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“Une femme d’État » : Marine Le Pen victime du syndrome Sandrine Rousseau !

 

À l’instar de la piètre Valérie Pécresse, désormais Marine Le Pen se commercialise en tant que femme : « Une femme d’État », car tel est son prochain slogan… Le troisième depuis septembre…

Sandrine Rousseau a fait école !

Être une femme est le nec plus ultra. On ne sait pas vraiment ce qu’il en fut pour la verte déjantée et déconstruite, toutefois,  issues de milieux très privilégiés, Pécresse et Le Pen ont eu les parcours et carrières auxquelles elles aspiraient, et non des moindres.

Sous peu, vont-elles concourir pour la blondeur la plus réussie ? La plus mince ? Le plus joli sourire ?

Cela finit à ressembler à un concours de Miss France, que nous pourrions, en l’occurrence, baptiser Dadame France.

N’avoir plus à nous vendre que leurs chromosomes XX est d’un ridicule confondant, prouvant ainsi combien il ne s’agit pas de campagne présidentielle mais d’une vile opération marketing, faisant la promotion d’un packaging… Le leur !

Les femmes ne font ni mieux ni plus mal que les hommes et si c’était une véritable valeur ajoutée, Anadingo ne serait pas surnommée Notre-Drame de Paris !

Ce féminisme dévoyé tourne au délire.

Si l’on comprend qu’un marchand de légumes vantent ses navets, quand une femme vend de la femme, elle humilie ses congénères au plus haut point.

Si Marine Le Pen agit ainsi pour se démarquer de Zemmour, étant donné leur différence de volume, elle aurait pu avoir pour base line :  “Une autre stature”, “Un poids lourd”, “Des dimensions en plus”, au moins ce fut drôle. 

Certes, il est peut-être encore des électrices votant davantage pour homme que pour une femme ou l’inverse… l’époque étant aux inquiétudes, n’avoir que sa “féminitude” pour argument de campagne n’est pas des plus rassurants !

La France n’a pas besoin d’un homme ou d’une femme, elle a besoin de quelqu’un qui la sauve et la protège !

Daphné Rigobert

 

 

Marine danse à Mayotte!

 




Train de nuit : un Falcon pour rapatrier le bouffon Jean Castex

Le coût énorme de ce trajet aérien est à multiplier par deux pour le Premier ministre Jean Castex, puisque pour venir le récupérer dans les Alpes-Maritimes, il a bien fallu que l’appareil aille jusqu’à Nice.
Et, après le train de nuit Paris-Nice, le bouffon Castex prend un Falcone pour soit disant réparer le téléphone dans la Drôme (pour mieux mettre les habitants sur écoute) et ordonne au pilote de l’avion de rentrer à Paris, en ces termes “E.T. téléphone maison…”. Rires
Énième bouffonnerie de communication du gouvernement :
« Le dernier épisode de Oui-Oui chef de gare à bord du train de nuit Paris-Nice s’est soldé par un retour en Falcon » après que le même Castex ait essayé de “réparer les téléphones en panne dans la Drôme”, à Aouste-sur-Sye ‼️ Chef de gare la nuit, télégraphiste le jour…. Bientôt remplaçant du “facteur Cheval” dans la Drôme ?
Castex fait donc voler un jet à vide pour venir le récupérer à Nice à la sortie de sa séquence de com, Bien vu le bilan carbone !

http://www.sudouest.fr/politique/jean-castex/il-inaugure-le-train-de-nuit-paris-nice-puis-rentre-en-falcon-le-retour-de-jean-castex-en-avion-fait-reagir-2898031.php

Payez des impôts braves gens ! Pour promener un “premier ministre guignol”….

A l’image de son “roi mage” Emmanuel Macron, l’amuseur du palais Jean Castex se croit tout permis.

Mieux que “Jacouille” dans les visiteurs. Après avoir inauguré la réouverture du train de nuit Paris-Nice, le Premier ministre a pris l’avion pour une étape dans la Drôme puis son retour à Paris. Un trajet moins écologique qui a fait réagir sur Twitter

“C’est ce qu’on appelle un couac… Dans la nuit de jeudi à vendredi 21 mai, le Premier ministre Jean Castex a inauguré la réouverture du train de nuit Paris-Nice, fermée depuis 2017. Un voyage « symbolique » pour mettre en lumière une « concrétisation rapide du plan de relance » gouvernemental, qui consacre 5,3 milliards au secteur ferroviaire, dont 100 millions pour les trains de nuit, mais aussi l’occasion d’insister sur la « dimension écologique » de ces trajets, alors que la loi Climat est en examen à l’Assemblée.” écrivent nos confrères de la rédaction du quotidien Sud Ouest, qui fait son travail d’information à la différence de nombreux quotidiens nationaux.

Seulement voilà, un détail est venu ridiculiser et altérer son escapade : Jean Castex a effectué son voyage retour à bord d’un avion privé, comme l’a repéré le compte Twitter spécialisé dans le suivi des données aériennes@CotamFleet, rapporte le HuffPost.

La capacité de ce gouvernement à prendre les gens pour des imbéciles atteint des sommets stratosphériques. Notre point de vue est d’ailleurs partage par Hervé Kempf, le rédacteur en chef du média Reporterre, spécialisé dans les problématiques environnementales.

Matignon reconnait que Castex s’est envoyé en l’air aux frais des contribuables

Pauvre France ! Qu’est devenue ta classe politique ? Dans les années 70, le premier ministre de l’époque Pierre Messmer, authentique gaulliste, qui avait risqué sa peau de capitaine dans le désert à Bir Hakeim pour retenir, pendant trois semaines les troupes allemandes d’Ervin Rommel, rentrait à Metz, sa ville d’attache, en voiture, avec un unique “chauffeur-officier de sécurité”, pour ne pas mobiliser un équipage aérien et des officiers de sécurité. Car Pierre Messmer avait le sens de l’état, le respect des hommes et des finances de la République.

Sans vergogne, les proches de Jean Castex ont confirmé ce jour au journal “Libération” que “le chef du gouvernement avait bien emprunté l’avion, mais que ce mode de transport avait été choisi en raison d’une étape qu’il devait faire dans la journée à Aouste-sur-Sye, dans la Drôme, avant de rejoindre la capitale.”

Le cabinet du premier ministre a même ajouté “L’usage d’autres moyens de transport ne lui aurait tout simplement pas permis de tenir cette séquence en région, comme cela est régulièrement le cas lorsque le Premier ministre se déplace” , pour justifier son ses acrobaties aériennes aux frais des contribuables.

Ce n’est pas la première fois que le Premier ministre est confronté à ce genre de polémique, rappelle le HuffPost. En septembre 2020 déjà, l’usage de l’avion gouvernemental pour un vol entre Paris et Châlons-en-Champagne (deux heures de voiture), avait fait vivement réagir.

Le coût énorme de ce trajet aérien est à multiplier par deux pour le Premier ministre, puisque pour venir le récupérer dans les Alpes-Maritimes, il a bien fallu que l’appareil aille jusqu’à Nice. Mais, c’est bien connu dans les dialogues de Michel Audiard, “les cons, ça ose tout. C’est même à cela qu’on les reconnait !”

Francis GRUZELLE
Carte de Presse 55411




Montpellier : LREM investit une candidate musulmane voilée

La tête d’affiche de LREM pour les élections départementales dans l’Hérault, dans le canton de Montpellier. Le parti d’Emmanuel Macron est prêt à tout pour obtenir le vote des musulmans !

Dans les années 1990, les dirigeants du RPR n’ont jamais osé accorder une investiture à une élection à la petite Parenthoux, surnommée la “grimpeuse nue des Alpes”, originaire  de Vallorcine (Haute-Savoie), qui faisait la Une des journaux français et étrangers, en raison de ses formidables talents d’alpiniste.

Ils pouvaient le faire, ils l’ont fait. Bravo ils sont formidables pour reprendre le sketch du fakir avec Francis Blanche et Jean Yanne. Sauf qu’Emmanuel Macron est moins bon que Jean Yanne dans le rôle du fakir. Et surtout, il ne fait plus rire en fossoyeur de la laïcité.

