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Juges et écolos ont condamné à mort le dresseur de tigres Mario Masson

Le dresseur de tigres Mario Masson est condamné à 5 000 euros et à la saisie de ses 10 tigres, pour mauvais traitements.

Le dresseur de tigres Mario Masson est notamment condamné à 5 000 euros d’amende pénale, à la suppression de ses droits civiques pendant deux ans, à la saisie de ses 10 tigres. Il doit verser 246 000 euros aux diverses parties prenantes du dossier, à savoir des associations écologistes.

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Pauvre France ! Alors que de faibles peines de prison (avec sursis dans certains cas) condamnent les migrants ayant commis des actes délictueux ou criminels, le tribunal de Beauvais vient de condamner très lourdement un patron de cirque, Mario Masson. Son crime ? Elever et présenter un spectacle avec dix tigres. Présent à l’audience, avec mes confrères du Courrier Picard, j’ai été tétanisé par le lynchage juridique de ce patron de cirque et dresseur de fauve, qui a tout perdu lors de l’énoncé du verdict en quelques minutes. A cela s’ajoute le préjudice économique et les pertes d’emplois.

Un routier meurt peu après une altercation avec des migrants

https://www.20minutes.fr/faits_divers/3202103-20211220-calais-routier..
https://ripostelaique.com/5-et-4-ans-de-prison-pour-2-marocains-en-oqit-pour-agression-a-la-machette.html

Oise: les tigres de l’éleveur confisqués et une lourde amende …

https://www.courrier-picard.fr/id364889/article/2022-11-28/oise-les…

Sous la pression d’une association écologiste, Mario Masson a été reconnu coupable de détention d’animaux non domestiques de 2019 à 2020, d’acquisitions et cessions irrégulières d’animaux, etc. Suite à ce jugement rendu ce lundi 28 novembre,  Mario Masson a l’interdiction de se livrer à une activité en lien avec des animaux pendant 2 ans, peine aggravée par 2 ans d’inéligibilité et une amende de 5 000 euros, ainsi que la saisie de ses dix tigres. Il devra aussi s’acquitter de 246 000 euros aux diverses parties prenantes du dossier, à savoir des associations écologistes.

Sans la pression des associations écologistes, qui font désormais la loi dans les cantines et les prétoires, les magistrats auraient sans doute été plus cléments. Car leur verdict ruine un cirque, mais aussi la vie d’un homme, dont les économies ont été saisies. Pensez ! Dans le détail, outre les sanctions pénales infligées, comme si Mario Masson était l’ennemi public numéro 1, le “Jacques Mesrine du cirque”, le tribunal condamne Mario Masson à une interdiction d’élevage pendant deux ans, ainsi qu’à de sévères amendes. Toutes causes de préjudices et de frais de justice confondus, l’association One Voice doit recevoir 34 500 €. Les fondations Lamart et Brigitte Bardot, qui s’étaient portées parties civiles, doivent recevoir chacune 1 800 €.

33 000 € doivent revenir à l’État. Et 55 000 € doivent aller à l’Urssaf. Les dix tigres saisis et recueillis près de Saint-Etienne (Loire) par l’association Tonga Terre d’Accueil, resteront dans ce refuge. Aux frais de Mario Masson qui doit 120 000 € pour cela. Son plan d’épargne logement (les économies d’une vie) est également saisi, soit 61 425,78 €.

Un délibéré de près de trois ans

Pendant trois ans, les associations écologistes ont eu le temps de multiplier les pressions. Car ce délibéré est le dénouement d’une histoire qui commence en janvier 2020 avec une plainte de l’association One Voice , qui remet à la justice des photos de tigres dans des camions de transport.

Du côté des associations écologistes, Muriel Arnal, présidente de One Voice, exprime son immense satisfaction en ces termes : “C’est la première fois en France qu’un dresseur de cirque est reconnu coupable de mauvais traitements sur des animaux avec cette circonstance aggravante d’être un professionnel. Il nous a fallu essuyer beaucoup de revers avant cette victoire, elle est d’autant plus forte. Un grand merci à tous ceux qui ont cru en notre détermination indéfectible pour ces tigres et nous ont soutenus dans l’adversité. ”

D’une manière plus générale, cette affaire montre qu’on est tombé bien bas en France. Les agresseurs des “petites vieilles” dans le métro ou sur le trottoir bénéficient de peines légères aménageables. Des migrants arrêtés pour agressions sont remis en liberté dans les heures qui suivent leur interpellation. Des retraités sont torturés à leur domicile sans qu’on retrouve les auteurs des sévices et vols de liquidités et de bijoux, etc, etc. Des Français sont agressés à coup de couteau ou de machette dans la rue et les auteurs sont internés en psychiatrie au lieu d’être jugés.

Dans cette même France, 40 000 étudiantes se prostituent pour survivre, pour payer leurs études, leur appartement, après la diminution des APS par Emmanuel Macron.

« Octopus » accuse Macron : il a livré 40 000 étudiantes à la …

Et dans le même temps, alors que la plupart des cirques sont en dépôts de bilan, on jette en pâture au grand public un dresseur de tigres qui a souvent fait partager la Piste aux étoiles aux enfants défavorisés des banlieues, apportant un moment de rêve à bien des gamins, qui ressortaient du chapiteau avec des étoiles plein les yeux.

On est très très loin du film des années 70 “Itinéraire d’un enfant gâté” avec Jean-Paul Belmondo et Richard Anconina. Car ce lundi la justice n’a pas gâté Mario Masson pour son dernier tour de piste, après une vie de labeur.

Francis GRUZELLE

Journaliste et écrivain
Carte de Presse 55411

 

 




5 et 4 ans de prison pour 2 Marocains en OQIT pour agression à la machette

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Châteauroux confrontée aux bonnes vieilles méthodes africaines…. Il parait que cette ville abriterait des migrants en situation irrégulière. Incroyable, non ?

Fait suffisamment rare : le 25 novembre, Agnès Auboin, procureure de la République de Châteauroux, a demandé et obtenu l’application de la loi contre deux marocains en OQIT après une agression à la machette. Leux hommes de 25 et 23 ans, Marocains en situation irrégulière, ont été condamnés pour des faits de violences avec machette, perpétrés dans la nuit du 28 au 29 septembre 2021, dans un appartement de Châteauroux. Leurs deux victimes avaient écopé de 30 jours d’ITT.

Les faits dans cette paisible commune de France ? Il était à peu près 23 h quand Abdel et Youssef, qui vivaient depuis 8 mois chez Karim, ont décidé d’aller frapper chez leur voisine du dessus, où se trouvait Mohamed. Ce dernier a été contraint de quitter le logement et obligé de les suivre au rez-de-chaussée, chez Karim. Là, durant des heures, il a été tabassé, humilié, s’est fait uriner dessus et a finalement été retrouvé quasi-inanimé, comme le révèlent nos confrères de la rédaction de La Nouvelle République. L’agression, filmée, a servi de base aux enquêteurs pour déterminer les différentes responsabilités dans cette histoire un peu compliquée.

