Même Booba trouve l’État mou et faible avec Kévin et Matteo !

 

 

Dans une interview récente, le rappeur Booba s’est exprimé sur les violences urbaines survenues fin juin. Il considère que l’État français a été “beaucoup trop mou et faible” face aux événements survenus après la mort de Nahel… Pour lui, la mort du jeune homme est une “triste bavure”.

“Bien sûr que c’était choquant. Le policier n’était visiblement pas en danger de mort”, “Quant aux émeutes, je trouve surtout que la police, le système judiciaro-carcéral, et plus globalement l’État, ne se font pas respecter”…

“Les jeunes n’ont pas peur de la police”

“Les jeunes n’ont pas peur de la police, l’État est beaucoup trop mou et faible”, poursuit Booba. Selon lui, “les peines de prison sont trop légères et surtout rarement appliquées, les policiers sont discrédités”.

Le plus fortuné des rappeurs français, Booba, vit à Miami. Il estime qu’aux États-Unis, “c’est loin d’être parfait, mais tu ne défies pas la police à la bagarre”. Il voit dans les violences urbaines survenues en France un “abcès qui avait besoin de péter”.

“Ce n’était pas forcément dû à la mort du petit Nahel, c’est l’expression d’un mal-être, d’un ras-le-bol, de l’ennui en banlieue, de la situation financière”, “Ils se sont défoulés”,  “Ils savent très bien que ça ne résoudra rien, c’est histoire d’exister”.

Réputé violent et virulent, ce musulman se disant non pratiquant, a parfois des positions  à l’opposé du show biz.

Un défenseur de Poutine

En mars 2022, il défendit régulièrement Poutine dans le contexte de l’invasion de l’Ukraine par la Russie. Sur Instagram, il a menacé son sponsor de rompre leur contrat après la suspension des activités de la marque en Russie. Sur Twitter, il partagea une vidéo que La Revue des médias de l’INA qualifie de « relecture éhontée, mensongère, de plusieurs épisodes récents de l’histoire mondiale dont l’unique objectif est de relativiser la guerre en Ukraine et le rôle de Vladimir Poutine »…

Si le plus célèbre des rappeurs français dénonce le laxisme de Macron, c’est, comme nous le savons, qu’il existe vraiment et que surtout, il est inacceptable et très dangereux.

Daphné Rigobert

 




Après les ravages de Kévin et Matteo, la difficile reconstruction de Montargis…

 

Lors de ces «émeutes», que Foutriquet semble considérer comme négligeables, nombre de petites villes de province furent bien amochées, il y en eut beaucoup. Cependant, la plus emblématique est Montargis, charmante commune du Loiret, à cent kilomètres de Paris, ravagée par une horde de deux cents sauvages. Grâce à Darmanin, Dupond-Moretti et Macron, il n’était que vingt policiers à devoir gérer ces très jeunes sauvages déchaînés, déferlant pour détruire,  piller et casser du flic… par plaisir.

Aux Kevin et Matteo, il n’est bien sûr rien advenu, quant à cette ville, c’est tout autre chose…

Des commerces pillés, d’autres incendiés, des vitrines saccagées, une pharmacie écroulée… La Venise du Gâtinais, comme on surnomme Montargis, a été ravagée par des pillards et des incendiaires, majoritairement mineurs. Un mois après, la rue Dorée, artère commerçante emblématique du centre-ville, en porte encore les stigmates.

Pour les commerçants, c’est en plus une double peine car ils ont  raté les soldes.

Les pouvoirs publics s’étaient engagés à aider à ces commerçants durement éprouvés en  simplifiant les procédures administratives… Mais pour Benoît Digeon, le maire de la ville, il ne s’agit que d’un simple effet d’annonce : “Il y a eu des votes à l’Assemblée nationale comme au Sénat et des promesses du gouvernement, mais on est encore dans la parole, et les paroles ce ne sont pas des actes.”

Selon son décompte, il reste 102 commerçants de sa commune en attente des aides promises par l’État, avec l’argent des contribuables…

“Il faut maintenant que l’on ait la certitude que des acomptes seront effectivement versés et qu’il y aura des actes de compréhension de la part des administrations fiscales, comme l’Urssaf”, ajoute ce maire.

De son côté, la Région Centre-Val de Loire, avec l’argent des contribuables… s’est engagée à verser 7 000 € pour chacun des commerçants touchés.

Durement touchée, Montargis peine encore dans ses travaux de reconstruction. Une reconstruction qui se prolongera sans doute encore pendant de longs mois, si ce n’est une année, en espérant que l’impunité dont elles ont bénéficié n’incite pas ces hordes de sauvages oisifs à  récidiver. Ce qui est très improbable, tant elles se sont diverties !

Daphné Rigobert

 

 




L’avocate Isabelle Casau ne veut pas que les drônes surveillent les migrants

Tant que les Français ne feront pas savoir à quel point ils sont excédés d’être pris pour des crétins, Macron leur fera subir ses accès de cyclothymie et autres incohérences inacceptables. Il y aurait donc désormais une hiérarchie de la dangerosité… Vilains casseurs, migrants inoffensifs…

La préfecture de Paris a annoncé, le 15 juillet, prolonger l’autorisation de l’usage de drones par les forces de l’ordre dans plusieurs communes d’Île-de-France jusqu’à ce lundi, justifiant cet arrêté par « les affrontements avec les forces de l’ordre et les violences urbaines » ayant éclaté entre fin juin et début juillet dans ces secteurs.

Toutes les communes du département de Seine-Saint-Denis et certaines villes des Hauts-de-Seine ou d’autres départements comme la Haÿ-les-Roses (Val-de-Marne) sont concernées.

L’arrêté préfectoral précise que les drones pourront être utilisés jusqu’à lundi à 6 heures du matin. L’utilisation de ces caméras a « pour objectif de prévenir les troubles graves à l’ordre public en permettant de détecter les mouvements de jeunes munis d’armes », a indiqué la préfecture de police de Paris, estimant par ailleurs que ces drones sont un atout grâce à leur « vision en grand-angle » qui permet de limiter « l’engagement des forces au sol ».

Drones interdits à la frontière basque !

