1

Exclusif, Mario Masson, dresseur de tigres : juges et écolos veulent ma mort

|

Mario Masson et une de ses deux éléphantes, invité d’honneur au festival international du cirque.

Les juges privent la région centre d’un « Safari Lodge » de cinq hectares.

Cirque MAXIMUM de Mario MASSON

En plusieurs décennies, le cirque Maximum a fait rêver des millions d’enfants.

F2 – Montargis Magazine

Lynché par la justice et les écolos, le célèbre patron de cirque et dresseur de fauves Mario Masson a accordé une interview exclusive à Riposte Laïque, après que plusieurs jeunes juges, de sexe féminin, lui aient confisqué son outil de travail, sa raison de vivre, ses économies et mis publiquement en marge de la société, comme un criminel, alors que cet homme a talentueusement bossé, dans le monde du spectacle, toute sa vie. Pièces juridiques à l’appui et communiquées à notre rédaction, Mario Masson « tord le cou » aux accusations sans fondement des associations écologistes. Les magistrates, qui l’ont condamné, ont-elles lu ces pièces essentielles ?

Juges et écolos ont condamné à mort le dresseur de tigres Mario Masson

Avec ses avocats Bordelais, ce grand patron de cirque et dresseur de fauves mondialement reconnu contre-attaque en faisant appel de ce jugement inique qui prive la région centre d’un « Safari Lodge » de cinq hectares (dont la  presse régionale s’est largement fait l’écho) en immersion avec les  dix tigres et leurs bébés, en cours de constitution lorsque les fauves ont été saisis par décision des juges. Et qui fait perdre les emplois découlant de ce projet.

L’affaire Marion Masson nous interpelle tous, car chacun de nous peut subir la même chose, un beau matin, lorsqu’il est convoqué à la barre d’un tribunal. Personne n’est à l’abri de décisions iniques de fonctionnaires payés avec nos impôts. Dans Son très beau livre « La fin des juges » (2013), Marie-Odile Théoleyre, alors présidente du tribunal correctionnel de Lyon, s’étonnait que les magistrats ne fassent pas l’objet d’une expertise psychiatrique obligatoire, chaque année, en raison de l’immense pouvoir délégué par l’état à chaque juge, et de la possibilité pour ces derniers de priver chaque citoyen de liberté. Ou de détruire une vie dans le cas présent.

45 ans au milieu des animaux, dans les plus grands cirques du monde

Riposte Laïque : « Mario Masson pouvez-vous nous résumer votre parcours professionnel depuis vos plus jeunes années ? »

Mario Masson : Je suis né à ARGENTAT (19400) de parents itinérants, j’ai eu 62 ans cette année. Une enfance normale, adolescence classique, j’ai suivi ma scolarité dans les écoles d’Argentat. Mais, j’avais déjà une passion : le CIRQUE ! Je ne manquais jamais le passage d’un cirque dans ma ville. J’avoue que j’ai séché plus d’une journée de classe, pour assister à l’arrivée des convois, au montage des installations des Cirques : PINDER, BOUGLIONE, JEAN RICHARD, RANCY, AMAR… et tant d’autres.

J’ai commencé ma carrière professionnelle au cirque James CARRINGTON en 1977. Je venais d’avoir 17 ans. J’ai tout de suite été responsable du Parc Animalier. J’ai ainsi pu nourrir et soigner tous les animaux présents au cirque, c’est à dire les chevaux, les exotiques, les éléphants, les fauves, mais également un hippopotame nommé « Julot ». Puis, très rapidement, étant donné ma passion pour ces animaux et mes capacités à les diriger, je présentais en piste ces diverses espèces d’animaux dont je m’occupais dans la journée. J’étais heureux. En 1978, j’ai dressé et présenté un groupe de six poneys Shetland, un groupe d’animaux exotiques, et en 1979, trois ours du Tibet !

En 1980, j’aidais Arlette GRUSS et Georgika KOBANE, artistes qui se produisaient au Cirque Albert RANCY dans l’entretien de leurs panthères. Ils m’ont laissé présenter leur numéro à plusieurs reprises. Ils avaient une confiance totale en ma façon de travailler. En 1981, je présentais l’hippopotame « Julot » aux Bourses Louis MERLIN. J’ai obtenu le deuxième prix. Cette année-là, Michel CRETON a présenté « Julot » au 29ème Gala des Artistes au Cirque d’Hiver BOUGLIONE.

En 1982, j’ai présenté un numéro composé de quatre chevaux et quatre poneys. En 1983, j’ai dressé et présenté mes deux éléphantes d’Afrique Betty et Tatcha. J’ai présenté ce numéro dans divers établissements : en 1984, au
Cirque Albert RANCY, en 1985, au Cirque ZAVATTA fils, en 1986 au PISTE Circus en Belgique, en 1988, au Cirque MICHELETTY, en 1989, divers galas, publicités, animations, en 1990 au Cirque Arlette GRUSS et au Cirque Diana MORENO – Rex BORMANN, en 1991, au Cirque AMAR, en 1992, au Cirque de Paris, en 1994, au Zirkus MAXIMUM, en Suède.

En 1995 nous créons et dirigeons, ma femme Jeanine de Baets et moi notre propre cirque : le Cirque Maximum. A cette époque, le cirque était l’un des spectacles préférés des français, avec 15 millions de visiteurs par an, d’après
le Ministère de la Culture. Notre politique commerciale était d’accueillir le plus grand nombre de public possible, avec des prix de place accessibles à tous. De plus, la visite de la ménagerie était gratuite. La qualité et le renouvellement régulier des spectacles font de notre cirque Maximum un cirque traditionnel très apprécié, tout en s’orientant vers la création et l’innovation. Nous proposions une véritable arche de Noé : avec des fauves, chevaux, éléphants, chameaux, dromadaires et toujours « Julot », notre hippopotame.

Pour le respect de la tradition, il y avait également des clowns, acrobates, et « Roue de la Mort », de nombreux artistes. Un spectacle complet pour le plaisir des petits et des grands (suivant la formule consacrée !). Les éclairages, la musique, les costumes, la chorégraphie, tout était fait pour bâtir un spectacle suivant un fil conducteur sur une mise en «piste» originale, à faire pâlir les plus grands établissements de France.

En 2002 je présentais mes deux éléphantes Betty et Tatcha, et ma femme Jeanine de Baets, présentait avec talent sa superbe cavalerie. L’organisation du Cirque, les tournées, l’administration, la route, etc. ont fait que je n’avais
plus de temps pour profiter de mes animaux. C’est ce qui nous a incités à abandonner le Cirque MAXIMUM, et à nous consacrer à nos animaux, fin 2010.

J’avais ma place dans l’univers des circassiens et du cinéma. Passionné et amoureux des animaux, j’ai longtemps voyagé avec mon hippopotame et mes éléphantes. Depuis 2006, ma passion va davantage vers les tigres. Nous avons accueilli un couple de fauves : un mâle blanc et une femelle dorée, ainsi que deux tigres roux. Ils nous ont donné trois tigreaux. Une première portée assez exceptionnelle puisque trois femelles sont nées de trois robes différentes : une blanche, une rousse et une dorée. Une joyeuse tribu qui sillonne les routes de France et d’Europe en caravane, jusqu’en 2019.

Nous possédons toujours nos 10 tigres. A force de travail et de patience, nous pouvons aujourd’hui ma femme Jeanine et moi entrer dans la cage en toute sécurité. Il faut leur donner beaucoup d’amour pour qu’ils se sentent en confiance. On peut noter qu’il leur faut chacun au moins 5 à 6 kg de viande par jour. Actuellement, nous avons en projet de créer un « Safari Lodge » en immersion avec nos tigres. Ce projet devrait voir le jour en 2021, pour le plus grand bonheur de nos fauves, ainsi que celui de ma femme et moi et de tous ceux qui nous rendront visite ! Affaire à suivre.

