Pour Brigitte Macron, transsexuelle est une insulte !
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Après quarante-huit heures d’ébullition sur les réseaux sociaux interrogeant le genre d’origine de Brigitte Macron, laquelle serait en fait Jean-Michel Trogneux… Au lieu d’en rire tant c’est énorme, l’épouse du dictateur de l’Élysée se fâche et va attaquer, ainsi que le révèle Libération, prouvant que selon Macronella transsexuelle est une insulte.
« Contacté par CheckNews, le cabinet de l’épouse du Président nous a indiqué que « l’avocat de Brigitte Macron » était « chargé de défendre ses intérêts suite à ces publications ». Ce dernier, Me Jean Ennochi, nous a confirmé ce mercredi soir qu’il y aurait « des poursuites ».
Conférer autant d’importance à ce canular grotesque est significatif. Après s’être pris pour Jupiter, le psychopathe narcissique se prend pour un être d’exception exceptionnel, intouchable, admirable… et il n’est pas de raison que la potiche de l’Élysée ne soit pas aussi gravement contaminée.
Il est à déplorer que Pfizer, l’employeur du VRP Macron, n’ait pas encore mis sur le marché une dose d’humour pour soigner la présomption et le syndrome de la grosse tête, et que son concurrent Moderna n’ait pas encore inventé de génothérapie contre les troubles de mémoire.
Que les publications de Faits&Documents ne soient pas finaudes peut s’admettre, cependant, qui s’est exhibée dans Paris Match en maillot de bain ?
Qui s’est longtemps baladé avec des minijupes tellement courtes que la presse italienne en a ricané après l’hommage rendu à Simone Veil aux Invalides ?
Qui s’est dandinée ridiculement au soir de l’ignoble fête de la Musique 2018 ?
Qui a un époux photographié, énamouré, dans les bras d’un jeune Antillais torse nu, à Saint-Martin ?
Qui est marié avec « un type pas fini » qui a déclaré : «Benalla n’est pas mon amant », alors qu’on ne lui demandait rien ? Etc.
Après un long étalage de sa vie privée… plus de cinq ans de comportements indécents… oser réagir à cet énorme « burlesquerie » est preuve de stupidité et une indécence de plus.
Si Macronella peut promener ses volumineuses perruques dans un beau palais empli de serviteurs à sa dévotion et celui de ses caprices, se parer de luxe, voguant de privilèges en privilèges, c’est aux contribuables français qu’elle le doit. Comme le relevait un rapport de la Cour des comptes de 2018, elle se fait tout financer, jusqu’à son maquillage plâtras et le brushing de ses faux cheveux… Sans nous, elle n’est rien.
SOS Hidalgo : en plus de Hollande, Sarko vole à son secours
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Si elle continue à végéter à 4%, c’est qu’elle est vraiment nulle. Non contente de bénéficier du soutien appuyé de Hollande qui l’emmène de Paris à Tulle… pour relancer et doper sa campagne lamentable, voilà que Sarko s’y met aussi. Et ne passe pas par là, par hasard…
Anne Hidalgo se « confiait » ce dimanche soir dans l’émission « Une ambition politique », diffusée sur M6, l’ancien président de la République, lui a fait parvenir un message vidéo, amical et flatteur: « On a beaucoup de différences politiques mais comme être humain, je l’apprécie. J’aime bien son côté calme et qui résiste […] La résilience »… Certes, Hidalgo s’accroche, avec obstination, au fric et au pouvoir depuis plus de vingt ans… Sarko aurait dû évoquer « une ressemblance », non la résilience…
Deux anciens chefs d’Etat à son secours, ça parait bizarre. Il n’est pas besoin d’aller chercher très loin des explications. Edile de la capitale, elle est au coeur de qui se fait de mieux en matière de magouilles et tripatouillages de toutes sortes. C’est ainsi qu’elle a « privatisé », et métamorphosé en piste cyclable, la rue de Rivoli, pour permettre à la richissime clientèle de Bernard Arnaud de profiter, pleinement et pédestrement, des alentours de son somptueux complexe de la Samaritaine.
Déjà sous Delanoë, dès 2011, elle donnait dans ce genre de collusions et autres corruptions. Devenue maire en 2014, ce ne fut que pire. Anadingo n’est pas si dingo que ça, à chaque fois, elle sert « une cause» de la mafia en place, des puissants et de ses copains. Ses motivations sont toujours identiques et ne se bornent jamais à un simple délire municipal. Comme bien trop souvent, il suffit de chercher à qui profite le crime, ce qui n’est pas toujours facile car soigneusement dissimulé.
