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Malédiction pour Saint-Affrique : 30 migrants de plus

Saint-Affrique veut ressembler à Briançon, dont les nombreux migrants, oisifs, “squattent” les abords du commissariat de police ?

Alain Fauconnier, sénateur-maire de Saint-Affrique

La commune de Saint-Affrique porte bien son nom, surtout pour les migrants. Qui semblent afficher une préférence pour cette petite ville afin de ne pas être dépaysés. Même si Saint-Affrique se situe dans l’Aveyron. Pour ceux qui ne connaissent pas, Saint-Affrique (en occitan rouergat Sant Africa) est, selon le site Wikipedia, “une commune française située dans le département de l’Aveyron, en région Occitanie. Peuplée de 8 236 habitants, elle forme avec la commune voisine de Vabres-l’Abbaye une petite agglomération, l’unité urbaine de Saint-Affrique….”.

C’est France 3 Occitanie qui a révélé l’information dans son journal télévisé du 14 août au soir, en ces termes : “La ville de Saint-Affrique dans l’Aveyron a elle aussi décidé d’agir face au problème de l’immigration. Une trentaine de migrants vont arriver d’ici quelques jours, pris en charge par un nouveau centre d’accueil pour demandeurs d’asile… Au total d’ici la fin de l’année, 60 personnes devraient être accueillies ici à Saint-Affrique….”.

Nos confrères de France 3, Mathilde De Flamesnil et Régis Dequeker, ont tenu à rassurer les téléspectateurs. Les trente migrants qui arrivent ne manqueront de rien ! Les images de la chaîne de télévision ont présenté les appartements modernes avec cuisine équipée, salon, chambres, les deux journalistes précisant “Au total dix logements sociaux, jusqu’alors inoccupés, sont désormais prêts à accueillir une trentaine de personnes. A Saint-Affrique, les salariés du centre d’accueil pour demandeurs d’asile s’activent depuis un mois auprès des associations locales pour préparer l’arrivée des migrants. Mères isolées, couples, familles venues de Syrie, d’Afghanistan ou d’Angola, les futurs arrivants sont orientés par l’Office National de l’Immigration….”.

Qu’on se rassure. ils ne manqueront de rien. Ils ne dormiront pas sur le trottoir, à la différence de certains héros français qu’on a laissé crever dans la rue.

https://ripostelaique.com/le-sdf-decede-dans-les-rues-de-poissy-etait-un-heros-de-la-guerre-du-golfe.html

Pas une ligne sur la présence de 60 migrants à Saint-Affrique dans le quotidien “Le Dauphiné Libéré”, dont la direction et la rédaction en chef sont d’abord préoccupées par le devenir judiciaire de leur patron, Christophe Tostain.

https://ripostelaique.com/le-patron-du-dauphine-libere-juge-pour-violences-et-outrage-le-24-septembre.html

La chaîne de télévision France 3 nous précise que ces braves migrants sont envoyés là par l’Office National de l’Immigration. Imprécision : on ne sait pas s’ils viennent de Rennes ou de Rouen.

https://ripostelaique.com/a-rennes-et-rouen-les-migrants-ne-sont-plus-les-bienvenus.html

La chaîne de télévision France 3 se veut rassurante pour les habitants de Saint-Affrique : “les migrants devraient rester là un an”. Seulement, comme le montrent les précédents cas de figure, une fois ces braves gens installés dans de confortables appartements fournis gracieusement, avec généralement une indemnité mensuelle de 900 euros et des brouettes comme réfugiés politiques, ils s’accrochent.

https://ripostelaique.com/quand-la-france-sera-t-elle-debarrassee-du-faux-psychiatre-egyptien-omar-erkat.html

Pour couronner le tout, les braves fonctionnaires de l’Office National de l’Immigration ont décidé de mélanger les Syriens, les Afghans et les Angolais qui ne peuvent pas “se blairer” entre eux. Gare aux rixes !

https://france3-regions.francetvinfo.fr/occitanie/aveyron/rodez/saint-affrique-aveyron-nouveau-centre-accueil-va-recevoir-trentaine-migrants-1526218.html

Les habitants de la commune de Saint-Affrique n’ont pas été consultés. Ni enquête, ni référendum local. Ils ont été mis devant le fait accompli par leur maire PS Alain Fauconnier, comme les citoyens de milliers de communes de France, avant eux.