R. L.  » Vous êtes attaché aux animaux et vous pouvez vous prévaloir d’un incontestable savoir-faire ? »

Mario Masson : Une vie entière dédiée à mes animaux. De nombreux témoignages, des contrats permanents, des articles de presse, etc… »

R. L. Pendant de nombreuses années, vous avez pu exercer votre activité et votre passion sans difficulté ?

Mario Masson : Pensez-vous qu’il n’y ait aucune difficulté à entrer dans une cage avec 10 tigres ? Seule la passion et l’amour des animaux peut autoriser ces contacts physiques. Vous pouvez voir les nombreux documents expliquant cela mieux que je ne peux le faire moi-même.

L’association écologique « One Voice » s’est acharnée sur moi et a menti

R. L.  Comment ont débuté vos ennuis avec la justice ?

Mario Masson : Mes premiers ennuis avec la justice ont débuté le 16 décembre 2020, suite à une plainte déposée par l’association « One Voice ».

Il se trouve qu’en revenant d’un contrat à Rouen noué avec le Cirque Medrano, fin décembre, j’avais la grippe et suis resté une semaine au lit sans pouvoir bouger. C’est cette semaine-là que l’association One Voice est entrée par effraction chez moi, et a filmé les fauves. Effectivement, ils ne sont pas sortis exceptionnellement de leurs cages, mais avaient chacun 7 m2 (et non 2 comme indiqué) et à boire et à manger, contrairement à ce qui est dit. C’est la seule période où ils ne sont pas sortis de leurs cages. Ils ont filmé pendant 1 semaine (et non : des mois). Voir aussi les documents joints à ce sujet.

R. L. Aujourd’hui, vous vous estimez lynché par les écologistes, les juges et les médias ?

Mario Masson : Tout ce qui est dit est faux, sans fin et très violent. Nous sommes salis de façon très injuste. Nous sommes malgré tout soutenus par la profession uniquement, mais elle n’a plus la parole dans les médias.

C – DDPP du Loiret Rapport Inspection Fauves

Une plainte pénale pour diffamation a été déposée par mes avocats contre tous ceux qui essaient de nous salir !

avocat mario

Ils ont décidé que les cirques avec animaux, c’était terminé

R. L. : Selon vous, les cirques ont encore un avenir en France ?

Mario Masson : Bien sûr que non. Il y a en France 10 millions de spectateurs de cirque traditionnelle (avec animaux), selon une étude faite par le Ministère de la Culture en 1992, étude super documentée, voir en pièce jointe, et le nombre de clients potentiel n’a pas changé. Le public français est toujours présent et demandeur. Les détracteurs sont ultra minoritaires, mais avec un pouvoir explosif, notamment envers les Maires de France. Ils ont réussi à influencer le refus des Maires d’accepter des cirques avec animaux, puis, cela devint vite une escalade. Certains maires qui ont accepté de prendre des Cirques avec animaux ont reçu de très graves insultes à tel point que, comme les autres, ils se rangent vers moins de problèmes. C’est compréhensible. Le basculement fut très rapide.

D’où mon projet de reconversion professionnelle. Car le cirque traditionnel avec animaux, c’est plus que fini, et bientôt interdit en France. Donc suite à cela, et pour avoir une vie plus saine, plus calme, nous avions nous aussi prévu, et beaucoup travaillé sur une reconversion professionnelle. Plusieurs articles de presse avaient évoqué cela avec justesse. Notre projet était sur le point de se concrétiser. A quelques mois près… mais tout est tombé par terre, cassé, en mille miettes !.

Fréquentation et image du Cirque

Nous allons nous battre, et votre article nous y aide

R. L. : « A l’approche de Noël, vos craintes, vos espoirs ? »

Mario Masson : Le jugement est tellement terrible et injuste que nous sommes actuellement abattus, en survie. Plus question d’aucune façon de projet quel qu’il soit. Ni même de respirer sereinement. Nous n’y avons plus droit.

Nous avons de très nombreux soutien, mais… anonymes et cela ne suffit pas pour sortir la tête de l’eau. Il faut du concret et du « public ». Votre article nous y aide énormément puisqu’il nous redonne une certaine énergie, et envie à nouveau de se battre et d’y croire… Merci vraiment de votre soutien.

Propos recueillis par

Francis GRUZELLE

Journaliste et écrivain
Carte de Presse 55411

 

Lire aussi dans ce dossier : 

 Curriculum Vitae Mario Masson

 Les Cirques avec ou sans animaux sauvages
 Montargis Magazine
 OFB (1)
https://ripostelaique.com/faut-juger-juges.html



Juges et écolos ont condamné à mort le dresseur de tigres Mario Masson

|

Le dresseur de tigres Mario Masson est condamné à 5 000 euros et à la saisie de ses 10 tigres, pour mauvais traitements.

Le dresseur de tigres Mario Masson est notamment condamné à 5 000 euros d’amende pénale, à la suppression de ses droits civiques pendant deux ans, à la saisie de ses 10 tigres. Il doit verser 246 000 euros aux diverses parties prenantes du dossier, à savoir des associations écologistes.

Afficher l’image source

 

Afficher l’image source

Pauvre France ! Alors que de faibles peines de prison (avec sursis dans certains cas) condamnent les migrants ayant commis des actes délictueux ou criminels, le tribunal de Beauvais vient de condamner très lourdement un patron de cirque, Mario Masson. Son crime ? Elever et présenter un spectacle avec dix tigres. Présent à l’audience, avec mes confrères du Courrier Picard, j’ai été tétanisé par le lynchage juridique de ce patron de cirque et dresseur de fauve, qui a tout perdu lors de l’énoncé du verdict en quelques minutes. A cela s’ajoute le préjudice économique et les pertes d’emplois.

Un routier meurt peu après une altercation avec des migrants

https://www.20minutes.fr/faits_divers/3202103-20211220-calais-routier..
https://ripostelaique.com/5-et-4-ans-de-prison-pour-2-marocains-en-oqit-pour-agression-a-la-machette.html

Oise: les tigres de l’éleveur confisqués et une lourde amende …

https://www.courrier-picard.fr/id364889/article/2022-11-28/oise-les…

Sous la pression d’une association écologiste, Mario Masson a été reconnu coupable de détention d’animaux non domestiques de 2019 à 2020, d’acquisitions et cessions irrégulières d’animaux, etc. Suite à ce jugement rendu ce lundi 28 novembre,  Mario Masson a l’interdiction de se livrer à une activité en lien avec des animaux pendant 2 ans, peine aggravée par 2 ans d’inéligibilité et une amende de 5 000 euros, ainsi que la saisie de ses dix tigres. Il devra aussi s’acquitter de 246 000 euros aux diverses parties prenantes du dossier, à savoir des associations écologistes.

Sans la pression des associations écologistes, qui font désormais la loi dans les cantines et les prétoires, les magistrats auraient sans doute été plus cléments. Car leur verdict ruine un cirque, mais aussi la vie d’un homme, dont les économies ont été saisies. Pensez ! Dans le détail, outre les sanctions pénales infligées, comme si Mario Masson était l’ennemi public numéro 1, le « Jacques Mesrine du cirque », le tribunal condamne Mario Masson à une interdiction d’élevage pendant deux ans, ainsi qu’à de sévères amendes. Toutes causes de préjudices et de frais de justice confondus, l’association One Voice doit recevoir 34 500 €. Les fondations Lamart et Brigitte Bardot, qui s’étaient portées parties civiles, doivent recevoir chacune 1 800 €.

33 000 € doivent revenir à l’État. Et 55 000 € doivent aller à l’Urssaf. Les dix tigres saisis et recueillis près de Saint-Etienne (Loire) par l’association Tonga Terre d’Accueil, resteront dans ce refuge. Aux frais de Mario Masson qui doit 120 000 € pour cela. Son plan d’épargne logement (les économies d’une vie) est également saisi, soit 61 425,78 €.