La victime à la barre du tribunal : “Ils m’ont coupé avec une mâchette”

La victime a expliqué aux magistrats avoir été agressée par ces deux-là car, quelques jours avant, il avait “témoigné contre un de leurs amis, qui tapait sa femme”. “C’est pour ça qu’ils m’ont tapé, avec un bâton, et qu’ils m’ont coupé avec une machette. Ils m’ont aussi attaché à une chaise, puis mis à genoux. Là, ils m’ont filmé en train de demander pardon à leur ami…”

L’ami des agresseurs, qui fait l’objet d’un mandat d’arrêt, n’était pas présent au tribunal. Le calvaire de la victime s’est arrêté quand la police est arrivée sur les lieux, prévenue par des voisins qui avaient entendu des hurlements. Les prévenus ont tenté de prendre la fuite, le premier a été retrouvé sur le toit du petit immeuble, l’autre caché dans le hall d’une habitation voisine. Ils ont été interpellés, entendus, et compte tenu de la violence des faits qui leurs étaient reprochés, placés en détention provisoire.

Si Mohamed a été grièvement blessé, le locataire de l’appartement, Karim, a lui aussi été violenté par les deux frères, qui lui ont notamment cassé le bras. Les deux victimes ont écopé de 30 jours d’incapacité totale de travail (ITT).

“Le procès de l’immigration clandestine”

Les débats ont houleux, les avocats des agresseurs tentant de politiser le débat judiciaire en essayant de démontrer que les deux prévenus obéissaient au donneur d’ordre, qui était leur dealer, et qui exerçait sur eux une forme de chantage lié à leur situation administrative.

Dans son réquisitoire, Agnès Auboin, procureure de la République, a notamment parlé ” de volonté d’humilier “, “de scène de décapitation mimée”, et a prononcé un réquisitoire de 5 ans de prison pour les trois prévenus.

Les avocats d’Abdel et Youssef ont évoqué “des petites mains qui exécutaient la sale besogne” et “le procès de l’immigration clandestine, de la misère sociale, avec deux proies idéales, qui quoi qu’il arrive n’allaient pas parler.”

La présidente du tribunal a condamné le donneur d’ordre à 5 ans de prison, avec un mandat d’arrêt à la clé. Abdel et Youssef ont été condamnés à 4 ans de prison, avec une interdiction définitive d’accès au territoire français qui sera effective dès leur peine effectuée. Si la loi avait été appliquée dès le départ à l’égard des racailles condamnées le 25 novembre, ce nouveau fait divers glauque n’aurait pas eu lieu dans cette paisible ville de province. Et combien d’actes similaires, chaque jour, passés sous silence par la presse ?

Châteauroux : prison ferme pour une agression à la …

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Agression mortelle à Châteauroux : les motards rendent …

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Châteauroux : un homme en comparution immédiate …

https://www.francebleu.fr/infos/faits-divers-justice/une-enquete..
Comme on li voit ci-dessus, il y avait déjà eu des précédents à Châteauroux…
Francis GRUZELLE

Journaliste et écrivain
Carte de Presse 55411

 Condamné pour avoir frappé une médecin

 

 




Grâce à Isabelle Surply, nouvelle victoire sur l’islamisme à l’ENS de Lyon

Avant cette nouvelle victoire Lyonnaise, Isabelle Surply la patriote a obtenu l’expulsion de l’imam intégriste de la mosquée de Saint-Chamond dans la Loire, à la surprise générale, après un combat de plusieurs mois pour que force reste à la loi.

Lundi 31 octobre, la conseillère régionale ex-RN d’Auvergne-Rhône-Alpes Isabelle Surply a fait exclure une association islamiste étudiante de l’École normale supérieure de Lyon. Témoignage du combat d’une militante patriote hors normes qui ne lâche rien.

C’est une belle victoire pour La militante patriote Isabelle Surply !

Dans cette affaire où l’islam militant bafouait une fois encore les lois de la République et la laïcité, la Région Auvergne-Rhône-Alpes et son président Laurent Wauquiez sont montés au créneau.

Si cette association islamiste étudiante   a été acceptée par l’ENS Lyon, il n’en était pas de même des catholiques, puisque l’aumônerie catholique de l’école a été supprimée récemment, comme l’explique Isabelle Surply, “Lors du forum des associations de l’ENS début octobre, explique la conseillère régionale, l’AMENS exposait un stand où se trouvaient des livres ouvertement salafistes, un courant extrêmement radical de l’islam”. Alertée, la région Auvergne-Rhône-Alpes a annoncé « être extrêmement vigilante » et avoir saisi le rectorat. Une mesure dont s’est félicitée Isabelle Surply sur Twitter. Qui prévient tout de même : “Je compte bien saisir la préfecture du Rhône pour faire dissoudre purement et simplement cette association”.

Il y a quelques mois, Isabelle Surply avait fait expulser l’imam intégriste de la mosquée de Saint-Chamond dans la Loire, à la surprise générale.

« L’expulsion et la reconduite aux Comores de l’imam de la mosquée de Saint-Chamond, Mmadi Ahamada, c’est ma victoire ! » explique sans détour Isabelle Surply, conseillère municipale de la ville et élue régionale qui nous précise au téléphone : « Mais c’est aussi la victoire de tous ceux qui m’ont soutenue. »

Il est évident que, sans elle, rien ne serait arrivé. Le gouvernement d’Emmanuel Macron et Gérald Darmanin toléraient les prêches prônant la soumission des femmes, leur interdiction du lieu de prière sous prétexte fallacieux du Covid et obligatoire pour les petites filles. Sans compter les liens affichés par l’imam avec la figure de la mouvance salafiste (aujourd’hui décédé) Rachid Haddache.

Tous ces faits inadmissibles ont eu le don de galvaniser l’énergie de cette mère de famille de 37 ans qui « compte bien participer coûte que coûte à la conservation de notre modèle de vie christiano-occidental ». Forte de son expérience de conseillère en entreprise, l’élue n’a cessé d’interpeller les autorités publiques. D’abord via les réseaux, puis par mail et lettres recommandées envoyées toutes les semaines aux services de la préfecture de la Loire. L’élue a  pilonné les autorités « pour qu’elles n’aient pas d’autre choix que d’appliquer la loi qui est bien faite », alertant sans relâche les médias, ces « formidables leviers »« Une manière aussi de faire comprendre aux gens que lorsqu’ils sont impliqués, leurs élus sont efficaces. »

Des efforts qui ont porté leurs fruits : Gérald Darmanin a été obligé de se saisir saisi de l’affaire et a entamé une procédure qui s’est soldée, ce lundi 2 mai 2022 (« jour de l’aïd ! », souligne malicieusement Isabelle Surply), par l’expulsion de l’imam Mmadi Ahmada.

