Le gouvernement français représente la plus grande menace pour la liberté d’expression

En attaquant régulièrement l’hebdomadaire Valeurs Actuelles pour ses prises de position courageuses contre l’immigration, via des associations subventionnées par le pouvoir, en voulant “faire taire” Riposte Laïque qui dénonce les actes terroristes commis sur notre sol contre notre population, via des actions pénales initiées par le Ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve en personne, ou en attaquant, en Province, les collaborateurs de Riposte Laïque, via, ici ou là, un sous-préfet ayant épousé une “femme musulmane” rencontrée lors d’une affectation dans les îles de la République, le gouvernement Valls “assassine” ouvertement les droits les plus fondamentaux de la liberté de la Presse.

av gavraLe sort réservé aux derniers journalistes Français indépendants ?

Du jamais vu en France, au niveau de la férocité, depuis 1898, année où le général Billot, ministre de la Guerre, porte plainte contre Émile Zola et Alexandre Perrenx, le gérant du journal L’Aurore, suite à l’article “J’accuse” prenant la défense d’un officier Israélite, le capitaine Dreyfus, injustement condamné. Les deux prévenus sont jugés devant les Assises de la Seine du 7 au 23 février 1898, soit quinze audiences (au lieu des trois initialement prévues). Le ministre ne retient que trois passages de l’article, soit dix-huit lignes sur plusieurs centaines.

Le procès s’ouvre alors dans une ambiance de grande violence et Emile Zola, comme Valeurs Actuelles ou Riposte Laïque aujourd’hui, fait l’objet « des attaques les plus ignominieuses ». Fernand Labori, l’avocat de Zola, fait citer environ deux cents témoins. La réalité de l’Affaire Dreyfus, inconnue du grand public, est diffusée dans la presse. Plusieurs journaux publient les notes sténographiques in extenso des débats au jour le jour, ce qui instruit leurs lecteurs. Cependant, les nationalistes, derrière Henri Rochefort, sont alors les plus visibles et organisent des émeutes, forçant le préfet de police à intervenir afin de protéger les sorties de Zola à chaque audience.

Ce procès est aussi le lieu d’une véritable bataille juridique, dans laquelle les droits de la défense sont sans cesse bafoués, comme le révèle le site Wikipedia. De nombreux observateurs prennent conscience de la collusion entre le monde politique et les militaires. À l’évidence, la Cour a reçu des instructions pour que la substance même de l’erreur judiciaire ne soit pas évoquée. La phrase du président Delegorgue « la question ne sera pas posée », répétée des dizaines de fois, devient célèbre. Toutefois, l’habileté de Fernand Labori permet l’exposition de nombreuses irrégularités et incohérences, et force les militaires à en dire plus qu’ils ne l’auraient souhaité.

Le général de Pellieux, annonce à la neuvième audience, l’existence « d’une preuve décisive ». L’impossibilité qui est faite aux militaires de présenter leur preuve force le général de Boisdeffre, chef de l’état-major, à effectuer un chantage moral aux jurés en déclarant : « Vous êtes le jury, vous êtes la nation ; si la nation n’a pas confiance en les chefs de son armée, dans ceux qui ont la responsabilité de la défense nationale, ils sont prêts à laisser à d’autres cette lourde tâche. Vous n’avez qu’à parler ». Etranges similitudes avec l’offensive que subissent aujourd’hui Riposte Laïque et l’hebdomadaire Valeurs Actuelles.

Zola aux outrages, huile sur toile de Henry de Groux, 1898

Zola est alors condamné à un an de prison et à 3 000 francs d’amende, la peine maximale. Cette dureté de l’époque, comme les assignations d’aujourd’hui, est imputable à l’atmosphère de violence entourant le procès : « La surexcitation de l’auditoire, l’exaspération de la foule massée devant le palais de Justice étaient si violentes qu’on pouvait redouter les excès les plus graves si le jury avait acquitté M. Zola. »

Cependant, le procès Zola est plutôt une victoire pour les Dreyfusards. En effet, l’Affaire et ses contradictions ont pu être largement évoquées tout au long du procès, en particulier par des militaires. De plus, la violence des attaques contre Zola, et l’injustice de sa condamnation renforcent l’engagement des Dreyfusards : Stéphane Mallarmé se déclare « pénétré par la sublimité de [l’]Acte [de Zola] » et Jules Renard écrit dans son journal : « À partir de ce soir, je tiens à la République, qui m’inspire un respect, une tendresse que je ne me connaissais pas. Je déclare que le mot Justice est le plus beau de la langue des hommes, et qu’il faut pleurer si les hommes ne le comprennent plus. » C’est à ce moment que le sénateur Ludovic Trarieux et le juriste catholique Paul Viollet fondent la Ligue pour la défense des droits de l’homme.

Le 2 avril, une demande de pourvoi en cassation reçoit une réponse favorable. Le site Wikipedia consacré à l’affaire Dreyfus révèle : “Il s’agit de la première intervention de la Cour dans cette affaire judiciaire. La plainte aurait en effet dû être portée par le Conseil de guerre et non par le ministre. Le procureur général Manau est favorable à la révision du procès Dreyfus et s’oppose fermement aux antisémites. Les juges du Conseil de guerre, mis en cause par Zola, portent plainte pour diffamation. L’affaire est déférée devant les assises de Seine-et-Oise à Versailles où le public passe pour être plus favorable à l’armée, plus nationaliste. Le 23 mai 1898, dès la première audience, Maître Labori se pourvoit en cassation en raison du changement de juridiction. Le procès est ajourné et les débats sont repoussés au 18 juillet. Labori conseille à Zola de quitter la France pour l’Angleterre avant la fin du procès, ce que fait l’écrivain. Les accusés sont de nouveau condamnés….”.

