un constat qui glace le sang, des chiffres en millions de migrants accueillis à l’appui, Thaïs d’Escufon dérange les politiques, les juges, les décideurs, Emmanuel Macron et tous les complices d’une immigration de masse.

L’ennui pour tous ses adversaires, c’est qu’elle est redoutablement intelligente et instruite, méritante aussi. Elle est née à Toulouse en 1999 au sein d’une famille catholique de la bourgeoisie française ayant dix enfants. Elle a grandi à Drémil-Lafage, à dix kilomètres de Toulouse, en Haute-Garonne. Elle a obtenu un baccalauréat littéraire au lycée Pierre-Paul-Riquet, à Saint-Orens-de-Gameville, puis décroche en 2016 une licence de langues étrangères à l’Université Toulouse-Jean-Jaurès.

Considérée comme une influenceuse dans le combat contre l’invasion migratoire, les pouvoirs publics français n’ont eu de cesse de la faire taire. Des consignes ont été données par le pouvoir aux médias généraliste subventionnés par l’état via les aides annuelles à la presse. Subitement, et sans raison, les réseaux sociaux l’ont banni. Ils n’ont pas encore osé lui retirer sa carte bancaire !

Comme cela ne suffisait pas, Thaïs d’Escufon a subi un harcèlement judiciaires, les services de la sécurité intérieure traçant ses moindres déclarations au lieu de s’intéresser aux islamistes intégristes qui préparent des assassinat ou des attentats sur le sol français. Car Thaïs d’Escufon doit disparaitre socialement.

Même des juridictions correctionnelles de villes pratiquement inconnues l’ont assigné. L’avant dernière comparution en date remonte à un peu plus d’un an devant la juridiction de Saint-Gaudens ( en Haute-Garonne, pour tous los lecteurs qui ne connaitraient pas cette localité de l’arrière-pays). Le 9 septembre 2021, la jeune femme  a été condamnée à deux mois de prison avec sursis « pour injures publiques », après la publication d’une vidéo anti-migrants.

Mais, Thaïs d’Escufon ne se décourage pas. Elle explique : “le contexte actuel de répression politique de la Macronie à l’encontre des patriotes n’est pas la preuve de la force du pouvoir en place mais au contraire de sa faiblesse. Ils savent que nous progressons chaque jour un peu plus : les victoires populistes comme en Italie et en Suède en sont une preuve. La durabilité du gouvernement Orban, aussi. Et chez nous, un candidat à la présidentielle a pu défendre lors des dernières élections, de façon explicite, une politique de re migration soutenue par la majorité des Français juste avant que le RN ne constitue un groupe historique à l’Assemblée. Bref, les choses changent. Et dans le bon sens. Alors bien sûr, comme tous les Français attachés à leur pays, je suis impatiente que tout se règle au plus vite : mais nous devons faire preuve de patience et ne rien lâcher. Et surtout pas les militants qui, comme les 22 de Marseille, luttent en première ligne….”.

Par contre les poursuites judiciaires vont moins vite lorsque Thaïs d’Escufon se fait agresser sexuellement par un migrant à son domicile. En effet, Thaïs d’Escufon a déposé plainte pour agression sexuelle et séquestration le 21 décembre dernier. Un homme s’est introduit chez elle alors qu’elle rentrait d’une séance de sport et avait ses écouteurs dans les oreilles. Selon Thaïs d’Escufon “l’homme se serait présenté à elle comme un migrant d’origine tunisienne”.



Lille : les juges ordonnent à la Région de verser 500 000 euros au lycée Averroès

Une salle de classe au lycée Averroès, établissement d’enseignement privé musulman situé à Lille.

Une vue extérieure du lycée Averroès.

Tout démarre par  la publication du livre des deux journalistes Christian Chesnot et Georges Malbrunot Qatar Papers ( Lafon) qui révéle que Charity, une ONG proche de Doha, a versé 4,2 millions d’euros au lycée et au centre islamique de Villeneuve-d’Ascq. Alors, le président de région Xavier Bertrand décide de couper les vivres au lycée. La suite, on la connaît…

Lille : La région des Hauts-de-France condamnée à verser près de …

Les juges d’Éric Dupond-Moretti s’en mêlent. Le tribunal administratif de Lille a condamné la région des Hauts-de-France à verser au lycée musulman lillois Averroès près de 500 000 euros. La somme correspond aux deux subventions des années scolaires 2020 et 2021, bloquées suite aux financements accordés par le Qatar. La Région a annoncé se pourvoir en cassation devant le Conseil d’État.
La bataille juridique dure depuis mars 2020. Elle oppose la région des Hauts-de- et le lycée musulman lillois Averroès. En cause, des subventions gelées par Xavier Bertrand qui reproche à l’établissement un financement d’un montant de 4,2 millions d’euros provenant d’une organisation caritative du Qatar. Pour le cabinet du président qui répond au Parisien« tant que nous n’aurons pas d’explications de l’État sur le respect de la convention avec le lycée, la région ne versera pas les fonds ». Mais mercredi, le tribunal administratif de Lille a condamné la région à verser 500.000 euros de subventions au lycée. Cette dernière annonce se pourvoir en cassation. Un bis repetita pour les Hauts-de- déjà condamnés par le tribunal de Lille pour la même raison en 2021. La région avait porté l’affaire devant le Conseil d’État, mais elle avait été déboutée en juin dernier. Ce mercredi, elle annonce donc se pourvoir à nouveau en cassation devant le Conseil d’État.