Le préfet avait signé un arrêté autorisant le survol d’une zone de vingt-deux kilomètres carrés sur les communes d’Hendaye et Urrugne, au nom de la lutte contre l’immigration irrégulière. Mais l’ADDE, l’Association de défense des étrangers, a saisi le tribunal administratif considérant que la réalité migratoire ne nécessite pas de tels moyens. Le tribunal administratif de Pau a suspendu l’arrêté préfectoral jeudi…

Isabelle Casau, présidente de l’ADDE, a déclaré : “Il y a cette technologie qui existe, qui est très confortable pour les autorités. Mais, en l’espèce, ce n’est absolument pas justifié parce que ce n’est pas l’unique moyen de surveiller la frontière. Il y a d’autres moyens de surveiller la frontière : des moyens humains, les voies sont carrossées. Il n’y a pas non plus un afflux migratoire qui nécessiterait qu’on ait recours à ce type très intrusif de surveillance.”

https://avocats-pau.fr/avocat/casau-isabelle/

Autre argument développé lors de l’audience, une atteinte aux libertés individuelles : le drone filme et enregistre tout, y compris les rues, les jardins, les cours.

Dans un communiqué, la préfecture des Pyrénées-Atlantiques annonce son intention de saisir le Conseil d’État, ce qui toutefois ne suspendra pas l’interdiction…

Il s’agit donc d’un « conflit » entre Darmanin et Dupond-Moretti, en fait tous deux d’accord pour laisser arriver un maximum de migrants et faire semblant d’apeurer des émeutiers potentiels, qu’ils ont laissés razzier et incendier ce qu’ils voulaient quand ils le voulaient.

Daphné Rigobert




“À cause de voyous, on ne peut plus célébrer la fête nationale » : à qui la faute ?

David Lisnard, président de l’Association des maires de France, était l’invité de France Inter et se lamentait : “À cause de voyous on ne peut plus célébrer la fête nationale et c’est bien plus grave qu’on ne le pense .

Prudent, il ne traite pas les petits anges de racailles, de délinquants, de casseurs, d’incendiaires ou de pilleurs…

Qu’il se rassure depuis des années, les chérubins des « quartiers » sont devenus de grands artificiers… avec la passivité de Darmanin, ils ont des stocks en réserve et  lui offriront un festival national de feux diversifiés, avec en sus un record de véhicules brûlés qui fera à nouveau la fortune des  fourrières et la ruine des contribuables.

Vous allez aussi payer les fourrières pour les 5 000 véhicules incendiés !

David Lisnard dit comprendre les élus “qui prennent cette décision“, les décrivant comme faisant “face à des situations inextricables en termes d’ordre public“. Le maire de Cannes y voit là “un signe de plus d’un malaise très profond dans la société française“. Il considère même que “l’ordre public [étant] une compétence régalienne, c’est un signe de plus de l’effondrement de l’état régalien“.

Voulant encore noyer le « poisson » immigration, Lisnard nous prend encore pour plus benet que lui. La société française a pour seul malaise que lui soit imposée depuis quarante ans des hordes barbares ayant fait souche sur notre sol, auxquelles les gouvernements successifs octroient nationalité, droits et financements, sans rien exiger en retour ! Et en importe des milliers chaque jour…

La France narco-Etat?

Revenant sur les violences urbaines survenues dans de nombreuses villes, le président de l’AMF craint un retour et une intensification : “Si on s’attaque à l’un des fléaux de la société, le deal (…) on verra que ces émeutes urbaines seront beaucoup plus violentes ».

Corroborant les dires de d’Eric Zemmour, il a ajouté : “les dealers tiennent les secteurs et à un moment quand ils ont fini de dégrader les caméras de vidéosurveillance qui les gênent dans leur trafic, il faut que l’ordre revienne“.

Si la France est aux mains des narco-trafiquants, à qui en incombe la responsabilité ? Depuis six ans à Macron et ses sbires… L’ancien Premier ministre est dirige la ville et le très dynamique narco-port du Havre…

Les dealers de tous niveaux ne sont pas plus nombreux que l’ensemble des forces de l’ordre et des forces armées. Ils sont repérés et connus…

Escobar aussi utilisait des enfants pour être informé, se protéger ou agir… Ils sont sans état d’âme et si les mêmes “parents” qui laissent circuler leur progéniture la nuit ou dealer les retrouvent régulièrement blessés ou trucidés, c’est la faute de Darmanin et des ministres et élus les abreuvant d’innombrables allocations, aux frais des contribuables… au détriment des Français précaires…

Les violences, “lot quotidien” des élus…

Lors de ces violences urbaines, plusieurs élus ont été pris pour cible, David Lisnard. rappelle que ces violences à l’encontre des maires ne datent pas de la semaine dernière et font parfois partie “du lot quotidien” des élus. Elle surviennent “très souvent sur des interventions contre de l’incivilité, parce qu’on refuse un permis de construire véreux ou qu’on refuse de recruter toute une famille à la mairie : entre 2022 et 2021, les agressions sur les élus ont augmenté de 32%“.

Il ne tenait qu’aux élus de réagir bien avant ! Leur acceptation vaut caution ! Leur clientélisme forcené étant leur perte… A chaque agression, ils ne savent que s’indigner et twitter…

Et en plus, on se débarrasse du speech de Foutriquet !

Le bilan des 100 jours de l’apaisement attendra un peu… Gêné aux entournures, le Manu va se planquer pour le 14 juillet, date qu’il avait lui-même fixée pour son «premier bilan » après les « 100 jours de l’apaisement », pour clore la crise de la réforme des retraites… C’est plutôt cocasse. Au moins sa prosodie narcissique nous sera épargnée pour quelques jours, du moins à ceux ceux qui l’écoutent encore…

N’hésitant jamais, le grotesque porte-parole du gouvernement, Olivier Véran, vient de déclarer que « le président de la République aurait l’occasion de revenir dans la forme qu’il souhaite sur la feuille de route des 100 jours, pour pouvoir mettre en lumière tout ce que nous avons fait et allons faire. ».

Les meilleures inventions  étant récompensées au concours Lépine lors du Salon de l’Agriculture… Manu a quelques mois devant lui.