Un délibéré de près de trois ans

Pendant trois ans, les associations écologistes ont eu le temps de multiplier les pressions. Car ce délibéré est le dénouement d’une histoire qui commence en janvier 2020 avec une plainte de l’association One Voice , qui remet à la justice des photos de tigres dans des camions de transport.

Du côté des associations écologistes, Muriel Arnal, présidente de One Voice, exprime son immense satisfaction en ces termes : “C’est la première fois en France qu’un dresseur de cirque est reconnu coupable de mauvais traitements sur des animaux avec cette circonstance aggravante d’être un professionnel. Il nous a fallu essuyer beaucoup de revers avant cette victoire, elle est d’autant plus forte. Un grand merci à tous ceux qui ont cru en notre détermination indéfectible pour ces tigres et nous ont soutenus dans l’adversité. ”

D’une manière plus générale, cette affaire montre qu’on est tombé bien bas en France. Les agresseurs des « petites vieilles » dans le métro ou sur le trottoir bénéficient de peines légères aménageables. Des migrants arrêtés pour agressions sont remis en liberté dans les heures qui suivent leur interpellation. Des retraités sont torturés à leur domicile sans qu’on retrouve les auteurs des sévices et vols de liquidités et de bijoux, etc, etc. Des Français sont agressés à coup de couteau ou de machette dans la rue et les auteurs sont internés en psychiatrie au lieu d’être jugés.

Dans cette même France, 40 000 étudiantes se prostituent pour survivre, pour payer leurs études, leur appartement, après la diminution des APS par Emmanuel Macron.

« Octopus » accuse Macron : il a livré 40 000 étudiantes à la …

Et dans le même temps, alors que la plupart des cirques sont en dépôts de bilan, on jette en pâture au grand public un dresseur de tigres qui a souvent fait partager la Piste aux étoiles aux enfants défavorisés des banlieues, apportant un moment de rêve à bien des gamins, qui ressortaient du chapiteau avec des étoiles plein les yeux.

On est très très loin du film des années 70 « Itinéraire d’un enfant gâté » avec Jean-Paul Belmondo et Richard Anconina. Car ce lundi la justice n’a pas gâté Mario Masson pour son dernier tour de piste, après une vie de labeur.

Francis GRUZELLE

Journaliste et écrivain
Carte de Presse 55411

Lire aussi ces articles qui constituent un complément d’information :

Un violeur détenu à la prison de Valence s’évade lors d’une sortie au zoo

Grenoble : viande et poisson retirés des menus dans les cantines scolaires par l’écolo dingo Piolle

Exclusif : 100 terroristes libérés chaque année de prison, et après ?

Procès des écolos fous d’Extinction Rébellion : 10 organisations agricoles partie civile

 

 




Belles victoires de Riposte Laïque: Serne et Ghazli déboutés

|

Pierre Serne a perdu ses procès, alors qu’il exultait sur les réseaux sociaux en déclarant « le fascisme est vaincu ! ».

Figure islamiste ayant infiltré la droite française, l’Islamo-turc Mourad Ghazli est lui aussi débouté par les tribunaux suite aux procédures engagées contre les patriotes français et suisses.

Riposte laïque (RL), site web créé en septembre 2007 avec un journal diffusé par le web et par courrier électronique, traitant principalement de la laïcité et de l’islam, a souvent été poursuivi par la justice française. Certains médias français ont même estimé que le site était harcelé par les juges tant les convocations devant les tribunaux se succédaient à un rythme infernal. Avec, à chaque fois, la condamnation des directeurs de publication, même lorsque ces derniers avaient la nationalité Suisse ou Israélienne.

Certains juges français auraient-ils pris conscience du péril islamique et migratoire qui menace le pays ? Car, en une semaine, Riposte Laïque vient de gagner deux procès contre des figures de proue de l’islam en Europe. Autant dire que le président du site, Guy Sebag, « boit du petit lait » et déclare : « Décidément, les jours se suivent et se ressemblent. Hier, j’avais Maître Pichon qui m’annonçait qu’en appel, notre grand copain Pierre Serne avait perdu, dans sa plainte contre nous, mais qu’il allait en cassation….. ».

Proche de Sandrine Rousseau, Pierre Serne s’est notamment illustré en déposant un recours administratif contre la décision du 16 février 2016 du STIF (aujourd’hui Île-de-France Mobilités), présidé par Valérie Pécresse, de supprimer la réduction solidarité transport de l’aide médicale d’État aux étrangers en situation irrégulière. Cette victoire judiciaire a obligé théoriquement le STIF à redonner la réduction de 50 % aux usagers en question et a occasionné un tollé politique au sein de la droite régionale.

Suite aux articles diffusés sur les dérives de Pierre Serne, Riposte Laïque avait perdu en première instance, lors du procès intenté par Pierre Serne contre le site, condamné à verser 6 000 euros à Serne qui exultait sur les réseaux sociaux en déclarant « le fascisme est vaincu ! ».

https://ripostelaique.com/mais-a-quoi-joue-donc-lislamo-ecolo-gauchiste-pierre-serne.html

https://ripostelaique.com/debat-judiciaire-qualifier-serne-dislamo-fellateur-est-il-homophobe.html

Manque de chance pour Pierre Serne, ardent défenseur de l’islam, il y avait une 2e mi-temps, et la Cour d’Appel a désavoué la 17e Chambre, en relaxant Riposte Laïque. L’avocat du site, Maître Frédéric Pichon pense qu’il a gagné parce qu’il a utilisé une nouvelle jurisprudence, fort intéressante, de la Cour de Cassation, « estimant qu’un directeur de publication ne peut être condamné que s’il est prouvé qu’il a participé à la mise en place de l’article sur le site. A suivre, donc…

Le réfugié Islamo-turc Mourad Ghazli débouté devant la justice française

Autre belle victoire, celle obtenu après dix ans de procédures judiciaires contre le réfugié Islam-turc Mourad Ghazli, ancien syndicaliste de la RATP française, un temps membre des Grandes Gueules, exilé en Turquie, se disant supporter d’Erdogan.

A l’origine, Mourad Ghazli, né le 17 mai 1974 à Aubagne (Bouches-du-Rhône), se dit un homme politique, syndicaliste, entrepreneur et ancien sportif français. Après s’être présenté à la présidence de l’ UMP, élection où il obtient 0,8 % des voix, il est en 2007 membre du bureau exécutif du Parti radical valoisien. Lors de l’élection présidentielle de 2007, il appelle à voter pour François Bayrou lors du premier tour et Ségolène Royal au second.

Lors de l’ élection municipale de 2014 à Thiais, Ghazli, chef de file local de l’UDI choisit de rejoindre la liste d’union de la droite menée par Richard Dell’Agnola (UMP). Il est présent en 13e position et la liste sort vainqueur au second tour. Ghazli est alors élu au conseil municipal où il est nommé maire adjoint à la sécurité et aux transports. En juillet 2016, il fait l’équivalence entre l’« extrémisme laicard » en France et Daesh. Le maire de Thiais, Richard Dell’Agnola, lui retire alors ses délégations en tant qu’adjoint et lui demande de démissionner. L’UDI l’exclut. Il déclare cependant vouloir rester conseiller municipal jusqu’à la fin de la mandature « pour faire ch… le maire ». Pro- Erdogan, il vit depuis en Turquie.

Mourad Ghazli dépose en septembre 2016 sa candidature à la primaire présidentielle des Républicains de 2016 au titre du parti Mouvement pour l’équité et le développement. Elle n’est pas retenue.

Fin juin 2018, à l’occasion de la Marche des fiertés, Ghazli manifeste dans une vidéo violente (puis une série de tweets), sa haine de la communauté LGBT en France, faisant des amalgames entre homosexualité, zoophilie et pédophilie.