À 18 ans, Isabelle adhère au Front national

Depuis toujours, cette grande et belle jeune femme affiche une énergie et une combativité qui forcent l’admiration. Tant son courage est immense. L’échec du « vivre ensemble », elle connaît, elle l’a vécu. Lors de ses années de collège à La Seyne-sur-Mer. Elle raconte : « Là-bas j’étais celle qui se fait harceler ; trop catho, trop bien élevée, trop “première de classe ”, ils m’ont même fait manger de la boue ! ». Jusqu’à ce jour où, contrainte de se déplacer avec des béquilles, un camarade lui fait un crochet-patte. Elle ajoute : « Ce jour-là, j’ai vidé mon casier et j’ai annoncé à mes parents que je n’y retournerais plus. Je les ai suppliés de m’inscrire dans un pensionnat catholique, chez les religieuses. »

Le goût du militantisme et de la politique, c’est son père qui l’a transmis à Isabelle Surply. Elle se souvient, comme si c’était hier : « En famille, on en parlait beaucoup. » . Logiquement à  18 ans, elle adhère au Front national et rejoint tout naturellement les rangs de la Manif pour tous car, pour elle, « la défense de la vie, c’est sacré ». Devenue stéphanoise d’adoption, elle est élue au conseil régional d’Auvergne-Rhône-Alpes depuis 2015, puis à la municipalité de Saint-Chamond en 2020, ville de 35.000 habitants. Elle revendique aujourd’hui le statut de conservatrice et de populiste au sens où « militer, c’est s’occuper des gens, et les gens, je les aime ! » clame la jeune élue.

Isabelle Surply se veut aussi une lanceuse d’alerte. Un exercice dangereux dans la France de Macron. Car, depuis le mois de mars 2022, l’élue est sous le coup d’une mise en examen pour diffamation à l’initiative du Conseil du culte musulman pour les mêmes propos qui ont permis aux autorités d’expulser l’imam. Une situation kafkaïenne… Mais bien française.

Des faits bien plus graves ont bouleversé le quotidien d’Isabelle Surply, : les menaces de mort, de décapitation, de viol, de « On va tuer tes bébés » sont devenues le quotidien d’Isabelle Surply. Du jour où, en 2016, elle poste une vidéo sur les réseaux sociaux d’un rassemblement de femmes voilées dans une rue de Lyon avec ce commentaire : « Ai-je encore le droit de dire que je ne suis plus chez moi ? ». Terrible constat dans la France de 2022.

Elle dépose plainte. Huit ou neuf fois, sans succès. Isabelle Surply avoue : « Jusqu’à aujourd’hui, j’étais un peu naïve, je pensais que c’était normal, ce silence des autorités. » Mais aujourd’hui, ses amis et l’ASLA (Association de soutien des lanceurs d’alerte) qui lui ont spontanément fourni un avocat et constitué une cagnotte pour ses frais de justice lui font prendre conscience que « tout ça peut très mal se terminer pour elle et sa famille”. Une situation qui justifierait sa mise sous protection par l’État qui ne vient pas. Car Isabelle Surply indispose Gérald Darmanin et la clique au pouvoir !

Pas facile d’être une patriote dans la France de 2022. Pas facile de faire appliquer la loi dans la République d’Emmanuel Macron, dans une France qui s’islamise jour après jour, avec la complicité des élites gauchistes, des ministres, de nombreux juges aux ordres d d’un pouvoir décadent et aux abois.

Francis GRUZELLE
Journaliste et écrivain
Carte de Presse 55411

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La police de la pensée s’acharne contre Christine Tasin : nouvelle plainte!

Scandale : les dysfonctionnements du Fonds de garantie des victimes de terrorisme

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Gérard Majax : “les jeunes roumaines dans le métro plus fortes que moi”

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Le magicien Gérard Majax a trouvé plus fort que lui : les jeunes roumaines qui font disparaître les portefeuilles des usagers du métro.

Gros malaise avant hier soir sur plateau de “C à vous” quand le magicien Maurice Faier, dit Gérard Majax, dénonce “les bandes de jeunes roumaines dans le métro” plus fortes que lui pour faire disparaître les portefeuilles.

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Le magicien Gérard Majax  qui est un des magiciens les plus célèbres de France était en effet invité au diner de l’émission avec plusieurs autres de ses confrères. Tout se passait dans la joie et la bonne humeur, jusqu’au moment où Elisabeth Lemoine lui demande si avec son talent, il n’a jamais eu la tentation de tomber dans l’illégalité…

A la surprise générale, Gérard Majax lui répond “qu’il est de tout de façon dépassé par les jeunes roumaines dans le métro qui se déplacent en bandes” et qui niveau pickpocket sont plus fortes que lui…

Malaise affiché de la présentatrice qui l’interrompt sèchement en lançant “si c’est de l’humour, c’est raté”.

Elisabeth Lemoine a bien tenté la diversion maladroite avec son « si c’est de l’humour, c’est raté ». L’intervention de Gérard Majax a créé un énorme malaise sur le plateau ouaté de cette émission de service public, dont les journalistes sont des gauchistes avérés.

Le 19 avril 2022, entre les deux tours de l’élection présidentielle, Gérard Majax s’était invité, bien malgré lui,  dans le débat Macron-Le Pen et créé un nouveau clivage

Pendant le débat d’entre-deux tours, Emmanuel Macron, à court d’argument, avait cité le magicien pour répondre sèchement à Marine Le Pen sur les chiffres du chômage.

Ce soir-là, des milliers de téléspectateurs avaient eu le même réflexe: taper 12 lettres suivantes dans Google. “Gérard Majax”. La faute à Emmanuel Macron qui, lors du débat de l’entre-deux tours de la présidentielle, avait lancé le nom du magicien pour répondre à Marine Le Pen.

“C’est pas Gérard Majax ici”, avait lancé le président fossoyeur de la France pour tenter de clore une séquence sur les chiffres du chômage et de la dette Covid.

Aussitôt un clivage était apparu sur Twitter parmi ceux qui suivaient ce débat. D’un côté ceux qui connaissent parfaitement le célèbre prestidigitateur des années 80-90, et ceux qui ignoraient son existence.

En France Gérard Majax reste une légende

Quel personnage que ce Gérard Majax. A une époque, il était suivi par la France entière. Ce magicien a été notamment le créateur de 17 coffrets de prestidigitation entre 1970 et 1990. De 2007 à 2012, il gère sa maison d’édition, les éditions Abracadabra. Après avoir présenté un tour de magie au Club Dorothée lors de l’émission du mercredi 1 er juin 1994, Gérard Majax est invité à venir proposer dans l’émission, tous les mercredis matin durant la saison 1994-1995, une énigme que les téléspectateurs doivent résoudre, ainsi qu’un tour de magie. En mars 1995, il participe au premier volet « Le chirurgien, le magicien et la psychanalyste » de l’émission La traversée de la main, produite par Catherine Soullard et diffusée sur France Culture dans Les nuits magnétiques. Il est invité à l’émission C’est mon choix du 26 septembre 2000 pour débattre de l’existence de pouvoirs surnaturels.

Selon le site Wikipédia, “À partir de 2002, son invention « l’Hallucinoscope », qui est selon le journal La Croix « un astucieux procédé optique très spectaculaire qui donne l’impression de marcher dans les airs », est exposée pour trois ans dans le musée scientifique du Palais de la découverte à Paris. Gérard Majax continue cependant de sillonner les routes de France pour présenter, dans la tradition du music-hall et enrichi d’anecdotes du métier, son spectacle Les dessous du Magic-Hall.