Daphné Rigobert




La vérité sur l’incendie de l’église de Drosnay selon le Hindustan Times…

Encore une église qui brûle !

À Drosnay, village de 215 habitants de la Marne, une église historique à pans de bois, typique du Pays de Der, a été détruite  par un incendie le  7 juillet. Évidemment… les causes ne sont pas encore connues.

La multiplicité des actes christianophobes dans notre pays fait que l’on n’en tient pas une comptabilité précise et surtout pas le ministre des Cultes, lequel est aussi celui de l’Intérieur… Ce drame advenant, comme par hasard… juste après des saccages-pillages-incendies organisés par des kyrielles de Kévin et de Mattéo, malchances de la France… l’on ne peut que s’interroger.

Le feu a pris en fin de matinée, dans cet édifice classé au patrimoine historique, le détruisant en douze minutes.

Seul le porche n’est pas tombé. Parmi les objets mobiliers à l’intérieur de l’église, il y avait dix objets protégés au titre des monuments historiques, dont quatre statues (du XVIIe au XIXe siècles), un maître-autel (mêmes périodes), un autel (VIIIe siècle), des verrières (du XVIe siècle et du XIXe siècle), des bancs et des menuiseries (XVIIIe siècle).

Dans le village de Drosnay, c’est la consternation. Le maire, Emmanuel Le Roy, se désole : “C’est même pas qu’il y a un feu, il n’y a plus d’église en fait“, “La toiture est effondrée sur environ 90 % de sa surface“, “La priorité est de sécuriser les lieux et de s’assurer qu’il n’y aura pas de problème après. L’église est touchée, tout comme une partie du cimetière : on ne pourra évaluer les dommages que dans quelques jours“, ajoute-t-il. “C’est sûr que c’est un traumatisme pour les habitants. Pour eux, cette église les renvoie à beaucoup de choses : des baptêmes, des mariages, des obsèques. Sans compter la centaine de tombes, et donc les proches sous les décombres.”

Pour calmer les esprits et éviter les questions fâcheuses, l’on évoque désormais un problème électrique…. le parquet de Châlons-en-Champagne ayant fait savoir qu’il avait ouvert une enquête pour « destruction d’un bien par incendie et qu’une expertise, qui sera alimentée par le recueil de témoignages, était en cours ». Voilà qui rassure !

https://www.youtube.com/watch?v=-cJ06_sKQ6Y
France.
« Une église du XVIe siècle aurait été attaquée dans le nord-est de la France.

Les élus locaux appellent à la désescalade en faisant retentir des sirènes !

Après plusieurs nuits de ravages prenant pour prétexte le décès du petit ange Nahel… une centaine d’élus de toute la France signent une lettre dans le Figaro pour que cessent immédiatement toutes les violences. “Seule la justice permettra d’apaiser la douleur de la famille”, expliquent-ils…

Ce texte est un concentré de bien-pensance inepte, voire une incitation à la récidive. La plupart des concernés n’ont pas assez de vocabulaire pour le comprendre mais tous leurs complices, associations et autres sauront y lire en interligne le terme soumission. Ils ne s’adressent pas à leurs concitoyens mais aux envahisseurs-saccageurs qui nous font subir au quotidien leur sauvagerie intrinsèque, une ultra violence qu’il nous faudrait considérer comme banale…

Certes la France compte 520 000 élus locaux et ils ne sont que cent à signer cet appel… Toutefois, la situation actuelle laisse présager qu’ils sont majoritairement immigrationnistes béats, à défaut, nous n’en serions pas là. Et c’est ainsi que notre pays est en train d’être saupoudré de chances pour la France, afin que bientôt, la totalité de la France s’embrase.

200 femmes violées chaque jour, 120 agressions par arme blanche chaque jour, n’épargnant ni nos aïeux ni nos bébés… 2/3 des crimes et délits sont issus de l’immigration… presque en toute impunité.

Désormais des maires affidés et comparses se font aussi attaquer… Les petits anges n’ont aucune reconnaissance pour les bienfaits et mannes financières inondant leurs quartiers… corroborant une énième fois que la paix sociale ne s’achète pas, prouvant qu’il n’est qu’une solution: appliquer rigoureusement le code pénal, suspendre les excuses de minorité, renvoyer chez eux les parasites et les dangereux encombrant nos villes et nos prisons, défendre notre police pour qu’elle nous défende en retour, supprimer toutes les allocs, subventions incitant à l’invasion migratoire, ne plus laisser faire, ni se laisser faire, se débarrasser enfin et effectivement de toutes ces malchances pour la France. Et le temps venu, éjecter aussi ce personnel politique anti-Français qui ne connait que la culture de l’excuse pour protéger “ces jeunes martyres de la diversité” victimes de “racisme systémique” !

Ultime initiative pour endiguer efficacement ces récentes exactions, David Lisnard, maire de Cannes et président de l’AMF, passe “à l’action”, conviant tous les Français à se retrouver, lundi à midi, sur le parvis de leur mairie “pour faire revenir l’ordre”, “retrouver le bon sens”. Pour terroriser les petits anges, il demande que toutes les sirènes de France retentissent alors en même temps…

Quand on habite le Festival de Cannes… on ne pense que cinoche !

« La mort de Nahel, ce mardi 27 juin 2023, résonne comme un drame pour tous. Ce jeune homme de 17 ans, qui pourrait être notre enfant, notre frère, notre neveu, notre petit-fils, avait la vie devant lui. Ce qui s’est passé est injustifiable, inqualifiable, intolérable. Cet événement tragique a plongé notre pays dans une émotion intense. Des émotions au pluriel même ; des interrogations légitimes.

Depuis, nos villes et nos quartiers à travers le pays s’embrasent. Des mairies, des commissariats, des habitations, des écoles, des services publics, des transports et des commerces sont brûlés et pillés. Des scènes d’une rare violence et d’une rare barbarie qui rappellent malheureusement les émeutes de 2005. L’ordre républicain est mis à mal par des professionnels du saccage qui attaquent directement le bien commun, nos forces de l’ordre et nos pompiers. Tout cela est inacceptable. N’oublions pas que la note du chaos est toujours payée par les plus modestes d’entre nous.