Face à l’Islamo-turc Mourad Ghazli, c’est donc une belle victoire juridique de Riposte Laïque et des patriotes Suisses, puisque Mourad Ghazli,
avait déposé plainte contre Danielle Borer, présidente suisse de Riposte Laïque à l’époque (années 2012-2013) et contre Christine Tasin. Il a été débouté de ses
deux plaintes, et et Riposte Laïque et ses dirigeants sont relaxés.

https://ripostelaique.com/refugie-en-turquie-lislamo-ghazli-nous-traine-devant-les-tribunaux-francais.html

Serne et Ghazli déboutés en deux jours par la justice française, deux combats gagnés par l’avocat Frédéric Pichon, cela fait chaud au cœur de tous les patriotes français et suisses.

Dans les deux cas, la loi française, très stricte au niveau des textes, a été correctement appliquée et rendue.

Francis GRUZELLE
Journaliste et écrivain
Carte de Presse 55411




Lille : les juges ordonnent à la Région de verser 500 000 euros au lycée Averroès

|

Une salle de classe au lycée Averroès, établissement d’enseignement privé musulman situé à Lille.

Une vue extérieure du lycée Averroès.

Tout démarre par  la publication du livre des deux journalistes Christian Chesnot et Georges Malbrunot Qatar Papers (Michel Lafon) qui révéle que Qatar Charity, une ONG proche de Doha, a versé 4,2 millions d’euros au lycée et au centre islamique de Villeneuve-d’Ascq. Alors, le président de région Xavier Bertrand décide de couper les vivres au lycée. La suite, on la connaît…

Lille : La région des Hauts-de-France condamnée à verser près de …

https://www.francebleu.fr/infos/faits-divers-justice/lille-la-region-des-hauts-de..
Les juges d’Éric Dupond-Moretti s’en mêlent. Le tribunal administratif de Lille a condamné la région des Hauts-de-France à verser au lycée musulman lillois Averroès près de 500 000 euros. La somme correspond aux deux subventions des années scolaires 2020 et 2021, bloquées suite aux financements accordés par le Qatar. La Région a annoncé se pourvoir en cassation devant le Conseil d’État.
La bataille juridique dure depuis mars 2020. Elle oppose la région des Hauts-de-France et le lycée musulman lillois Averroès. En cause, des subventions gelées par Xavier Bertrand qui reproche à l’établissement un financement d’un montant de 4,2 millions d’euros provenant d’une organisation caritative du Qatar. Pour le cabinet du président qui répond au Parisien, « tant que nous n’aurons pas d’explications de l’État sur le respect de la convention avec le lycée, la région ne versera pas les fonds ». Mais mercredi, le tribunal administratif de Lille a condamné la région à verser 500.000 euros de subventions au lycée. Cette dernière annonce se pourvoir en cassation. Un bis repetita pour les Hauts-de-France déjà condamnés par le tribunal de Lille pour la même raison en 2021. La région avait porté l’affaire devant le Conseil d’État, mais elle avait été déboutée en juin dernier. Ce mercredi, elle annonce donc se pourvoir à nouveau en cassation devant le Conseil d’État.

Il faut savoir que Le lycée Averroès est un établissement d’enseignement privé musulman situé à Lille, en France. Comptant environ 800 élèves en 2016, il est l’un des seuls lycées privés musulmans sous contrat en France métropolitaine. Malgré son contrat d’association avec l’État, l’établissement est régulièrement pointé du doigt pour ses liens avec le fondamentalisme islamiste. Ses détracteurs dénoncent son « double langage » et le contenu de certains enseignements. Ils soulignent également la proximité de la direction avec l’UOIF, organe d’influence des Frères musulmans en France, et les liens financiers avec l’Arabie saoudite et le Qatar. L’établissement est nommé en référence à Averroès, philosophe, théologien, juriste et médecin musulman andalou du xiie siècle.

Plusieurs médias estiment que la direction du lycée est proche des Frères musulmans. D’après un rapport commandé et financé par le Gouvernement, « les Frères musulmans en Europe, représentés par l’UOIF, sont à l’origine d’au moins la moitié des projets d’établissements dans l’Hexagone, mus par une volonté de préserver l’identité musulmane des communautés immigrées et de « réislamiser  » les jeunes générations, pour créer une « citoyenneté musulmane », à la fois intégrée dans la société et gardant sa spécificité religieuse ».

Toujours d’après ce rapport : « Les responsables des différents projets ont « sécurisé » leur équipe autour d’un noyau dur composé exclusivement de membres de l’UOIF. L’idée était d’avoir un groupe d’individus censés partager les mêmes représentations idéologiques et de faciliter les choix stratégiques et les prises de décision. […] Après la rupture avec Mme Boutaleb, l’ensemble des membres de l’équipe dirigeante sont donc membres de l’UOIF ». Carol Ferrara, doctorante en anthropologie de l’université de Boston, a passé cinq années à étudier les écoles musulmanes en France et notamment le lycée Averroès. Elle estime que le discours sur l’islam au lycée s’approche du discours de l’UOIF et de son président, Amar Lasfar. L’UOIF a depuis changé de nom pour Musulmans de France.

« L’UOIF considère que les Français non musulmans doivent s’adapter à l’existence de l’islam comme deuxième religion de France ».

Direction et personnalités connues

La direction de ce lycée affiche un islam dur et n’est pas ouverte sur l’extérieur comme le révèlent nos confrères du site Wikipedia. On y retrouve une belle brochette de musulmans très engagés dans des association extrémistes, en France ou à l’étranger.

Voici la liste des principaux responsables de cette structure financée par la Qatar :

  • El Hassan Oufker : directeur
  • Makhlouf Mamèche : directeur adjoint, vice-président de l’Union des organisations islamiques de France.
  • Amar Lasfar : le président de l’association Averroès qui gère le lycée. Il est président de l’Union des organisations islamiques de France, président de la Ligue islamique du Nord et recteur de la mosquée de Lille-Sud.
  • Éric Dufour : directeur adjoint, professeur de français, converti à l’islam, arrive en 2008 au lycée après avoir passé 16 ans au lycée privé catholique de Bondues.
  • Hassan Iquioussen : ancien professeur d’éthique musulmane du lycée, prédicateur de la mosquée de Quiévrechain, dirigeant de l’UOIF, est une personnalité très controversée. Il a par exemple déclaré « Les textes aujourd’hui le prouvent. Les sionistes ont été de connivence avec Hitler. Il fallait pousser les juifs d’Allemagne, de France… à quitter l’Europe pour la Palestine. Pour les obliger, il fallait leur faire du mal ». Sofiane Meziani, professeur d’éthique actuel et Amar Lasfar reconnaissent être proches de lui. Il continue d’accompagner les élèves en voyages scolaires.
  • Michel Soussan : conseiller pédagogique du lycée, consultant en formation, ancien inspecteur d’académie et membre UMP de l’opposition municipale. Il déclare : « je n’ai jamais vu la radicalité de l’islam ici ; au contraire, j’y vois un islam du juste milieu ». Il est de confession juive et ajoute : « je suis le garant des valeurs républicaines de cet établissement ». Voulant favoriser le dialogue inter-religieux, il a fait venir pour un débat au lycée son neveu, le rabbin Yona Ghertman.
  • Mohamed Karrat : professeur de mathématiques au lycée, proche d’Amar Lasfar, responsable de la mosquée de Villeneuve-d’Ascq.