Le gouvernement a décidé de tuer la liberté d’expression

Jonathan Turley

Pour Jonathan Turley, professeur de droit public à l’Université Georges Washington à Washington D.C., “la plus grande menace sur la liberté d’expression en France n’est pas le terrorisme. C’est le gouvernement”.

Les plus grands spécialistes de la Presse Américaine avouent, depuis plusieurs mois, leurs inquiétudes pour la survie de la Liberté de la Presse en France, à l’image de Jonathan Turley, professeur de droit public à l’Université Georges Washington à Washington D.C. . Pour cet universitaire chercheur de renommée mondiale, “Les meurtres à Charlie Hebdo, quoique tragiques, ne sont pas le problème.

“Dans l’heure qui a suivi le massacre dans les locaux de Charlie Hebdo, des milliers de Parisiens se sont rassemblés spontanément place de la République. Au cours de ce rassemblement sous les statues représentant la Liberté l‘Égalité et la Fraternité, ils ont scandé « je suis Charlie » et « Charlie liberté ». C’était un rare moment d’unité à la française, touchant et sincère.

“Pourtant on peut légitimement se demander pourquoi ils se rassemblent. La plus grande menace envers la liberté en France n’est pas venue des terroristes qui ont commis ces actes horribles la semaine dernière mais des Français eux-mêmes qui ont été parmi les meneurs du monde occidental à prôner des restrictions importantes à la liberté d’expression….”.

Du coup, Jonathan Turley, professeur de droit public à l’Université Georges Washington à Washington D.C. recadre le débat en affirmant : “En fait, si les Français veulent commémorer le souvenir de ceux qui ont été tués à Charlie Hebdo, il pourraient commencer par inverser la portée de leurs lois criminalisant l’insulte, la diffamation, ou l’incitation à la haine, à la discrimination ou à la violence sur des bases religieuses, raciales, ethniques, liées à la nationalité, au handicap, au sexe ou à l’orientation sexuelle.

“Ces lois ont été utilisées pour littéralement harasser le journal satirique et menacer son personnel des années durant. La liberté d’expression a été conditionnée à un usage responsable en France, suggérant que c’est plus un privilège qu’un droit pour ceux qui usent de controverse…. En 2006, après que Charlie Hebdo eût imprimé les caricatures de Mahomet qui avaient initialement été publiées dans un journal danois, le président français, Jacques Chirac, a condamné la publication et mis en garde contre de telles « évidentes provocations ».

Jacques Chirac avait même osé ces mots : « Tout ce qui peut heurter les convictions de quelqu’un d’autre, en particulier les convictions religieuses, devrait être évité. » Et d’ordonner « La liberté d’expression devrait toujours être utilisée dans un esprit de responsabilité. »

AV JUSEn se mêlant de la liberté d’expression entre citoyens, la justice penale est-elle dans son rôle (tel que défini par la Constitution de la Vème République) ou “pervertie” comme l’affirme l’hebdomadaire Valeurs Actuelles ?

Charlie Hebdo déjà victime de la Grande Mosquée de Paris et de l’Union des Organisations Islamiques Françaises

La Grande Mosquée de Paris et l’Union des Organisations Islamiques Françaises ont poursuivi, sans relâche en justice le journal Charlie Hebdo pour “avoir insulté les musulmans, un crime passible d’une amende allant jusqu’à 22.500 € ou six mois d’emprisonnement”. La justice française a finalement délivré un jugement en faveur de Charlie Hebdo. Mais depuis, la volonté de contrôle de cette liberté d’expression en France n’a cessé de grandir, certains politiques, à l’image de Bernard Cazeneuve, affichant une soiffe de censure, de répression immodérée.

Jonathan Turley analyse parfaitement la “mise à mort de la liberté de la Presse en France : “Les différentes affaires judiciaires ont tapé tous azimuts. En 2008, par exemple, Brigitte Bardot a été condamnée pour avoir écrit une lettre au ministre de l’Intérieur de l’époque, Nicolas Sarkozy, dans laquelle elle exprimait sa pensée selon laquelle les musulmans et les homosexuels mettaient en danger la France.

“En 2011, le styliste de mode John Galliano a été déclaré coupable d’avoir prononcé des paroles antisémites à l’encontre de trois personnes dans un café parisien.

En 2012, le gouvernement criminalisa la négation du génocide arménien (une loi ultérieurement retoquée par le Conseil Constitutionnel), mais la négation de l’Holocauste reste un crime.

En 2013, une mère française fut condamnée « apologie de crime » après avoir autorisé son fils, baptisé Jihad, à aller en classe vêtu d’un tee-shirt qui disait « Je suis une bombe »…. L’année dernière, le ministre de l’Intérieur, Manuel Valls, prit des mesures pour interdire le spectacle du comédien Dieudonné M’bala M’bala déclarant qu’il n’était « désormais plus un comédien » mais « plutôt un antisémite et un raciste ». Il est facile de réduire au silence les personnages publics qui éructent des mots haineux ou des idées insupportables, mais la censure ne fonctionne que très rarement avec ceux qui sont en marge de notre société…..”.

Jonathan Turley relève avec précision : “Parmi les manifestants de janvier 2015, à Paris, place de la République se trouvait Sacha Reingewirtz, président de l’Union des Étudiants Juifs, qui déclara à NBC News :

« Nous sommes présents pour rappeler [aux terroristes] que la religion peut être librement critiquée ».