Il faut savoir que Le lycée Averroès est un établissement d’enseignement privé musulman situé à Lille, en France. Comptant environ 800 élèves en 2016, il est l’un des seuls lycées privés musulmans sous contrat en France métropolitaine. Malgré son contrat d’association avec l’État, l’établissement est régulièrement pointé du doigt pour ses liens avec le fondamentalisme islamiste. Ses détracteurs dénoncent son « double langage » et le contenu de certains enseignements. Ils soulignent également la proximité de la direction avec l’UOIF, organe d’influence des Frères musulmans en France, et les liens financiers avec l’Arabie saoudite et le Qatar. L’établissement est nommé en référence à Averroès, philosophe, théologien, juriste et médecin musulman andalou du xiie siècle.

Plusieurs médias estiment que la direction du lycée est proche des Frères musulmans. D’après un rapport commandé et financé par le Gouvernement, « les Frères musulmans en Europe, représentés par l’UOIF, sont à l’origine d’au moins la moitié des projets d’établissements dans l’Hexagone, mus par une volonté de préserver l’identité musulmane des communautés immigrées et de « réislamiser  » les jeunes générations, pour créer une « citoyenneté musulmane », à la fois intégrée dans la société et gardant sa spécificité religieuse ».

Toujours d’après ce rapport : « Les responsables des différents projets ont “sécurisé” leur équipe autour d’un noyau dur composé exclusivement de membres de l’UOIF. L’idée était d’avoir un groupe d’individus censés partager les mêmes représentations idéologiques et de faciliter les choix stratégiques et les prises de décision. […] Après la rupture avec Mme Boutaleb, l’ensemble des membres de l’équipe dirigeante sont donc membres de l’UOIF ». Carol Ferrara, doctorante en anthropologie de l’université de Boston, a passé cinq années à étudier les écoles musulmanes en France et notamment le lycée Averroès. Elle estime que le discours sur l’islam au lycée s’approche du discours de l’UOIF et de son président, Amar Lasfar. L’UOIF a depuis changé de nom pour Musulmans de France.

« L’UOIF considère que les Français non musulmans doivent s’adapter à l’existence de l’islam comme deuxième religion de France ».

Direction et personnalités connues

La direction de ce lycée affiche un islam dur et n’est pas ouverte sur l’extérieur comme le révèlent nos confrères du site Wikipedia. On y retrouve une belle brochette de musulmans très engagés dans des association extrémistes, en France ou à l’étranger.

Voici la liste des principaux responsables de cette structure financée par la Qatar :

  • El Hassan Oufker : directeur
  • Makhlouf Mamèche : directeur adjoint, vice-président de l’Union des organisations islamiques de France.
  • Amar Lasfar : le président de l’association Averroès qui gère le lycée. Il est président de l’Union des organisations islamiques de France, président de la Ligue islamique du Nord et recteur de la mosquée de Lille-Sud.
  • Éric Dufour : directeur adjoint, professeur de français, converti à l’islam, arrive en 2008 au lycée après avoir passé 16 ans au lycée privé catholique de Bondues.
  • Hassan Iquioussen : ancien professeur d’éthique musulmane du lycée, prédicateur de la mosquée de Quiévrechain, dirigeant de l’UOIF, est une personnalité très controversée. Il a par exemple déclaré « Les textes aujourd’hui le prouvent. Les sionistes ont été de connivence avec Hitler. Il fallait pousser les juifs d’Allemagne, de France… à quitter l’Europe pour la Palestine. Pour les obliger, il fallait leur faire du mal ». Sofiane Meziani, professeur d’éthique actuel et Amar Lasfar reconnaissent être proches de lui. Il continue d’accompagner les élèves en voyages scolaires.
  • Michel Soussan : conseiller pédagogique du lycée, consultant en formation, ancien inspecteur d’académie et membre UMP de l’opposition municipale. Il déclare : « je n’ai jamais vu la radicalité de l’islam ici ; au contraire, j’y vois un islam du juste milieu ». Il est de confession juive et ajoute : « je suis le garant des valeurs républicaines de cet établissement ». Voulant favoriser le dialogue inter-religieux, il a fait venir pour un débat au lycée son neveu, le rabbin Yona Ghertman.
  • Mohamed Karrat : professeur de mathématiques au lycée, proche d’Amar Lasfar, responsable de la mosquée de Villeneuve-d’Ascq.