Tout a débuté avec la désignation du binôme des candidats LREM aux élections départementales sur le canton de Montpellier I (qui comprend les quartiers populaires de La Paillade, du Petit-Bard, de Celleneuve… et de la commune de Grabels). L’équipe LREM investie par le parti présidentiel s’est retrouvée sur le devant de la scène. En raison essentiellement de l’affiche de campagne (déposée avec les professions de foi) et publiée sur les réseaux sociaux. Cette affiche montre notamment Sara Zemmahi (candidate remplaçante) voilée.

“Ce n’est pas illégal” écrit le Midi Libre

Alors que LREM viole la laïcité, une fois encore le quotidien régional “Le Midi Libre” vole au secours de LREM et de la candidate voilée, en écrivant en gros caractères “Ce n’est pas illégal” ! Ben voyons…

http://www.midilibre.fr/2021/05/11/elections-departementales-a-montpellier-une-candidate-lrem-voilee-fait-polemique-9538871.php

LREM est vraiment tombée bien bas. Vous imaginez le RPR des années 1990 accorder une investiture politique aux élections cantonales ou législatives à la petite Parenthoux de Vallorcine (Haute-Savoie), qui escaladait nue le Mont Blanc ? Pas de voile musulman, même pas de petite culotte chrétienne ! La fille des restaurateurs très cathos de Vallorcine faisait alors, au grand dam de ses parents, la Une de “Play boy”, de “Lui”, mais aussi du “Dauphiné Libéré” sous la plume de votre serviteur.

Inimaginable à l’époque pour les gaullistes aux manettes, qui avaient, eux, le sens de l’État. Même si la grimpeuse nue du Mont Blanc, qui affichait des idées RPR et vouait une admiration sans faille à l’alpiniste et ministre Maurice Herzog, aurait sans doute permis de ravir un canton ou une circonscription législative dans un département où le CDS (centre des démocrates sociaux conduit par le sénateur Georges Bosson et le ministre Bernard Bosson) raflait pratiquement tous les sièges à chaque élection.

S’ils avaient été honnêtes et impartiaux, les journalistes du Midi Libre et d’autres médias à fort tirage auraient pu adopter la formulation suivante : “Chers décideurs du parti de LREM, qui avez tant de mal avec la laïcité et le communautarisme, comment pouvez vous laisser faire ça ? avec les tags suivants #electuonsdepartementales2021 #liberté #femmes

Dépassé par l’ampleur du tollé, après que Jordan Bardella (Rassemblement National) ait demandé dans un tweet  “C’est cela la lutte contre le séparatisme ?”, Stanislas Guérini, patron de LREM, a ordonné, ce 11 mai en fin de journée, à ses adhérents de Montpellier de retirer l’affiche des réseaux sociaux. Les candidats LREM concernés, Hélène Qvistgaard et Mahfoud Benali se disent “stupéfaits et consternés” dans les colonnes de la presse régionale.

Vous le constatez : au fil de cet article, je suis pour la publicité comparative, en matière de politique, de sens de l’État, mais aussi d’esthétisme féminin.

Francis GRUZELLE
Carte de Presse 55411




Troubles menstruels méconnus post-vaccin covid-19

Les « vaccins » anti-covid font parler, au moins sur les réseaux sociaux, des accidents graves et même de décès liés à leur injection, et globalement d’incidents considérés comme potentiellement liés au vaccin, c’est-à-dire survenus dans les quatre semaines suivant l’injection (en particulier, accidents vasculaires et neurologiques).

Même si les signalements sont certainement très sous-estimés (de l’ordre de 1 % de la réalité) il est tout de même très impressionnant de constater en Union européenne (par exemple) près de 8 800 décès directement reconnus comme probablement en rapport avec un des 4 vaccins anti-covid par l’agence européenne.

Il est étonnant que ce chiffre énorme, (même si relativement faible par rapport aux millions de personnes vaccinées), ne perturbe pas plus les futurs vaccinés que les agences chargées de la sécurité. Rappelons qu’un vaccin devrait être préventif, s’adresser aux personnes à risque et en aucun cas à des jeunes qui présentent un risque zéro de l’infection visée, ici le covid-19.

Le rapport bénéfice/risque ne peut être que négatif dans les populations à risque zéro comme les enfants actuellement menacés par les politiciens dont certains corrompus. [1]

La « tolérance » actuelle sur les décès entraînés par ces molécules en essai thérapeutique n’a de parallèle que l’immonde propagande qui inonde tous les médias dans le monde depuis plus d’un an pour cette sinistre mise en scène du coronacircus.

Dans l’émission « Tucker Carlson Tonight », sur Fox News, Carlson, célèbre présentateur américain habituellement pro-vaccin, a cité des statistiques gouvernementales montrant que plus d’Américains sont morts après avoir pris le vaccin covid en quatre mois qu’à la suite de tous les autres vaccins combinés en plus d’une décennie et demie.

Les données officielles du  gouvernement américain sur «  vaccine adverse event reporting system » (VAERS) montrent que 3 362 Américains – ou 30 personnes par jour – sont  morts du vaccin Covid entre décembre 2020 et le mois dernier.

« Plus de personnes, selon VAERS, sont mortes après avoir reçu le vaccin en quatre mois au cours d’une seule campagne de vaccination que de tous les autres vaccins combinés sur plus d’une décennie et demie », a déclaré Carlson.

Le nombre de décès est probablement beaucoup plus élevé que ce que VAERS rapporte, a déclaré Carlson, citant des rapports soumis au ministère de la Santé et des Services sociaux en 2010 qui ont révélé que « moins de 1 % des effets indésirables du vaccin sont signalés par le système VAERS ».

Carlson a également mentionné dans son émission les informations majeures suivantes :

« De tous les vaccins MENVEO administrés pour prévenir la méningite bactérienne, une seule personne est décédée du vaccin entre 2010 et 2015. En 1976, 45 millions d’Américains ont été vaccinés contre la grippe H1N1. Au total, 53 personnes sont mortes du vaccin. Le gouvernement américain a mis fin au programme de vaccination parce que les autorités ont décidé qu’il était trop risqué. »

Les vaccins Covid ont contribué à 8 000 hospitalisations aux États-Unis, selon VAERS ».[2]

Cette indication est capitale, car chacun se demande à partir de combien de décès une agence de l’État suspend-elle la pratique d’un vaccin. La réponse précise sur le vaccin H1N1 dont Mme Bachelot a dû jeter des millions de doses achetées trop rapidement nous informe sur les réactions de l’époque dans des situations similaires.  Près de 9 000 décès reconnus en UE en ce début du joli mois de mai depuis le début des vaccinations anti-covid et répartis parmi les quatre produits injectés. Ne serait-ce pas temps de cesser ce sinistre scénario ?

Où sont passées les féministes ?

Le corps de la femme une nouvelle fois maltraité n’intéresse-t-il que le docteur Marc Girard ? [3][4]

Les effets indésirables moins spectaculaires que les décès sont complètement invisibilisés mais gâchent la vie courante de nombreuses citoyennes devenues patientes après une vaccination sous prétexte d’un virus si peu méchant chez les femmes encore réglées sans comorbidité.

La protéine SPIKE dans le collimateur des vaccins anti-covid

Certes ceux qui s’intéressent aux vaccins savent maintenant qu’ils visent tous la fameuse protéine spike et qu’ils pourraient entraîner des troubles de la reproduction. Chacun a entendu la multiplication des avortements en Grande-Bretagne dans les premières semaines de la vaccination intensive et la mort d’un enfant allaité par une mère vaccinée deux jours plutôt.

Mais ces faits lourds ne doivent pas masquer le quotidien plus banal mais inacceptable de nombreuses femmes « pour une prévention d’une maladie à létalité mineure (moins de 0,01 % de décès liés au covid19) » ?

Alors qu’apprend-on sur le vécu des femmes vaccinées ?

De nombreuses femmes disent que les effets secondaires du vaccin Covid ont un impact sur leurs règles, alors pourquoi les médecins ne s’en soucient-ils pas ? [5]

Nous rapportons ici les réflexions d’un journal israélien dans un pays fort largement vacciné en très peu de temps, et où les effets sur les contaminations et les décès post vaccinaux ont été déjà relayés. [6]

N’importe quel vaccin peut perturber les menstruations, mais la façon dont l’établissement médical a réagi aux descriptions de cet effet secondaire possible du vaccin coronavirus reflète un problème plus général.

Quelques exemples de l’article cité concernant l’expérience israélienne sont relatés ici.

