Réseaux pédocriminels dans l’entourage de Brigitte Macron ?

En octobre dernier, l’écrivain, géopolitologue et expert financier Morad El Hattab  donnait cette troublante interview sur les réseaux pédocriminels en France.

À écouter de bout en bout :

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Le sujet semble ne pas s’intégrer au monde de la finance et de la géopolitique qui est celui de M. El Hattab ? Voire… Les réseaux pédocriminels couvrent la totalité de la planète, pénètrent les sphères les plus élevées des « élites » (gouvernements, institutions internationales…) et génèrent pour les entités mafieuses des profits largement supérieurs à ceux de la prostitution adulte. Une vidéo sur le meurtre satanique d’un enfant peut se vendre jusqu’à un million d’euros.

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L’enquête menée pendant cinq ans par Morad El Hattab révèle que la pédocriminalité est une réalité systémique dans notre pays dans laquelle est compromise une certaine faune politique française, jusqu’au sommet de l’Etat.

« Ce n’est pas pour rien que notre pays est surnommé “pédoland” » ironise M. El Hattab.

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Le nom de Brigitte Macron, épouse du chef de l’Etat, est évoqué à de nombreuses reprises au cours de l’interview. Est-ce l’une des raisons pour lesquelles cette enquête n’a eu que très peu d’échos dans les médias ?

M. El Hattab souligne entre autres la présence étonnante de Mimi Marchand dans l’entourage de Mme Macron :

Outre de nombreuses affaires particulièrement sulfureuses, Mimi Marchand est intervenue, rappelle M. El Hattab « dans une affaire pédocriminelle qui touchait le fils d’un milliardaire français, déjà interpellé par la police à deux reprises, et qui détenait tout un fichier d’images pédopornographiques ».

Grâce aux réseaux d’influence de Mimi Marchand, les journalistes n’ont jamais eu connaissance de la décision judiciaire concernant cette affaire : la décision ne fut pas notifiée auprès de la presse judiciaire et ne fit l’objet d’aucune dépêche AFP. Seul, dans les médias, Pascal Praud a eu le courage d’interviewer l’un des journalistes qui ont enquêté sur l’affaire.

M. El Hattab évoque également la figure interlope de Jean-Marc Borello, et sa proximité avec le couple Macron. En décembre 2018, Le Monde et Libération rendent compte d’accusations à l’encontre de ce pilier de la macronie, de harcèlement et d’agressions sexuelles. En tant que « chef adjoint » de La République en marche, Jean-Marc Borello continue néanmoins de jouir de toute la confiance du couple présidentiel.

En 2006, Borello a été un des témoins de la défense de Robert Megel, à l’époque directeur d’une structure nommée « Les Tournelles ». A l’issue de son procès, Megel était condamné à 12 ans de prison ferme pour « viol et attouchements sur mineurs ».

M. El Hattab rappelle enfin les liens étroits d’amitié entre le couple Macron et le pédophile notoire Daniel Cohn-Bendit :

et souligne que c’est sous la mandature Macron que la pédophilie est passée du statut de crime à celui de simple délit… « Peut-être s’agit-il de désengorger les assises » ironise M. El Hattab

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Rappelons que c’est à l’âge de 15 ans qu’Emmanuel Macron devint l’amant de Brigitte Trogneux, son aînée de 24 ans, et qui était à l’époque son professeur de français à la prestigieuse institution amiénoise « La Providence » tenue par les Jésuites (et où un certain François Ruffin  fut également élève…).

Quinze ans, c’est du moins l’âge que retient la vérité officielle. Des témoins de l’époque parlent plutôt de 14 ans, ce qui constituerait alors un viol sur mineur aux termes de la loi, crime puni de 15 ans de réclusion.

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M. El Hattab mentionne une interview de Jean Pierre Mocky  :

réalisée en 2006, dans laquelle le réalisateur parle de son film Les ballets écarlates, sorti en 2004. Jean-Pierre Mocky y dénonce l’omerta dont son film a fait l’objet, ainsi que le silence de la justice et des médias face aux agissements des réseaux pédocriminels.

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Dans son interview, Morad El Hattab évoque à de nombreuses reprises l’affaire Epstein, du nom de ce milliardaire américano-israélien, propriétaire d’une île, Lolita Island (le prénom « Lolita » fait référence au livre éponyme de Vladimir Nabokov) où se déroulaient de véritables orgies avec des jeunes filles mineures.

Le 10 août 2019, dans sa cellule du Manhattan correctional center de New York, Epstein est retrouvé « suicidé » dans des conditions qui défient l’imagination.