Des dérives intégristes prouvées

On l’a compris avec l’organigramme publié plus haut : le président de l’association qui gère le lycée n’est autre qu’Amar Lasfar, président de l’Union des organisations islamiques de France (devenue Musulmans de France), président de la Ligue islamique du Nord et recteur de la mosquée de Lille-Sud. Or, comme l’a souligné sur France 24 François Burgat, politologue spécialiste du monde arabe et directeur de recherche au CNRS, « l’UOIF est indissociable de l’idéologie des Frères musulmans ». Si le lycée réaffirme, sur sa page Facebook, son « respect des valeurs républicaines », il est par ailleurs accusé de tenir un double discours. En témoigne cette intervention du Frère musulman Omar Abdelkafi très modérée sur sa vision des femmes. Devant les caméras, il explique aux élèves (séparés en deux rangées garçons-filles non mélangés) que « la femme peut apporter beaucoup de choses à la civilisation », alors qu’il déclarait, un an plus tôt, que « la femme qui sort les cheveux découverts mérite le châtiment de la tombe ».

Un établissement controversé et d’endoctrinement idéologique

Le bourrage de crâne et l’idéologie véhiculée au sein du lycée sont désormais  dénoncés par un de ses professeurs. En 2015, Soufiane Zitouni, qui y enseignait la philosophie, publie une tribune dans Libération (5/2/2015) pour révéler ce « double jeu avec notre République laïque : d’un côté montrer patte blanche dans les  pour bénéficier d’une bonne image dans l’opinion publique et ainsi continuer à profiter des gros avantages de son contrat avec l’État, et d’un autre côté, diffuser de manière sournoise et pernicieuse une conception de l’islam qui n’est autre que l’islamisme, c’est-à-dire un mélange malsain et dangereux de religion et de politique ». Soufiane Zitouni lance cette mise en garde : “En 2014, un des responsables du lycée avait énoncé, en présence de deux mécènes qataris : « Un jour, il y aura aussi des filles voilées dans les écoles publiques françaises ! »…” Poursuivi pour diffamation par le lycée, le professeur Soufiane Zitouni a finalement été relaxé par la justice française. Dans Marianne, Soufiane Zitouni alerte aussi que « les prêches des imams sont signés UOIF, les cours d’éthique religieuse sont signés UOIF, faute d’avoir des livres d’Averroès dans le lycée Averroès, on y trouve des brochures de l’UOIF et des livres de Tariq Ramadan ». Les frères Ramadan y ont donné de nombreuses conférences, et les élèves ont pu bénéficier de cours d’éthique de la part d’un certain professeur nommé Hassan Iquioussen…

L’argent des contribuables va donc servir à financer des formations islamistes intégristes, au lieu d’aider les Français qui se trouvent dans la misère. Pauvre France qui se suicide jour après jour….

Francis GRUZELLE

Journaliste et écrivain
Carte de Presse 55411

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11 septembre : tentative de détournement d’un avion obligé de se poser à Lyon

L’homme, présent dans l’allée centrale, a tenté de forcer le cockpit et menaçait les passagers d’un vol Nice-Paris, dimanche 11 septembre

On apprend seulement aujourd’hui qu’un homme a tenté de forcer le cockpit d’un avion se dirigeant vers Paris, le 11 septembre dernier (qui correspond à un anniversaire funeste). Le vol a dû être dérouté d’urgence à Lyon. On en sait plus ce mercredi. L’incident s’est déroulé sur un vol easyJet Nice-Paris qui a été dérouté en urgence à Lyon en fin de matinée, dimanche 11 septembre 2022. En cause : le comportement suspect d’un passager qui a menacé le personnel de bord pour tenter d’entrer dans la cabine de pilotage.

Les autorités ont refusé de fournir l’identité de l’auteur de cet acte. On sait seulement que, dès le décollage, l’homme assis dans l’avion est très agité. « Il a demandé à voir le pilote », indique l’une des passagères, contactée par téléphone plusieurs jours après les faits. La situation empire alors dans les airs. L’homme, très menaçant, circule dans alors l’allée. Il divague, menace, insulte les passagers et les hôtesses du vol à destination de Paris.

La tension monte alors au point que l’homme se rue vers le cockpit et tente de forcer la porte de celui-ci. « Heureusement, une hôtesse s’est interposée », indique une passagère, et il semblerait que la cabine de pilotage ait été verrouillée…

Arrêté et transféré à l’hôpital psychiatrique Le Vinatier

Le pilote contacte alors la tour de contrôle de Lyon et annonce à la radio que l’avion va être dérouté à l’aéroport de Lyon Saint-Exupéry. À l’atterrissage, en fin de matinée, les gendarmes des transports aériens ont interpellé l’individu.

Selon les informations fournies ^par la préfecture de région du Rhône, “l’homme a ensuite été placé en garde à vue, mais cette dernière a été levée sur décision médicale”. Ben voyons…

Toujours selon les autorités qui ont refusé d’indiquer le prénom et le nom de l’auteur (ce qui peut laisser supposer qu’il ne serait pas français), l’individu “souffrirait de troubles d’ordre psychologique, ce qui expliquerait son comportement excessif dans l’avion”. Il a été conduit à l’hôpital psychiatrique Le Vinatier, à Bron, dans la banlieue de Lyon.