Une femme de 36 ans s’est rendue chez le médecin après avoir subi des saignements vaginaux deux jours après avoir reçu sa deuxième dose du vaccin contre le coronavirus. Son gynécologue a effectué un examen et l’a envoyée pour des analyses sanguines. « L’hémorragie a duré 10 jours, et le médecin m’a dit qu’il semble que mes règles sont arrivées tôt. « Je lui ai dit : bizarre, parce que mes règles ont été très régulières au cours de la dernière année. » « Cela arrive », a rétorqué le docteur de façon désinvolte que cela peut être un signe de ménopause précoce. « C’était comme un coup de poing à l’intestin », dit-elle.

« Il n’est pas nécessaire d’expliquer à quel point il est difficile pour une femme de mon âge de recevoir des nouvelles comme celle-là de son médecin. Pendant quelques semaines, j’étais vraiment en deuil de la fertilité que j’avais apparemment perdue ».

« Ce n’est que lorsqu’un ami, après que je lui ai parlé de mon état déplorable, a suggéré qu’il est peut-être vraiment lié au vaccin – que je l’ai googolé et découvert, à ma grande surprise, qu’un grand nombre de femmes ont signalé des saignements vaginaux et des périodes irrégulières après avoir été vaccinées.

J’étais en état de choc. Pourquoi ne m’ont-ils pas avertie que cela pourrait être l’un des effets secondaires du vaccin, comme ils m’ont mis en garde contre une faible fièvre et des douleurs au bras ? Pourquoi mon médecin n’a-t-il pas dit un mot à ce sujet ?

« Une histoire parmi un nombre infini sur les effets du vaccin sur les cycles menstruels. Une période précoce ou tardive, plus lourde que jamais ou plus douloureuse que d’habitude – les témoignages des femmes s’accumulent. Et comment l’établissement médical les traite-t- il ? »

C’est pourquoi nous pensons utile de vous informer, car le consentement éclairé est la base de la médecine d’Hippocrate, particulièrement en ce qui concerne l’expérimentation au cours des essais thérapeutiques comme le sont actuellement les vaccins anti-covid-19 dont aucun essai phase 3 n’est terminé.

Bien sûr le stress émotionnel lié au contexte actuel depuis un an et la campagne au grand galop de vaccinations en Israël peuvent favoriser les troubles des règles. Les stress physiques liés aux changements de vie sont aussi des facteurs connus de dérèglement du cycle menstruel.

« On sait que l’acte d’inoculation lui-même peut susciter un certain stress physique, et en particulier le vaccin contre le coronavirus, qui a également causé un stress émotionnel pour beaucoup de gens. Une réponse inflammatoire est une réaction immunitaire normale aux vaccins, ce qui affecte également les saignements vaginaux. Dr. Lior Shahar in Tel Aviv donne un exemple : on sait que le fait de se faire vacciner contre le papillomavirus (Gardasil) perturbe les périodes des femmes et des jeunes filles. 

Les effets du vaccin sur les menstruations n’ont pas été étudiés à l’avance par les entreprises qui fabriquent les vaccins. »

Comment les ressentis des femmes ont-ils été reçus par les institutions médicales ?

« L’établissement médical a traité la question avec dérision. En ce qui le concerne, l’apparition de saignements vaginaux ou de perturbations dans les menstruations sont des phénomènes de routine qui se produisent de temps en temps, il n’y a donc aucune raison de les traiter comme un effet secondaire. »

« Quand j’ai demandé dans les groupes de médecins, et aux médecins individuellement – médecins de famille et gynécologues, hommes et femmes – j’ai entendu : « il y a des rapports, mais ils sont sans fondement », « J’ai entendu des patients dire que cela arrive, mais je n’ai pas vérifié la littérature », « je ne connais aucune référence médicale à cela », et ainsi de suite.

Certains de ces médecins pratiquent également la médecine fondée sur le genre.

Le mois dernier, des personnes ont été testées pour le coronavirus dans un complexe de la ville arabe de Tayibe, dans le centre d’Israël. Il semble que les patientes signalent fréquemment ces troubles gynécologiques, mais l’établissement n’en tient pas compte.

Qu’est-ce que cette histoire nous dit sur la façon dont l’établissement médical considère les phénomènes qui n’affectent que les femmes ?

« Il y a une discrimination évidente ici ». Bien sûr, cela rappelle les déclarations terrifiantes que le professeur Galia Rahav, chef de l’unité des maladies infectieuses au Centre médical Shaba, Tel Hashomer, a déclaré à l’époque sur la paralysie du nerf facial comme un effet secondaire du vaccin :

« Au début, ils ont dit que ce sont des femmes hystériques, mais apparemment pas, parce que nous voyons les effets chez les hommes aussi, et je crois que c’est réel.

« Ce n’est pas la partie choquante. La paralysie faciale, comme le saignement vaginal, n’est pas un événement rare. Mais lorsqu’il y a soudainement une multiplicité d’incidents en conjonction avec le vaccin, cela soulève des questions.

Bien sûr, cela comprend la question de savoir s’il s’agit d’une distorsion résultant de la surdéclaration, mais aussi de savoir s’il s’agit d’un effet secondaire.

Dans les groupes de médecins dont je suis membre, il y a eu d’innombrables discussions sur le sujet de la paralysie du nerf facial, mais aucune discussion sur les saignements chez les femmes. Il est scandaleux de découvrir que lorsque ces rapports sont des femmes, cela ne soulève pas de questions ou de discussions.

Je suppose que nous avons fait des progrès dans ce domaine depuis que nous avons découvert la différence dans la façon dont les hommes et les femmes éprouvent des crises cardiaques, par exemple. Dans quelle mesure la médecine fondée sur le genre a-t-elle progressé et comment ces progrès sont-ils exprimés ?

« Il y a certainement eu des progrès dans la médecine fondée sur le genre. Par exemple, la FDA interdit maintenant d’approuver un médicament sans le tester sur les femmes aussi, et d’examiner la différence dans ses effets sur les femmes et les hommes. Aujourd’hui, il y a des médicaments qui sont approuvés à l’avance juste pour les femmes ou tout simplement pour les hommes. Mais dans les facultés de médecine, ils n’apprennent toujours pas ces différences d’une manière organisée, et la plupart des professionnels de la santé ne connaissent pas du tout les fondements de la médecine fondée sur le genre.

« Mais la médecine fondée sur le genre n’est qu’une partie du problème, et il y a le vrai problème. La médecine fondée sur le genre ne traite que des différences biologiques entre les hommes et les femmes et ne tient pas compte des problèmes liés aux déséquilibres de pouvoir, à la discrimination, aux stéréotypes, au silence, à la violence ouverte ou cachée, à la minimisation des femmes dans l’espace public, à l’accessibilité aux services de santé – autant de choses qui contribuent tant à l’inégalité entre les sexes en matière de santé. C’est certainement vrai pour les femmes qui sont marginalisées de plusieurs façons – les femmes qui sont mizrahi, arabes, lesbiennes, âgées, en surpoids, handicapées et ainsi de suite. »

« C’est pourquoi la médecine fondée sur le genre ne suffit pas. Il y a un besoin de médecine féministe. C’est la véritable médecine égale, qui donne une voix aux femmes, qui comprend qu’une femme n’est pas seulement un corps, mais une totalité des expériences et des rôles sociaux, des codes, des attentes et du harcèlement sexuel, et le lien entre elles et son état médical physique et psychologique ne peut être rompu.

Tant qu’il n’y aura pas une compréhension profonde de ce lien, il n’y aura pas de bonne médecine égale pour les femmes, ni pour aucun groupe défavorisé dans la société ».

Une façon originale de voir la médecine à laquelle il faut réfléchir, mais en attendant écouter les femmes qui subissent des troubles menstruels à la suite du vaccin serait une première étape.

Des témoignages dans d’autres régions du monde

Emma Kahn dans sa lettre mensuelle sur le site de l’AIMSIB  [7] signale aussi le fait que de nombreuses femmes se plaignent de saignements irréguliers à la suite du vaccin Pfizer, cela pourrait être dû à des ménopauses précoces selon la publication de health.com [8].