Des dérives intégristes prouvées

On l’a compris avec l’organigramme publié plus haut : le président de l’association qui gère le lycée n’est autre qu’Amar Lasfar, président de l’Union des organisations islamiques de France (devenue Musulmans de France), président de la Ligue islamique du Nord et recteur de la mosquée de Lille-Sud. Or, comme l’a souligné sur France 24 François Burgat, politologue spécialiste du monde arabe et directeur de recherche au CNRS, « l’UOIF est indissociable de l’idéologie des Frères musulmans ». Si le lycée réaffirme, sur sa page Facebook, son « respect des valeurs républicaines », il est par ailleurs accusé de tenir un double discours. En témoigne cette intervention du Frère musulman Omar Abdelkafi très modérée sur sa vision des femmes. Devant les caméras, il explique aux élèves (séparés en deux rangées garçons-filles non mélangés) que « la femme peut apporter beaucoup de choses à la civilisation », alors qu’il déclarait, un an plus tôt, que « la femme qui sort les cheveux découverts mérite le châtiment de la tombe ».

Un établissement controversé et d’endoctrinement idéologique

Le bourrage de crâne et l’idéologie véhiculée au sein du lycée sont désormais  dénoncés par un de ses professeurs. En 2015, Soufiane Zitouni, qui y enseignait la philosophie, publie une tribune dans Libération (5/2/2015) pour révéler ce « double jeu avec notre République laïque : d’un côté montrer patte blanche dans les médias pour bénéficier d’une bonne image dans l’opinion publique et ainsi continuer à profiter des gros avantages de son contrat avec l’État, et d’un autre côté, diffuser de manière sournoise et pernicieuse une conception de l’islam qui n’est autre que l’islamisme, c’est-à-dire un mélange malsain et dangereux de religion et de politique ». Soufiane Zitouni lance cette mise en garde : « En 2014, un des responsables du lycée avait énoncé, en présence de deux mécènes qataris : « Un jour, il y aura aussi des filles voilées dans les écoles publiques françaises ! »… » Poursuivi pour diffamation par le lycée, le professeur Soufiane Zitouni a finalement été relaxé par la justice française. Dans Marianne, Soufiane Zitouni alerte aussi que « les prêches des imams sont signés UOIF, les cours d’éthique religieuse sont signés UOIF, faute d’avoir des livres d’Averroès dans le lycée Averroès, on y trouve des brochures de l’UOIF et des livres de Tariq Ramadan ». Les frères Ramadan y ont donné de nombreuses conférences, et les élèves ont pu bénéficier de cours d’éthique de la part d’un certain professeur nommé Hassan Iquioussen…

L’argent des contribuables va donc servir à financer des formations islamistes intégristes, au lieu d’aider les Français qui se trouvent dans la misère. Pauvre France qui se suicide jour après jour….

Francis GRUZELLE

Journaliste et écrivain
Carte de Presse 55411

Lire aussi ces articles qui constituent un complément d’information :

Scandale : les dysfonctionnements du Fonds de garantie des victimes de terrorisme

Exclusif : 100 terroristes libérés chaque année de prison, et après ?

Hijab : gauche et Verts complices de l’islamisme au parlement européen

Tapis rouge à l’OSCE pour Elias d’Imzalène un salafiste français fiché S




Des pirates s’accaparent des pompes à essence et vendent le litre à 3 euros

|

Le fil d’anticipation « Mad Max » devient réalité en Ile de France avec les jeunes des banlieues qu’ils soit migrants ou Français !

La station de Villers-le-Bel piratée et des automobistes obligés d’acheter l’essence à plus de 3 euros le litre.

Comme dans le célèbre film « Mad Max » où la lutte devient sévère pour quelques gouttes d’essence ! En Île-de-France, à différents endroits des pirates ont pris le contrôle de pompes à essence, puis ont revendu le précieux carburant à plus de 3 euros le litre aux automobilistes. Mais aussi dans d’autres secteurs comme le montrent ces articles publiés par nos confrères Français de souche.

Villiers-le-Bel (95) : des jeunes prennent le contrôle d’une station-service et vendent sur place les bidons d’essence qu’ils ont remplis ; les automobilistes qui refusent sont violentés (MàJ)

Choisy-le-Roi (94) : des individus privatisent une pompe à essence et font payer un droit d’accès aux automobilistes. Des faits similaires se sont produits ailleurs dans le Val-de-Marne

Pénurie de carburant : 2.000 litres de gazole retrouvés dans un fourgon à Étampes (91), 4 ressortissants étrangers interpellés

L’histoire est complètement hallucinante. Une bande de jeunes a réquisitionné une station essence du groupe Total dans le Val d’Oise. « Les individus filtraient les usagers et refusaient l’entrée aux personnes n’appartenant pas au quartier », a indiqué une source policière à l’Agence France Presse.  Les faits se sont déroulés à Villiers-le-Bel (Val-d’Oise), les pirates attaquant une station du groupe Total.

Selon l’Agence France Presse, les individus se sont même permis de vendre le carburant à un tarif prohibitif sous le regard ahuri et impuissant des automobilistes et de la responsable de la station.

Lorsque les policiers sont arrivés sur place, les individus avaient déjà pris la fuite et étaient toujours recherchés ce mardi. Un jeune homme d’une vingtaine d’années a été interpellé pour outrage.

D’une manière plus générale, dans notre France à la dérive, ces actes de piratage, complétés ici et là par du siphonnage des réservoirs des véhicules en stationnement, des vols de carburant, etc. ont mis en lumière la pénurie de carburant qui touche les stations-essence.  D’après les informations de RMC, la police a mis fin à l’occupation illégale en procédant seulement à une interpellation, toujours selon RMC.

Beaucoup d’automobilistes issus des quartiers ont accepté ce racket pour pouvoir rouler et se rendre à leur travail. Ceux qui refusaient étaient sérieusement menacés selon la police. Plusieurs conducteurs ont même essuyé des châtaignes.

Dans le détail, ces individus ont décidé d’assurer, à leur manière, la distribution des carburants. De cette façon, si les habitants et les migrants du quartier étaient bel et bien autorisés à se servir librement, il a été proposé aux autres par les délinquants des bidons remplis, dont le prix avait été fixé par leurs soins, à plus de trois euros le litre. Plus cher que du pinard de base. Certains automobilistes, qui ont refusé de se soumettre à leur système, ont été violentés, puis priés de quitter la file d’attente. Finalement, l’intervention des forces de l’ordre a permis de mettre un terme à cette situation de racket d’un autre âge et ayant cours dans d’autres pays (Afrique, Moyen Orient). On peut être surpris du fait qu’un seul individu âgé d’une vingtaine d’années ait été interpellé, alors qu’il s’agissait d’un racket en bande organisée.

Dans un autre secteur, les policiers ont interpellé hier à Étampes (Essonne) quatre individus pour vol de carburant. À l’intérieur de leur véhicule une cuve contenant 2 000 litres de gazole a été saisie. La découverte intrigue dans le contexte de pénurie de carburants que connaît la France. Les quatre individus interpellés étaient tous des migrants selon une source policière.

Ainsi va la France de 2022 et de Macron.

Francis GRUZELLE

Journaliste et écrivain
Carte de Presse 55411

Lire aussi :

Blocage des raffineries : l’impuissance du garde d’Esso Éric Dupond-Moretti

Pénurie d’essence : en Haute-Savoie, un automobiliste impatient poignarde un autre client de la station-service

 




Blocage des raffineries : l’impuissance du garde d’Esso Éric Dupond-Moretti

|

Suite à l’impuissance du garde d’Esso Éric Dupond-Moretti, la France se paralyse par manque de carburant.

Une situation inédite dans l’Est de la France : pratiquement toutes les stations de Meurthe-et-Moselle sont à sec au niveau carburant et sont fermées suite aux blocage des raffineries (cliché Francis GRUZELLE).

A Vézelise la station-service du supermarché G 20 est fermée depuis plusieurs jours ! A sec….   (cliché Francis GRUZELLE).