“L’Union des Étudiants Juifs n’était apparemment pas aussi magnanime en 2013, quand elle poursuivit avec succès en justice Twitter, à propos de publications jugées antisémites sur son site. Son président à l’époque balaya de la main les objections d’entrave aux libertés publiques déclarant que le réseau social se faisait lui-même « complice en offrant un boulevard aux racistes et aux antisémites. » Le gouvernement déclara les tweets illégaux, et une Cour de Justice française ordonna à Twitter de fournir les identités des auteurs des publications antisémites.

“Récemment, les restrictions à la liberté d’expression en France ont étendu leur domaine au-delà de la haine proprement dite avec des tribunaux intervenant de manière coutumière dans de simples délits d’opinion. Par exemple, l’année dernière, un tribunal français a infligé une amende à Caroline Doudet, une bloggeuse, et lui a ordonné de changer le titre de son sujet pour réduire sa visibilité sur Google concernant un commentaire négatif sur un restaurant.

“Alors que la France a remisé depuis longtemps ses lois sur le blasphème, la marge est très ténue pour les orateurs et les écrivains poursuivis pour des motifs de diffamation ou d’incitation à la haine. De même pour les extrémistes, cette différence est également très ténue à l’image de ceux qui, à Paris, ont appliqué leur justice personnelle à une liberté d’expression que le gouvernement lui-même qualifiait de délit. De leur point de vue, il ne s’agit que d’un degré d’appréciation en réponse à ce que le gouvernement a appelé des provocations illégales. A l’image du religieux musulman radical Anjem Choudary qui a écrit en janvier 2015, « Pourquoi dans ce cas le gouvernement français a-t-il autorisé le magazine Charlie Hebdo à continuer à provoquer les musulmans ? »…”.

Une intolérance croissante à l’égard de la Liberté d’expression

Ce fut l’intolérance française croissante à l’égard de la liberté d’expression qui a motivé l’équipe de Charlie Hebdo — en particulier son rédacteur en chef Stéphane Charbonnier — à se moquer de toutes les religions en usant de dessins et d’éditoriaux irrévérencieux. Charbonnier devait faire face de manière continuelle à des menaces de mort par des extrémistes, mais aussi de poursuites judiciaires devant les tribunaux. Et Jonathan Turley insiste :”En 2012, dans les protestations internationales à propos d’un film anti-islamique, Charlie Hebdo publia de nouveau des caricatures de Mahomet. Le Premier Ministre français, Jean-Marc Ayrault, avertit que la liberté d’expression « ne peut s’exprimer que dans les limites de la loi et sous le contrôle des tribunaux. »

“Charbonnier ne se laissa pas impressionner, ni par la pression gouvernementale ni par les protestations publiques ou l’inclusion de son nom sur une liste de cibles d’Al-Qaeda. Dans une interview au journal Le Monde, il repris à son compte une phrase du révolutionnaire mexicain Emiliano Zapata et déclara, « je préférerais plutôt mourir debout que vivre à genoux. » Stéphane Charbonnier fût le premier que les tueurs recherchèrent lors de l’attaque dans ses bureaux, et il fût parmi les premiers à être tué.

Les Français bien sûr n’ont pas été les seuls à revenir sur les lois et protections relatives à la liberté d’expression.

“La Grande-Bretagne, le Canada et d’autres nations les ont rejoints. Nous avons les mêmes bruits de fond ici aux États-Unis. En 2009, l’administration Obama de manière choquante apporta son soutien à ses alliés musulmans en essayant de définir un nouveau standard international du blasphème. Et Hillary Clinton, Secrétaire d’État, invita des délégations à Washington pour travailler sur la définition de ce nouveau standard et pour « renforcer nos muscles [afin] d’empêcher le retour des anciens schémas de division ». De la même manière, en 2012, le président Obama se rendit à l’ONU et déclara que « ceux qui diffament le prophète de l’Islam ne doivent plus pouvoir le faire dans le futur. »

“Il fut pourtant un temps où la liberté d’expression était précisément la promesse du futur. C’était même la ‘première pierre’ de la civilisation Occidentale et des libertés civiles.

“Une personne physique ne peut pas réellement diffamer une religion ou des personnages religieux en tant que tels (même s’il est vrai que la diffamation des morts est prohibée aux États-Unis). Les volontés de requalifier la critique d’une religion comme incitation à la haine ou diffamation sont précisément ce que Charbonnier, en tant que résistant, combattait. Il dit un jour qu’en titillant l’Islam il espérait le rendre « aussi banal que le Catholicisme » pour pouvoir en débattre en société.

“Stéphane Charbonnier est mort, comme il l’avait affirmé, debout plutôt qu’à genoux. La vraie question est : Combien parmi ceux qui se rassemblent sur la place de la République seraient réellement prêts à se tenir debout avec lui ? Ils devraient tous prêter une attention soutenue aux trois statues de la Place. Au nom de l’Égalité et de la Fraternité, la Liberté a été considérablement réduite en France. La terrible vérité est qu’il suffit d’un simple tueur pour abattre un journaliste mais qu’il faut une Nation entière pour assassiner un droit.” note encore Jonathan Turley, collaborateur régulier du Washington Post et du Le Journal du Siècle.

Les volontés de Manuel Valls et de Bernard Cazeneuve de requalifier la critique politique ou la critique d’une religion en crime ou délit témoignent d’une volonté d’asservissement de la Presse Libre, celle qui était défendue par Emile Zola, Jean Jaurès, ou encore André Malraux lorsque la France vivait des heures sombres et tragiques !