Dans un long fil de discussion sur Twitter, Kate Clancy, PhD, professeur associé à l’université de l’Illinois, rapporte : « une collègue avait entendu d’autres personnes dire que leurs règles étaient abondantes après la vaccination. Je suis curieuse de savoir si d’autres femmes ayant leurs règles ont également remarqué des changements ? J’ai reçu la première dose de Moderna il y a une semaine et demie, j’ai eu mes règles un jour ou deux plus tôt et j’ai l’impression d’avoir à nouveau 20 ans. »
D’autres ont raconté leur propre histoire. « Je suis exactement une semaine après ma deuxième injection de Moderna et j’ai commencé un cycle très dur pour moi, et j’ai environ 2,5 semaines d’avance », a écrit l’une d’elles.

« J’ai reçu le Moderna le dernier jour de mes règles. Neuf (!!!!) jours plus tard, une autre période est apparue et cela a été un cauchemar », a commenté une autre.

Les histoires personnelles se multiplient : « je suis à trois semaines de ma première piqûre de Moderna et j’ai commencé mes règles au milieu d’une plaquette de contraceptifs ». « Cela ne m’est jamais arrivé en 12 ans de prise de la pilule. Je n’ai même jamais de taches entre les périodes. »

Les changements de règles sont-ils donc un effet secondaire légitime du vaccin ?

Existe-t-il des recherches sur les vaccins Covid-19 et les cycles menstruels ?
Pas vraiment. Les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) disposent d’un Vaccine Adverse Event Reporting System (système de notification des effets indésirables des vaccins), programme de surveillance dans lequel chacun peut signaler les effets secondaires qu’il a ressentis après avoir reçu le vaccin.

Plusieurs dizaines de femmes ont déclaré avoir eu des règles plus abondantes que d’habitude, des crampes douloureuses et des cycles menstruels inhabituels après avoir été vaccinées. Mais étant donné que n’importe qui peut soumettre n’importe quoi au système, tout cela est considéré comme anecdotique à ce stade.
Pour les femmes qui signalent des douleurs plus importantes que d’habitude, « il se peut que les douleurs post-vaccinales s’ajoutent aux douleurs menstruelles normales », explique à Health l’expert en maladies infectieuses Amesh A. Adalja, MD, chercheur principal au Johns Hopkins Center for Health Security dans le Maryland.

Le flux plus abondant est un peu plus difficile à expliquer. Une petite étude portant sur 233 femmes en âge de procréer présentant un diagnostic clinique de Covid-19 a fait état de certains changements menstruels. Sur les 177 patientes ayant des données sur leurs règles, 25 % avaient des « changements de volume menstruel », 20 % avaient des règles plus légères que d’habitude et 19 % avaient un cycle plus long que d’habitude, selon l’étude, publiée en janvier dans la revue Reproductive BioMedicine Online.

Il est possible que le vaccin Covid-19 ait un effet similaire, mais on ne le sait pas pour l’instant.

À l’heure actuelle, ces données sur la vie quotidienne des femmes restent peu connues et il importe que des médecins cliniciens s’y intéressent. La médecine n’est pas que celle des épidémiologistes, des simulations.

Les chiffres ne doivent pas faire oublier les êtres humains soumis à des interventions extérieures pas nécessairement justifiées. Elles devraient être informées des conséquences graves possibles, y compris les décès, liées aux vaccins expérimentaux mais aussi aux troubles de la vie quotidienne à même parfois de leur gâcher la vie.

Les doutes sur les perturbations de la fertilité à court et plus long terme devraient être élucidés avant une généralisation des pseudo-vaccins anti-covid contre une maladie non létale dans l’extrême majorité des cas. Pourquoi tant de hâte à vacciner des femmes réglées qui, du fait de leur sexe et de leur âge, ne risquent rien ?

Nicole Delépine

[1] Comme la ministre chypriote Albert Coroz : Stella Kirikiades qui aurait touché 4 millions d’euros après avoir signé les contrats d’achat de vaccins https://lesobservateurs.ch/2021/05/03/le-scandale-de-corruption-de-lue-dont-les-medias-bienpensants-refusent-de-parler/

[2] Tucker Carlson : How Many Americans Have Died After Taking COVID Vaccines ? • Children’s Health Defense (childrenshealthdefense.org)

[3] D’Hippocrate au “crime organisé” : comment la médicalisation de la femme a fait tomber les barrières de la moralité – Le site du Dr Marc Girard (rolandsimion.org)

[4] La brutalisation du corps féminin dans la médecine moderne – Le site du Dr Marc Girard (rolandsimion.org)

[5] Women say COVID vaccine side effects impact their periods, so why don’t doctors care ? – Israel News – Haaretz.com

[6]  Analyse des résultats de la vaccination anti-Covid19 en Israël au 23 février 2021 – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

[7] Lettre d’infos du 5 mai 2021 – AIMSIB

 

 

[8] https://www.health.com/condition/infectious-diseases/coronavirus/can-covid-vaccine-affect-my-period




Cantat, qui a tué Marie à coups de poings, déplore la violence des féministes !

C’est la question qui se pose devant la prétention de Bertrand Cantat à revenir sur scène.

La polémique fait rage. Même la ministre de la Culture, Françoise Nyssen, monte au créneau pour soutenir le meurtrier de Marie Trintignant, proclamer son droit à redevenir une star.

Pas touche à Cantat, le régime protège son chouchou !

« Bertrand Cantat a le droit de vivre sa vie, il a payé », dit-elle… Quatre ans de prison et hop ! Tout est effacé !  On n’en parle plus ! Retour sous les sunlights ! Les proches de Marie Trintignant – qui, elle, ne peut plus « vivre sa vie », apprécieront cette obscénité.

https://www.ndf.fr/nos-breves/15-03-2018/bertrand-cantat-a-le-droit-de-vivre-sa-vie-il-a-paye-rappelle-le-ministre-de-la-culture/

Françoise Nyssen, comme nombre de contributeurs ou aspirants du régime, considère que Cantat qui a été condamné à huit ans de prison et fut finalement libéré au bout de quatre années pour bonne conduite, devrait pouvoir « se réinsérer », comme le tout venant des criminels qui ont purgé leur peine.

Mais la notion d’insertion post-carcérale, qui convient pour un grand nombre de métiers qui s’exercent dans la discrétion et l’anonymat, est-elle appropriée pour une activité artistique s’exerçant nominativement de façon tonitruante, sur scène devant un large public ?  Qui plus est, une activité donnant une notoriété, qui convoque l’admiration, voire la dévotion de fans prompts à s’identifier à leurs modèles.

Autrement dit : peut-on être à la fois meurtrier et star du show-business ?

Le simple bon sens devrait permettre d’y répondre négativement. Mais aujourd’hui que la valeur du beau et du laid, du bien et du mal sont inversés, tout confusionne. Et l’on trouve de belles âmes pour revendiquer au nom de la loi, de la justice et de la réinsertion le droit d’être à la fois star et meurtrier. Dans le même temps où nombre de ces belles âmes, au nom d’une pureté aussi douteuse que subite, bannissent du showbiz de façon aussi tonitruante que  définitive le « porc » Weinstein… qui a sans doute commis son lot de turpitudes mais qui n’a tué personne.

Peut-on banaliser le meurtre au point de considérer qu’il peut être effacé par une peine carcérale, son auteur être ensuite célébré et admiré comme si de rien n’était ?

C’est manifestement ce que pense Cantat, qui ose se présenter comme une victime de violence… celle des protestataires qui s’agitaient devant la salle de concert grenobloise où il était à l’affiche :

« Nous sommes maintenant à GRENOBLE où j’ai voulu entamer une discussion avec quelques personnes qui manifestaient leur hostilité devant la salle. A peine apparu, un déchaînement de violence, d’insultes, une pluie de coups, aucune possibilité de discuter, de la violence, seulement de la violence, aucune écoute, aucun échange : Bref, le retour au moyen-âge. Ces gens sont sourds, et aveuglés par la haine. Peut être se sentent-ils encouragés par le merveilleux climat ambiant.”

Cantat, qui a tué Marie Trintignant a coups de poing (« aucune possibilité de discuter, aucune écoute, aucun échange » je suppose…) mais qui semble l’avoir totalement oublié(e), ose dénoncer, venant d’autrui et à  son encontre « un déchaînement de violence, d’insultes, une pluie de coups, aucune possibilité de discuter, de la violence, seulement de la violence, aucune écoute, aucun échange » !