Suite à l’impuissance du garde d’Esso Éric Dupond-Moretti et du ministre de l’intérieur Gérald Darmanin, incapables d’utiliser la force publique pour débloquer les dépôts de carburants et les raffineries en grève, suite à l’impuissance du ministre de l’économie, incapable d’imposer des négociation salariales aux dirigeant de Total et d’autres marques, des millions d’automobilistes français sont à sec. Dans certains départements, comme la Meurthe-et-Moselle, 95 % des stations-services indépendantes ou de la grande distribution sont fermées  suite aux blocage des raffineries et du gouvernement Borne, aveugle face à la détresse des automobilistes et des transporteurs routiers.

Selon les informations officielles, la grève se poursuit dans plusieurs raffineries et dépôts de carburant de TotalEnergies et Esso, filiale d’ExxonMobil. Le mouvement de grève pour les salaires chez TotalEnergies a été reconduit lundi jusqu’à mardi et étendu à une quinzaine de stations-service autoroutières du réseau Argedis, filiale de TotalEnergies, selon l’AFP.

Dans le cadre des informations plus ou moins contradictoires, voire fausses, diffusées par la direction des firmes pétrolières, ce lundi, Total a indiqué être disposée à négocier avec les syndicats à condition que ceux-ci décident du déblocage des raffineries. Mais le directeur du raffinage Europe du groupe a néanmoins rappelé qu’en cas de fin du mouvement de grève, la situation ne reviendrait pas à la normale immédiatement. « Nous faisons le maximum pour approvisionner les Français. On mobilise l’ensemble de la chaîne logistique. Il y a les points de blocage liés au mouvement en cours mais on essaye de les contourner le plus possible. On souhaite le déblocage de la situation de manière à faciliter le réapprovisionnement et dans ce contexte, il faut une grosse semaine pour retrouver un rythme normal », a expliqué Jean-Marc Durand, joint par téléphone.

Selon l’AFP, « Les salariés de la raffinerie de Normandie, près du Havre, dans le dépôt de carburants de Flandres, près de Dunkerque et à la « bio-raffinerie » de La Mède ont reconduit leur mouvement de grève, long déjà de plus d’une dizaine de jours, pour réclamer des augmentations salariales ».

 Pénurie de carburant : cartes interactives, Waze, applications… comment trouver une station-essence approvisionnée près de chez vous

Des milliers stations-essence touchées

Le mouvement a également été reconduit dans les deux raffineries françaises du groupe Esso-ExxonMobil. Les nouvelles stations-service touchées par cette extension du mouvement de grève sont les stations de Paisy (Rhône), Montluel (Ain), Ceignes (Ain), Lançon-Provence (Bouches-du-Rhône), ainsi que d’autres en région parisienne, mais aussi près de Rouen et dans la région de Strasbourg.

On croit rêver lorsqu’on entend les dirigeants de Total Énergie, qui, eux, ont du carburant pour leurs voitures de fonction.

https://www.lindependant.fr/2022/10/10/narbonne-face-a-la-penurie-de-carburants-le-groupe-total-energies-appelle-ses-clients-a-ne-pas-se-precipiter-en-station-10726584.php

Enfin, sur France Inter, l’autre ahuri du gouvernement Gabriel Attal a parlé « d’un week-end de galère pour les milliers voire les millions de Français » et le ministre du Budget Olivier Dussopt, qui s’était fait offrir deux tableaux de maîtres en contrepartie d’un marché public par les dirigeants de la Saur, groupe international de distribution d’eau, a dit « avoir conscience des grandes difficultés que ces pénuries génèrent ».

« Corruption » et « prise illégale d’intérêts » : …

https://ripostelaique.com/corruption-et-prise-illegale-dinterets…

Toutefois, le même ministre a assuré que le gouvernement « faisait vraiment tout pour que la situation puisse se régler dans la semaine ». Il devrait revoir sa copie et rester dans les histoires d’eau.

L’action du gouvernement consisterait, selon Gabriel Attal, « à mettre la pression pour que le dialogue social puisse avancer puisque je rappelle que le cœur de ce blocage est dû à la CGT qui veut anticiper des discussions sur les salaires qui devaient avoir lieu en novembre ». Maigres résultats d’un gouvernement aux abois dans une France à genoux.

Francis GRUZELLE

Journaliste et écrivain
Carte de Presse 55411




La police de la pensée s’acharne contre Christine Tasin : nouvelle plainte!

|

Christine Tasin lors d’un rassemblement contre l’islamisation de la France, au pied de la Tour Eiffel à Paris

Surnommée « la bouffeuse d’islam » par le quotidien Libération, Christine Tasin, présidente de Résistance Républicaine, a été interrogée, jeudi 6 octobre 2022, dans les locaux d’une gendarmerie de province, suite à ses écrits où elle a allumé la porte-parole de la préfecture de police, prise en flagrant délit de mensonge, par ailleurs à la piteuse élocution.

https://resistancerepublicaine.com/2022/05/31/qui-a-nomme-la-menteuse-enfumeuse-begayeuse-loubna-atta-porte-parole-de-la-prefecture/

Christine, femme extraordinaire, ancien professeur agrégé, mène un combat contre l’islam depuis de nombreuses années. Du coup, elle a été arrêtée des dizaines de fois, dans cette France qui protège la religion musulmane, et a subi de multiples gardes à vue. Que dire des demandes de prison ferme, demandées par des procureurs de la République, des insultes des avocats « antiracistes », des attitudes parfois hostiles de certains juges, et de plusieurs condamnations à des peines de prison avec sursis, et à de lourdes amendes. Autant d’épreuves physiques et intellectuelles qui ne l’ont pas découragée, mais ont renforcé sa détermination dans un combat de civilisation qu’elle estime juste, pour « sauver la France d’un péril ».

Convoquée des dizaines de fois devant les cours de justice pour ses écrits, Christine Tasin a notamment été relaxée par la Cour d’Appel de Versailles pour avoir écrit « l’islam est une saloperie ». Devant cette cour de justice, les conseillers avaient été impressionnés par ce petit bout de femme, vêtue de rouge, qui leur avait répété, droit dans les yeux, « l’islam est une saloperie », en revendiquant la liberté d’expression et d’écrit dans cette France qui condamne plus les patriotes que les musulmans fichés S qui appellent au jihad.

Le combat de Christine Tasin s’inscrit dans la défense de la France et ses racines, le refus de se soumettre à l’islam conquérant, le refus du grand remplacement, le refus d’une immigration de masse.

Dans cette France à la dérive, qui se suicide, il faudrait des milliers de Christine Tasin, pour réveiller la conscience collective, comme avait tenté de le faire notre ami le colonel Pierre Chateau-Jobert, alias “Conan” dès 1976.

Il y 15 ans, la France perdait Conan, visionnaire de l’invasion migratoire

Comme Christine Tasin, “Conan” était animé par cet amour de la France et par deux qualités essentielles que possède Christine : la loyauté et le courage pour défendre ses idées et ses concitoyens.

Francis GRUZELLE

Journaliste et écrivain
Carte de Presse 55411




Scandale : les dysfonctionnements du Fonds de garantie des victimes de terrorisme

|

Fort de plusieurs centaines d’agents administratifs, le SARVI est-il réellement à l’écoute des victimes et des personnes ?

Créé en 1986 pour indemniser les victimes de terrorisme, fort de plusieurs centaines d’agents administratifs, le Fonds de garantie des victimes des actes de terrorisme et d’autres infractions (FGTI) a vu, en théorie ses missions étendues, en 1990, à l’indemnisation des victimes d’infractions de droit commun et, en 2008, à l’aide au recouvrement des dommages et intérêts obtenus par une décision de justice (SARVI). L’ennui, c’est que cet organisme public s’autofinance sur le dos des victimes. En effet, lorsqu’il récupère les sommes dues aux victimes de terrorisme ou d’infractions pénales, cet organisme prélève et conserve 40 % des sommes recueillies. Au passage, il élimine certains dossiers ou certaines demandes de victimes sans se justifier.