https://ripostelaique.com/cousseydomremy-nombreux-migrants-imposes-peur-pays-de-jeanne-darc.html

https://ripostelaique.com/tantonville-les-migrants-arrivent-dans-le-chateau-cazeneuve-a-gagne.html

Quel intérêt pour Saint-Affrique d’accueillir 60 migrants et de leur offrir des logements sociaux ? Comme si le maire PS Alain Fauconnier voulait faire un “pied de nez” à Robert Ménard, journaliste français et maire de Béziers. Certes, Robert Ménard est né à Oran, mais il a passé toute son enfance et son adolescence à Saint-Affrique où il a suivi les cours du collège religieux Saint-Gabriel. C’est aussi à Saint-Affrique que Robert Ménard a envisagé de devenir prêtre, ce à quoi sa mère s’est opposée.

Dans le paisible cimetière de Saint-Affrique, un grand patriote, le général Édouard de Curières de Castelnau (1851-1944), doit se retourner dans sa tombe. Celui qui fut notamment le chef d’état-major du généralissime Joffre pendant la Première Guerre mondiale est né et a grandi à Saint-Affrique.

Francis GRUZELLE
Carte de Presse 55411

Lire aussi ces articles qui constituent un complément d’information :

http://www.lareference-paris.com/485

https://ripostelaique.com/ardeche-le-maire-dannonay-interdit-lislamiste-integriste-omar-erkat.html

https://fr.blastingnews.com/societe/2018/05/meurtres-en-serie-a-marseille-des-kalachnikov-lyonnaises-002599045.html

https://ripostelaique.com/a-frejus-un-clando-tunisien-viole-une-sexagenaire-dans-un-parc-public.html

https://ripostelaique.com/il-y-a-3-ans-herve-cornara-etait-decapite-par-un-islamiste.html

https://ripostelaique.com/que-faire-des-460-enfants-soldats-de-daech-a-leur-retour-en-france.html

https://ripostelaique.com/le-recul-du-gouvernement-dans-la-lutte-contre-le-terrorisme.html

https://ripostelaique.com/quand-la-france-sera-t-elle-debarrassee-du-faux-psychiatre-egyptien-omar-erkat.html

 

 




La Kalafa, filière migratoire et exemple d'application de la charia en France

Vous avez aimé les mariages blancs ou arrangés, vous allez adorer la kafala. C’est un exemple d’application de la loi islamique en France et c’est aussi une filière migratoire faisant venir, du pays d’origine, des enfants sans lien de filiation biologique ou légal avec le couple qui les fait venir, mais garantis musulmans.

La charia, ce n’est pas seulement les amputations et lapidations ; c’est l’ensemble du droit islamique, civil ou pénal. Dès lors qu’une règle issue du Coran a des effets juridiques en France, cela revient à ce que la charia s’applique sur notre sol. Dans ces aspects de droit civil, la charia n’atteint certes pas les mêmes niveaux de barbarie qu’au pénal. Elle est simplement inégalitaire et discriminatoire.

Ainsi en va-t-il de la kafala, règle islamique relative au recueil d’enfants, substitut à l’adoption défendu avec une belle énergie tant sur internet que dans les colonnes de Rue 89.   Les fins théologiens qui lisent ce site savent que l’obsédé sexuel de la Mecque avait adopté un enfant qu’il avait toujours considéré comme son fils jusqu’à ce qu’il lui prenne fantaisie de coucher avec l’épouse de ce fils, c’est à dire sa belle-fille. C’était donc un inceste, mais cela cessa vite de l’être, car, par la volonté de Dieu,  le vieux bouc libidineux était aussi législateur. Il décida que les liens familiaux ne pouvaient résulter que du sang. A partir de là, son fils n’était plus son fils, sa belle-fille n’était plus sa belle-fille, et son inceste n’était plus un inceste. Capito ? C’est subtil, le droit religieux…