Epstein possédait également un appartement parisien. L’affaire a rapidement été étouffée par le showbiz et la caste politico-médiatique français. Elle semble d’ailleurs définitivement enterrée, aussi bien du côté américain après l’élection de Joe Biden, que du côté français.

L’hebdomadaire Valeurs Actuelles, rappelle M. El Hattab, a été le seul organe de presse à révéler que lorsque le FBI américain a demandé à la justice française d’enquêter sur les réseaux pédocriminels liés, sur notre territoire, à l’affaire Epstein, il s’est vu opposer une fin de non-recevoir de la part du pouvoir macronien…

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Morad El Hattab qualifie le « coup de filet » à l’encontre d’une soixantaine de pédophiles qui a eu lieu début octobre 2020 dans l’Hérault de « simple contre-feu » : la justice va juger des « petits poissons » – sans doute de simples « rabatteurs » – alors que les véritables prédateurs pédophiles qui gravitent au sommet du pouvoir ne seront quant à eux jamais inquiétés.

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Le nom de l’ancien président démocrate Bill Clinton revient régulièrement dans l’affaire Epstein. « Bill » se serait ainsi rendu 27 fois sur Lolita Island, à bord du jet privé du milliardaire, surnommé Lolita Express

Le couple Clinton, à la tête de la puissante Fondation  qui porte leur nom, possède évidemment de solides dossiers sur un certain nombre d’hommes politiques américains et français. De quoi tempérer les esprits trop indépendants.

D’autre part, les nombreuses morts mystérieuses dans l’entourage des Clinton sont de nature à faire taire définitivement les témoins gênants…

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« Trump bashing » oblige de la part des médias de l’oligarchie, le nom du 45ème président des Etats-Unis est abondamment cité dans l’affaire Epstein :

C’est oublier que Trump a définitivement rompu avec Epstein dès 2008, lors de la révélation de la première affaire de pédophilie dans laquelle a trempé ce dernier, ce qui n’est pas le cas de Bill Clinton qui a jusqu’au bout conservé des liens amicaux (sinon d’affaires…) avec le pédo-criminel.

C’est également oublier que lors des quatre années de sa mandature à la Maison Blanche, Trump a fait arrêter plus de 3 000 pédocriminels américains, comme le rappelle M. El Hattab (vers 28:15 de la première vidéo). Sous Clinton et Obama en revanche, les pédophiles pouvaient dormir tranquilles…

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De son côté, à de nombreuses reprises, le réalisateur américain Mel Gibson a dénoncé Hollywood comme un repère de pédosatanistes. On comprend mieux dès lors la haine viscérale manifestée par l‘industrie américaine de l’image – ainsi que par la quasi-totalité des médias outre-Atlantique – à l’encontre du président Trump

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Par ailleurs, pour une vidéo sur « Les Juifs, l’inceste et l’hystérie » – dont on remarquera qu’elle n’a pas été censurée par YouTube – Hervé Ryssen vient de se voir de nouveau condamné à huit mois de prison sous bracelet électronique et 10 000 euros d’amende, pouvant se transformer en emprisonnement en cas de non-paiement.

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Henri Dubost

In girum imus nocte ecce et consumimur igni

 

 




« Nation of Islam » : la photo qui aurait dû « tuer » le candidat Obama

Le journaliste et photographe afro-américain Askia Muhammad (photo ci-dessous)

fut un membre dirigeant et un contributeur régulier des organes de presse successifs de l’organisation Nation of Islam (NOI), une organisation ouvertement mélanosuprémaciste, antiblanche et antisémite.

Askia Muhammad est l’auteur de la fameuse photo (en intro de cet article), prise en 2005 lors d’une réunion du Congressionnal Black Caucus (« groupement d’intérêts des congressistes noirs ») au Capitole, photo sur laquelle on voit côte à côte, souriants, Barack Obama – qui n’était à l’époque que sénateur de l’Illinois – et Louis Farrakhan, (à droite sur la photo), le leader de la NOI.

Convaincu que cette photo pouvait sérieusement égratigner l’image de Barack Obama auprès de l’opinion publique américaine et nuire aux ambitions présidentielles du sénateur de l’Illinois, Askia Muhammad décida de la garder secrète.

Conscient du fait que ce document sulfureux – volontairement caché au public pendant de nombreuses années – pouvait également nuire à la candidate démocrate Hillary Clinton dans son duel avec le républicain Donald Trump lors de la présidentielle de 2016, Muhammad ne la publiera qu’en 2018.