Ou comment un australopithèque abruti, tueur de femme, ose comparer à la brutalité du Moyen-âge des protestations qui contestent la légitimité d’un meurtrier à revenir sur scène, sous la lumière des projecteurs et les bravos…

Mieux encore, il ose s’immiscer dans le champ politique en dénonçant le « merveilleux climat ambiant » qui encouragerait ses détracteurs (ces « fachos », ces « réacs »…) à protester contre son retour sur scène.

Leçons de morale que ce meurtrier, désireux de perpétuer son image de rebelle réfractaire au Système, a le culot de mettre en avant dans ses chansons en affirmant cette dimension politique… politiquement correcte, de la plus grossière espèce, comme vous pouvez en juger. 1

On comprend que la nomenclatura du régime défende ce collaborateur avec une si tendre ardeur !

Si la peine carcérale accomplie ouvre sur une remise en liberté (ce qui est déjà énorme quand la cause de l’incarcération est un meurtre), elle n’autorise pas l’oubli. Faut-il rappeler que la victime reste irréductiblement six pieds sous terre et ses proches privés d’elle pour toujours.

Pour un meurtrier, purger sa peine et se réinsérer ne peut se faire décemment que dans la discrétion et l’anonymat. Savoir se faire oublier, donc renoncer à se produire en public. Que Cantat s’estime encore heureux de pouvoir vivre libre… au bout de quatre ans de prison seulement !

Et pour bouffer, qu’il se démerde ! Nombre d’artistes et poètes, qui ne sont pas meurtriers mais politiquement incorrects pour de bon, vivent aujourd’hui dans la mouise, dans l’indifférence générale et sans que ça lui pose problème.

Victor Hallidée 

1/ Texte de B.Cantat qui se permet de donner son avis (négatif bien sûr) sur le Brexit. Qui déclame sa compassion pour les migrants, ses « p’tits frères »… En ne manquant pas de conspuer au passage les méchants qui se « foutent pas mal de leur gueule, qu’ils crèvent dans la jungle ». Cantat, un oxymore en chair et en os, un meurtrier humaniste, un tueur de femmes aux gros poings et grand cœur !

L’Angleterre

Bertrand Cantat
On dit que les temps ont changé
Ce n’est pas le cas des Anglais
“I want my money back”
Ça donne des idées aux Français, on a mieux que Theresa May
Et les vaches sont bien gardées
Et toi qui fuis inénarrable de partout
Des printemps arabes, tu crois à l’Eldorado
Je sais bien que l’espoir t’appelle mais tu n’es pas une hirondelle
Qui annonce un autre printemps
Tu veux traverser le Channel
Tu veux voir le bout du tunnel
C’est l’Angleterre
Mon petit frère
Et il n’y a rien à y faire
De l’Europe, ils ont pris la fuite
Ça limite encore l’horizon
Brexit, tes illusions
Tu peux crever dans la jungle, on a rien à foutre de ta gueule
Tu vas rester planté là
Tu veux voir le bout du tunnel
Tu veux traverser le Channel
Pour l’Angleterre
Mon petit frère




La Grande Librairie parle hommes-femmes, avec Fatiha Agag-Boudjahlat

Au cours de La Grande Librairie, Elisabeth Badinter, Fatiha Agag-Boudjahlat, Belinda Cannone et Georges Vigarello ont tous dit des choses très intéressantes, encore une fois, sur les rapports hommes-femmes. En voici un avant-goût.

https://www.france.tv/france-5/la-grande-librairie/saison-10/401687-la-grande-librairie.html

– Elisabeth Badinter a commencé par dire que dans “balancer des porcs” le fait de “balancer”, déjà là, ça coince car de son temps et du mien “balancer” ou dénoncer c’était honteux car la délation, ça ne se faisait pas. Eh oui, nous préférions que toute la classe soit punie plutôt que de dénoncer une condisciple, quitte à mettre les choses au clair entre nous, mais rapporter ça non, bien au contraire, nous avions une solidarité à la Gilbert Cesbron…

Un exemple : en 1964 (?) le premier jour de la rentrée après les vacances de Noël, j’avais dit à une surveillante qui avait puni injustement une élève :

“Madame vous êtes ridicule”

“Tu veux répéter cela devant mademoiselle la Préfète?”

“C’est mon opinion, je la dirais devant n’importe qui.”

À 12h00, mon père et ma mère m’attendaient avec une tête d’enterrement dans le bureau de la préfète et ils décidèrent d’une punition exemplaire qui consista en la suppression de tous mes week-end à la maison jusqu’à Pâques. (J’ai passé 6 ans au pensionnat)

Quand je suis rentrée dans ma classe, la leçon de dessin scientifique avait commencé. Mes condisciples me regardèrent et j’annonçai la sentence. Immédiatement des billets ont commencé à circuler. Avant la fin de la leçon, toutes les internes de ma classe s’étaient proposées pour me tenir compagnie pendant mes week-end de punition. Une si lourde punition pour m’être opposée à une injustice acquit un aspect très chevaleresque…

– Dans l’émission on a beaucoup parlé d’éducation.

Autre anecdote : en 1954 (?) ma mère et moi prenons le tram pour aller à Bruxelles et, ô surprise, il y a un nègre assis dans le compartiment. C’était la première fois que j’en voyais un en chair et en os. Ma mère m’a jeté un regard qui signifiait : on ne regarde pas, on ne montre pas du doigt, on ne commente pas, on fait semblant de rien. Mais je savais ça, d’autant plus que les nègres m’étaient familiers puisque j’avais lu Tintin au Congo. A l’époque on employait les mots, mais on respectait les personnes. Il aurait été impensable de dévisager, d’aborder ou, pire encore, de siffler après qui que ce soit.

Mais ! En 1968, arriva l’interdiction d’interdire et puisque l’éducation c’est aussi poser des interdits, il devint interdit d’éduquer. Si aujourd’hui nous avons des gens grossiers et vulgaires, qui ne savent pas où sont les limites… C’est aussi parce que ça fait 50 ans qu’on laisse grandir les gosses sans leur enseigner les limites ! Alors à qui la faute ?

Dans l’émission quelqu’un a dit que dans le passé quand un homme outrepassait les limites on lui flanquait une bonne paire de baffes. Oui, entre nous avec nos hommes parce que eux et nous nous connaissons nos codes, mais essayez de faire la même chose en rue à Bruxelles dans la situation du documentaire de Sophie Peeters. https://www.rtbf.be/auvio/detail_sofie-peeters-femme-de-la-rue-bruxelles?id=2085934

Vous risquez même d’être condamnée pour violences sur un inoffensif harceleur. On en est là dans l’inversion des valeurs.

Le problème d’éducation, culture, respect etc. est faussé par les comportements des allochtones qui ne connaissent pas et ne respectent pas nos codes de comportement. Ils auraient pu les apprendre si on les leur avait enseignés dans nos écoles. Dans ces sociétés allochtones, l’enfant mâle est roi et ce sont les femmes qui éduquent leurs enfants de cette façon. Cela va encore plus loin, par exemple en Inde: après échographie des femmes avortent si le fœtus est féminin. “L’Inde a tué 63 millions de ses filles par l’avortement sélectif sexuel” (cf. Internet sex-selective abortion).

– Fatiha Agag-Boudjahlat fait remarquer le sectarisme des féministes qui s’insurgent contre la domination masculine occidentale envers les femmes occidentales, mais la trouvent tout à fait normale de la part des hommes non-occidentaux envers les femmes non occidentales. Si ça ce n’est pas du racisme ?

– Le problème hommes-femmes n’est pas nouveau : Elisabeth Badinter rappelle “L’assemblée des femmes” écrit par Aristophane  en 392 avant notre ère…

– On ne veut plus d’hommes macho style cow-boy… On veut des hommes plus doux, plus sensibles… Allons allons… Elisabeth Badinter rappelle l’amour des femmes de Racine… “Ariane, ma sœur, de quel amour blessée vous mourûtes aux bords où vous fûtes laissée…” et tous les autres Ronsard ? Lamartine? Baudelaire ?” et “elle est debout sur mes paupières et ses cheveux sont dans les miens, elle a la forme de mes mains…” d’Eluard et “les yeux d’Elsa” d’Aragon ? Et les mains de Bécaud ? Et les «femmes je vous aime» de Julien Clerc ? et les «Que je t’aime» de Johnny?

https://www.youtube.com/watch?v=TpW-yWeGOmQ

Et même l’amour de nos hommes envers les inconnues comme le chante  Brassens.

https://www.youtube.com/watch?v=vvjhsZYaofk

Et le cow-boy Robert Redford qui murmure à l’oreille des chevaux ? Et les deux cowboy de Brokeback Mountain ? Et Lucky Luke ? Sont-ils macho ?