Nous, élus locaux, lançons ici un appel transpartisan à la désescalade pour pouvoir entamer, sereinement, une réflexion collective pour faire émerger un nouveau pacte social, pour renouer le lien et réinstaurer un climat de confiance avec nos « quartiers ».

La mort d’un jeune homme ne peut et ne doit être instrumentalisée par des groupuscules, qui sous couvert de revanche et de Justice, ne souhaitent qu’une seule chose : s’attaquer à nos institutions, à notre République et à ses symboles.

La mort d’un jeune homme ne peut pas, non plus, faire l’objet d’une «récupération» par certains responsables politiques de notre pays. Ne tombons pas dans ce piège. Il serait trop facile de céder aux tentatives de stigmatisation des «jeunes de banlieues» ou à la condamnation voire à l’incrimination systématique de nos forces de l’ordre. Le comportement d’une minorité ne peut venir entacher celui d’une majorité.

Ne nous divisons pas. Au contraire, rassemblons-nous. Nous, élus locaux, lançons ici un appel transpartisan à la désescalade pour pouvoir entamer, sereinement, une réflexion collective pour faire émerger un nouveau pacte social, pour renouer le lien et réinstaurer un climat de confiance avec nos «quartiers». Travaillons ensemble, avec les associations et les habitants, à un «renouveau des quartiers».

Seule la justice permettra d’apaiser la douleur de la famille de Nahel que nous partageons tous. Laissons-la faire son travail. Elle se doit d’être exemplaire. La violence, elle, n’est pas la solution.

Soutien à nos forces de l’ordre, aux secours, pompiers et agents des services publics.

Soutien à nos élus locaux, à nos enseignants, à nos commerçants et entrepreneurs.

Liste des signataires :

Shannon Seban, conseillère municipale à Rosny-sous-Bois (Seine-Saint-Denis)

Sophia Ducceschi, conseillère municipale à Noisy-le-Grand (Seine-Saint-Denis)

Marie-Thérèse Cordonnier, adjoint à la réussite éducative au Raincy (Seine-Saint-Denis)

Maxime Perrin, adjoint au maire de Meucon (Morbihan)

Jeoffrey Ruiz, adjoint au maire de Lormont (Gironde)

Ophély Massat, conseillère municipale à Saverdun (Ariège)

Kheireddine Aouti, conseiller municipal délégué à Livry-Gargan (Seine-Saint-Denis)

Yasmina Baziz, adjointe au maire d’Aubervilliers (Seine-Saint-Denis)

Christopher Domba, adjoint au maire de Melun (Seine-et-Marne)

Violaine Richard, conseillère régionale Région Sud Provence Alpes Côte d’Azur

Jean-Paul Reynaud, adjoint au maire de Mennecy (Essonne)

Patrice Lassalle-Bareilles, conseiller municipal à Mérignac (Gironde)

Théo Lazuech, Conseiller municipal délégué à Orsay (Essonne)

Franck Cavallier, Conseiller municipal à Saint-Aubin de Médoc (Gironde)

Quentin Legouy, conseiller municipal du Controis-en-Sologne (Loir-et-Cher)

Bruno Voyer, conseiller municipal à Saint-Briac-sur-Mer (Ille-et-Vilaine)

Marie-Catherine Hermann, adjointe au maire de Livry-Gargan (Seine-Saint-Denis)

Aziz Skalli, conseiller municipal à Bordeaux (Gironde)

Damien Rousseau, conseiller municipal au Bouscat (Gironde)

Severine Edou, conseillère municipale de Vanves (Hauts-de-Seine)

Julie-Anne Samama, conseillère municipale à Mennecy (Essonne)

Youcef Laouadi, conseiller municipal à L’Isle d’Abeau (Isère)

Michel Hadji-Gavril, adjoint au maire d’Aubervilliers (Seine-Saint-Denis)

Patricia Fitamant, adjointe au maire de Villemomble (Seine-Saint-Denis)

Alexandre Bernard, adjoint au maire du Thoronet (Var)

Angelique Abadie, conseillère municipale à Neuilly-sur-Marne (Seine-Saint-Denis)

Cédric Schroeder, conseiller municipal à Aubervilliers (Seine-Saint-Denis)

César Melo Delgado, conseiller municipal d’Ermont (Val-d’Oise)

Christiane Ajzenberg, conseillère municipale de Sceaux (Hauts-de-Seine)

Stéphane Testé, conseiller municipal de Clichy-sous-Bois (Seine-Saint-Denis)

Stéphane Lévy, conseiller municipal de Rueil-Malmaison (Hauts-de-Seine)

Christian Panonacle, conseiller municipal d’Arcachon (Gironde)

Janine Lenthy, conseiller municipal de Grimaud (Var)

Brigitte Serrano Uzac, conseillère municipale à Talence (Gironde)

Nadine Jimenez, conseillère municipale à Eysines (Gironde)

Corinne Griffond, conseillère municipale au Passage d’Agen (Lot et Garonne)

Maud Bonté, conseillère municipale de Sceaux (Hauts-de-Seine)

Pascal Raymond, conseiller municipal à Saint-Denis-de-Pile (Gironde)

Guillaume Rouger, conseiller municipal d’Évreux et conseiller communautaire d’Évreux Portes de Normandie (Eure)

Thierry Alonso, adjoint au maire de Chaumont (Haute-Marne)

Serge Helaudais, conseiller municipal à Saint-Médard (Haute-Garonne)

Frédéric Zgainski, conseiller municipal de Castas (Gironde)

Roger Pronesti, conseiller municipal de Malakoff (Hauts-de-Seine)

Véronique Dauvergne, adjointe au maire d’Aubervilliers (Seine-Saint-Denis)

Mendy-Lascot, conseillère municipale de Franconville (Val-d’Oise)

Nicolas Bertrand, conseiller municipal de Ligny le Ribault (Loiret)

Philippe Spitz, conseiller municipal de Weitbruch et conseiller communautaire de la Communauté de communes de la Basse-Zorn (Bas-Rhin)