Francis GRUZELLE

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Deux maires lynchés : Jean Roujon s'est suicidé, Robert Chardon a disparu…

av chard disparRobert Chardon, lynché par les médias nationaux

Cela fait vingt jours que le maire UMP de Venelles, Robert Chardon, par ailleurs PDG de la société Iso Ingenierie, qui collabore à des activités capitales dans la défense nationale de notre pays, notamment pour l’équipement des nouveaux sous-marins nucléaires français du programme Barracuda, a disparu de la vie publique sans laisser de trace, ni d’adresse, et que les comptes facebook et twitter de Robert Chardon ont été supprimés. Et, depuis 24 heures, les mêmes médias nationaux, qui imposent une chape de plomb sur le « triangle des Bermudes » Venelles-Aix-en-Provence-Marseille, qui imposent un silence radio sur la disparition de Robert Chardon, relaient en boucle, avec une évidente indécence, le suicide de l’ancien maire de la commune de Marvejols en Lozère, Jean Roujon. Comme si ces médias voulaient prolonger, de manière sordide, la “fête des maires”.

Des consignes d’omerta ont-elles été données par le pouvoir politique dans l’affaire Robert Chardon et un feu vert de large diffusion dans ce qui devient l’affaire Jean Roujon ? Dans une France où tout va mal, surtout pour les patriotes qui travaillent dur, dans une France en plein désarroi, où quatre de nos paysans se suicident chaque jour pour échapper aux huissiers,  dans une France où les entreprises licencient à tour de bras, où le groupe Aoste ferme son usine « Calixte » à Boffres en Ardèche, département voisin de la Lozère, dans une France où peu d’entreprises innovent, créent des emplois et beaucoup disparaissent , la surmédiatisation du suicide de l’ancien conseiller général et de l’ancien maire de la commune de Marvejols Jean Roujon, par des médias qui l’ont trainé dans la boue depuis plus d’un an, a quelque chose d’indécent, de sordide, confirmant une fois de plus la décadence et l’imposture de la presse nationale Française.
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 Marvejols est sous le choc après le suicide de Jean Roujon. La ville a été incendiée durant la guerre de Cent Ans puis reconstruite grâce à Henri IV.
D’autant plus que le Président de la République François Hollande ne pouvait ignorer, via les informations remontées par le Préfet de l’époque Bernard Gonzalez, lors de sa visite officielle en Lozère en 2012 (notre photo), la dramatique situation financière de la commune de Marvejols, “prise à la gorge” malgré les efforts de gestion de son conseiller général-maire Jean Roujon. A aucun moment, François Hollande, le préfet de l’époque Bernard Gonzalez, et les pouvoirs publics socialistes, n’ont  “mis la main à la poche” pour aider, via une subvention exceptionnelle, le maire divers droite de Marvejols, au coeur du Gévaudan en Lozère, qui a mis fin à ses jours lundi. Cet ancien conseiller général DVD, battu aux élections municipales de 2014 après 19 ans de mandat, a été retrouvé pendu dans l’ancienne usine de son père, qui lui-même avait été maire de la ville pendant des décennies, derrière son cabinet d’assurance.
av pre gonzalezLors de la visite de François Hollande en Lozère,  François Hollande, le préfet de l’époque Bernard Gonzalez, et les pouvoirs publics socialistes, n’ont pas “mis la main à la poche” pour aider, via une subvention exceptionnelle, le maire divers droite de Marvejols.

 

Lundi 1 er juin 2015, en fin d’après-midi, Jean Roujon avait laissé un message posthume au journal départemental la Lozère Nouvelle. Se disant “blessé et sali”, l’ancien maire de la commune de Marvejols Jean Roujon a tenu à rectifier auprès de l’hebdomadaire Lozère Nouvelle les “rumeurs les plus folles et les délires les plus médisants”, qui avaient souvent été colportés dans la presse quotidienne. L’ancien maire réaffirme “qu’il ne s’est pas enrichi, mais qu’il a toujours voulu simplement oeuvrer pour sa ville.” 

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 Depuis de nombreuses années, la commune de Marvejols, abandonnée par l’Etat Français, ne connaissait plus la vie de château….

Dans son message au journal départemental, Jean Roujon a souligné “la période trouble faite de baisses de dotations” (NDLR de l’état Français qui s’est totalement désengagé en Lozère, à hauteur de plusieurs dizaines de millions d’euros, comme à l’époque monarchique où les paysans se faisaient dévorer par la terrible bête du Gévaudan) à laquelle il avait dû faire face en tant qu’édile, et les “choix politiques budgétaires forts” qu’il avait choisi de faire pour sa ville de 5000 habitants, “malgré des marges de manoeuvre limitées”. Son choix “comme d’autres élus de la majorité, comme de la minorité” avait été “de consacrer 19 ans à ma ville de Marvejols avec honnêteté et intégrité au contact direct des Marvejolais”. 

 

Un audit avait révélé l’ampleur de la dette, liée aux transferts de charge et au désengagement de l’état, qui plombait la ville de Marvejols. L’annonce de 12,8 millions d’euros de dette exposée par l’audit avait déclenché une tempête médiatique autour de cette ville de 5000 habitants, et de nombreux médias ont “lynché” Jean Roujon, comme ils avaient “lynché” le Maire UMP Robert Chardon lorsque ce dernier a déclaré, via twitter, “qu’il fallait interdire l’islam en France”.

 

Un Président de la République dira-t-il, demain, que les médias nationaux ont jeté  Jean Roujon “aux chiens” (mais aussi Robert Chardon via le lynchage médiatique dont il a été victime), comme l’avait dit un autre François, au cœur de la Bourgogne, pour un certain Pierre Bérégovoy ?