Depuis, en application de cette législation si opportune et en imitation de ce beau modèle, il n’y a pas d’adoption dans les pays musulmans, mais seulement des recueils d’enfants appelés kafala.   Et figurez-vous que la France donne des effets juridiques à la kafala, à condition seulement que le recueil soit effectif et la présence de l’enfant continue. C’est ce qui résulte d’un arrêt de la Cour de Cassation du 14 avril 2010, première chambre civile, numéro de pourvoi: 08-21312 :

http://www.legifrance.gouv.fr/affichJuriJudi.do?oldAction=rechJuriJudi&idTexte=JURITEXT000022108663&fastReqId=857920958&fastPos=14

Dans cet arrêt, la Cour fait application de l’article L 21-12 du Code civil, relatif à l’acquisition de la nationalité par déclaration, dans une version antérieure, mais la version actuelle n’est pas moins large dans l’octroi de la nationalité. Il prévoit de larges possibilités d’accès à la nationalité non seulement pour les enfants étrangers adoptés, mais aussi pour les enfants simplement recueillis et remplissant certaines conditions de présence :

http://www.legifrance.gouv.fr/affichCode.do;jsessionid=B0B905D6DE7F4757CDEC5BA6DE8477ED.tpdjo16v_3?idSectionTA=LEGISCTA000006165458&cidTexte=LEGITEXT000006070721&dateTexte=20080925

La kafala produit donc des effets en France à condition que le recueil soit effectif.   Mais cela n’empêche pas de continuer à revendiquer. Puisque la France ne dit jamais non, pourquoi se priver de demander toujours plus après avoir déjà eu plus que sa part ?   Le blog du droit des étrangers explique comment tirer le maximum de la kafala :

http://avocats.fr/space/droitdesetrangers/content/la-kafala–ou-kafalah-ou-kefala-_DAF9EE0D-D90E-4DF6-A393-BDD2382275F2

Outre la nationalité française à terme, il est possible d’obtenir quelques prestations familiales. La jurisprudence n’est pas entièrement fixée. La Cour de Cassation (deuxième chambre civile, arrêt du 11 juin 2009) a refusé le versement de la prestation d’accueil du jeune enfant :

http://www.legifrance.gouv.fr/affichJuriJudi.do?idTexte=JURITEXT000020746068&fastReqId=857920958&fastPos=15&oldAction=rechJuriJudi

Cependant, pour d’autres prestations, les litiges ne sont pas remontés jusqu’à la juridiction suprème, et certaines Cours d’appel acceptent le versement de certaines allocations (par exemple : Cour d’appel de Limoges, ct0173 audience publique du lundi 24 novembre 2008 N° de RG: 08/00786 ) :

http://www.legifrance.gouv.fr/affichJuriJudi.do?oldAction=rechJuriJudi&idTexte=JURITEXT000019978269&fastReqId=857920958&fastPos=2

Il est aussi possible d’obtenir des visas. En réalité, la kafala, comme le mariage arrangé, est aussi une filière migratoire, comme Rue 89 nous l’explique sans s’en choquer (article en lien plus loin) :   “Une fois la kafala contractée, commence la bataille du visa pour que l’enfant puisse venir en France. Face à lui, un ministère de l’Immigration intraitable qui soupçonne d’abord un détournement des lois, notamment celles régissant le regroupement familial, voire un trafic d’enfants. ”   L’objectif de tout cet activisme est d’obtenir que la kafala soit mise sur le même plan qu’une adoption légale quand il s’agit de produire des effets positifs pour le couple recueillant.

Mais il y a quand même une légère différence entre la kafala et l’adoption simple, à laquelle elle pourrait autrement ressembler. En tant qu’elle appartient au droit coranique, la kafala affiche sans complexe son caractère discriminatoire. Rue 89 continue de ne pas se choquer pour si peu, et nous explique benoîtement :   ” En Algérie, la condition pour recueillir un enfant est qu’une des personnes du couple soit de nationalité algérienne. Au Maroc, « il faut prouver qu’on est musulman », raconte Malika. « Vous devez réciter des versets du Coran. »

La plupart du temps, ces « parents » sont donc originaires du pays de l’enfant recueilli. Ils voient là le moyen d’adopter un enfant de leur culture, mais croient aussi parfois éviter les complications de l’adoption.”

Belle franchise ! Encore un exemple de discrimination “positive” !