Dans le passé il y a aussi eu de très gros cochons… lisez Catulle… et pourtant on étudie ses poèmes cochons au lycée… mais si, mais si, scansion comprise!

Et, contrairement à nos saintes-nitouches, Louise Labé (1524-1566) “en redemandait” dans son célèbre “Baise m’encor, rebaise-moi et baise, donne m’en un de tes plus savoureux, donne m’en un de tes plus amoureux, je t’en rendrai quatre plus chauds que braise…etc.”

http://www.unjourunpoeme.fr/poeme/18-baise-mencor-rebaise-moi-et-baise

On finit par en avoir raz l’bol de toutes ces salades.

Mais, toutes ces palabres dans les salons où l’on cause… en fait tournent autour du pot… Le problème de base c’est : « qu’est-ce qu’un homme ? » et ce « qu’est-ce qu’une femme? » Comme je l’ai déjà écrit, je l’ai compris en observant les animaux. Pourquoi à certaines périodes les chattes miaulent-elles de façon déchirante ? Parce qu’elles sont en chaleur. Pourquoi à certaines périodes votre chien s’échappe-t-il ? Parce qu’ils sent l’odeur des femelles qui sont en chaleur. Pourquoi les adolescentes (ou femmes) criaillent-elles et font-elles “les sottes” ? Parce qu’elles sont en chaleur et attirent l’attention des mâles.

Mais oui, même si cela déplait à bon nombre de lecteurs, à la base, nous sommes des mammifères et quand nos femelles sont en chaleur elles diffusent des phéromones auxquelles les mâles ne résistent pas, c’est fait pour ça. Alors, si des mâles n’y résistent pas… C’est la nature… Vous êtes tous bio et énergies vertes renouvelables mais vous niez votre propre nature ? Et nos mâles, si leur maman ne leur a pas enseigné qu’on ne doit pas importuner les filles… si en plus il a été interdit de leur poser des limites et des interdits… Ben voilà : on en est là, maintenant au lieu d’avoir des gentleman, on a des porcs et au lieu de l’amour courtois, on a le harcèlement. Mais, si en plus les femelles obéissent à la pub qui fait tout pour les rendre les plus sexy possible, avec soutien-gorge pigeonnant, maquillage-cils-superlongs et popotin tortillant… on en arrive à la quadrature du cercle… Vous voulez être super sexy avec un décolleté jusqu’au nombril et une jupe à ras la zigounette, mais vous ne voulez pas qu’on vous trouve sexy ? Si les hommes entrent dans ce jeu ils sont des porcs, s’ils s’y refusent ils sont misogynes. Faudrait savoir !

Encore hier à la télé dans l’un ou l’autre festival il y a une fille qui monte des marches avec une jupe qui lui arrive à peine sous les fesses et le monsieur qui la suit a justement, à la hauteur de son nez, ce sillon inter fessier qui se dodeline… A sa place aurais-je résisté à lui passer ma main entre ses cuisses… en tous cas, mentalement je l’ai fait… A-t-on le droit de tenter le diable ?

N.B. au temps des gens bien élevés : un homme laissait passer une femme devant sauf en montant un escalier justement pour qu’il n’ait pas son nez fourré dans les jupons de la dame et en le descendant pour qu’elle ne tombe pas et en entrant dans un lieu public comme un restaurant pour vérifier qu’elle n’entre dans un endroit dangereux.

Comment se fait-il que les femmes de la génération de Elisabeth Badinter, Catherine Deneuve, Brigitte Bardot et la mienne, mais aussi celle de ma mère et de mes tantes, nous avons su gérer nos mâles tandis que les jeunes générations se retrouvent soudain dans un tel marasme ?

Soyons clairs : moi, chez moi et dans mon jardin, si je veux me balader à poil, ça me regarde, mais il y a une limite entre le privé et le public… encore une fois, c’est une question non pas de lois, ni de religions mais de bon sens et … de la bonne vieille éducation qui manque tant.

– Autre évidence qu’on voudrait ignorer : non, un homme n’est pas une femme et vice-versa. Quand j’allais en montagne, mon compagnon et moi, nous préparions nos sacs à dos ensemble. Ils pesaient tous deux la même chose car une pomme, un litre d’eau, l’appareil photo, les jumelles, etc. ont le même poids dans le sac d’un homme ou dans celui d’une femme. Mais, un sac qui pèse 7kg pour un homme qui mesure 1m90 et pèse 100kg de muscles ce n’est pas le même effort que pour une femme de 1m60 qui pèse 50kg. Nous parcourions les mêmes dénivelés, mais puisque mes enjambées étaient plus petites je faisais beaucoup plus de pas que lui, ben oui, mon effort était nettement supérieur au sien… Ajoutez-y que quand une femme a ses menstruations, elle perd du sang donc de l’hémoglobine et donc de l’oxygène dans ses muscles… Il y a même des femmes qui à cause de leurs menstruations souffrent d’un manque constant de fer et donc sont constamment fatiguées et doivent même recourir à des infusions de fer par voie intraveineuse.

Dès qu’une femme a un enfant elle ne dort plus jamais sur ses deux oreilles car inconsciemment elle a toujours une oreille tendue en alerte. Au matin elle se lève reposée ? Non ! Jamais !

Et cætera…

Mais, et c’est là qu’en réalité le bât blesse :  tous les citoyens, hommes et femmes,  doivent être égaux en droits et en devoirs devant La Loi. Un délit est un délit et un crime est un crime et un viol est un crime passible de 15 ans de prison. Il faut arrêter de tout confondre.

Bref cette hystérie de harcèlement sexuel importée des USA comme le coca-cola et le chewing-gum, c’est pas notre tasse de thé. Ce qu’il faut examiner c’est “pourquoi veut-on fixer notre attention sur cette fausse affaire ?” Est-ce pour nous empêcher de discuter la loi sur les héritages ? ou la crise financière ? ou le Grand Remplacement ? ou les filouteries gouvernementales ? Sommes-nous tellement crédules que nous nous laissons piéger ?

Pour ma part, il y a des thèmes beaucoup plus dramatiques, entre autres le nivellement par le bas dans l’enseignement et, si les porcs on les balance, les dindes-saintes-nitouches on s’en balance.

Anne Lauwaert




L’histoire de la Saint-Valentin, la fête des amoureux…

Demain est un grand jour puisque les amoureux fêtent la Saint-Valentin.

Ecartons les pays attardés, musulmans pour la plupart, qui interdisent toute manifestation publique de cette jolie fête, y voyant la célébration de “l’immoralité, la nudité et l’indécence”.

Ce qui n’empêche pas tous ces hypocrites d’être des accros acharnés aux sites pornos selon Google. Mais passons…

Pour les pays occidentaux, donc émancipés, on se prépare à la fête.

Restaurant, petits cœurs en velours, roses rouges ou chocolats et billet doux font partie du programme.

Et gare aux distraits qui oublieraient de combler leur dulcinée.  Les femmes y sont très attachées.

Attachés, certains hommes le sont beaucoup moins. Un quart d’entre eux préfèrent passer la soirée avec leur animal de compagnie plutôt qu’avec  l’élue de leur cœur pour la Saint-Valentin !

Eh oui, mesdames, la concurrence est parfois très rude, désolé.

Cette Saint Valentin nous vient d’Angleterre parait-il, qui fêtait les amoureux au 14e siècle. Et non seulement cette tradition demeure, mais elle a gagné tous les continents.

Et nul besoin, messieurs, de bâtir un nouveau Taj Mahal pour votre moitié afin de lui prouver votre amour, un bouquet de roses rouges, un dîner aux chandelles la combleront.

Le Taj Mahal ? C’est le monument dédié à l’amour le plus célèbre du monde. Il fut érigé sur l’ordre de l’empereur moghol Chah Djahan pour honorer la mémoire de son épouse favorite.

Celle-ci mourut en 1631 en accouchant d’un quatorzième enfant. Inconsolable, l’empereur lui fit bâtir le plus magnifique des mausolées.