Ronan Loas, maire de Ploemeur et vice-président du département du Morbihan

Katherine Chipoff, conseillère communautaire déléguée agglomération de La Rochelle

Sandra Diniz, conseillère municipale de Fleury-les-Aubrais (Loiret)

Guillaume Bourrouilh-Parege, conseiller municipal de Bruges (Gironde)

Alexis Bornazeau, adjoint au maire de Ploemeur et conseiller communautaire de Lorient Agglomération (Morbihan)

Guillaume Gourlain, conseiller municipal de Ploemeur (Morbihan)

Vagtang Croguennec, conseiller municipal de Ploemeur (Morbihan)

Danielle Barrao, maire adjointe de Pauillac (Gironde)

Olivier Alleman, adjoint au maire de Bayonne (Pyrénées-Atlantiques)

Anne Fahmy, conseillère municipale et métropolitaine de Bordeaux (Gironde)

Marc Hoffmann, conseiller municipal à Jonquières (Vaucluse)

Blandine Sarrazin, maire de Le Barp (Gironde)

Serge Grynkorn, adjoint au maire de Saumane de Vaucluse (Vaucluse)

Alexandre Huvet, président de Challans Gois Communauté et élu de Challans (Vendée)

Joël Racamier, conseiller municipal à Bollène (Vaucluse)

Stéphane Larzat, conseiller municipal Etroussat (Allier)

Stéphane Mari, adjoint au maire de Pessac (Gironde)

Stéphane Larzat, conseiller municipal à Estroussat (Allier)

Brigitte Le Liboux, conseillère municipale à Ploemeur (Morbihan)

Eric Bruxelle, conseiller municipal à l’Isle sur la Sorgue (Vaucluse)

Anne Gruault, conseillère municipale à Saumane de Vaucluse (Vaucluse)

Laurent Lhoste, adjoint au maire de Vaujours (Seine-Saint-Denis)

Liliane Marteville, conseillère municipale de Ploemeur (Morbihan)

Jean-Luc Scieux, conseiller municipal de Ploemeur (Morbihan)

Jérome Capdeville, adjoint au maire de l’Isle sur la Sorgue (Vaucluse)

Salim Djellab, conseiller municipal de Renaison (Loire)

Hervé Gérard, conseiller municipal à Niort (Deux-Sèvres)

Alex Boulon, adjoint au maire de Villemomble (Seine-Saint-Denis)

Thomas Laurent, conseiller municipal de Cesson-Sevigné (Ille-et-Vilaine)

Mylène Benoliel, conseillère municipale de Champigny-sur-Marne (Val-de-Marne)

Carol Gain, conseillère municipale de Limeil-Brévannes (Val-de-Marne)

Aurélie Gauthier, conseillère municipale de Villecresnes (Val-de-Marne)

Emmanuelle Tournier, vice-présidente du conseil départemental du Finistère

Tristan Bréhier, conseiller régional de Bretagne Brest

Catherine Dragin, conseillère municipale d’Eaubonne (Val-d’Oise)

Dominique Scavaretti, adjoint au maire de Saint-Macaire (Gironde)

Laurence Grandjean, conseillère municipale de Chennevières-sur-Marne (Val-de-Marne)

Véronique Hammerer, conseillère régionale de Nouvelle-Aquitaine

Jenny Ludlow, conseillère municipale à Talence (Gironde)

Ouassim Ben Hariz, conseiller Municipal à Clichy-sous-Bois (Seine-Saint-Denis)

Michèle Malivel, conseillère municipale à Roussillon-en-Provence (Vaucluse)

Chanaz Rodrigues, conseillère municipale à Bondy (Seine-Saint-Denis)

Patrice Hauchard, conseiller municipal à Chatillon (Hauts-de-Seine)

Stéphanie Bujon, adjointe au maire de Montrouge (Hauts-de-Seine) »

Mitrophane Crapoussin

 




Avec Mbappé, c’est le retour à la paix assuré !

On le croyait joueur de foot, on le découvre casque bleu… Mbappé œuvre pour la paix !

Kyllian a toujours le mot juste et le qualificatif idoine. Appeler Nahel, aux très lourds antécédents judiciaires… « petit ange » est un euphémisme fort original, auquel peu d’entre nous auraient songé et qui demeurera. C’est que Mbappé n’a pas que les mollets très musclés… il vient de publier un communiqué pour un retour au calme, probablement trop élaboré pour être compris des angelots obligés à ces émeutes de la faim: faim de sneakers, faim de parfums, faim de pavés, faim d’incendies…

« Évidemment, nous ne pouvons rester insensibles aux circonstances dans lesquelles ce décès inacceptable a eu lieu. » (…), cette exorde est une véritable incitation au calme. Il ne pouvait faire mieux.

« Depuis ce tragique événement, nous assistons à l’expression d’une colère populaire dont nous comprenons le fond » (…), en analyste distingué, il traduit par colère populaire ce que des esprits plus rugueux que le sien nomment émeutes prétexte voire injustifiées, besoin de tout casser pour le plaisir ou pour piller…

« «Le vivre-ensemble » auquel nous sommes attachés est en danger »… très subtil, il place le vivre-ensemble entre guillemets, tant il sait ce qu’il en est… lui qui depuis si longtemps vit ailleurs, dans l’entre-soi des très jeunes milliardaires et c’est pour cela que les chérubins l’adulent.

« Le temps de la violence doit cesser pour laisser la place à celui du deuil, du dialogue et de la reconstruction. »…

Difficile de dialoguer avec des crânes encombrés de 400 mots de vocabulaire.

Quant à la reconstruction, comme à l’accoutumée, elle sera payée par les contribuables français, lesquels devraient refuser de continuer à financer des familles n’enseignant pas à leurs petits séraphins le savoir-vivre élémentaire, les laissant trafiquer de tout et surtout de la drogue… les laissant sortir le soir et la nuit pour brûler les véhicules de gens modestes, en molester d’autres, jouer avec des tirs de mortiers et des armes…

Hébergées, assistées, vivant dans des quartiers très aidés, ces familles ont des attitudes d’enfants gâtés, demandant toujours plus pour en faire absolument n’importe quoi.