Francis GRUZELLE
Journaliste et écrivain
Carte de Presse 55411

 




Belles victoires de Riposte Laïque: Serne et Ghazli déboutés

Pierre Serne a perdu ses procès, alors qu’il exultait sur les réseaux sociaux en déclarant “le fascisme est vaincu !”.

Figure islamiste ayant infiltré la droite française, l’Islamo-turc Mourad Ghazli est lui aussi débouté par les tribunaux suite aux procédures engagées contre les patriotes français et suisses.

Riposte laïque (RL), site web créé en septembre 2007 avec un journal diffusé par le web et par courrier électronique, traitant principalement de la laïcité et de l’islam, a souvent été poursuivi par la justice française. Certains médias français ont même estimé que le site était harcelé par les juges tant les convocations devant les tribunaux se succédaient à un rythme infernal. Avec, à chaque fois, la condamnation des directeurs de publication, même lorsque ces derniers avaient la nationalité Suisse ou Israélienne.

Certains juges français auraient-ils pris conscience du péril islamique et migratoire qui menace le pays ? Car, en une semaine, Riposte Laïque vient de gagner deux procès contre des figures de proue de l’islam en Europe. Autant dire que le président du site, Guy Sebag, “boit du petit lait” et déclare : “Décidément, les jours se suivent et se ressemblent. Hier, j’avais Maître Pichon qui m’annonçait qu’en appel, notre grand copain Pierre Serne avait perdu, dans sa plainte contre nous, mais qu’il allait en cassation…..”.

Proche de Sandrine Rousseau, Pierre Serne s’est notamment illustré en déposant un recours administratif contre la décision du 16 février 2016 du STIF (aujourd’hui Île-de-France Mobilités), présidé par Valérie Pécresse, de supprimer la réduction solidarité transport de l’aide médicale d’État aux étrangers en situation irrégulière. Cette victoire judiciaire a obligé théoriquement le STIF à redonner la réduction de 50 % aux usagers en question et a occasionné un tollé politique au sein de la droite régionale.

Suite aux articles diffusés sur les dérives de Pierre Serne, Riposte Laïque avait perdu en première instance, lors du procès intenté par Pierre Serne contre le site, condamné à verser 6 000 euros à Serne qui exultait sur les réseaux sociaux en déclarant “le fascisme est vaincu !”.

https://ripostelaique.com/mais-a-quoi-joue-donc-lislamo-ecolo-gauchiste-pierre-serne.html

https://ripostelaique.com/debat-judiciaire-qualifier-serne-dislamo-fellateur-est-il-homophobe.html

Manque de chance pour Pierre Serne, ardent défenseur de l’islam, il y avait une 2e mi-temps, et la Cour d’Appel a désavoué la 17e Chambre, en relaxant Riposte Laïque. L’avocat du site, Maître Frédéric Pichon pense qu’il a gagné parce qu’il a utilisé une nouvelle jurisprudence, fort intéressante, de la Cour de Cassation, “estimant qu’un directeur de publication ne peut être condamné que s’il est prouvé qu’il a participé à la mise en place de l’article sur le site. A suivre, donc…

Le réfugié Islamo-turc Mourad Ghazli débouté devant la justice française

Autre belle victoire, celle obtenu après dix ans de procédures judiciaires contre le réfugié Islam-turc Mourad Ghazli, ancien syndicaliste de la RATP française, un temps membre des Grandes Gueules, exilé en Turquie, se disant supporter d’Erdogan.

A l’origine, Mourad Ghazli, né le 17 mai 1974 à Aubagne (Bouches-du-Rhône), se dit un homme politique, syndicaliste, entrepreneur et ancien sportif français. Après s’être présenté à la présidence de l’ UMP, élection où il obtient 0,8 % des voix, il est en 2007 membre du bureau exécutif du Parti radical valoisien. Lors de l’élection présidentielle de 2007, il appelle à voter pour François Bayrou lors du premier tour et Ségolène Royal au second.

Lors de l’ élection municipale de 2014 à Thiais, Ghazli, chef de file local de l’UDI choisit de rejoindre la liste d’union de la droite menée par Richard Dell’Agnola (UMP). Il est présent en 13e position et la liste sort vainqueur au second tour. Ghazli est alors élu au conseil municipal où il est nommé maire adjoint à la sécurité et aux transports. En juillet 2016, il fait l’équivalence entre l’« extrémisme laicard » en France et Daesh. Le maire de Thiais, Richard Dell’Agnola, lui retire alors ses délégations en tant qu’adjoint et lui demande de démissionner. L’UDI l’exclut. Il déclare cependant vouloir rester conseiller municipal jusqu’à la fin de la mandature « pour faire ch… le maire ». Pro- Erdogan, il vit depuis en Turquie.

Mourad Ghazli dépose en septembre 2016 sa candidature à la primaire présidentielle des Républicains de 2016 au titre du parti Mouvement pour l’équité et le développement. Elle n’est pas retenue.

Fin juin 2018, à l’occasion de la Marche des fiertés, Ghazli manifeste dans une vidéo violente (puis une série de tweets), sa haine de la communauté LGBT en France, faisant des amalgames entre homosexualitézoophilie et pédophilie.

Face à l’Islamo-turc Mourad Ghazli, c’est donc une belle victoire juridique de Riposte Laïque et des patriotes Suisses, puisque Mourad Ghazli,
avait déposé plainte contre Danielle Borer, présidente suisse de Riposte Laïque à l’époque (années 2012-2013) et contre Christine Tasin. Il a été débouté de ses
deux plaintes, et et Riposte Laïque et ses dirigeants sont relaxés.

https://ripostelaique.com/refugie-en-turquie-lislamo-ghazli-nous-traine-devant-les-tribunaux-francais.html

Serne et Ghazli déboutés en deux jours par la justice française, deux combats gagnés par l’avocat Frédéric Pichon, cela fait chaud au cœur de tous les patriotes français et suisses.

Dans les deux cas, la loi française, très stricte au niveau des textes, a été correctement appliquée et rendue.

Francis GRUZELLE
Journaliste et écrivain
Carte de Presse 55411




A St-Étienne, Oussama A. marchait armé d’un couteau en criant “Allah Akbar”

A Saint-Étienne, dans la Loire, les policiers ont arrêté Oussama A., un individu qui marchait dans la rue armé d’un couteau en criant “Allah Akbar”. Il a menacé de mort les agents et fait l’apologie du terrorisme. Il était visé par une OQTF. L’auteur, âgé de 31 ans, est en situation irrégulière et visé par une Obligation de quitter le territoire (OQTF). Il a été placé en garde à vue.