Une question se pose désormais aujourd’hui : avec tous les anciens terroristes libérés (plus d’une centaine par an) des prisons françaises, la sécurité est-elle assurée dans les transports aériens ?

Francis GRUZELLE
Journaliste et écrivain
Carte de Presse 55411

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44 000 attaques au couteau par an en France, et l’Etat ne fait rien !

Avec Dupond-Moretti, la justice favorable aux musulmans : trois preuves

Islam et assassinats : perpétuité pour Salah Abdeslam

Exclusif : 100 terroristes libérés chaque année de prison, et après ?




44 000 attaques au couteau par an en France, et l’Etat ne fait rien !

Il y a 7 ans, la France était sous le choc  : le chef d’entreprise Hervé Cornara était décapité par un islamiste et sa tête accrochée au grillage d’enceinte de son entreprise. Depuis, les attaques au couteau mortelles se sont banalisées.

“L’Etat Macron” n’a cessé de restreindre la vente et la possession des armes à feu, au motif que celles-ci seraient dangereuses. Pourtant, la plupart des meurtres commis dans notre pays sont perpétrés à l’aide d’un couteau. Les chiffres sont là, même si la presse quotidienne, toujours aux ordres d’un pouvoir aux abois, passe sous silence les nombreux égorgements de français, et lorsqu’elle le fait, passe sous silence les prénoms et noms des auteurs.

Lundi 29 août, peu de médias ont relaté cette attaque au couteau, survenue avenue Bujault, non loin du bas de la Brèche à Niort. Pourtant, dimanche, peu avant 20 heures, deux hommes sont agressés à coups de couteau par un troisième qui tente de prendre la fuite. L’un d’eux, Ammar, 49 ans, va succomber, poignardé à plusieurs reprises. Le principal suspect Abbas sera interpellé peu après par la police de Niort, encerclé par de nombreux témoins qui ont assisté à la scène.

Et nos confrères d’Ouest France distillent le charabia habituel : “​Mis en examen pour assassinat, Abbas, 42 ans, vivait depuis plusieurs années dans les Deux-Sèvres. Il travaillait, louait un appartement, ses papiers étaient en règle. Ceux qui le connaissent ne comprennent pas….”. Ben voyons, un brave mec, subitement déséquilibré !

Meurtres : actualités en direct – Ouest-France.fr

https://www.ouest-france.fr/faits-divers/meurtres
Un autre exemple le 1 er septembre 2022 :

Essonne : un homme de 42 ans tué d’un coup de couteau, sa …

https://www.francebleu.fr/infos/faits-divers-justice/essonne-une-femme…
Pourtant les chiffres officiels (minorés ?) sont terribles. Chaque jour, 120 français sont attaqués au couteau dans les rues de nos villes et de nos campagnes.

120 attaques au couteau ont-elles lieu chaque jour en France

https://www.tf1info.fr/justice-faits-divers/120-attaques-au-couteau-ont-elles-lieu..
Ce chiffre est fourni par la sénatrice LR Valérie Boyer qui affirme “qu’il y a 120 attaques au couteau chaque jour en France”. “La France orange mécanique”, conclut la sénatrice des Bouches-du-Rhône dans un tweet, faisant le décompte des derniers faits divers de ce type. L’élue de la République égrène les assassinats survenus sur une courte période de 48 h “Toulouse un blessé, Loriol S/Drome un mort, Metz un mort, Amiens un mort, Angers 3 morts… Ces tragédies sont classées/cachées à la rubrique faits-divers alors qu’il s’agit de faits de société !”.

Le choc des chiffres, le poids des mots. Déjà le 7 juillet 2022, dans une question écrite au Sénat, la sénatrice LR Valérie Boyer déclare à propos de l’assassinat d’Alban Gervaise à Marseille, le 10 mai dernier : “Les résultats de la dernière étude de 2020 de l’Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales sont édifiants. Elle estime que le nombre de victimes d’agressions à l’arme blanche monte à 44.000 entre 2015 et 2017, soit plus de 120 victimes par jour en moyenne.” Car l’état français n’a pas eu le courage de publier des chiffres plus récents, afin de ne pas affoler la population.

La sénatrice Boyer avait déjà tiré la sonnette d’alarme un an plus tôt, toujours au palais du Luxembourg, cette fois après la mort de Théo, 18 ans, poignardé à Claye-Souilly. Valérie Boyer renvoie donc à l’Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales (ONDRP), organisme rattaché à l’Intérieur et dissout en 2020. Ses missions ont été reprises en partie par le service de statistiques du ministère.

Des calculs tiré de l’Insee et réalisés par “Le Figaro”

Les rapports mentionnant les armes blanches ne sont pas une vue de l’esprit, car les chiffres sont bien puisés dans les bilans du ministère de l’intérieur. Publiés une première fois en novembre 2019, ces chiffres reviennent sur les “violences physiques hors ménage” à partir des données que l’Insee produit tous les ans pour son enquête “Cadre de vie et sécurité (CVS)”. C’est ici que l’on peut lire que “chaque année entre 2015 et 2017, 1,3% des personnes de 14 ans et plus déclarent avoir été victimes de violences physiques de la part d’une personne ne vivant pas avec elles au moment des faits, soit en moyenne 653.000 personnes par an”. Parmi ces 653.000 victimes, “18% déclarent avoir été violentées avec au moins une arme”. Et sur “ces victimes de violences armées, 37% évoquent une arme blanche”. 