Les Français avides d’aider les immigrés devraient aider ceux qui restés dans leur pays y vivent si difficilement.

Ces ravages-pillages auront fait l’ultime preuve que ces Français de papier, ces clandestins… n’ont absolument pas envie de vivre parmi nous, et se comportent en prédateurs. D’ailleurs 70%  de Français véritables veulent envoyer l’armée converser avec eux et les appeler à la raison. Il ne faut pas qualifier de guerre civile ce qui n’est qu’intolérables ravages et pillages par des populations exogènes, s’attaquant gratuitement à ceux qui ont eu le tort de les accueillir ou qui gouvernements aidant y furent contraints…

Avec ce communiqué, probablement inspiré par son grand copain Macron et rédigé, avant-hier, par l’un de ses mauvais communicants, Mbappé n’a pas visiblement pas apporté la paix mais aura joué à se faire plaisir, ce qui toutefois est moins gratifiant qu’un match de foot gagné ou un match de foot perdu avec très gros câlin du Manu.

Daphné Rigobert

 




Émeutes : des hordes de sauvages livrés à eux-mêmes !

Depuis le ministère de l’Intérieur, Macron en appelle “au sens de la responsabilité des pères et des mères de famille”, ajoutant qu'”un tiers des interpellés de la nuit dernière sont des jeunes, parfois des très jeunes”. “Il est important pour la quiétude de tous que la responsabilité parentale puisse pleinement s’exercer (…). La République n’a pas vocation à se substituer (aux pères et mères de famille)”, conclut le chef de lÉtat Toujours aussi lamentablement menteur, comme il lui faut des coupables, il désigne les réseaux sociaux, dont il réclame la censure et les jeux vidéos qui auraient intoxiqué les jeunes…

Depuis 1999, les sauvageons de Chévènement ont eu des enfants et la France en a délibérément importé beaucoup d’autres…

Tous ne sont pas des sauvages, d’ignobles malappris… Certains ont eu des parents qui ont profité de cet accueil très généreux des Français pour qu’il profite pleinement à leurs enfants, en faire des gens plus cultivés qu’eux, non des victimes ridicules, de faux discriminés et de bons à rien, lesquels réussissent au mieux dans les trafics et le crime…

Jean-Marc Morandini présentait une édition spéciale de “Morandini Live” après une nouvelle nuit d’embrasement dans de nombreuses villes de France qui a donné lieu à plusieurs incendies de mairies et d’infrastructures diverses.

Ayham Hakki-Alexander, pilote de ligne qui a grandi à Bondy, était l’un des invités. Sur les réseaux sociaux, il a déclaré : “J’ai grandi à Bondy nord. J’ai une tête d’arabe. Je m’habillais comme tous les copains de la cité, rien ne nous différenciait. Enfin, une chose : l’éducation que mes parents m’ont donnée.”

“J’ai été contrôlé des dizaines de fois : à l’entrée, à la sortie de la cité, en allant sur Paris… Mon expérience personnelle avec la police fut toujours très cordiale. Je commence par ‘bonjour, messieurs. J’espère que vous allez bien’. “Ça détend l’atmosphère, ça calme tout le monde”, a-t-il débuté dans Morandini Live.

Et d’ajouter : “D’une manière générale, en France, il y a un manque d’éducation. Je l’ai vu dans la cité, je le vois tous les jours. C’est un véritable problème. Mes parents m’ont inculqué les valeurs, le respect en France”. “Le fait que j’ai une tête d’arabe, ça n’a jamais changé la fin de mes relations avec la police. Au début, je me fais arrêter. Ce qui est certain c’est quand ils repartent et que je repars, tout s’est très bien passé. Je n’ai jamais eu de policiers violents, qui me parlaient mal. J’ai toujours eu des policiers polis, courtois”.

“J’aimerais dire aux jeunes : la cité n’est pas définitive. Le but, c’est d’en sortir à travers les institutions de la République, à travers l’école… Allez-y, faites ! Sortez de cette victimisation. On va tous y arriver”, a conclu Ayham Hakki-Alexander.

Que cette jeunesse soit originaire d’Afrique ou du Moyen-Orient, comme le faisait remarquer ce monsieur, le savoir-vivre en matière de comportements n’est pas très différent du nôtre. Courtoisie et respect sont des valeurs internationales. À Cotonou comme à Casablanca, insulter la police ou d’autres, piller ou brûler des bâtiments, jeter des réfrigérateurs depuis des balcons sur des pompiers… semer la terreur dans des immeubles, invectiver ses voisins, incendier leurs voitures, menacer des soignants… sont ailleurs très gravement réprimés.

Comme dirait Foutriquet, il est incompréhensible et inexcusable que depuis des décennies l’État laisse perdurer de tels comportements, en les minimisant voire en les niant.

Ceux qui par chance n’ont pas à subir directement ces jeunes et moins jeunes, grâce aux médias les filmant ou les interviewant, prennent la mesure de leur niveau intellectuel affligeant comme de leur défaut total d’éducation.

Ce n’est pas pour rien que certains parents dépassés menacent leurs enfants de les envoyer au bled…

Certains États négocient avec des pays d’origine ou tiers des sas d’attente pour les postulants à la migration, la France n’ayant plus aucun sens de ce que signifie devrait négocier, avec ces pays voire ceux du Golfe, des colonies de vacances ou de longs stages d’apprentissage des bonnes mœurs.

Jean-Marc Morandini présentait une édition spéciale de Morandini Live après une nouvelle nuit d’embrasement dans de nombreuses villes de France, qui a donné lieu à plusieurs incendies de mairies et d’infrastructures diverses.

Ayham Hakki-Alexander, pilote de ligne qui a grandi à Bondy, était l’un des invités. Sur les réseaux sociaux, il a déclaré : “J’ai grandi à Bondy nord. J’ai une tête d’arabe. Je m’habillais comme tous les copains de la cité, rien ne nous différenciés. Enfin, une chose : l’éducation que mes parents m’ont donné”.