Pourtant, les textes de départ sont clairs : »Les victimes d’acte de terrorisme, blessées ou choquées, dès lors qu’elles se trouvaient au moment de l’attentat dans la zone de danger et les proches des victimes décédées peuvent être indemnisées…. Le FGTI est chargé d’assurer la réparation intégrale des dommages résultant d’une atteinte à la personne. A ce titre, il indemnise les préjudices physiques, moraux et économiques et le préjudice exceptionnel spécifique des victimes d’actes de terrorisme.

« Le FGTI prend également en charge les frais d’obsèques et les frais liés, aux choix des familles, soit directement auprès de la société de pompes funèbres, soit en remboursant aux familles les sommes versées (cercueils, crémations, cérémonies, transports, etc.). ». Ça, c’est la théorie chère à tous les ministres de la justice et notamment à Éric Dupond-Moretti.

Dans la réalité, le ministère de la justice se fait du gras sur le dos des victimes, en prélevant 30 ou 40 % des sommes recueillies pour s’autofinancer, et sans fournir de décomptes précis aux victimes des actes de terrorisme ayant obtenu une indemnisation devant la justice. Ou en accordant une somme forfaitaire bien inférieure aux décisions de justice.

Souvent le SARVI paie aux victimes une avance égale à 30% du montant total, avec un minimum de 1 000 euros et un maximum de 3 000 euros. Cette somme leur est réglée dans un délai de deux mois à compter de la réception de leur demande d’aide au recouvrement, si le dossier est complet. Par la suite, le Sarvi ne verse plus rien car il ne parvient pas à récupérer le moindre sesterce auprès des auteurs islamistes incarcérés, libérés de nos prisons ou en fuite.

Le Service d’Aide au Recouvrement des Victimes d’Infractions (SARVI …

Différents témoignages sont là pour corroborer les dysfonctionnements du Sarvi. Ainsi, Madame L. nous explique : « En octobre 2017, se déroulait le procès de deux prévenus dont je faisais partie des victimes. Ils s’agissait de deux mineurs qui avaient pénétré dans le garage de notre immeuble pour y casser les voitures. Lors du procès l’un (le plus âgé) était présent avec sa mère, l’autre (le plus jeune), ne s’est pas présenté, ni même sa mère, et sont sans domicile connu. J’ai saisi la SARVI pour être indemnisée pour mon conjoint, mes enfants et moi-même, tout comme les autres victimes puisque nous avions le droit à des indemnités et que les mères des prévenus étaient insolvables.

« J’ai envoyé exactement les mêmes documents que les autres victimes (puisque nous avons fait les démarches ensemble) contenant certificat de non appel et de non opposition. Sur ceux-ci ils est précisé signifié à parquet pour le mineur et sa mère qui n’étaient pas présent et sans domicile connu.

« Aujourd’hui, les autres victimes ont été indemnisées avec ces documents, c’est à dire les même que j’ai envoyé pour mon conjoint, mes enfants et moi-même. Hors mon dossier à moi n’est pas validé ! Pourquoi ? Parce que la SARVI me demande à moi, une signification à personne !

Les autres victimes et nous-même avons la même gestionnaire de dossier à la SARVI. Une conseillère me dit au téléphone que sa collègue a dû faire preuve de laxisme sur les autres dossiers puisqu’il faut en effet la signification à personne. Hors pourquoi à ce moment-là tout le monde n’est pas traité sur le même tableau ? Pourquoi à nous on nous demande plus ? Je rappelle que l’un des mineurs était lui présent au procès avec sa mère alors en quoi est-ce que ça bloque ?  La SARVI ne me répète que toujours la même chose. Je trouve qu’il y a une injustice….. ».

On peut citer des milliers de cas comme celui-ci.

De plus, se pose le problème de l’indemnisation des vraies victimes d’actes de terrorismes perpétrés par des islamistes. Comment récupérer les sommes allouées par la justice auprès de ces derniers ? Les textes législatifs régissant le fonctionnement du Sarvi précisent (à l’article Article L422-2) : « Le fonds de garantie est tenu, dans un délai d’un mois à compter de la demande qui lui est faite, de verser une ou plusieurs provisions à la victime qui a subi une atteinte à sa personne ou, en cas de décès de la victime, à ses ayants droit, sans préjudice du droit pour ces victimes de saisir le juge des référés.

« Pour procéder à l’examen médical de la victime mentionnée à l’article L. 126-1, le fonds de garantie choisit un médecin spécialisé en évaluation des dommages corporels inscrit sur les listes des experts judiciaires dressées par les cours d’appel.

« Le fonds de garantie est tenu de présenter à toute victime une offre d’indemnisation dans un délai de trois mois à compter du jour où il reçoit de celle-ci la justification de ses préjudices. Cette disposition est également applicable en cas d’aggravation du dommage…. ».

Il semblerait aussi que le Fonds de garantie des victimes des actes de terrorisme et d’autres infractions soit plus prompt à récupérer les sommes dues pour l’indemnisation des victimes auprès des auteurs français et affiche une crainte et une mollesse pour récupérer les sommes allouées aux victimes auprès des auteurs islamistes. Là est tout le problème, car l’immense majorité des actes terroristes sont perpétrés par des islamistes. On l’a vu avec la tuerie du Bataclan, les attentats au stade de France, le massacre de Nice, etc.

Et il ne faut pas compter sur l’actuel ministre de la justice Éric Dupond-Moretti pour améliorer le fonctionnement du Sarvi et pour corriger ses actuelles dérives.

Francis GRUZELLE
Journaliste et écrivain
Carte de Presse 55411

 




Un violeur détenu à la prison de Valence s’évade lors d’une sortie au zoo

|

Le parcours pénitentiaire d’Ahmed B. était ponctué de plusieurs incidents en détention et d’une précédente évasion en 2017 à l’issue de laquelle il avait été rapidement interpellé et réincarcéré. Cette fois, il n’a pas eu besoin d’escalader le mur de la prison et de cisailler les clôtures. Il s’est fait la belle comme un oiseau dans le parc du même nom.

Avec Eric Dupond-Moretti, qui a transformé les prisons en « clubs Med », les détenus vont désormais visiter les zoo. Histoire, peut être, de leur montrer que leurs conditions de détention sont moins sévères que celle des animaux encagés. Mais, il arrive que le compte n’y soit plus une fois la visite du zoo terminée.

Ainsi, mardi 3 mai 2022, lors d’une sortie au zoo d’Upie (1), un détenu du quartier « maison centrale du centre pénitentiaire de Valence » a fait le singe et s’est évadé. Ahmed B., 43 ans, était incarcéré depuis le 23 novembre 2005 pour purger différentes peines, notamment pour viols sous la menace d’une arme.

https://www.msn.com/fr-fr/news/france/valence-un-d-c3-a9tenu-s-c3-a9vade-lors-dune-sortie-culturelle-au-zoo/ar-AAWUXpj?ocid=uxbndlbing

Ahmed B., 43 ans, a profité d’un court instant de solitude dans les toilettes du parc pour prendre la fuite, au nez et à la barbe des agents pénitentiaires. Immédiatement prévenus, les services de gendarmerie ont déployé d’importants moyens opérationnels afin de localiser le fuyard. Un hélicoptère a notamment été déployé pour survoler la zone. En vain.

L’histoire, confirmée par le procureur de la république de Valence ce mercredi, prêterait à rire si l’évadé « d’Alcatraz- Valence » avait été sous le coup d’une peine légère. Mais, l‘individu de 43 ans avait été condamné à 15 ans de réclusion criminelle pour des faits de viols et d’extorsion sous la menace d’une arme.

En effectuant quelques recherches, on apprend que ce taulard au casier judiciaire bien chargé n’en était pas à son coup d’essai. Il s’était déjà évadé de prison en 2017. Incarcéré depuis 2005, il venait de purger une peine de quinze ans de réclusion criminelle pour des faits de viols et d’extorsion commis sous la menace d’une arme. Cette condamnation avait été prononcée en 2008 par la cour d’assises du Rhône.