Francis GRUZELLE

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Les officiels égyptiens préfèrent le Rafale à Marine Le Pen

Pas de réception prévue avec les dirigeants de l’Egypte, avec le Président Abdelfatah Khalil al-Sisi ou son entourage (qui comprend désormais l’ancien ambassadeur d’Egypte à Paris), qui préfère la livraison des premiers avions de combat Rafale (notre photo) à Marine Le Pen. Dans le premier cercle du “maréchal-Président” au Caire, où l’on réclame à la France l’extradition de 80 terroristes Egyptiens ayant le statut de réfugiés politiques dans “le Pays de Marianne”, alors que ces mêmes intégristes Egyptiens utilisent le Pays “France” comme base arrière, la venue de Marine Le Pen est assimilée à un aléa climatique au même titre qu’un nuage de sauterelles dans la vallée du Nil.
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Les dirigeants de l’Etat Egyptien, seul Pays Arabe à demander à la France l’expulsion des terroristes Egyptiens réfugiés sur notre sol, préfère l’avion de combat Rafale à Marine Le Pen.av le pen egyp
Beaucoup d’électeurs du Front National ne comprennent pas l’intérêt de cette visite de Marine Le Pen en Egypte, d’autant moins que la Présidente du Front National n’est reçue que par des responsables religieux, alors que le pouvoir réel est aux mains du Président Al Sissi et d’une équipe de ministres ayant prouvé leur laïcité. Même incompréhension en Egypte, où Marine Le Pen affiche le handicap d’être une femme.

Dans les cercles proches du pouvoir Egyptien, cette visite a même tendance à irriter, par la récupération médiatique faite par les hauts responsables religieux.

Selon le communiqué d’Al-Azhar, la présidente frontiste aurait “reconnu qu’il ne fallait pas faire l’amalgame entre l’islam et les actes de violences commis par ceux qui s’en réclament”. Toujours d’après le même texte, Marine Le Pen aurait affirmé “le droit des musulmans français à pratiquer leur foi et à l’exprimer en toute liberté”.

Une visite où l’improvisation semble totale

Selon un journaliste du Monde, le voyage a été organisé par l’eurodéputé frontiste Aymeric Chauperade. Il s’agit, d’après le communiqué du FN, du “premier pays arabe visité’ par Marine Le Pen, sous-entendant que la présidente frontiste se rendrait dans d’autres pays du monde arabe dans les semaines à venir. Les prochains voyages nécessiteront une meilleure préparation et des interlocuteurs plus crédibles, ainsi que des objectifs plus visibles !

Même la chronologie de la visite privée de Marine Le Pen prête le flanc à critique, dans un pays où les symboles sont très forts.

Il aurait été préférable que la Présidente du FN s’entretienne d’abord avec le patriarche des Coptes orthodoxes d’Égypte Tawadros II jeudi dès son arrivée, puis rencontre, dans un deuxième temps, le cheikh d’Al-Azhar, chef de l’islam sunnite. Car l’entretien décrit par le le communiqué du FN semble différent de la version officielle donnée par Ahmed al-Tayeb qui a, de son côté, fait part de ses “sérieuses réserves” concernant les “positions hostiles à l’islam” de Marine Le Pen et du parti d’extrême-droite.

Qu’un officiel Egyptien de premier plan, ayant toute la confiance du Président Al Sissi, m’adresse aujourd’hui par mail une photo des premiers Rafale survolant les pyramides n’est pas une coïncidence. Mais un message très fort disant en substance : “Les officiels Egyptiens préfèrent le Rafale à Marine Le Pen”.

Francis GRUZELLE

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Exclusif : Chardon voulait se présenter contre Estrosi aux régionales Paca

av chardon jeunesUn élu adulé et aimé par de nombreux habitants des quartiers
La mystérieuse  m’ont aussi incité à explorer toutes les pistes. La piste politique m’a conduit sur la longue route des élections régionales de décembre 2015 en Paca, où Jean-Marie Le Pen a constitué la première victime… politique. Car la probable victoire à droite aux régionales a aiguisé les appétits.
Or, il y a quelques temps, Robert Chardon, le maire UMP de Venelles, avait annoncé à FRANCE 3  et à l’AFP sa candidature aux élections régionales de décembre 2015, face au député-maire de Nice, Christian Estrosi. Une annonce qui lui a valu pas mal d’inimitiés dans son propre camp.
“Je compte aller plus loin et me présenter aux régionales”, avait déclaré, voici quelque temps, Robert Chardon à l’AFP, et son intention aussi de se présenter à la primaire de l’UMP “si je reste dans le parti”. De quoi faire tousser Christian Estrosi et Nicolas Sarkozy.
av chard commu
De la même manière que la stigmatisation journalistique française avait pris soin de passer sous silence la brillante carrière professionnelle de Robert Chardon, et nous avons été les seuls, dans l’article intitulé “” , à révéler l’aspect « défense nationale » de la carrière du chef d’entreprise Robert Chardon, capable de réflexions et de stratégies géopolitiques, les quotidiens régionaux et nationaux ont passé sous silence les ambitions régionales et nationales du même Robert Chardon.
Même si on ne partage pas les propos de Robert Chardon, où l’élu UMP préconisait “d’interdire l’islam en France”, il est probable que ces propos s’inscrivaient dans le cadre de la préparation des élections régionales de décembre 2015, Robert Chardon espérant sans doute mordre sur la clientèle du FN en Paca, mais aussi sur une aile de l’UMP.
Car, pour rallier des candidats à ses côtés, et des électeurs, le maire de Venelles tient des propos proches de ceux tenus par l’ancienne Ministre UMP Nadine Morano, compagne de route de Nicolas Sarkozy, le 27 avril 2015, sur RMC et BFMTV (invitée d’Apolline de Malherbe sur RMC et BFMTV, Nadine Morano est revenue sur l’embrigadement de jeunes dans des groupes islamistes. L’eurodéputée a ainsi déclaré : « L’infiltration se fait par les réseaux sociaux mais aussi par certains imams qui ne parlent pas français ». A la question “Faut-il les interdire ?”, l’élue UMP répond “bien sûr”. “Tant que nous n’avons pas mis en place un dispositif qui nous permet de contrôler les imams qui font leurs prêches en France, ce n’est pas le moment de se lancer dans la construction de nouvelles mosquées”, a ajouté Nadine Morano.). Et il est probable que Robert Chardon pensait s’inscrire dans la ligne la plus à droite de l’UMP, pardon Les Républicains, le changement d’enseigne ne changeant rien au fonds de commerce.
La stigmatisation de Robert Chardon par certains dirigeants de l’UMP, pressés de lui faire “un enterrement républicain”, était-elle motivée par la seule volonté d’éliminer un concurrent pour les élections régionales de décembre ? Et de provoquer la disparition d’un élu de la République, par ailleurs chef d’entreprise, un peu “grande gueule”, à “la Bigeard”, pas forcément dans le moule de “l’Union des Moutons de Panurge”, dont on change l’étiquette.
Francis GRUZELLE