Les données sont simplement transcrites en pourcentage. Le calcul, lui, a été fait par Le Figaro un article de février 2020, titré “Plus de 120 agressions à l’arme blanche ont lieu chaque jour en France”, reprend l’enquête de l’ONDRP : “Sa dernière étude, (…) estime le nombre de victimes d’agressions à l’arme blanche à 44.000, soit plus de 120 victimes par jour en moyenne ! Ce chiffre correspond, en effet, à 37% des 118.000 personnes ayant déclaré, chaque année, en moyenne, avoir subi des violences physiques armées”. Ces statistiques se retrouvent citées telles quelles dans la presse, au Sénat par Valérie Boyer ou encore à l’Assemblée nationale, en 2020, par l’ex-député non-inscrit José Evrard.

Francis GRUZELLE
Journaliste et écrivain
Carte de Presse 55411

 




Rois émiratis : cheikh, échec et mat pour Genève

La famille du cheikh Zayed des Émirats arabes unis possède une petite maison de Rmiste fortement gardée, sur le Mont Gosse à flanc de colline, en Haute-Savoie, avec une vue imprenable sur Genève. La bâtisse initiale a été agrandie sans permis de construire et sans autorisation, sur ce site protégé du Mont Gosse, sur le territoire de la commune de Monnetier-Mornex.

Le cheikh Zayed des Émirats arabes unis (à droite sur la photo) et son frère sont considérés par Emmanuel Macron comme “deux alliés essentiels de la France”… D’autres auraient choisi Vladimir Poutine pour allié fiable !

Depuis l’affaire Pierre Maudet (corruption par Abu Dhabi du premier magistrat de Genève), révélée par la journaliste Sophie Roselli, alors responsable du pôle enquête de la Tribune de Genève, les princes d’Abu Dhabi semblent quelque peu en froid avec les autorités de Genève. Une preuve ? Pour loger leurs personnels et leur suite à l’occasion de leurs vacances d’été dans leur palais d’été sur le Salève, à cheval sur les communes de Vétraz-Monthoux et de Monnetier-Mornex, les princes d’Abu Dhabi ont choisi la France voisine et ses hôtels Novotel et Mercure à Gaillard plutôt que Genève, dont les hôtels étaient chargés de cette mission les années précédentes. Un évident manque à gagner pour la cité Genevoise des bords du Léman.

Du coup, la famille royale émiratie a privatisé pour l’été deux hôtels haut-savoyards près de Genève, le Novotel et le Mercure à Gaillard. Une sorte de remerciements à l’égard du ministre Jean-Yves Le Drian qui a pris l’habitude de déguster, avec eux, assis en tailleur, un bébé chameau entouré du traditionnel couscous ? Et qui, au passage, leur cède quelques dizaines de rafales, à prix d’amis, pour “carboniser” les démocrates qui se révoltent dans les différents royaumes de la fédération des Émirats arabes unis….

La famille royale Al Nahyane d’Abu Dhabi a donc pris ses quartiers d’été pour deux mois dans son immense propriété de Vétraz-Monthoux, dont les bâtiments avaient été agrandis sans permis (sur le site protégé” du Mont Gosse) en 1987-1988, en France voisine. Son personnel était jusqu’à présent logé dans des hôtels de Genève.

Cette manne arabe va désormais profiter aux hôteliers et commerçants des communes d’Annemasse et de Gaillard. Le nouvel établissement Novotel, qui allait ouvrir dans les prochains jours, est réquisitionné et privatisé jusqu’en septembre afin de loger, sur trois étages, la suite et les services de sécurité des princes émiratis.

Un autre hôtel, le Mercure à Gaillard, est également réquisitionné pour les deux mois d’été. La mairie de Gaillard, contactée ce jour par téléphone, évoque aussi la possibilité qu’un troisième hôtel du secteur soit occupé par la suite de la famille Al Nahyane.

Reste une question : les femmes totalement voilées de la famille royale émirati Al Nahyane vont-elles venir faire leur shopping à Genève comme les années précédentes ? Et provoquer le bouclage en fin de journée de certains quartiers de la cité de Calvin ?

Francis GRUZELLE
Journaliste et écrivain
Carte de Presse 55411
Lire aussi ces compléments d’information :
https://ripostelaique.com/maltraitee-la-femme-de-lemir-de-dubai-fuit-en-allemagne.html
https://ripostelaique.com/les-islamistes-ont-investi-internet-pour-y-preparer-les-futurs-attentats.html



Islam terroriste : l’Autriche veut éradiquer les Frères musulmans

Attentat de Vienne (2020) : les Frères musulmans ont terrorisé les Autrichiens. Aujourd’hui, le gouvernement autrichien terrorise les Frères musulmans ! Réaction logique….