Les femmes sont romantiques et aiment qu’on les bichonne, c’est bien connu.

Les hommes sont évidemment moins doués pour cet exercice et rares sont les princes charmants qui se répandent en tendresses quotidiennes après la première année de mariage.

D’où l’intérêt de la Saint-Valentin qui permet de combler le retard accumulé au fil des mois et de se montrer, l’espace de quelques heures, le plus passionné des hommes, à l’image des couples les plus célèbres de l’histoire.

Roméo et Juliette, Tristan et Iseult, Paul et Virginie, Ulysse et Pénélope.

Comme le dit un psychologue, la Saint-Valentin est un exercice de grand rattrapage.

Dit aussi brutalement, cela n’a rien de romantique, c’est vrai. Mais les femmes amoureuses pardonnent tout, ce qui est rassurant.

Alors, essayons demain d’épater notre chère et tendre et de faire mieux que l’année passée, en évitant les dangers de la monotonie et de la routine.

Jacques Guillemain




Pour ces barbares, les Européennes sont des putes !

Gang de violeurs pakistanais, ayant opéré en Grande-Bretagne. Toujours le même scenario…

La série infernale des attaques au couteau continue ! Cette fois-ci, ça s’est passé lundi 5 février vers 23 heures dans un immeuble du onzième arrondissement de Paris.

Un homme toque à plusieurs portes, il demande l’hospitalité. Une habitante de l’immeuble lui ouvre sa porte et l’accueille.

Récompense de sa générosité : l’homme la poignarde sauvagement.

Une voisine prévient la police (tandis que l’homme la menaçait de son couteau, la victime avait envoyé à sa voisine un appel au secours par SMS).

La police intervient et arrête le « présumé »  coupable. Il parle mal le français et n’a pas de papiers.

La victime est conduite à l’hôpital entre la vie et la mort.

Le profil de l’agresseur est flouté par la presse : pas de nom, pas de label « SDF » (sans abris pour la plupart « souchiens », non-secourus par les pouvoirs publics), « quatre coups de couteau : au cou, à la poitrine, au bras et à l’épaule ».

C’est pas signé mais presque. Un crime ordinaire par les temps qui courent.

Aujourd’hui, en Europe de l’ouest, on ne compte plus les belles âmes charitables qui ont ouvert leur porte et hébergé un quidam (jamais SDF), généralement « réfugié », « migrant », « mineur » (à poil et à barbe), qui se trouvent violées et massacrées par leur protégé. Ce qui est inouï, c’est d’en être étonné. Ce qui est inouï, c’est que des femmes soient assez ignorantes, candides et folles pour faire confiance à un inconnu qui frappe à leur porte en pleine nuit, lui ouvrir et lui proposer de l’héberger !

Nos « gouvernances », les « ONG », les médias aux ordres, qui présentent les hordes de migrants qui déferlent en Europe comme autant de victimes innocentes fuyant la guerre dans leur pays, en appellent à la charité et à la culpabilité traditionnelles qui caractérisent le Chrétien, mais aussi à la belle âme narcissique du Chrétien déchristianisé chez lequel la charité  revient avec la puissance du retour du refoulé. Tels ces « humanitaires » de tous poils qui aident les migrants à pénétrer dans notre pays, les logent, les nourrissent, les installent.

Un aveuglement meurtrier quand déferlent sur les pays d’Europe, par centaines de milliers, ces hommes seuls, issus dans leur immense majorité de sociétés archaïques, structurées par l’islam où les femmes sont méprisées en tant que telles, traitées comme du bétail, cachées sous des bâches, font traditionnellement l’objet d’humiliations et de violences, souvent mortelles, légitimées par la loi.

Comment ces hommes frustes, frustrés, habitués à dominer, battre, lapider les femmes – la France accueille notamment un grand nombre d’Afghans, dont les maltraitances traditionnelles envers les femmes sont notoires ! – comment ces hommes perçoivent-ils les femmes européennes ? Des femmes habillées de vêtements qui laissent deviner leur corps (voire bien plus), qui donnent à voir leur visage en public, qui circulent sans être accompagnées, qui peuvent vivre seules et ouvrir à qui bon leur semble ? Des femmes qui expriment leur désir, leur séduction…

Au regard des mœurs et traditions des pays d’origine de ces hommes, les femmes européennes sont des mécréantes, des prostituées, des proies qui peuvent être violées et mises à mort.

Débordés par leurs pulsions, encouragés par le laxisme, le laisser aller, la faiblesse qui ont cours dans nos sociétés, ces hommes mettent en pratique leurs traditions, la loi du plus fort, la relation dominant-dominé(e) et à l’impromptu passent à l’acte sexuel et meurtrier. Il ne s’agit pas de problèmes de « déséquilibrés » mais de signes concrets, meurtriers, d’un conflit de civilisation importé délibérément en Europe.

http://m.leparisien.fr/faits-divers/paris-poignardee-par-l-homme-a-qui-elle-a-offert-l-hospitalite-06-02-2018-7543746.php

Avides d’argent et de pouvoir, les « gouvernances » et leurs suppôts financiers mondialistes, qui organisent la submersion migratoire de l’Europe, savent bien que les peuples européens vont être livrés à des Saint-Barthélemy abominables.  Ils organisent le camp de concentration à ciel ouvert où l’Europe chrétienne doit être exterminée. Ce faisant, ils croient devenir enfin les maîtres du monde et en jouir… mais dans leur aveuglement, ces criminels vendent la corde qui, d’une manière ou d’une autre, servira à les pendre.

Victor Hallidée

http://m.leparisien.fr/faits-divers/paris-poignardee-par-l-homme-a-qui-elle-a-offert-l-hospitalite-06-02-2018-7543746.php




Suède, le pays qui se croit parfait

Sur Arte, est visible pendant quelques jours un documentaire de 56 minutes intitulé Là où les putains n’existent pas. Il a été réalisé par Ovidie de son vrai nom Éloïse Becht, une ancienne actrice du cinéma porno qui est passée avec succès derrière la caméra.

Là où les putains n’existent pas est l’histoire vrai d’Eva-Marree Smith Kullander, privée de ses enfants pour prostitution (quinze jours dans le métier), puis tuée par le père de ceux-ci de trente-deux coups de couteau.

Le drame a eu lieu le 11 juillet 2013 dans un foyer des services sociaux suédois.

https://www.arte.tv/fr/videos/071485-000-A/la-ou-les-putains-n-existent-pas/

Le film n’est pas vraiment pertinent sur le thème de la prostitution et le meurtre d’une jeune femme de 27 ans par un Ougandais de 31 ans, Joel Kirungi Kabagambé.

Drogué, violent, il frappait Eva-Marree qui a eu deux enfants avec lui. Elle l’a quitté et sans ressources s’est prostituée durant deux semaines. Elle s’en est vantée à des proches qui l’ont dénoncée et aussitôt les services sociaux lui ont enlevé ses deux enfants alors âgés de 1 et 2 ans.

Eva-Marree arrête de se prostituer, mais ne parvient pas à récupérer les enfants dont la garde a été confiée à leur père.

Elle dénonce les lois en vigueur et les abus de pouvoir des services sociaux qui font la chasse aux travailleuses du sexe privant les prostituées de leurs droits élémentaires en prétendant les protéger.

Après avoir emporté de haute lutte un droit de visite auprès de ses enfants, puis que leur père s’y soumette, elle est assassinée lors du premier rendez-vous dans un foyer des services sociaux. Joel Kabagambé la transperce avec un couteau à pain qu’il a pris dans la cuisine du foyer.

L’intérêt du film d’Eloïse Becht est ailleurs.

Si elle ne dit rien clairement sur le fait qu’une jeune Suédoise se retrouve dans les bras d’un Ougandais qui ne semble pas faire partie du sel de la terre, elle donne une explication en filigrane par les interviews de la mère d’Eva-Marree, de Zenitha, son avocat, d’une ethnologue militante du syndicat des travailleurs du sexe et d’une thérapeute du sexe, de ses amis.

Au fil des minutes, la Suède apparaît comme un Etat totalitaire soft, une démocrature, un pays qui se raconte des monceaux de conneries sur lui-même (démocratie parfaite, égalité édénique entre les citoyens) et en bourre le crâne de ses habitants dès leur plus jeune âge.