Carte de Presse 55411




Disparition Chardon : le procureur avoue un secret d'enquête

av chard commu
Après la mystérieuse  , le Procureur de la République Dominique MOYAL près le Tribunal de Grande Instance d’Aix en Provence m’a adressé le courrier mailé suivant : “Je tiens à vous rassurer : Mr le maire de Venelles n’a été ni kidnappé  par des extra-terrestres ni désintégré… Je ne fournirai aucune autre information sur cette affaire couverte par le secret de l’enquête .”
av proc aix
Dominique MOYAL, Procureur de la République : “Je ne fournirai aucune autre information sur cette affaire couverte par le secret de l’enquête .”
Il y a donc bien une enquête judiciaire ouverte dans le dossier Robert Chardon, enquête couverte par le secret, avec, de l’aveu même de Mme le Procureur Dominique Moyal, un non lieu pour ET. Ce qui devrait réjouir Steven Spielberg, car il arrive que la réalité rattrape la fiction.
Néanmoins, 14 jours après la disparition publique de Robert Chardon, PDG de l’entreprise ISO Ingénierie, société présente par de multiples activités dans les domaines de la défense nationale française, le grand public français et étranger se demande toujours comment le maire d’une ville de plus de 8000 habitants peut disparaître sans laisser de trace, dans l’indifférence générale ?
av chard rééluMars 2014, Robert Chardon est brillamment réélu à la mairie de Venelles
Comme révélé dans nos articles  , et avec Caroline Alamachère ,    , nous avons été les premiers en France à dénoncer la stigmatisation d’un maire pour des idées, puis sa mystérieuse disparition de la vie publique dans le département des Bouches du Rhône.
“Crucifié” pour des idées ?
Comme le souligne avec talent  Martine Chapouton dans l’édition d’hier de Riposte Laïque, sous le titre  , “Cet homme a d’abord été lynché par les médias et la classe politique, qui alors s’intéressaient à lui. Une procédure d’exclusion a été entamée contre lui par son parti, l’UMP. Patricia Saez, son adjointe, s’est immédiatement démarquée de ses propos, prétendant parler au nom de l’ensemble de l’équipe municipale. Et, quelques heures plus tard, l’AFP a parlé d’un internement, à la demande d’un de ses proches. Le sous-préfet a nié l’internement. Et, depuis treize jours, plus rien !”
av chard déboi
 Et si Robert Chardon était “l’arbre qui cache la forêt” dans une France à la dérive ? L’homme qu’on veut abattre à tout prix ?
av robert chardon
La stigmatisation journalistique française a pris soin de passer sous silence la brillante carrière professionnelle de Robert Chardon, et nous avons été les seuls, dans l’article intitulé ““, à révéler l’aspect « défense nationale » de la carrière du chef d’entreprise Robert Chardon, capable de réflexions et de stratégies géopolitiques. De nombreux médias français, relais du pouvoir socialiste et du bureau de l’Ump, ne font pas honneur à leur profession, en tentant de  présenter Robert Chardon, comme « un ahuri », une « sorte d’élu à la professeur Tournesol », alors que la Défense Nationale lui a fait confiance pour des fonctions de sécurité très élaborées de nos sous-marins nucléaires nouvelle génération, ceux du programme Barracuda, qui seront testés en 2016 puis livrés à la Marine Nationale en 2017.
Plus personne n’a vu, n’a entendu, n’a eu de communication internet, FB, tweet, n’a de nouvelles de Robert Chardon, maire UMP de Venelles, qui a disparu, quelques heures après avoir affirmé qu’il fallait se débarrasser de l’islam en France. Même si on ne partage pas ses propos, proches de ceux tenus par l’ancienne Ministre UMP Nadine Morano, compagne de route de Nicolas Sarkozy, le 27 avril 2015, sur RMC et BFMTV (invitée d’Apolline de Malherbe sur RMC et BFMTV, Nadine Morano est revenue sur l’embrigadement de jeunes dans des groupes islamistes. L’eurodéputée a ainsi déclaré : “L’infiltration se fait par les réseaux sociaux mais aussi par certains imams qui ne parlent pas français”. A la question “Faut-il les interdire ?”, l’élue UMP répond “bien sûr”. “Tant que nous n’avons pas mis en place un dispositif qui nous permet de contrôler les imams qui font leurs prêches en France, ce n’est pas le moment de se lancer dans la construction de nouvelles mosquées”, a ajouté Nadine Morano.), on ne peut pas cautionner, sans bouger, la stigmatisation et la disparition d’un élu de la République, par ailleurs chef d’entreprise.
Francis GRUZELLE
37, Bernaudin le Haut
07100 ANNONAY
               à
Madame le Procureur de la République Dominique MOYAL
Près le Tribunal de Grande Instance d’Aix en Provence
40, Boulevard Carnot
13100 AIX-EN-PROVENCE
Par mail, par courrier et par télécopie au 04 42 33 84 68
                                                              et au 04 42 96 45 30
Objet : SIGNALEMENT de disparition d’une personne
Madame le Procureur de la République Dominique Moyal,
Par la présente, j’ai l’honneur de vous signaler la disparition d’une personne à Venelles, ville où je ne parviens plus à joindre Monsieur Robert Chardon, maire, depuis le 15 mai 2015.
Depuis cette date, Monsieur Robert Chardon est injoignable à la mairie de Venelles, où personne ne l’a vu, à son domicile, sur son portable. Par téléphone, j’ai fait le tour des hôpitaux de la Région, et personne n’a été en mesure de « me passer » le maire de Venelles ou de me confirmer l’hospitalisation de Robert Chardon.
Je suis donc très inquiet.
D’autant plus que les comptes facebook et twitter de monsieur Chardon ont été supprimés.
C’est comme si Monsieur Robert Chardon avait été kidnappé par des extra terrestres ou se soit désintégré !
D’où ce SIGNALEMENT de disparition d’une personne concernant Monsieur Robert Chardon, maire UMP de Venelles.
 