Contrairement à la France où les chefs des Frères musulmans prolifèrent (à croire que notre pays en fait l’élevage)

http://www.lareference-paris.com/485

http://www.leportail-centre.fr/2018/08/03/omar-erkat-le-faux-medecin-qui-a-mis-a-nu-les-freres-en-france/

la confrérie des Frères musulmans (1) était déjà dans le collimateur du Gouvernement autrichien depuis l’attentat de Vienne qui a fait quatre morts et 23 blessés, le 2 novembre 2020. Cette “secte islamiste” est désormais inscrite, depuis la fin de la semaine dernière (8 juillet 2021), sur la liste noire des organisations liées à la « criminalité à motivation religieuse ». Tous ses slogans et sa littérature sont frappés d’interdiction. Selon les dispositions de cette nouvelle loi antiterroriste autrichienne, toute détention ou propagation de slogans ou de documents faisant l’apologie des groupes inscrits sur la liste noire sera punie d’une amende de 4 000 euros et/ou d’une peine d’emprisonnement d’un mois. En cas de récidive, les condamnations pourront aller jusqu’à 10 000 euros d’amende et six mois de prison.

http://www.marianne.net/lautriche-premier-pays-europeen-a-interdire-les-freres-musulmans

Selon nos confrères de Marianne, Vienne a aussitôt été accusée sur les sites dédiés aux Frères musulmans et à l’organisation turque des Millî Görüs d’« alimenter l’islamophobie » et de « multiplier les attaques contre les musulmans ». Pourtant, l’Autriche reste le seul pays d’Europe à accorder un statut officiel à l’islamEn outre, le pays a longtemps été l’un des principaux fiefs des Frères musulmans et l’une des plaques tournantes financières de l’islamisme politique sur le Vieux continent.

http://www.marianne.net/culture/les-freres-musulmans-vivent-dans-le-complot

“Plus judicieuse que la simple interdiction de groupes ou d’associations, lesquels se reconstituent aussitôt sous de nouveaux intitulés, cette stratégie autrichienne dite de « l’interdiction des symboles » s’avère très efficace”,  selon nos confrères de la rédaction de Marianne. D’après le ministre de l’Intérieur, Karl Nehammer (2), plus de 27 000 infractions ont été constatées depuis sa mise en place au lendemain des attentats de novembre 2020. Le fait de l’étendre aux Frères musulmans est le coup le plus dur jamais porté à la confrérie en Europe.

http://www.laicite-republique.org/marianne-freres-musulmans-leur-strategie-de-conquete-18-oct-19.html

Force est de constater que les Frères musulmans, tenants de l’instauration d’un califat mondial, violemment antisémites, est une organisation aux buts et aux structures opaques.

Voici plusieurs années,  Michaël Prazan avait effectué une enquête inédite, une plongée dans l’histoire et dans les réseaux d’une confrérie qui avait dirigée l’Égypte.

Michaël Prazan, documentariste et journaliste, auteur notamment d‘Einsatzgruppen, les commandos de la mort nazis (Seuil, 2010) et d’Une histoire du terrorisme (1945-2011) (Flammarion, 2012). Il a sillonné le monde arabe, l’Europe et les États-Unis durant deux ans, afin de comprendre qui étaient vraiment les Frères musulmans. “Islamistes modérés”, comme ils aiment à se présenter, “bienfaiteurs du peuple, des pauvres et des nécessiteux”, ils sont en réalité des théocrates intransigeants, tenants d’une vision radicale de la religion et partisans de l’instauration d’un califat mondial.

En reconstituant minutieusement l’histoire du mouvement, en rencontrant ses membres et ses responsables les plus éminents, en interviewant des spécialistes,  Michaël Prazanil a mis en évidence leurs liens avec une multitude de mouvements, d’Al-Qaïda au Hamas palestinien en passant par le Front islamique du salut algérien et Ennahda, en Tunisie.

Créée en 1928 par Hassan al-Banna, la confrérie a repris le chemin de la clandestinité. Emprisonnés, traqués, les Frères musulmans s’avouent-ils pour autant vaincus depuis leur destitution à la suite du coup d’État militaire en Égypte du 3 juillet 2013 ? L’auteur  Michaël Prazan a démontré les liens historiques entre la confrérie des Frères musulmans et le nazisme,
les alliances entre sunnites égyptiens et chiites iraniens et son rôle dans la propagation d’une idéologie antisémite dans le monde musulman.

À la lumière de ces quelques éléments, on comprend mal pourquoi les gouvernements français successifs ont donné asile aux chefs des Frères musulmans, traqués par la police et les services de sécurité égyptiens et protègent toujours ces terroristes sur le sol français. Cherchez l’erreur !