Une association, l’APAERK, se charge spécifiquement de faire avancer les revendications islamiques, et de faire aligner le statut de la kafala sur celui de l’adoption :

http://www.apaerk.org/qui.php

Enfin, Rue 89 orchestre les gémissements :

http://www.rue89.com/2011/02/17/la-kafala-une-forme-dadoption-que-la-france-ne-reconnait-pas-189198

Dans un article intitulé La Kafala, une forme d’adoption qui passe mal en France, l’article cherche à nous tirer des larmes sur le sort de ces petits nenfants-nenfants à qui la France finit toujours par donner ce qu’elle ne doit pas, mais ne le donne pas assez vite, assez largement, et sans y ajouter assez d’enthousiasme.

L’un d’eux nous expose sa “blessure identitaire” :   « Je suis le seul étranger de ma famille. Je lutte pour me faire naturaliser. Moi je suis citoyen algérien, alors que j’ai jamais vécu plus de trois mois en Algérie depuis mes 2 ans. C’est chiant, on a l’impression de devoir gagner son identité, d’avoir à la mériter.” Devoir mériter d’être français pour le devenir…. un vrai scandale ! C’est inhumain ! Que fait la police de la pensée ? Au secours, SOS-Racisme, le MRAP, la LDH !

Catherine Ségurane




La Kalafa, filière migratoire et exemple d’application de la charia en France

Vous avez aimé les mariages blancs ou arrangés, vous allez adorer la kafala. C’est un exemple d’application de la loi islamique en France et c’est aussi une filière migratoire faisant venir, du pays d’origine, des enfants sans lien de filiation biologique ou légal avec le couple qui les fait venir, mais garantis musulmans.

La charia, ce n’est pas seulement les amputations et lapidations ; c’est l’ensemble du droit islamique, civil ou pénal. Dès lors qu’une règle issue du Coran a des effets juridiques en France, cela revient à ce que la charia s’applique sur notre sol. Dans ces aspects de droit civil, la charia n’atteint certes pas les mêmes niveaux de barbarie qu’au pénal. Elle est simplement inégalitaire et discriminatoire.

Ainsi en va-t-il de la kafala, règle islamique relative au recueil d’enfants, substitut à l’adoption défendu avec une belle énergie tant sur internet que dans les colonnes de Rue 89.   Les fins théologiens qui lisent ce site savent que l’obsédé sexuel de la Mecque avait adopté un enfant qu’il avait toujours considéré comme son fils jusqu’à ce qu’il lui prenne fantaisie de coucher avec l’épouse de ce fils, c’est à dire sa belle-fille. C’était donc un inceste, mais cela cessa vite de l’être, car, par la volonté de Dieu,  le vieux bouc libidineux était aussi législateur. Il décida que les liens familiaux ne pouvaient résulter que du sang. A partir de là, son fils n’était plus son fils, sa belle-fille n’était plus sa belle-fille, et son inceste n’était plus un inceste. Capito ? C’est subtil, le droit religieux…

Depuis, en application de cette législation si opportune et en imitation de ce beau modèle, il n’y a pas d’adoption dans les pays musulmans, mais seulement des recueils d’enfants appelés kafala.   Et figurez-vous que la France donne des effets juridiques à la kafala, à condition seulement que le recueil soit effectif et la présence de l’enfant continue. C’est ce qui résulte d’un arrêt de la Cour de Cassation du 14 avril 2010, première chambre civile, numéro de pourvoi: 08-21312 :

http://www.legifrance.gouv.fr/affichJuriJudi.do?oldAction=rechJuriJudi&idTexte=JURITEXT000022108663&fastReqId=857920958&fastPos=14

Dans cet arrêt, la Cour fait application de l’article L 21-12 du Code civil, relatif à l’acquisition de la nationalité par déclaration, dans une version antérieure, mais la version actuelle n’est pas moins large dans l’octroi de la nationalité. Il prévoit de larges possibilités d’accès à la nationalité non seulement pour les enfants étrangers adoptés, mais aussi pour les enfants simplement recueillis et remplissant certaines conditions de présence :

http://www.legifrance.gouv.fr/affichCode.do;jsessionid=B0B905D6DE7F4757CDEC5BA6DE8477ED.tpdjo16v_3?idSectionTA=LEGISCTA000006165458&cidTexte=LEGITEXT000006070721&dateTexte=20080925