Je vous remercie de faire le nécessaire, et je vous assure, Madame le Procureur de la République Dominique Moyal, de mes sentiments respectueux et dévoués.
Francis GRUZELLE
Le 24 mai 2015
Dans l‘histoire de la Ve République Française, c’est la première fois qu’un élu disparait ainsi de la vie publique et  devient injoignable…. Et ce n’est pas le Premier Ministre Manuel Valls, en visite officielle à Marseille et à Aix en Provence ce  vendredi 29 mai 2015, qui donnera des nouvelles de Robert Chardon. D’ailleurs, les journalistes institutionnels présents n’oseront pas lui poser la question, au “nom de la rose”, de peur de déplaire au “prince socialiste”.
Des cours du soir pour le gouvernement et les dirigeants politiques ?
Face à cet aspect républicain du dossier Robert Chardon, j’invite Monsieur le Président de la République, Monsieur le Premier Ministre, tous les ministres, Préfets, hauts magistrats et décideurs à acheter (6,95 euros) et à lire le très beau livre, édité voici quelques semaines, par Fleurus enfants, “LA RÉPUBLIQUE”. Ecrit par Jean-Paul Albert, le Président de la Cour d’assises de Paris, et Saubahe Ayadi Takerkart, pédagogique et ludique, cet ouvrage permet d’appréhender avec simplicité l’organisation politique de la France, son histoire institutionnelle, le rôle des acteurs des pouvoirs exécutif et législatif mais aussi les collectivités territoriales.
av la repuCet ouvrage devrait permettre aux “décideurs” de réactualiser leurs connaissances.
Conçu pour des enfants et des collégiens, “LA RÉPUBLIQUE”, ouvrage pédagogique et attractif, devrait permettre à tous les décideurs Français d’appréhender avec simplicité l’histoire constitutionnelle de la France, son organisation politique, le rôle des institutions : le pouvoir exécutif avec le président de la République, le premier ministre et le gouvernement ; le pouvoir législatif : l’Assemblée nationale, le Sénat et le vote de la loi ; les collectivités locales : régions, départements, communes, sans oublier la France d’outre-mer, l’indépendance du pouvoir judiciaire, la liberté de la presse, la liberté d’expression.

Il apparaît indispensable que nos responsables politiques, étatiques, mais aussi nos journalistes, découvrent et approfondissent les valeurs fondamentales de notre République : défendre la liberté, protéger l’égalité, la laïcité, la liberté d’expression, renforcer la fraternité. (cid:B7773B81-49F1-4011-BA4B-B81170958DC9][cid:DFE91263-EF1E-4070-B26A-4CB1B3397AE8] http://www.fleuruseditions.com).

Francis GRUZELLE
Carte de Presse 55411



Disparition de Robert Chardon : l'inquiétante piste du Secret Défense

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av iso chardo

L’étrange et mystérieuse disparition de la vie publique du maire UMP de Venelles (Bouches-du-Rhône) Robert Chardon, devenu un “secret défense”, pourrait aussi avoir des répercussions pour l’entreprise ISO Ingénierie, présente par de multiples activités dans les domaines de la défense nationale française, et dont le PDG est Robert Chardon, avec des clients aussi prestigieux que DCNS, CEA, MAN Diesel, Wellman Defense.