Scène presque ordinaire dans une France à la dérive. Des policiers de Saint-Etienne (Loire) ont interpellé Oussama A., un individu de 31 ans qui marchait dans la rue muni d’un couteau en criant «Allah Akbar». Apologie caractérisée du terrorisme et menace envers une personne dépositaire de l’autorité publique (PDAP) ont motivé l’arrestation de cet individu de 31 ans. Il a été interpellé par des agents de police à Saint-Etienne . L’homme marchant dans la rue armé d’un couteau en criant «Allah Akbar» ,’a pas eu le temps de faire des victimes.

Selon les sources policières, il s’agit d’un certain Oussama A., connu des services de police et faisant l’objet d’une Obligation de quitter le territoire (OQTF).

UN POLICIER BLESSÉ

“La scène s’est déroulée vers 20h40, lorsqu’à l’approche des fonctionnaires venus l’interpeller, l’individu s’est rebellé tout en faisant l’apologie du terrorisme et menaçant de mort les policiers, dont un a été blessé.” confirme un magistrat du parquet de Saint-Etienne joint par téléphone.

Le policier blessé s’est vu attribuer un jour d’incapacité totale de travail.

Le véhicule de police a également été dégradé par des coups de pieds de l’interpellé.

Selon l’article 433-3 du Code pénal, toute personne menaçant de commettre un crime ou un délit dans ce même contexte est susceptible d’écoper d’une amende de 75.000 euros et de cinq ans d’emprisonnement.

Mais, la loi française, très stricte au niveau des textes, sera-t-elle correctement appliquée et rendue pour Oussama A. ?




Darmanin excuse la meurtrière de Lola, les narco font la loi à Nantes et Marseille

Les fusillades des narcotrafiquants dans les grandes villes et les cités témoignent de l’impuissance du ministre de l’intérieur Gérald Darmanin.

A quoi sert le ministre de l’intérieur Gérald Darmanin ?  Le locataire gratuit de la place Beauvau n’avait toujours pas réagi dans la journée de lundi, au meurtre de Lola, pas davantage que le ministre de la justice Éric Dupond-Moretti. Silence radio aussi du président Emmanuel Macron. Le même Darmanin s’était déplacé par avion à Rennes quelques minutes après qu’un tag ait été découvert sur la mosquée. Interrogé par Calvi, Gérald Darmanin ose affirmé que “cela faisait à peine 1 mois que l’Algérienne meurtrière de Lola devait quitter la France”. Il insiste sur le fait qu’elle n’était pas connue des services de police, donc pour lui, “c’est normal qu’une personne qui doit quitter le pays y soit encore un mois plus tard.”. Il insiste aussi sur le fait que l’assassin aurait été victime de violences conjugales, autrement dit “le discours de l’excuse pour justifier l’inaction de l’Etat, voire excuser le crime abominable”.

Et pendant que Gérald Darmanin disserte sur les plateaux de télévision, le narcobanditisme prend ses quartiers à Nantes et à Marseille. Un constat effectué par nos confrères de la rédaction du quotidien Le Monde qui écrivent « Aujourd’hui, on est face à des jeunes qui sont parfois montés très vite [dans le trafic] et qui sont sans foi ni loi »,  en citant un enquêteur de police aguerri. « On voit beaucoup plus de gros calibres, d’armes de guerre. Ça tire à tout-va et parfois même à l’aveuglette. Plus rien ne semble réfléchi. On est dans l’épidermique. Il n’y a même plus de souci de discrétion. »

A Nantes, les innocentes victimes collatérales des narcotrafiquants tombent elles aussi. Ainsi, Esteban, 18 ans, s’est effondré un soir au pied d’un immeuble, dans la cité d’à côté. Rue Théophile-Guillou, à Saint-Herblain, en périphérie de Nantes. Une Audi s’est arrêtée. Deux détonations ont claqué dans la nuit. Le jeune homme a été tué d’une balle dans le dos. Par erreur. Il était au mauvais endroit au mauvais moment.

Les parents de la victime Stéphanie et David Le Costevec crient leur désespoir. Stéphanie et David Le Costevec n’en savaient rien, mais ce petit quartier discret, qui ne porte même pas vraiment de nom, abritait l’un des trente points de deal alors recensés dans l’agglomération nantaise. « On a toujours su que notre fils s’était trouvé au mauvais endroit au mauvais moment », dit aujourd’hui Mme Le Costevec. Esteban, jeune garçon « sans histoire », intérimaire en maçonnerie, a été pris à son insu dans ce qu’ils appellent « une guerre de territoires »… 

 A Marseille, la guerre de la drogue tue des hommes de plus en plus jeunes

Encore trois jeunes hommes, âgés de 24 à 27 ans, connus de la justice pour avoir été mêlés à des affaires de drogue pour l’un, de violences avec arme pour le deuxième, et de transport d’arme pour le dernier, ont été interpellés mi-septembre au terme de minutieuses investigations, menées par la Direction territoriale de la police judiciaire (DTPJ) de Nantes. Le mobile paraît se confirmer : visés par une bande rivale lors d’une précédente fusillade en juin 2019 dans un autre quartier nantais, Bellevue, les suspects auraient tiré ce soir-là « en réponse ».

Pendant que Gérald Darmanin est aux abonnés absents, à Marseille la guerre de la drogue tue des hommes de plus en plus jeunes. Trente-cinq règlements de comptes, qui ont fait vingt-quatre morts et de nombreux blessés, ont déjà eu lieu au cours des neuf premiers mois de l’année dans la cité phocéenne. Sans susciter de réaction particulière de la part du même Gérald Darmanin.

Heureusement, à défaut d’un ministre de l’intérieur compétent, les policiers Marseillais disposent de performantes écoutes téléphoniques.

« Et moi, je vais l’éclater. Il faut trouver la moto. J’ai les soldats, des gens vaillants, j’ai les armes, j’ai une guitare [kalachnikov]. Tu fais mon pilote, si je l’éclate à lui ? Et on récupère toi et moi le charbon [plan de revente de drogue]. A 180 000 [euros] dans le mois, tu gagnes des sous là ! Toutes les semaines, tu as ton enveloppe. Nous, on monte pas au quartier. Quand y a un problème, on rafale, on tire, on les massacre ! » Lorsqu’ils captent cette conversation, le 14 avril 2020, grâce à un micro dissimulé dans le véhicule d’un homme qu’ils soupçonnent d’être un trafiquant, les policiers n’en croient pas leurs oreilles. Ils ont là les préparatifs d’un règlement de comptes destiné à reprendre le point de vente de stupéfiants de la cité marseillaise du Petit Séminaire (13e arrondissement).

 A Marseille, l’extrême violence se banalise chez les jeunes impliqués dans le trafic de drogue

Selon un commissaire de police de la cité phocéenne, joint par téléphone, “Bon nombre de ces fusillades sont qualifiées de tentatives d’assassinat, cela étant dû à la « maladresse » des auteurs ou à l’usage d’armes qui s’enrayent, signatures d’un certain amateurisme aux yeux des policiers. Dans une ville où même les médias tiennent la comptabilité morbide des règlements de comptes, la police judiciaire et les magistrats chargés de la lutte contre le narcobanditisme redoutent que le chiffre final soit, en 2022, plus élevé qu’en 2021, déjà une année noire, avec trente-cinq règlements de comptes et trente morts, marquée par un pic durant l’été, avec dix-neuf règlements de comptes”.