Le violeur anticipe une libération prévue en mai 2025

Ce détenu avait ensuite été transféré en mai 2021 à Valence afin d’effectuer le reste de « multiples » condamnations de différentes natures : atteinte aux biens et aux personnes, infractions liées aux stupéfiants, infractions au Code de la route. « Sa libération était prévue le 31 mai 2025 », indique la procureur de Valence.

Bref, selon les services d’Eric Dupond-Moretti, ministre de la justice et candidat aux prochaines élections législatives, cet hôte des services pénitentiaires « n’était pas vraiment un mauvais bougre… Réinsérable… Même dans un zoo… ». Certes, son parcours en prison avait été ponctué de « plusieurs incidents ». L’administration pénitentiaire avait néanmoins, relevé « depuis plusieurs mois » un changement, « une dynamique positive dans son comportement ». Selon le parquet de Valence, le détenu suivait une formation et avait commencé à indemniser ses victimes. Il s’était également inscrit sur une liste d’attente pour travailler. C’est la raison pour laquelle, l’administration et le juge d’application des peines lui ont accordé cette permission de sortie culturelle sous la haute surveillance de quatre gardiens bien baraqués..

« Cette permission était prévue sur la journée dans un zoo afin de préparer l’individu à sa future sortie et d’évaluer ses capacités de réinsertion », tente de justifier le parquet.

Recherché, dans un premier temps dans l’enceinte du zoo, par les agents de l’administration pénitentiaire, ce « drôle d’oiseau » est resté introuvable. Les gendarmes ont alors été alertés et un dispositif a été mis en place pour tenter de retrouver le fugitif à l’extérieur du zoo. Il n’allait quand même pas se planquer dans l’enclo des zébus ou des lémuriens.

Le quadragénaire du centre de détention de Valence est toujours activement recherché ce mercredi 4 mai par les militaires drômois.

Bien sûr, une enquête a été ouverte dans la foulée du chef d’évasion avec flagrance et confiée à la Section de recherches de Grenoble en co-saisine avec le Groupement de gendarmerie de la Drôme. Les investigations étaient toujours en cours sous la direction du parquet de Valence mercredi après-midi. «Compte tenu du profil de l’intéressé et dans un souci de préservation de l’ordre public, tous les moyens sont engagés afin de rechercher activement ce condamné. Un mandat de recherche et un mandat d’arrêt ont été décernés mardi à son encontre», précisait une des responsables de l’enquête, jointe par téléphone.

La bonne nouvelle : les autres détenus de la prison de Valence qui visitaient le zoo ce jour là ne se sont pas évadés et ont regagné leurs cellules.

Francis GRUZELLE
Journaliste et écrivain
Carte de Presse 55411

 

Consulter ces articles pour un complément d’information :

https://www.20minutes.fr/faits_divers/3280199-20220429-chambery-les-deux-detenus-qui-ont-tente-de-s-evader-renvoyes-a-la-maison-d-arret
https://www.20minutes.fr/faits_divers/2987451-20210228-perigueux-deux-detenus-evadent-sciant-barreaux-prison
https://www.tf1info.fr/justice-faits-divers/drome-un-detenu-profite-d-une-sortie-au-zoo-pour-s-evader-2218670.html
(1) Le zoo d’Upie – Le jardin aux oiseaux ou zoo d’Upie est un parc zoologique de six hectares, créé en 1976 et situé à Upie, au sud de l’agglomération de Valence, dans le département de la Drôme, en région Auvergne-Rhône-Alpes. Ouvert toute l’année, ce parc à l’entrée payante, présente aux visiteurs deux cents espèces d’oiseaux, correspondant à environ un millier de ces animaux , mais aussi de nombreuses espèces de mammifères, tels que le chien-loup, le zébu, le lama, et le wallaby, ainsi qu’une espèce de reptile. En outre ce parc est présenté comme un centre de reproduction pour espèces menacées.



Eviction de Nathalie Elimas : les médias ont caché le plus grave

|

Officiellement, selon les médias nationaux, la « Stroumpfette » de François Bayrou, secrétaire d’état à l’enseignement prioritaire, a été virée du gouvernement par Emmanuel Macron en ce mois de mars, suite à des accusations de harcèlement moral sur ses collaborateurs, dans son secrétariat d’État. Mais l’affaire officieuse est beaucoup plus grave et relève de la confusion des genres et du conflit d’intérêt. En effet, Nathalie Élimas employait aussi son mari Yann Elimas au sein de son cabinet. Ce que la loi interdit et la justice s’intéresse aussi à Yann Élimas, patron d’une société privée de conseil, qui aurait travaillé pour le ministère. Un mélange des genres interdit par la loi… qui aurait précipité son éjection du gouvernement. Comme par hasard, le même Yann Elimas a sollicité la dissolution de sa société le 22 février 2022, lorsque cela commençait à sentir très mauvais.

https://dirigeant.societe.com/dirigeant/Yann.ELIMAS.77280603.html

Depuis toujours, Yann Elimas a été très investi en politique aux côtés de sa femme. Pendant que la « Stroumpfette » de Bayrou allait aux élections dans le Val d’Oise (législatives de 2012 et de 2017), Yann Elimas a tenté de prendre la tête du MoDem Val-d’Oise en 2014 mais a finalement été battu. Il a alors quitté le parti du centre..

À un mois de l’élection présidentielle, le manège de la « Stroumpfette » de François Bayrou ne pouvait plus durer. Le grain de sable allait se transformer en caillou dans les godasses d’Emmanuel Macron. Accusée de harcèlement moral par une demi-douzaine de membres de son équipe, Nathalie Élimas, 48 ans, a été priée de tirer sa révérence. Il est vrai que la belle Nathalie Elimas est ex-cadre en ressources humaines initiant durant des années des campagnes contre le harcèlement scolaire.

Elle est désormais visée par plusieurs enquêtes judiciaires, notamment celle initiée par l’Inspection générale de l’éducation, du sport et de la recherche (IGESR) pour des faits de même nature. Ca commençait à vraiment faire désordre. Surtout que les témoignages étaient « concordants » mais aussi « graves et accablants ».

Le samedi 5 lars 2022, Emmanuel Macron et l’Élysée ont donc débranché la secrétaire d’État à l’Éducation prioritaire en se basant sur les conclusions d’un rapport provisoire, afin d’éviter un scandale à quelques jours de l’élection présidentielle.

Sans vergogne, la « Stroumpefette » de François Bayrou a contre attaqué dans les colonnes du Parisien, pour essayer de sauver son siège de députée du Val d’Oise en juin prochain :«J’ai préféré me retirer pour ne pas pénaliser la campagne présidentielle et pour mieux préparer ma réponse à ces attaques», fanfaronnait la députée du Val  d’Oise dans Le Parisien. «Je suis victime d’attaques très virulentes et de propos mensongers sur la base seule d’une enquête administrative. Je rappelle qu’il n’y a pas de plainte et pas d’enquête préliminaire », osait affirmer cette ministre de Macron, prise les doigts dans le pot de confiture et la « boîte à sucres ».

Du coup, Nathalie Elimas rejoint le cercle très fermé de la trentaine de ministres de Macron (cru 2017) ayant des ennuis avec la justice ou condamnés, dans la longue série qui commençait par François Bayrou, Marielle de Sarnez, Sylvie Goulard, Richard Ferrand, et qui se poursuivait avec Eric Dupond Moretti,  Brune Poirson, Christelle Dubos, Jean-Paul Delevoye, Benjamin Griveaux, et quelques belles têtes de vainqueurs moins connues, mais aussi indélicats.

Francis GRUZELLE
Journaliste et écrivain
Carte de Presse 55411