Quand Hidalgo fait virer les jolis bancs XIXe de Daviout pour les remplacer par d’immondes rondins ou des traverses hideuses et change sans cesse le mobilier urbain, c’est pour offrir les marchés à ses potes… Etc.
Continuant à dépenser beaucoup plus d’argent qu’en a la ville, il lui faut sans cesse trouver de nouveaux moyens d’extorquer le contribuable parisien. D’autant plus que les touristes ont déserté pour cause de Covid.
Paris se vide. En quatre ans, cette ville, sale, abimée, infernale, a perdu 54 000 habitants! Elle doit donc compenser le manque à gagner, y compris celui engendré par la suppression intensive des places de parking…
Futée, Hidalgo va taxer les déménagements, à partir de mars 2022! Et c’est Capital qui nous l’apprend.
« Une mesure qui s’est glissée dans la vaste réforme du stationnement votée par la mairie de Paris en octobre dernier. Elle prévoit de rendre payante l’Autorisation d’Occupation Temporaire (AOT), gratuite pour les Parisiens jusqu’ici. Bien qu’elle ne soit pas obligatoire pour déménager, l’AOT permet d’arrêter son véhicule sur une borne de stationnement payant, mais aussi et surtout en dehors au-delà de six heures consécutives. Elle est également indispensable pour utiliser un monte-meuble.(…) Pour justifier cette nouvelle taxe, la mairie de Paris parle de “redevance d’occupation due par tous les usagers du domaine public”. (…) Le coût de l’AOT dépendra de trois facteurs : du véhicule utilisé pour déménager, du statut réglementaire de la zone de stationnement (s’il est payant ou illicite) et enfin de la durée du stationnement ( une journée ou une demi-journée). »…
A quand la prochaine entourloupe?
En attendant, pour bénéficier des voix de quarante-six catholiques, elle devrait quérir le soutien officiel de monseigneur Aupetit, dit monseigneur Vingt-quatre, lequel ne l’a jamais lâchée…
A l’instar de Hollande et Sarko, pour être sûr de mieux saccager la France, votez Hidalgo!
Mitrophane Crapoussin
La haine des médias contre Éric Zemmour devient grotesque
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Aujourd’hui je suis tombé sur des articles, des tweets vomissant Éric Zemmour. Ces écrits soulignent clairement la panique qui saisit les auteurs.
Je n’ai jamais vu de tels torrents d’injures, de dégueulis verbaux sur un personnage qui ne s‘est pas encore déclaré que je sache, même si je pense désormais qu’il ne peut pas faire autrement que de se présenter à cette élection majeure qu’est l’élection d’un nouveau Président digne de ce nom.
En effet, nous ne pouvons pas vraiment dire que nous avons été gâtés ces dernières années.
Macron crâne d’œuf
Je passerai sur la catastrophe Mitterrand qui dira, après Maastricht, qu’il aura été le dernier vrai président de la République. Avec quelque avancées sociales fort onéreuses pour faire avaler la pilule, il y eut en fait 14 ans de trahison à tous les niveaux. À décharge, il faut bien admettre que la grande majorité des Français ignorait qui était ce type au passé trouble.
Giscard et beaucoup d’autres savaient qui était vraiment François Mitterrand. Ils n’ont pas voulu se salir les mains et c’est bien dommage. Ce fut une lâcheté première. Étudiant, Mitterrand était un militant de l’Action Française de Maurras, un royaliste, un patriote, mais aussi et à cette époque, un antisémite déclaré.
Durant la guerre, il ne s’est pas distingué. Il a été fait prisonnier, s’est évadé et a rejoint le maréchal Pétain, comme beaucoup d’ailleurs. Vichy lui confia la mission de liaison avec les prisonniers restés en Allemagne. On peut s’étonner qu’un ancien prisonnier évadé ait été mis en avant, à la barbe des nazis, sans que ceux-ci ne disent rien. Décoré de la Francisque, il jura fidélité au maréchal Pétain.
Je passerai sur ses demandes assidues auprès de Charles de Gaulle pour avoir un poste dans le futur gouvernement de la Libération. Le mépris du Général en réponse fit germer dans cet esprit retors une lourde haine.