Gérald Darmanin oublie une chose : tous les français ne sont pas favorables aux égorgements dans les rues, aux fusillades du grand banditisme, au grand remplacement et à une immigration de masse.

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Thaïs d’Escufon persécutée par la Macronie et les juges

Un physique de viking, des arguments imparables, un constat qui glace le sang, des chiffres en millions de migrants accueillis à l’appui, Thaïs d’Escufon dérange les politiques.

Des migrants en train d’être recueillis dans la mer Méditerranée par SOS Méditerranée.

Une manifestation de militants de Génération identitaire avant que l’association ne soit dissoute par les politiques au pouvoir en France.

Depuis lundi, les articles de la presse locale et nationale s’enchaînent pour parler du procès des militants de Génération Identitaire contre SOS Méditerranée. Et avec eux, un flot ininterrompu de mensonges à l’encontre des 22 prévenus et des figures de proue du mouvement dissous,  Thaïs d’Escufon, 23 ans,  et Jérémie Piano, 28 ans, candidat RN aux élections législatives dans les Bouches-du-Rhône en 2015 et aux dernières législatives pour le mouvement d’Éric Zemmour Reconquête. Dix-neuf hommes et trois femmes sont donc jugés depuis lundi à Marseille. Le procès, prévu devant le tribunal correctionnel de Marseille du 10 au 19 octobre, porte sur l’occupation du siège marseillais de  l’association SOS Méditerranée (2) le 5 octobre 2018. Un procès très politique et orchestré par le pouvoir. Ce dernier veut tuer dans l’œuf la révolte d’une jeune élite française qui aime la France, et qui refuse que notre pays soit transformé en Liban d’ici 10 ans.

Cultivée, éduquée, ancienne porte-parole de génération identitaire la France, Thaïs d’Escufon (1)  dérange en France. Comme Christine Tasin, présidente de Résistance Républicaine, elle ose dénoncer le grand remplacement en cours. Elle s’attaque aussi au président Emmanuel Macron qui a signé le pacte migratoire de Marrakech. Pour la faire taire, il y a eu un acharnement médiatique et judiciaire contre la jeune Toulousaine, qui refuse que la France devienne africaine d’ici 20 ans.

Un physique de viking, des arguments imparables, un constat qui glace le sang, des chiffres en millions de migrants accueillis à l’appui, Thaïs d’Escufon dérange les politiques, les juges, les décideurs, Emmanuel Macron et tous les complices d’une immigration de masse.

L’ennui pour tous ses adversaires, c’est qu’elle est redoutablement intelligente et instruite, méritante aussi. Elle est née à Toulouse en 1999 au sein d’une famille catholique de la bourgeoisie française ayant dix enfants. Elle a grandi à Drémil-Lafage, à dix kilomètres de Toulouse, en Haute-Garonne. Elle a obtenu un baccalauréat littéraire au lycée Pierre-Paul-Riquet, à Saint-Orens-de-Gameville, puis décroche en 2016 une licence de langues étrangères à l’Université Toulouse-Jean-Jaurès.

Considérée comme une influenceuse dans le combat contre l’invasion migratoire, les pouvoirs publics français n’ont eu de cesse de la faire taire. Des consignes ont été données par le pouvoir aux médias généraliste subventionnés par l’état via les aides annuelles à la presse. Subitement, et sans raison, les réseaux sociaux l’ont banni. Ils n’ont pas encore osé lui retirer sa carte bancaire !

Comme cela ne suffisait pas, Thaïs d’Escufon a subi un harcèlement judiciaires, les services de la sécurité intérieure traçant ses moindres déclarations au lieu de s’intéresser aux islamistes intégristes qui préparent des assassinat ou des attentats sur le sol français. Car Thaïs d’Escufon doit disparaitre socialement.

Même des juridictions correctionnelles de villes pratiquement inconnues l’ont assigné. L’avant dernière comparution en date remonte à un peu plus d’un an devant la juridiction de Saint-Gaudens ( en Haute-Garonne, pour tous los lecteurs qui ne connaitraient pas cette localité de l’arrière-pays). Le 9 septembre 2021, la jeune femme  a été condamnée à deux mois de prison avec sursis « pour injures publiques », après la publication d’une vidéo anti-migrants.

Mais, Thaïs d’Escufon ne se décourage pas. Elle explique : “le contexte actuel de répression politique de la Macronie à l’encontre des patriotes n’est pas la preuve de la force du pouvoir en place mais au contraire de sa faiblesse. Ils savent que nous progressons chaque jour un peu plus : les victoires populistes comme en Italie et en Suède en sont une preuve. La durabilité du gouvernement Orban, aussi. Et chez nous, un candidat à la présidentielle a pu défendre lors des dernières élections, de façon explicite, une politique de re migration soutenue par la majorité des Français juste avant que le RN ne constitue un groupe historique à l’Assemblée. Bref, les choses changent. Et dans le bon sens. Alors bien sûr, comme tous les Français attachés à leur pays, je suis impatiente que tout se règle au plus vite : mais nous devons faire preuve de patience et ne rien lâcher. Et surtout pas les militants qui, comme les 22 de Marseille, luttent en première ligne….”.

Par contre les poursuites judiciaires vont moins vite lorsque Thaïs d’Escufon se fait agresser sexuellement par un migrant à son domicile. En effet, Thaïs d’Escufon a déposé plainte pour agression sexuelle et séquestration le 21 décembre dernier. Un homme s’est introduit chez elle alors qu’elle rentrait d’une séance de sport et avait ses écouteurs dans les oreilles. Selon Thaïs d’Escufon “l’homme se serait présenté à elle comme un migrant d’origine tunisienne”.



Lille : les juges ordonnent à la Région de verser 500 000 euros au lycée Averroès

Une salle de classe au lycée Averroès, établissement d’enseignement privé musulman situé à Lille.

Une vue extérieure du lycée Averroès.

Tout démarre par  la publication du livre des deux journalistes Christian Chesnot et Georges Malbrunot Qatar Papers ( Lafon) qui révéle que Charity, une ONG proche de Doha, a versé 4,2 millions d’euros au lycée et au centre islamique de Villeneuve-d’Ascq. Alors, le président de région Xavier Bertrand décide de couper les vivres au lycée. La suite, on la connaît…

Lille : La région des Hauts-de-France condamnée à verser près de …

Les juges d’Éric Dupond-Moretti s’en mêlent. Le tribunal administratif de Lille a condamné la région des Hauts-de-France à verser au lycée musulman lillois Averroès près de 500 000 euros. La somme correspond aux deux subventions des années scolaires 2020 et 2021, bloquées suite aux financements accordés par le Qatar. La Région a annoncé se pourvoir en cassation devant le Conseil d’État.
La bataille juridique dure depuis mars 2020. Elle oppose la région des Hauts-de- et le lycée musulman lillois Averroès. En cause, des subventions gelées par Xavier Bertrand qui reproche à l’établissement un financement d’un montant de 4,2 millions d’euros provenant d’une organisation caritative du Qatar. Pour le cabinet du président qui répond au Parisien« tant que nous n’aurons pas d’explications de l’État sur le respect de la convention avec le lycée, la région ne versera pas les fonds ». Mais mercredi, le tribunal administratif de Lille a condamné la région à verser 500.000 euros de subventions au lycée. Cette dernière annonce se pourvoir en cassation. Un bis repetita pour les Hauts-de- déjà condamnés par le tribunal de Lille pour la même raison en 2021. La région avait porté l’affaire devant le Conseil d’État, mais elle avait été déboutée en juin dernier. Ce mercredi, elle annonce donc se pourvoir à nouveau en cassation devant le Conseil d’État.