La kafala produit donc des effets en France à condition que le recueil soit effectif.   Mais cela n’empêche pas de continuer à revendiquer. Puisque la France ne dit jamais non, pourquoi se priver de demander toujours plus après avoir déjà eu plus que sa part ?   Le blog du droit des étrangers explique comment tirer le maximum de la kafala :

http://avocats.fr/space/droitdesetrangers/content/la-kafala–ou-kafalah-ou-kefala-_DAF9EE0D-D90E-4DF6-A393-BDD2382275F2

Outre la nationalité française à terme, il est possible d’obtenir quelques prestations familiales. La jurisprudence n’est pas entièrement fixée. La Cour de Cassation (deuxième chambre civile, arrêt du 11 juin 2009) a refusé le versement de la prestation d’accueil du jeune enfant :

http://www.legifrance.gouv.fr/affichJuriJudi.do?idTexte=JURITEXT000020746068&fastReqId=857920958&fastPos=15&oldAction=rechJuriJudi

Cependant, pour d’autres prestations, les litiges ne sont pas remontés jusqu’à la juridiction suprème, et certaines Cours d’appel acceptent le versement de certaines allocations (par exemple : Cour d’appel de Limoges, ct0173 audience publique du lundi 24 novembre 2008 N° de RG: 08/00786 ) :

http://www.legifrance.gouv.fr/affichJuriJudi.do?oldAction=rechJuriJudi&idTexte=JURITEXT000019978269&fastReqId=857920958&fastPos=2

Il est aussi possible d’obtenir des visas. En réalité, la kafala, comme le mariage arrangé, est aussi une filière migratoire, comme Rue 89 nous l’explique sans s’en choquer (article en lien plus loin) :   “Une fois la kafala contractée, commence la bataille du visa pour que l’enfant puisse venir en France. Face à lui, un ministère de l’Immigration intraitable qui soupçonne d’abord un détournement des lois, notamment celles régissant le regroupement familial, voire un trafic d’enfants. ”   L’objectif de tout cet activisme est d’obtenir que la kafala soit mise sur le même plan qu’une adoption légale quand il s’agit de produire des effets positifs pour le couple recueillant.

Mais il y a quand même une légère différence entre la kafala et l’adoption simple, à laquelle elle pourrait autrement ressembler. En tant qu’elle appartient au droit coranique, la kafala affiche sans complexe son caractère discriminatoire. Rue 89 continue de ne pas se choquer pour si peu, et nous explique benoîtement :   ” En Algérie, la condition pour recueillir un enfant est qu’une des personnes du couple soit de nationalité algérienne. Au Maroc, « il faut prouver qu’on est musulman », raconte Malika. « Vous devez réciter des versets du Coran. »

La plupart du temps, ces « parents » sont donc originaires du pays de l’enfant recueilli. Ils voient là le moyen d’adopter un enfant de leur culture, mais croient aussi parfois éviter les complications de l’adoption.”

Belle franchise ! Encore un exemple de discrimination “positive” !

Une association, l’APAERK, se charge spécifiquement de faire avancer les revendications islamiques, et de faire aligner le statut de la kafala sur celui de l’adoption :

http://www.apaerk.org/qui.php

Enfin, Rue 89 orchestre les gémissements :

http://www.rue89.com/2011/02/17/la-kafala-une-forme-dadoption-que-la-france-ne-reconnait-pas-189198

Dans un article intitulé La Kafala, une forme d’adoption qui passe mal en France, l’article cherche à nous tirer des larmes sur le sort de ces petits nenfants-nenfants à qui la France finit toujours par donner ce qu’elle ne doit pas, mais ne le donne pas assez vite, assez largement, et sans y ajouter assez d’enthousiasme.

L’un d’eux nous expose sa “blessure identitaire” :   « Je suis le seul étranger de ma famille. Je lutte pour me faire naturaliser. Moi je suis citoyen algérien, alors que j’ai jamais vécu plus de trois mois en Algérie depuis mes 2 ans. C’est chiant, on a l’impression de devoir gagner son identité, d’avoir à la mériter.” Devoir mériter d’être français pour le devenir…. un vrai scandale ! C’est inhumain ! Que fait la police de la pensée ? Au secours, SOS-Racisme, le MRAP, la LDH !

Catherine Ségurane