Comme Muhammad l’avait prévu, cette photo fit en effet scandale aux Etats-Unis au moment de sa publication

Mais elle ne pouvait plus nuire ni à Barack Obama, désormais hors course politiquement parlant, ni à Hillary Clinton, totalement discréditée ainsi que son époux Bill, auprès d’une large partie de l’opinion américaine, dans le cadre des scandales multiples qui entachent leur Fondation :

https://www.dailymotion.com/video/x4q8p1e

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Dans cet article du 21 janvier 2018, le média Trice Edney News Wire – média « libéral » au sens américain, c’est-à-dire d’extrême gauche – annonce la publication le 31 janvier suivant d’un livre autobiographique d’Asia Muhammad, intitulé Autobiography of Charles 67X

C’est dans cette autobiographie que Muhammad révèle sa décision – en fait sur ordre de Farrakhan lui-même – de ne pas publier cette photo, précisant : « Après l’élection d’Obama et son investiture, et pendant ses huit années de présidence, cette photo a été soigneusement gardée au secret ». Pendant douze ans, ce document a été, ajoute-t-il ironiquement, « l’un des secrets les mieux gardés des Etats-Unis »...

Interrogé par le Trice Edney News Wire pour savoir s’il pensait que la publication de la photo en 2005 aurait affecté la campagne présidentielle d’Obama, Muhammad déclare : « Oui, j’insiste : cela aurait absolument fait la différence ».

Ce que confirme le Dr Shayla Nunnally, présidente de la National Conference of Black Political Scientists : « Je pense que cela aurait eu un effet très très négatif sur la candidature d’Obama à ce moment-là ».

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Louis Ferrakhan, 88 printemps cette année, est un Antillais né catholique qui, sous l’influence de Malcolm X, se convertit à l’islam en 1955, alors qu’il est âgé de 22 ans. Il prend le nom de Louis X (le « X » signifiant que le nom originel — africain — du nouveau converti est inconnu à cause de l’esclavage) et il se rapproche de Nation of Islam. Elijah Muhammad, à l’époque chef de la NOI, lui donne alors son nom de Louis Farrakhan.

A noter que l’islam professé par la NOI est très éloigné des islams « orthodoxes » de toutes obédiences (sunnisme, chiisme, soufisme, alaouisme, zaïdisme, etc.), qui considèrent la NOI comme une secte.

Outre la croyance en l’existence des extraterrestres, les adeptes de cette « religion » affirment que le Dieu créateur, qu’ils appellent Allah, a pris la forme d’un homme noir, mais qu’il est mort et a eu plusieurs successeurs mortels. Selon eux, Allah a créé les Noirs comme les premiers humains, et la langue arabe est initialement la langue de la tribu de Shabazz (une supposée ancienne nation noire qui a émigré en Afrique centrale). Ils soutiennent également qu’un « scientifique » nommé Yakub (suivez mon regard…) a créé la race blanche qui, intrinsèquement perverse et violente, a renversé et asservi la race noire…

Nation of Islam se transforme officiellement en un mouvement musulman sunnite peu après la mort d’Elijah Muhammad, en 1975. La « nouvelle » NOI est dirigée depuis 1978 par Louis Farrakhan. La NOI, tant ancienne que nouvelle, reste quoi qu’il en soit un mouvement fondamentalement raciste, viscéralement antiblanc et antisémite.

L’homme de 25 ans qui, vendredi 2 avril dernier, a foncé avec sa voiture sur des policiers en faction devant le Capitole, tuant l’un d’eux, était un partisan de Nation of Islam

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A noter également que Nation of Islam est en nette perte d’influence auprès de la jeunesse noire américaine, au profit d’une autre organisation racialiste, le mouvement  Black Lives Matter (BLM), beaucoup plus radical dans les actes.

BLM n’hésite pas à défier la démocratie américaine dans la rue. C’est ainsi que la mort du délinquant multirécidiviste George Floyd – par ailleurs drogué jusqu’à la moelle : quelques minutes avant son arrestation, Floyd s’était s’administré une dose potentiellement mortelle de Fentanyl  – a été largement instrumentalisée par les extrémistes noirs de tout poil.

Suite à cette affaire, des manifestations contre le « racisme blanc » et les « violences policières » se produisirent à Minneapolis et à Saint Paul, et s’étendirent rapidement aux 50 États des États-Unis, touchant plus de 2 500 villes du pays, avec leur cortège d’incendies volontaires, de vandalisme, de pillages et des affrontements armés avec les forces de l’ordre.

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A noter enfin que les Noirs, pour beaucoup d’entre eux en tout cas, ne semblent guère conscients du fait que l’islam a été le pire ennemi de leur race, et le reste à bien des égards. L’anthropologue franco-sénégalais Tidiane N’Diaye rappelle dans son livre Le génocide voilé, Gallimardcoll. « Continents noirs », 2008, que la traite négrière arabo-musulmane qui s’étend du VIIe s. au XXe s., fut un véritable génocide :

Henri Dubost