Il faut savoir que Le lycée Averroès est un établissement d’enseignement privé musulman situé à Lille, en France. Comptant environ 800 élèves en 2016, il est l’un des seuls lycées privés musulmans sous contrat en France métropolitaine. Malgré son contrat d’association avec l’État, l’établissement est régulièrement pointé du doigt pour ses liens avec le fondamentalisme islamiste. Ses détracteurs dénoncent son « double langage » et le contenu de certains enseignements. Ils soulignent également la proximité de la direction avec l’UOIF, organe d’influence des Frères musulmans en France, et les liens financiers avec l’Arabie saoudite et le Qatar. L’établissement est nommé en référence à Averroès, philosophe, théologien, juriste et médecin musulman andalou du xiie siècle.

Plusieurs médias estiment que la direction du lycée est proche des Frères musulmans. D’après un rapport commandé et financé par le Gouvernement, « les Frères musulmans en Europe, représentés par l’UOIF, sont à l’origine d’au moins la moitié des projets d’établissements dans l’Hexagone, mus par une volonté de préserver l’identité musulmane des communautés immigrées et de « réislamiser  » les jeunes générations, pour créer une « citoyenneté musulmane », à la fois intégrée dans la société et gardant sa spécificité religieuse ».

Toujours d’après ce rapport : « Les responsables des différents projets ont “sécurisé” leur équipe autour d’un noyau dur composé exclusivement de membres de l’UOIF. L’idée était d’avoir un groupe d’individus censés partager les mêmes représentations idéologiques et de faciliter les choix stratégiques et les prises de décision. […] Après la rupture avec Mme Boutaleb, l’ensemble des membres de l’équipe dirigeante sont donc membres de l’UOIF ». Carol Ferrara, doctorante en anthropologie de l’université de Boston, a passé cinq années à étudier les écoles musulmanes en France et notamment le lycée Averroès. Elle estime que le discours sur l’islam au lycée s’approche du discours de l’UOIF et de son président, Amar Lasfar. L’UOIF a depuis changé de nom pour Musulmans de France.

« L’UOIF considère que les Français non musulmans doivent s’adapter à l’existence de l’islam comme deuxième religion de France ».

Direction et personnalités connues

La direction de ce lycée affiche un islam dur et n’est pas ouverte sur l’extérieur comme le révèlent nos confrères du site Wikipedia. On y retrouve une belle brochette de musulmans très engagés dans des association extrémistes, en France ou à l’étranger.

Voici la liste des principaux responsables de cette structure financée par la Qatar :

  • El Hassan Oufker : directeur
  • Makhlouf Mamèche : directeur adjoint, vice-président de l’Union des organisations islamiques de France.
  • Amar Lasfar : le président de l’association Averroès qui gère le lycée. Il est président de l’Union des organisations islamiques de France, président de la Ligue islamique du Nord et recteur de la mosquée de Lille-Sud.
  • Éric Dufour : directeur adjoint, professeur de français, converti à l’islam, arrive en 2008 au lycée après avoir passé 16 ans au lycée privé catholique de Bondues.
  • Hassan Iquioussen : ancien professeur d’éthique musulmane du lycée, prédicateur de la mosquée de Quiévrechain, dirigeant de l’UOIF, est une personnalité très controversée. Il a par exemple déclaré « Les textes aujourd’hui le prouvent. Les sionistes ont été de connivence avec Hitler. Il fallait pousser les juifs d’Allemagne, de France… à quitter l’Europe pour la Palestine. Pour les obliger, il fallait leur faire du mal ». Sofiane Meziani, professeur d’éthique actuel et Amar Lasfar reconnaissent être proches de lui. Il continue d’accompagner les élèves en voyages scolaires.
  • Michel Soussan : conseiller pédagogique du lycée, consultant en formation, ancien inspecteur d’académie et membre UMP de l’opposition municipale. Il déclare : « je n’ai jamais vu la radicalité de l’islam ici ; au contraire, j’y vois un islam du juste milieu ». Il est de confession juive et ajoute : « je suis le garant des valeurs républicaines de cet établissement ». Voulant favoriser le dialogue inter-religieux, il a fait venir pour un débat au lycée son neveu, le rabbin Yona Ghertman.
  • Mohamed Karrat : professeur de mathématiques au lycée, proche d’Amar Lasfar, responsable de la mosquée de Villeneuve-d’Ascq.

Des dérives intégristes prouvées

On l’a compris avec l’organigramme publié plus haut : le président de l’association qui gère le lycée n’est autre qu’Amar Lasfar, président de l’Union des organisations islamiques de France (devenue Musulmans de France), président de la Ligue islamique du Nord et recteur de la mosquée de Lille-Sud. Or, comme l’a souligné sur France 24 François Burgat, politologue spécialiste du monde arabe et directeur de recherche au CNRS, « l’UOIF est indissociable de l’idéologie des Frères musulmans ». Si le lycée réaffirme, sur sa page Facebook, son « respect des valeurs républicaines », il est par ailleurs accusé de tenir un double discours. En témoigne cette intervention du Frère musulman Omar Abdelkafi très modérée sur sa vision des femmes. Devant les caméras, il explique aux élèves (séparés en deux rangées garçons-filles non mélangés) que « la femme peut apporter beaucoup de choses à la civilisation », alors qu’il déclarait, un an plus tôt, que « la femme qui sort les cheveux découverts mérite le châtiment de la tombe ».

Un établissement controversé et d’endoctrinement idéologique

Le bourrage de crâne et l’idéologie véhiculée au sein du lycée sont désormais  dénoncés par un de ses professeurs. En 2015, Soufiane Zitouni, qui y enseignait la philosophie, publie une tribune dans Libération (5/2/2015) pour révéler ce « double jeu avec notre République laïque : d’un côté montrer patte blanche dans les  pour bénéficier d’une bonne image dans l’opinion publique et ainsi continuer à profiter des gros avantages de son contrat avec l’État, et d’un autre côté, diffuser de manière sournoise et pernicieuse une conception de l’islam qui n’est autre que l’islamisme, c’est-à-dire un mélange malsain et dangereux de religion et de politique ». Soufiane Zitouni lance cette mise en garde : “En 2014, un des responsables du lycée avait énoncé, en présence de deux mécènes qataris : « Un jour, il y aura aussi des filles voilées dans les écoles publiques françaises ! »…” Poursuivi pour diffamation par le lycée, le professeur Soufiane Zitouni a finalement été relaxé par la justice française. Dans Marianne, Soufiane Zitouni alerte aussi que « les prêches des imams sont signés UOIF, les cours d’éthique religieuse sont signés UOIF, faute d’avoir des livres d’Averroès dans le lycée Averroès, on y trouve des brochures de l’UOIF et des livres de Tariq Ramadan ». Les frères Ramadan y ont donné de nombreuses conférences, et les élèves ont pu bénéficier de cours d’éthique de la part d’un certain professeur nommé Hassan Iquioussen…

L’argent des contribuables va donc servir à financer des formations islamistes intégristes, au lieu d’aider les Français qui se trouvent dans la misère. Pauvre France qui se suicide jour après jour….

