Attention agriculteurs, évitez Paris, c’est un piège ! Ils vous y attendent !
Comme il fallait s’y attendre, les vendus et les corrompus de la gauche et du macronisme vont tenter d’infiltrer le mouvement des Agriculteurs en colère.
Comme il fallait s’y attendre, les islamo-gauchistes de LFI, le PS à 1.75% aux dernières élections présidentielles, le PC, ex-collabos de 1940, et l’inénarrable CGT qui sabotait les usines d’armements en 1938/39, tentent de récupérer le mouvement des agriculteurs en colère. Gros soupçon sur la FNSEA également, qui n’est pas innocente.
Cette gauche n’a peur de rien, car elle laboure le même terrain des oublieux de l’histoire. Celui des multiples trahisons de ces organisations, y compris la FNSEA. (Source)
Ils fertilisent leurs mandats électoraux avec la sueur des sans-grade, des sans-dent, et avec le sang des vaincus, des morts des fusillades, des exécutés dans les rues de Paris, de Lyon, de Narbonne, et d’ailleurs, tout au long des siècles, de Robespierre aux Gilets Jaunes, en passant par Clemenceau (*).
Holà ! marchons, les gueux, Errant sans feu ni lieu, Bissac et ventre creux. Aux jours calamiteux, Bannis et malchanceux, Marchons, les gueux ! Maudits comme lépreux, En quête d’autres cieux, Marchons, les gueux ! (source)
Cette gauche revêt toujours les habits blancs de la justice, pour mieux vous envelopper dans un drap sanguinolent, au nom du peuple bien sûr.
Les récupérations des gilets jaunes, nous ont démontré que les organisations gauchistes qui, au tout début, appelaient à la fermeté, ont retourné leurs vestes au vu du soutien de la majorité des Français. Elles jouent toujours avec la misère des gens du peuple qui croient encore à leurs facondes et oublient leurs trahisons, leurs abandons tout au long de l’histoire du monde ouvrier et paysan.
Les « Agriculteurs en Colère » vont goûter à ces approches sur le terrain au nom d’une prétendue « solidarité des travailleurs » d’une prétendue « convergence des luttes ». Foutaises !
Cela se saurait si c’était vrai depuis la mort des industries, celle des délocalisations, des abandons des luttes ouvrières au profit d’un état sangsue et d’organisations patronales plus intéressées par l’européisme et le mondialisme.
Regardez la France d’hier et voyez celle d’aujourd’hui. Ils en sont les responsables !
Cela se saurait si les organisations avaient vraiment eu le souci des « ouvriers et des paysans », si elles avaient eu le souci de l’intérêt de la France en général, qui hier était autosuffisante sur le plan alimentaire, industrielle, et produisait ses outils, et inventait ses machines. Mensonges !
Ces militants gauchistes vont tenter de s’insérer dans le mouvement !
Ils viseront là aussi, en complicité avec le macronisme socialisant, à récupérer ce mouvement pour l’entraîner dans les rues de Paris et le pousser, avec l’aide de leurs antifas et autres black-Blocs, à commettre des actes qui vont décrédibiliser leur mouvement par la calomnie et les médias aux ordres.
Comment détruire un mouvement par la violence et la provocation gauchistes
Le piège c’est Paris. C’est la prétendue « révolution en marche des travailleurs et paysans » ! Nous savons déjà comment cela va se terminer. Par des mains arrachées, des yeux perdus, de la violence inutile et une perte de soutien du peuple de France.
C’est une resucée des gilets jaunes qui attend les agriculteurs.
S’ils se laissent manipuler par les gauchistes, c’est un retour aux fermes avec quelques promesses, quelques reports de charges, quelques crédits supplémentaires à rembourser, et c’est tout ! Plus tard, ce sera une nuée de contrôleurs vengeurs qui s’abattront comme des sauterelles sur leurs comptes d’exploitations.
Le monde ouvrier n’existe déjà quasiment plus. Les Industries sont parties en Chine, au Vietnam, et le monde paysan sera terrassé par le Brésil et l’Argentine. Les acteurs de cette désintégration sont les pouvoirs publics, les Khmer-Verts, les européistes, les mondialistes. Le bras armé étant l’Union Européenne avec la complicité des « syndicats jaunes », ces loups gauchistes déguisés en brebis.
De grâce, Mesdames et Messieurs les agriculteurs, ne tombez pas dans le piège de ces tordus. Surtout, évitez Paris. Ils vous y attendent et ce ne sont pas vos tracteurs qui les empêcheront de vous réduire à néant…
Méfiez-vous des émissaires de cette gauche pourrie !
Bloquez les accès ! Cela suffira à mettre à genoux les jean foutres macronistes jusqu’à ce qu’ils renégocient, à Bruxelles, les traités de libres échanges et leur volonté d’aider l’Ukraine à envahir le reste de l’Europe avec des récoltes hors norme.
Bloquez Bruxelles s’il le faut, avec les Allemands, les Belges, les Hollandais, les Polonais, etc.
Les peuples sont avec vous et contre la dictature de la commission européenne.
Gérard Brazon
(*) Le lendemain 20 juin 1907, la tension monte encore et le Midi s’embrase. À Perpignan, la préfecture est pillée et incendiée. Le préfet Dautresme doit se réfugier sur le toit. À Montpellier, la foule se heurte aux forces armées. À Narbonne, l’inspecteur de police Grossot, l’un des auteurs de l’arrestation de Ferroul, est pris à partie et mis à mal par la foule. Pour le dégager, il est donné ordre à la troupe de tirer sur les manifestants. Les coups de feu font cinq morts dont une jeune femme, âgée de 20 ans, Julie (dite Cécile) Bourrel qui se trouvait là par hasard, venue à Narbonne en ce jour de marché. Près de 33 blessés gisent à terre Dans le café Paincourt, qui a été mitraillé, agonise l’ouvrier Louis Ramon. (source)