Francis GRUZELLE
Journaliste et écrivain
Carte de Presse 55411

(1) La Société des Frères musulmans (en arabe : جمعيّة الإخوان المسلمين ; jamiat al-Ikhwan al-muslimin), raccourcie en Frères musulmans (الإخوان المسلمون ; al-Ikhwān al-Muslimūn), est une organisation transnationale islamique sunnite fondée en 1928 par Hassan el-Banna à Ismaïlia, dans le nord-est de l’Égypte, selon le site Wikipedia. Composée d’un appareil militaire et d’une organisation ouverte, son objectif officiel est la renaissance islamique et la lutte non violente contre « l’emprise laïque occidentale » et « l’imitation aveugle du modèle européen » en terre d’Islam. Cette organisation panislamiste est officiellement considérée comme organisation terroriste par le gouvernement égyptien, la Russie7, l’Arabie saoudite et les Émirats arabes unis. Mais pas par la France et les pays européens. L’organisatione a rapidement essaimé ses idées dans les pays à majorité musulmane du Moyen-Orient, comme au Soudan ou en Afrique du Nord, et a également établi des instances nationales et des bases d’action dans des pays non musulmans, comme l’Europe. Certains groupes de partisans se sont constitués en mouvements autonomes, comme le Jama’a al-islamiya ou le Hamas.

Son opposition fondamentale et parfois violente aux États laïcs arabes a amené son interdiction ou la limitation de ses activités dans certains pays, comme la Syrie et l’Égypte. La lutte contre l’État d’Israël est au cœur du mouvement, et le théoricien du jihad armé, Sayyid Qutb, qui entrera par la suite en rupture avec le mouvement, fut pendant un temps l’un de ses membres égyptiens les plus en vue. Ses différentes branches ont encouragé le recours à la violence en dehors de la Palestine. Le mouvement entretient avec les institutions promouvant le wahhabisme saoudien des relations alternant entre coopération et rivalité.

La nébuleuse des Frères musulmans serait coordonnée par la Muslim Association of Britain  de Londres, s’appuyant sur la banque Al-Taqwa. Néanmoins, selon Xavier Ternisien, elle ne constitue pas une structure pyramidale centralisée mais une mouvance hétérogène, labile et multiforme.


(2) 
Karl Nehammer, né le 18 octobre 1972 à Vienne, est un homme politique autrichien, membre du Parti populaire autrichien (ÖVP) et ministre de l’Intérieur depuis le 7 janvier 2020. De janvier 2018 à janvier 2020, il est secrétaire général de l’ÖVP et du 9 novembre 2017 au 7 janvier 2020 membre du Conseil national.
Selon le site Wikipedia,

Karl Nehammer poursuit ses études au Kollegium Kalksburg et au Mariahilfer Gymnasium, où il obtient en 1992 son baccalauréat (Matura en Autriche). Ensuite il s’engage pendant un an dans le Bundesheer avec périodes de réserve jusqu’en 1996. En 1997, il est nommé lieutenant. Ensuite, il est formateur pour les officiers d’information pour le ministère de la Défense nationale et formateur pour la communication stratégique dans différentes institutions comme l’Institut de formation professionnelle (Berufsförderungsinstitut, BFI) et l’Académie politique du parti ÖVP (Politische Akademie der ÖVP). En 2012, il est diplômé de l’université du Danube de Krems en communication politique auprès de Peter Filzmaier ; il obtient en 2014 un master en science en communication politique en formation continue, certification qui ne correspond pas au grade universitaire du même nom.

Il est membre de la KÖStV Sonnberg Perchtoldsdorf, corporation étudiante catholique au sein de la Mittelschüler-Kartell-Verband (MKV)2. Son beau-père est l’ancien modérateur de l’ORF Peter Nidetzky. Karl Nehammer est marié avec Katharina Nehammer qui a été nommée chef de cabinet adjoint au ministère de la Défense sous Klaudia Tanner au début de 2020 et avait auparavant travaillé pour le ministre de l’Intérieur Wolfgang Sobotka en tant que porte-parole et membre du cabinet, puis a rejoint le parlement avec lui. En juillet 2020, elle passe dans le secteur privé.




Les Frères musulmans gangrènent l’Europe : une menace pire que Daech

Un flot de Frères musulmans (ici lors d’une manifestation) se déverse sur l’Europe pour déstabiliser les régimes démocratiques et pour prendre le contrôle des populations musulmanes. 

Hassan el-Banna, le fondateur des Frères musulmans.

Sous le titre « Les Frères musulmans… loups secrètement et agneaux publiquement » , nos confrères de « La Référence », institut d’études et de prospectives sur les mouvements islamistes, présidé par Abdel Rahim Ali, dévoile le travail de sape des Frères musulmans en Europe, après les déstabilisations opérées dans de nombreux pays du Moyen-Orient et du Maghreb.
En France, les disciples de Hassan el-Banna infiltrent peu à peu la société, les hôpitaux, l’Éducation nationale.