Francis GRUZELLE

Journaliste et écrivain
Carte de Presse 55411

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Marché de Noël de Strasbourg : crucifix interdits à la vente, loukoums autorisés

Les ayatollahs verts de la mairie de Strasbourg tentent d’islamiser l’institution du marché de Noël.

Mais pourquoi les élus EELV Verts de Strasbourg s’attaquent au marché de Noël ?

Les ayatollahs verts ont encore frappé. Cette fois à Strasbourg. Au cœur même d’une institution intouchable, le marché de Noël. Les élus EELV (les Verts) et la maire de Strasbourg Jeanne Barseghian (1) ont décidé d’interdire la vente des crucifix pour l’édition de novembre-décembre 2022. Mais les loukoums sont autorisés. Interdiction aussi de la raclette, et de la tartiflette (paragraphes M à J dans l’arrêté municipal publié). Défense de rire.

Plus de d’un mois et demi avant le marché de Noël, La municipalité de Strasbourg vient d’adresser aux commerçants participant à #StrasbourgCapitaledeNoël la liste des produits interdits et autorisés pour l’édition 2022. Et la colère gronde déjà sur les réseaux sociaux.

Selon nos confrères de la rédaction des Dernières Nouvelles d’Alsace, “À peine transmise aux commerçants, la liste n’a pas manqué de faire réagir. Certains se sont notamment plaints auprès de la mairie d’avoir déjà commandé des produits qui ne sont finalement pas autorisés à la vente. La commission en charge de cette liste a expliqué dans son mail envoyé aux commerçants que les dossiers de candidatures pour le marché de Noël ont justement mis en lumière le fait que certains produits ne faisaient pas partie des produits autorisés à la vente par l’arrêté municipal.

“Certains commerçants et habitants ne comprennent pas non plus pourquoi des objets en lien avec la religion, comme les crucifix, soient vendus seulement “sous réserve”, quand d’autres, comme les crèches, sont autorisés sans problème.

“Du côté des élus de la ville, la liste d’interdiction ne fait pas vraiment consensus non plus. Anne-Pernelle Richardot, conseillère municipale du groupe Faire ensemble Strasbourg, dénonce sur Twitter une mesure mise en place “par ignorance ou par dogmatisme” et qui n’a “aucun autre objectif” que de “fracturer” la ville….”.

La colère gronde du côté de Strasbourg

L’origine de la polémique remonte à début octobre, lorsque les services l’Eurométropole de Strasbourg ont adressé aux commerçants non sédentaires et forains un mail intitulé « Produits autorisés Strasbourg Capitale de Noël 2022 ». Dans ce mail : une liste de produits interdits, autorisés et autorisés « sous réserves ».

Savoir-faire et authenticité

Cette liste interdit par exemple les casquettes, les bottes de Noël, les parapluies et les ponchos. Du côté des produits alimentaires, le champagne, la tartiflette, la raclette ou le pop-corn seront bannis de l’édition 2022 du marché de Noël de la ville. Le crémant devrait donc remplacer le champagne, et la munstiflette supplanter tartiflette et raclette. Cette liste, de plus de 350 produits, a été mise à jour par la « commission consultative de sélection » du marché de Noël de Strasbourg.

Une levée de boucliers parmi les élus anti verts

Nous avons pu recueillir quelques réactions par téléphone ce mercredi 12 octobre 2022. « A vouloir tout contrôler pour Noël, la municipalité trébuche sur ses préjugés et son idéologie ! », a taclé le conseiller municipal d’opposition Alain Fontanel (LREM), candidat malheureux à la mairie en 2020.

Anne-Pernelle Richardot (PS) évoque, pour sa part, du « wokisme à la con ». Quant à Pierre Jakubowicz (Horizons) « Je m’étonne de voir arriver cette liste si tardivement », à un mois et demi de l’ouverture du marché, alors que la plupart des commerçants commandent leur stock en début d’année.

Le marché de Noël de Strasbourg doit ouvrir ses portes cette année à partir du 25 novembre.

Ces interdictions d’articles chrétiens ou de spécialités alimentaires françaises constituent une soumission à l’islam, les mêmes élus Verts autorisant les loukoums pour s’attire les faveurs et les voix de l’importante communauté musulmane de Strasbourg et de l’agglomération.

(1) Membre d’Europe Écologie Les Verts (EÉLV) depuis 2013, elle est élue en 2014 au conseil municipal de Strasbourg et au conseil de l’Eurométropole de Strasbourg où elle est déléguée à l’économie sociale et solidaire. Elle est élue maire de Strasbourg à la suite de la victoire de la liste EÉLV qu’elle conduit lors des élections municipales de 2020.

Le 22 mars 2021, la majorité municipale de Jeanne Barseghian  adopte « le principe d’une subvention » de 2,5 millions d’euros afin de continuer la construction d’une mosquée lancée en 2014 sous l’ancien maire PS Roland Ries dans le quartier de la Meinau. Cette mosquée dont le budget total des travaux s’élève à 32 millions d’euros serait appelée à devenir la plus grande d’Europe 39 et est construite par une association turque qualifiée de « politique » en raison de sa proximité avec le pouvoir turc, la Confédération islamique Millî Görüş. La Confédération Islamique Millî Görüs a refusé de signer la Charte des principes pour l’islam de France.

Du fait du régime du Concordat, ce vote s’inscrit dans les pratiques municipales strasbourgeoises de financement de 10 % du coût de construction des lieux de culte, en vigueur depuis 1999, pour autant que le projet présente un intérêt local et après délibération. Le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, dénonce un soutien apporté à « une mosquée soutenue par une fédération qui a refusé de signer la charte des principes de l’islam de France et qui défend un islam politique ». La prise de position de Jeanne Barseghian en faveur d’une association proche du pouvoir turc provoque « un immense émoi » dans la communauté arménienne, d’autant qu’un arrière-grand-père de Jeanne Barseghian fut l’une des nombreuses victimes des massacres des Arméniens par l’État turc en 1915. Selon une étude de l’IFOP pour le Grand Orient de France, 81 % des Alsaciens désapprouvent cette subvention, tandis que 52 % sont favorables à l’abrogation du concordat d’Alsace-Moselle.

Francis GRUZELLE

Journaliste et écrivain
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