“J’ai été contrôlé des dizaines de fois : à l’entrée, à la sortie de la cité, en allant sur Paris… Mon expérience personnelle avec la police fut toujours très cordiale. Je commence par ‘bonjour, messieurs. J’espère que vous allez bien’. Ça détend l’atmosphère, ça calme tout le monde”, a-t-il débuté dans “Morandini Live”.

Et d’ajouter : “D’une manière générale, en France, il y a un manque d’éducation. Je l’ai vu dans la cité, je le vois tous les jours. C’est un véritable problème. Mes parents m’ont inculqué les valeurs, le respect en France”. “Le fait que j’ai une tête d’arabe, ça n’a jamais changé la fin de mes relations avec la police. Au début, je me fais arrêter. Ce qui est certain c’est quand ils repartent et que je repars, tout s’est très bien passé. Je n’ai jamais eu de policiers violents, qui me parlaient mal. J’ai toujours eu des policiers polis, courtois”.

“J’aimerais dire aux jeunes : la cité n’est pas définitive. Le but, c’est d’en sortir à travers les institutions de la République, à travers l’école… Allez-y, faites ! Sortez de cette victimisation. On va tous y arriver”, a conclu Ayham Hakki-Alexander.

Que cette jeunesse soit originaire d’Afrique ou du Moyen-Orient, comme le faisait remarquer ce monsieur, le savoir-vivre en matière de comportements n’est pas très différent du nôtre. Courtoisie et respect sont des valeurs internationales. A Cotonou comme à Casablanca, insulter la police ou d’autres, piller ou brûler des bâtiments, jeter des réfrigérateurs depuis des balcons sur des pompiers… semer la terreur dans des immeubles, invectiver ses voisins, incendier leurs voitures, menacer des soignants…  sont ailleurs très gravement réprimés.

Comme dirait Foutriquet, il est incompréhensible et inexcusable que depuis des décennies l’Etat laisse perdurer de tels comportements, en les minimisant voire en les niant.

Ceux qui par chance n’ont pas à subir directement ces jeunes et moins jeunes, grâce aux médias les filmant ou les interviewant prennent la mesure de leur niveau intellectuel affligeant comme de leur défaut total d’éducation.

Ce n’est pas pour rien que certains parents dépassés menacent leurs enfants de les envoyer au bled…

Certains Etats négocient avec des pays d’origine ou tiers des sas d’attente pour les postulants à la migration, la France n’ayant plus aucun sens de ce que signifie devrait négocier avec ces pays, voire ceux du Golfe, des colonies de vacances ou de longs stages d’apprentissage des bonnes mœurs.

Daphné Rigobert




Trappes : Ali Rabeh, faux maire mais vraie racaille

Depuis cet article publié hier jeudi, l’actualité m’a doublé par trois fois…

Une première fois par l’annonce ce même jeudi de la démission de Didier Lemaire de l’Éducation nationale.

Une deuxième fois par l’intrusion le même jour d’Ali Rabeh, le pseudo-maire de Trappes, dans l’enceinte du lycée de la Plaine de Neauphle où enseignait Didier Lemaire.

Une troisième fois par la publication, peu après, d’un communiqué du ministre de l’Éducation nationale Jean-Michel Blanquer qui « condamne fermement » cette intrusion.

Le « prof de philo » jette l’éponge, lâché par la plupart de ses collègues et menacé par le préfet

Didier Lemaire a par ailleurs été dénoncé avant-hier par le préfet des Yvelines, Jean-Jacques Brot, comme un « irresponsable », un « bulldozer [qui] saccage nos efforts », « qui jette de l’huile sur le feu ». Bref, un empêcheur de baboucher en rond… 

Ce Brot est une caricature du déni de réalité que dénonce précisément l’enseignant dans la lettre ouverte qu’il a publiée début novembre dernier dans L’Obs. Le préfet n’ignore évidemment pas que, dans les beaux jours de Daesh, près de 70 « jeunes » de Trappes sont partis « faire le djihad » en zone irako-syrienne… Sinistre record pour cette ville des Yvelines qui a fourni le plus gros contingent de musulmans fanatiques de tout le territoire national. Enfoncés, le 9-3, Mantes-la-JolieRoubaix, Les Mureaux, Bron, Vaulx-en-Velin et autres quartiers nord de Marseille

Depuis deux ans, plus aucun départ vers la Syrie-Irak naturellement, Daesh s’étant réduit comme peau de chagrin – essentiellement grâce à l’action de l’armée russe, et conjointement aux forces armées de Bachar el Assad, mais c’est un autre sujet…

C’est désormais dans les rues de Trappes qu’incube le djihad, comme dans d’innombrables autres « territoires perdus de la République ».

« Je prends acte de l’impossibilité d’enseigner », a déclaré Didier Lemaire en claquant hier la porte de l’institution, ajoutant : « tout en menant le combat qui est le mien », une allusion à sa récente adhésion au Parti Républicain Solidariste.

On ne peut que l’encourager à venir grossir les rangs de Riposte Laïque. Il pourra dès lors bénéficier d’une tribune journalière de quelque 30 000 lecteurs, à comparer aux quelques dizaines de membres du micro-parti qu’il vient de rejoindre…  

Ali Rabeh, faux maire mais vraie racaille

Rabeh n’est qu’un maire en sursis, ses comptes de campagne ayant été invalidés par le tribunal administratif de Versailles. Lequel a en effet pointé un certain nombre d’actions « qui (…) doivent être regardées comme des actions de propagande en faveur [d’Ali Rabeh], candidat aux élections municipales, et comme telles assimilables à un don provenant d’une personne morale prohibé par l’article L 52–huit du code électoral ».

Racaille un jour, racaille toujours : le maire en sursis a fait intrusion hier après-midi dans l’enceinte du lycée où enseigne Didier Lemaire afin d’y distribuer aux élèves un tract injurieux, menaçant et mensonger à l’encontre du professeur.

Certains des propos que tient le pseudo-maire dans son tract peuvent être interprétés comme une invitation à faire subir à Didier Lemaire le même sort que Samuel Paty. On comprend dès lors que l’enseignant ait préféré démissionner et quitter la ville.