La Suède, où le protestantisme le plus pénible inflige à l’esprit de ses citoyens une vision puritaine et punitive de la vie sociale – et contrairement à une image des années 70, en particulier dans le domaine du sexe –, est très habile dans la culpabilisation de sa population tout en affirmant l’aider.

Dans cet Etat européen qui se revendique comme le plus moral de tous les Etats, dès que vous attirez l’attention sur un sujet qui sort des sentiers battus du politiquement correct, vous devez être puni ou soigné car toute déviance à la moutonnerie commune est considérée comme une maladie mentale.

Eva-Marree en refusant de se repentir, de se renier en tant que prostituée “temporaire”, de se soumettre au chantage des services sociaux, semble pour l’administration avoir eu ce qu’elle méritait.

Un des moments cruciaux du documentaire est l’interview d’une thérapeute du sexe. En Suède comme en France, ce sont les clients des prostituées qui sont criminalisés. Devant la thérapeute, un homme arrêté par la police parce qu’il achetait du porno sur Internet. La thérapeute le menace de le dénoncer à son patron et demande à voir sa femme. Il s’agit de l’obliger à se soumettre sans discuter. Selon la thérapeute, les hommes du monde entier ont un problème avec le sexe et devraient tous être soignés.

Dans Là où les putains n’existent pas, la Suède – modèle de nombreux politicards pour son accueil des migrants, pour son féminisme qui fait de presque toute relation intime un viol (quatre fois plus de plaintes pour viol qu’en France mais seulement 5% de condamnations – est-ce qu’avec la présence sexuelle très actives de migrants devenus incontrôlables, le pourcentage augmentera ?) ressemble à une dystopie : dénonciation, violence de l’Etat au nom du contrôle de la vie privée, sanctions sans justification (enfants enlevés à leurs parents parce que de l’eczéma été confondu avec des traces de coups, parents d’Eva Marree interdits de voir leurs petits-enfants), police plus attentive aux mœurs des Suédois de souche qu’à celui des Autres…

Au bout de cette petite heure d’excursion au pays d’Olof Palme, nous avons le sentiment que la Suède n’est pas exactement le pays où nous aimerions vivre, un pays que les auteurs de polars – Mankell, Larsson, Edwardson, Läckberg et compagnie – ont oublié de nous décrire.

Mais l’ambiance en France est-elle si éloignée que cela de celle de la Suède ?

Marcus Graven




Nos jeunes femmes souhaitent-elles vraiment le retour du puritarisme ?

Il y a un truc qui me turlupine (un peu).

Quand on accuse Bill Clinton d’avoir une aventure avec Monica, pourquoi, au lieu de, d’abord dire non et ensuite quand même oui, n’a-t-il pas tout de suite répondu “Oui, en effet. La charge sur les épaules d’un président des USA est lourde à gérer. Monica et moi-même, avec consentement mutuel, nous nous accordons des instants de ressourcement pour le bien de la Nation et de la Paix dans le monde. D’ailleurs le salaire de Monica tient compte de son dévouement au bénéfice du bien-être de notre peuple.”

Il aurait tout simplement pu prononcer le célèbre “et alors ?” et même ajouter “ma vie privée ne vous regarde pas.”

Oui, je sais les américains font des films scabreux mais eux-mêmes sont pudibonds, bigots et puritains. Cela ne signifie pas que nous devons les imiter.

Dominique Strauss Kahn a des chances d’être élu président de la France. Il en a la carrure et une autre prestance que celle de capitaine de pédalo. Mais il dit lui-même qu’on va l’attaquer sur le fait qu’il est juif, aime l’argent et les femmes. Quelques jours plus tard, c’est la mise en scène du Sofitel “comme au cinéma”.

DSK aussi fait profil bas. Pourquoi n’a-t-il pas contre-attaqué par exemple en expliquant que oui… il a une singularité physiologique avec hyperactivité hormonale qui le rend sexuellement hyperactif, mais que ses partenaires ne s’en plaignent pas et sont rémunérées généreusement.

Non, DSK va s’estomper dans le paysage… Qui n’a pas voulu DSK comme président ? Aurait-il été pire que Sarkozy ou Hollande ou Macron ? Ou meilleur ?

Affaire Weinstein. Tout le monde sait depuis toujours qui il est et comment il fonctionne et on le voit sur d’innombrables photos avec dans ses bras des nanas qui n’ont pas l’air de ne pas s’y plaire. C’est un commerce entre adultes. Ça dure depuis combien de décennies ? Et là tout d’un coup c’est la curée ?

Pourquoi, au lieu de, lui aussi, faire profil bas n’a-t-il pas au contraire fait le décompte exact avec nom, prénom etc. des starlettes à qui, moyennant un peu de complaisance, il a ouvert l’accès au star système avec carrière et oscars à la clé ?

Pourquoi continuer à rabâcher l’affaire Polanski alors que

«Dans un tweet inattendu, Samantha Geimer, violée à 13 ans par le réalisateur franco-polonais, affirme être «entièrement d’accord avec Mme Deneuve».

http://madame.lefigaro.fr/societe/la-victime-de-roman-polanski-samantha-geimer-soutient-catherine-deneuve-apres-la-tribune-du-monde-150118-146413»

Evidemment, comme le dit Brigitte Bardot, tout ce tintouin occupe les médias au lieu de s’occuper de choses plus graves.

http://www.lefigaro.fr/culture/2018/01/17/03004-20180117ARTFIG00297-brigitte-bardot-fustige-ces-actrices-allumeuses-qui-temoignent-de-harcelement-sexuel.php  Qu’est-ce que cela cache?

Il y a aussi régulièrement des scandales sexuels concernant les ministres britanniques. Ça n’étonne plus personne et fait même sourire.

Mais on n’imagine pas de déballage de la vie privée de Poutine ou Erdogan ou de personnalités japonaises ou chinoises, ni moins encore les galipettes des potentats africains ou arabes. Les riches Arabes ne s’offrent-ils pas des petites filles pour leurs vacances en Egypte ?

http://www.wikistrike.com/article-egypte-des-milliers-de-filles-de-11-a-18-ans-louees-a-de-riches-arabes-pendant-l-ete-119512491.html

 Je rappelle cet épisode truculent : Poutine/Berlusconi.

«https://www.rtbf.be/info/societe/detail_scandale-sexuel-silvio-berlusconi-est-victime-de-la-jalousie-selon-vladimir-poutine?id=6762653

Poutine : “Quoiqu’ils disent sur monsieur Berlusconi et son rapport particulier envers le beau sexe – d’ailleurs, ils s’en prennent à lui par jalousie – il a montré qu’il était un homme d’Etat responsable dans tous les sens du terme”, a-t-il déclaré lors d’un forum économique à Sotchi.

Vladimir Poutine et Silvio Berlusconi sont des amis de longue date et affichent leur complicité lors de toutes leurs rencontres.

Vladimir Poutine s’était déjà illustré par le passé par des réflexions surprenantes concernant les frasques sexuelles d’un homme d’Etat. En 2006, il avait ainsi plaisanté au sujet du président israélien d’alors, Moshé Katzav, poursuivi pour viol. “Saluez de ma part votre président ! Il s’avère être un type puissant ! Violer dix femmes ! Je ne m’attendais pas à cela de sa part ! Il nous a tous étonnés. Nous l’envions tous”, avait-il lancé au Premier ministre israélien Ehud Olmert, en visite à Moscou. (…) – agence Belga»

Il faudrait aussi faire la distinction entre, harcèlement, viol et prostitution.

Donc ma question devient : la diabolisation du mâle occidental, n’est-ce pas tout simplement une autre facette de la guerre contre l’homme occidental blanc ?

Nos jeunes femmes souhaitent-elles vraiment le retour du puritanisme que leurs grand-mères ont combattu ? Puritanisme charia-compatible pour le plus grand bénéfice des islamiseurs ?

Cependant une distinction s’impose : si Catherine, B.B. et nous, nous nous entendions bien avec nos hommes, c’était parce que nous connaissions et appliquions nos codes respectifs. Là où cela ne fonctionne plus du tout, pour aucune d’entre nous, c’est quand des codes étrangers brouillent les nôtres. Le harcèlement comme le dénonce Sophie Peeters, ça personne n’en veut.

https://www.rtbf.be/auvio/detail_sofie-peeters-femme-de-la-rue-bruxelles?id=2085934

 Anne Lauwaert