http://www.lareference-paris.com/485

Ardèche : le maire d’Annonay interdit l’islamiste intégriste Omar Erkat

https://www.lyonmag.com/article/66110/saint-priest-une-ecole-de-confession-musulmane-ouvrira-a-la-rentree

https://www.marieclaire.fr/,une-nouvelle-ecole-musulmane-a-lyon,20123,1921.asp

En France, l’emprise des Frères musulmans sur les écoles et collèges est réelle. D’abord par le biais de leur branche française qu’est l’UOIF, et qui contrôle l’enseignement musulman. Ensuite, l’UOIF contrôle les principales écoles sous contrat avec l’État mais aussi, plus ou moins directement, une quarantaine d’écoles hors contrat, le plus souvent dans le primaire.
Ce cordon ombilical nourrit des interrogations. Ce que l’islamologue Gilles Kepel résume ainsi : « Légalement, rien n’interdit évidemment la création d’écoles musulmanes, au même titre que les écoles juives ou catholiques. Mais le projet de l’UOIF, c’est la construction d’une communauté qui négocie son insertion dans la République. La vraie question est : dans quelle mesure ce mouvement favorise-t-il une logique de rupture avec la communauté nationale ? »

http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2016/04/05/01016-20160405ARTFIG00375-les-ecoles-musulmanes-inquietent-le-gouvernement.php

« Les Frères musulmans : une menace plus dangereuse que Daech », selon les services de renseignements allemands

Comme le révèle le site « La Référence », la mainmise des Frères musulmans provoque des réactions dans d’autres pays voisins, et les spécialistes de ce site interrogent : « L’Allemagne a-t-elle commencé à déclarer la guerre aux Frères musulmans…? »
Depuis environ deux ans, les renseignements intérieurs allemands, suite à des inquiétudes et des doutes, ont commencé à observer et suivre de près les Frères musulmans résidant en Allemagne et dont le nombre varie de 1 500 à 2 000 personnes.
Le Bureau des services de renseignement intérieur allemands, après une période d’observation des Frères musulmans et des associations qui leur sont affiliées sur le sol allemand, a publié un rapport indiquant que les Frères musulmans constituent pour le pays une menace plus dangereuse que celle de Daech.

Le rapport a explicité que les positions qu’adopte l’organisation des Frères sont, à un grand degré, incompatibles avec la Constitution allemande et que le niveau d’incompatibilité entre les deux est tel qu’il est impossible de les concilier.
Les renseignements intérieurs allemands ont poursuivi en décrivant les Frères musulmans avec leur fameuse phrase : « Ils sont comme des loups, secrètement, et comme des agneaux, publiquement ». Une description qui reflète parfaitement le degré de danger que ressent le gouvernement allemand envers ce groupe interdit.

« La Référence » a enquêté en Allemagne : « Le ministre bavarois de l’Intérieur, Joachim Herrmann, a déclaré que les Frères musulmans ont des positions contre la Constitution allemande, et que l’État se doit d’être vigilant à cet égard.
Les services de renseignement intérieur allemands ont en outre indiqué que la ville de Cologne est le siège du Rassemblement islamique et le siège principal des activités du groupe interdit. D’ailleurs, beaucoup de politiciens allemands ont réclamé la fermeture de cette institution qui est une menace pour le pays.

Plusieurs journaux allemands ont, à leur tour, fait remarquer que la popularité des organismes et mosquées relevant de la confrérie des Frères est en croissance et que cela est inquiétant pour la sécurité publique…. ».
« La Référence » a le mérite de dévoiler la partie visible de la pieuvre : « Le mois passé, les autorités allemandes ont, pour la première fois du genre, procédé à la fermeture d’un jardin d’enfants financé par une association appartenant aux Frères musulmans et qui a été créée il y a 10 ans, précisément en 2009. Le jardin d’enfants est accusé d’appliquer une méthode religieuse radicale conformément à l’idéologie de l’association qui le parraine, et qui reflète l’idéologie des Frères musulmans, ce qui contredit les valeurs constitutionnelles allemandes.

Il importe de signaler que le samedi 16 mars 2019 est considéré comme la date du premier coup de pioche dans la tombe des Frères en Allemagne. Un membre du Parti social-démocrate allemand d’origine égyptienne, Hussein Khodr, a présenté une requête à l’assemblée générale du parti réclamant les points suivants : l’interdiction des Frères musulmans en Allemagne avec tous leurs slogans radicaux et terroristes, l’amendement de la loi sur le financement étranger, l’établissement d’une liste locale des organisations terroristes pour ne pas se limiter à la seule liste de l’Union européenne, pas assez suffisante pour dévoiler la menace des Frères qui pèse sur le pays.

Khodr a également requis la création d’un comité qui se chargera de présenter périodiquement des rapports sur l’activité des Frères musulmans, leur degré de menace et de dangerosité ainsi que les voies et moyens de lutter contre ce groupe et tout le danger qu’il représente. À noter, en conclusion, que Hussein Khodr a été unanimement réélu président du groupe chargé de l’émigration et de la diversité au sein du Parti social-démocrate. ».

Qu’attend la France pour suivre l’exemple de l’Allemagne et pour éradiquer une pieuvre qui se nourrit sur notre territoire, via notamment tous les réfugiés politiques égyptiens se trouvant sur notre sol ?

Francis GRUZELLE
Carte de Presse 55411

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http://www.lareference-paris.com/485

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