Pour mener à bien son coup de main – totalement illégal, faut-il le souligner – Rabeh s’était fait seconder par une dizaine de sbires, tous conseillers municipaux de la ville ! Le proviseur du lycée qui a tenté d’empêcher Rabeh et ses comparses de pénétrer dans l’établissement a été pris à partie et a dû renoncer à faire respecter la loi.

Des méthodes de voyous, dont il y a tout lieu d’imaginer qu’elles ne provoqueront pas le moindre froncement de sourcil du procureur de la République. Nos autorités gardent en effet un trop mauvais souvenir des événements qui ont secoué Trappes en 2013

Le ministre Jean-Michel Blanquer sauve l’honneur de la République…

Il serait exagéré de dire que Blanquer a volé au secours de Didier Lemaire. Le ministre s’est contenté de publier un communiqué dans lequel il « condamne fermement » l’intrusion de Rabeh et de sa clique dans l’enceinte du lycée. Ce qui est quand même la moindre des choses.

Le fait de devoir regarder cette protestation passive comme quasiment héroïque donne une idée de l’effondrement de nos institutions face à un islam de jour en jour plus offensif

Henri Dubost

 




Ces graffeurs qui appellent impunément à l’insurrection noire

Zemmour voit juste : les islamo-gauchistes tentent d’importer sur le sol français la guérilla ethnique qui sévit aux États-Unis. La mort de Georges Floyd, que l’on tente de mettre en parallèle avec celle d’Adama Troré, en fournit le prétexte. Comme si les deux affaires pouvaient être comparées !

C’est ainsi que le 2 juin 2020, jour du déconfinement, Paris a connu de nouvelles violences urbaines devant l’emblématique Palais de Justice de la porte de Clichy. Ces idiots de racailles ne se rendent même pas compte de la mansuétude de la justice à leur égard, tandis qu’elle condamne fermement tout propos allant à l’encontre du politiquement correct. Combien de fois des rappeurs ont été relaxés malgré des propos explicitement racistes à l’égard des « Blancs », voire des appels au meurtre ! On se souvient de Nick Conrad appelant à « tuer des bébés blancs » ! Pourtant ces « artistes » peuvent être écoutés sur les ondes communautaristes en toute tranquillité.

Si la musique contribue depuis longtemps à propager la culture victimaire et la haine de la société, les visuels, qui font moins parler d’eux, sont tout aussi nocifs. Pour preuve, les peintures murales qui diffusent aux passants des messages plus que douteux, avec la complicité explicite ou tacite des pouvoirs publics. Nous sommes face à un minutieux et sournois travail de formatage des esprits. Il s’agit d’habituer les gens à l’idée qu’il existe une violence légitime et de gagner à terme, leur sympathie, voire leur soutien.

Des graffeurs usent donc de leur talent pour mettre en scène des situations de répression et d’appels à la révolte, tout en se réclamant, pour faire bonne figure, de célébrités internationales comme Martin Luther King ou Rosa Parks, qui a d’ailleurs donné son nom à un quartier du XIXe arrondissement. Encore un signe du mondialisme qui tend à accréditer l’idée les situations sont les mêmes en France ou en Alabama…

J’ai entendu parler de « Black lives matter » en me promenant précisément du côté de Rosa Parks. Au passage, un quartier pas plus black que les autres, malgré le grand nombre de logements sociaux. De longs murs clôturant, rue d’Aubervilliers, les entrepôts Tafanel ou rue Ordener, les terrains de la SNCF, sont des espaces d’expression idéaux pour les graffeurs.

De quoi s’agit-il ? D’abord, un slogan dont la traduction serait : « les vies des Noirs comptent » (comme si elles n’avaient jamais compté !) mais c’est aussi le nom d’un mouvement afro-américain créé en 2013, suite à des interventions qui ont mal tourné, pour protester contre les discriminations exercées par les forces de police sur des critères raciaux, avérés ou supposés. L’idéologie mondialiste des graffeurs venant s’entraîner sur les murs de Paris, s’accommode à merveille de l’english ! Black Lives matter, no limits, peace out, etc.

 

Le but : faire croire à un universalisme de la discrimination policière en matière de répression. C’est oublier un peu vite que les personnes énucléées par la police française pendant les manifestations de Gilets jaunes n’étaient ni noires ni jaunes ni arabes. Et voilà Castaner, faisant le jeu des communautaristes, qui ose dire, au moment des événements de la porte de Clichy, qu’il faudra réprimer sévèrement les bavures policières, sous-entendu quand elles concernent la diversité !

Il y a eu en 2015 le projet d’une grande fresque de 500 m de long, rue d’Aubervilliers, avec pour thème : « la lutte contre les discriminations et pour l’égalité ». On trouve, parmi les partenaires du projet, la SNCF, les mairies du XVIIIe et du XIXe, la Ville de Paris, la préfecture de police, avec un budget dit « participatif » de la Ville de Paris et même un financement de l’ambassade des États-Unis ! Il faut dire que c’était l’époque où Obama était Président.

   

Puis on a vu quelques années plus tard, en 2018, de nouvelles fresques beaucoup plus engagées : scènes hostiles à la police, glorification du rebelle, désignation de cibles comme les banques ou les policiers, exhibition d’armes de combat, que ce soient des armes blanches (couteaux, frondes), des armes à feu (kalachnikovs) ou des explosifs artisanaux (cocktails Molotov). Des protestations officielles ? Aucune !

   

  

   

Alors qu’une banderole éphémère, sur le toit d’une mosquée en construction, à Poitiers, fait l’objet de lourdes condamnations pénales, les appels à la violence au cœur des villes s’offrent aux passants en toute impunité, que ce soit rue Ordener, rue d’Aubervilliers ou sur le pont Riquet. Et si l’on se promène rue Francis de Pressensé, à proximité du Stade de France, ce sont de véritables scènes de guerre qui sont représentées.

Quant aux gauchistes, ils ne se privent pas non plus d’utiliser le mobilier urbain pour donner directement leurs consignes : squatter les biens d’autrui ou détruire les caméras de surveillance pour ne donner que ces deux exemples. Les autorités laissant faire, les Antifas,  alliés des mondialistes et de l’anti-France,  pourront en récolter les fruits en toute sérénité.

   

Hector Poupon