Lorsqu’on sait que Robert Chardon et les 25 ingénieurs de sa société Aixoise ont participé à l’élaboration des fonctions de sécurité du programme Barracuda et des sous-marins nucléaires d’attaque français lanceurs d’engins nucléaires, nos inquiétudes sur le devenir et l’intégrité physique de Robert Chardon sont grandement fondées. Aussi, dès que la  . Car la disparition de Robert Chardon, vu son implication dans les projets de la Défense Nationale, c’est un peu comme si Bernard Bajolet , directeur de la DGSE, disparaissait sans laisser de trace en plein Paris. Ou comme si le “père” des missiles balistiques soviétiques s’était évaporé en pleine “guerre froide”.
 

av robert chardon

Robert Chardon n’a plus donné de nouvelle depuis 11 jours

 

Nous sommes les premiers à révéler l’aspect “défense nationale” de la carrière du chef d’entreprise Robert Chardon, capable de réflexions et de stratégies géopolitiques, et que de nombreux médias français, relais du pouvoir socialiste et du bureau de l’Ump, ont tenté de nous présenter abusivement, en prenant leurs lecteurs pour “des connards de base”, comme “un ahuri”, une “sorte d’élu à la professeur Tournesol”, alors que la Défense Nationale lui a fait confiance pour des fonctions de sécurité très élaborées de nos sous-marins nucléaires nouvelle génération.

 

Oui, c’est aussi cela Robert Chardon. Un chef d’entreprise, qui croit en la France, ayant créé des emplois, avec ouverture d’agences à Lyon, dans la région Parisienne, à Barcelone en Espagne, qui contribue à la Défense Nationale de notre Pays, et se dévouant, corps et âme, pendant son temps libre, pour administrer et gérer la ville de Venelles.

 

av chardon jeunesChef d’entreprise et maire, Robert Chardon au “chevet” des jeunes de sa ville de Venelles, lorsqu’il avait encore sa liberté de mouvement et de parole…
av char inaugUn élu adulé qui a toujours eu la confiance des électeurs, à l’époque où il pouvait circuler et parler librement….

 

Dans la partie “grand public” des collaborations “défense nationale” de la société Aixoise Iso ingenierie, on peut lire dans les “réalisations / Références” récentes : “Définition des fonctions de sécurité conformément à la norme CEI 61508 du sous marin nucléaire d’attaque (SNA) Barracuda – DCNS… Déclinaison de la norme CEI 61508 aux fonctions vitales du sous-marin Barracuda – DCNS.

 

Validation de la commande de l’appareil à gouverner des SNA vis-à-vis de la fonction vitale « Remontée d’urgence » – DCNS – Validation des parties hydrauliques et mécaniques de la fonction vitale pour DCNS . Justification de la conception du contrôle-commande : Fonctions de sécurité – DCNS. Analyse de la fonction d’arrêt moteur pour prévenir la dépression du sous-marin – MAN Diesel. Dossier de sécurité de l’arrêt de l’usine de production d’O2 – Wellman Defense…”.

 

C’est dans ce contexte que la Marine nationale accueillera en 2017, le premier SNA de type Suffren. Pour mémoire, le Suffren, tout premier né du programme Barracuda, effectuera sa première sortie à la mer au printemps 2016 pour une livraison à la marine en 2017. Le Suffren est le premier d’une série de six sous-marins nucléaire d’attaque, qui remplaceront les actuels Rubis.

 

Les autres activités de la société présidée par Robert Chardon : de l’énergie au nucléaire…

 

ISO Ingénierie est présent par de multiples activités dans les domaines de l’énergie et du nucléaire. Parmi ses clients, on trouve DCNS, EDF, ITER, MAN, GDF, GRT Gaz, ILL, AREVA, CEA, ANDRA, COFELY, DALKIA, POYRY, IRSN, SAIPEM, TECHNIP, TOTAL.

Parmi ses autres réalisations de référencesfigure l’élaboration de dossiers d’autorisation d’exploiter (DDAE) pour 3 centrales électrodiesel dans les DOM – MAN Diesel / EDF (fiche référence détaillée), mais aussi la définition des fonctions de sécurité et architectures systèmes pour la protection machine et la sûreté nucléaire du réacteur de fusion nucléaire ITER, en conformité avec les normes CEI61508 et CEI61513 – ITER Organization, la qualification du contrôle commande de niveau 1 du palier électronucléaire français 1400MW N4 – EDF, ou encore les études technico économiques d’optimisation des filières de traitement de déchets nucléaires : projets CSA, AGATE, CEDRA, filières Cadarache et Marcoule – ANDRA, CEA, sans oublier les études de définition et conception de contrôle commande nucléaire classé de sûreté en conformité avec la CEI61513 pour un réacteur de production de neutrons – Institut Laue Langevin.

ISO Ingénierie dans la presse technique et professionnelle.

 

av chardon figaro

Le 7 avril 2011, Robert Chardon, 1er adjoint au maire de Venelles, reçoit le prix “Energies Citoyennes”, entouré par Sofia Bengana, éditeur du Figaro, et Gilbert Réglier, directeur général de Cofely.

 

Ces dernières années, la société de Robert Chardon a souvent fait la Une de la presse technique et professionnelle. Nous avons sélectionné quelques liens reproduisant les articles de confrères sérieux.

  • Dans Formule-verte.com, Aout 2012 – ISO Ingénierie: Voir article

Aujourd’hui, beaucoup de Français exigent de savoir ce qu’est devenu Robert Chardon. Le mieux serait que le maire UMP de Venelles et Président de l’entreprise “Iso Ingenierie” puisse donner une conférence de presse, en étant libre de ses mouvements. Soyons clair ! Si un communiqué gouvernemental ou préfectoral nous indique demain que Robert Chardon est parti sur un sous-marin nucléaire lanceur d’engins faire des essais au milieu de l’Atlantique, nous ne croirons pas un mot de cette version officielle. Trop de dirigeants mentent au Pays, en toute impunité, depuis trop longtemps !

 

Francis GRUZELLE

Carte de Presse 55411