Je passerai également sur les différents postes ministériels sous la IVe République pourrie, qui fut à son grand désespoir évacuée dans les chiottes de l’histoire, par le même Charles de Gaulle en 1958, d’où une haine encore plus exacerbée. Il y eut aussi ce misérable et faux attentat de l’Observatoire à Paris, pour que personne ne l’oublie. Bref, il a fini par être Président grâce à la trahison de Chirac. 14 ans de démolition de la France.
Puis vient le tour de ce Jacques Chirac. Traître à tous ses amis gaullistes. Celui qui les sacrifia pour un poste de Premier ministre sous Valérie Giscard d’Estaing.
Par la suite, Chirac devint le premier maire de Paris, créa le RPR, fit son appel de Cochin sur le patriotisme, la France souveraine, son indépendance, sa haine de l’Europe supra-nationale, pour finalement mettre à la poubelle ses pseudo-convictions, et faire de la lèche à Mitterrand qui, in fine, l’adouba en tant que candidat d’une droite émasculée. 12 ans d’égarement du Président Chirac.
Vient Nicolas Sarkozy qui lui, aura trahi Chirac en 1995, puis plus grave, en tant que Président, le référendum de 2005 sur la Constitution européenne. (5 ans)
Passons sous silence le ridicule François Hollande (5 ans) et nous voilà avec un Emmanuel Macron, (5 ans) champion du « En même temps » qui lui, aura vomi sur la France, sa culture, son histoire en lui niant toute sa réalité.
Bref, avec Giscard, cela fait 48 ans de trahisons de la France et des Français.
Les prochaines élections seront soit un grand bol d’air pour la France et les Français, soit une noyade assurée.
Une image résumé par un tweeter « Un cavalier qui surgit hors de la nuit Court vers l’aventure au galop Son nom, il le signe à la pointe de l’épée D’un Z qui veut dire Zemmour ». Alors vous me direz que rien n’est sûr, qu’il y aura un sergent Garcia qui viendra mettre des bâtons dans les pattes de Tornado.
Si c’est de Bertrand que vous parlez, alors là, je vous sors l’arme fatale en image.
Sergent Garcia-Bertrand et le Z
Ce n’est pas les haineux gauchistes, ou certains « auteurs compositeurs algériens« ayant fait leur trou dans les salons macronistes de la République, ces Français de papiers, tous les Caliméro télévisuels, les victimaires assoiffés de subventions et autres traîtres en demande permanente de « repentance » et de « réparations », qui empêcheront les Français de faire un choix dans leur propre intérêt.
Voici, pour conclure, une réflexion simpliste, imbécile de l’un d’eux, celle d’un raciste indigéniste au sujet de Sonia Mabrouk jugée trop complaisante pour Éric Zemmour. Bien entendu, c’est sous couvert de l’anonymat. Nous le savons tous, ce n’est pas le courage qui étouffe les hyènes des réseaux sociaux.
Elle ne pousse pas les interviewés dans leurs retranchements, elle les pousse dans la fosse à purin zemmourienne. Europe 1, la radio néo-fasciste. La simple écoute vaut complicité. Asphyxions les médias Bolloré par le boycott et la pression sur les annonceurs.
On appréciera à leur juste valeur ces démocrates bidons, et les vrais terroristes contre la liberté d’expression.
Vive la France, vive l’Empereur, vive Zemmour !
Gérard Brazon
Et la gauche devint la putain de l’islam : les faits donnent raison à Pierre !
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Fondateur de Riposte Laïque, Pierre Cassen insiste, dans on dernier livre « Et la gauche devint la putain de l’islam », sur les dangers de l’islamisation de la France.
Pour Pierre Cassen, ‘Le marxisme s’est précipité dans les bras de l’Islam’
Fondateur de Risposte Laïque, Pierre Cassen insiste, dans on dernier livre « Et la gauche devint la putain de l’islam », sur les dangers tromperie
Dans son livre ‘Et la gauche devint la putain de l’Islam’, Pierre Cassen explore les réseaux fondamentalistes et leurs liens avec la République
Pierre Cassen, longtemps homme de gauche, emporte tout sur son passage. Rien ne lui résiste. Il a été un des leaders du syndicat du livre CGT, terminant sa carrière de typographe comme chef de l’atelier du marbre au quotidien « l’Equipe ». Pendant des décennies, il a été redouté par de nombreux patrons de presse.
Si le titre de son dernier livre « Et la gauche devint la putain de l’islam » peut choquer la « gauche bobo », le baroudeur Pierre Cassen, fondateur du site d’information « Riposte Laïque », tient un discours choc à la Marcel Bigeard (officier de parachutistes issu de la résistance et héros des guerres coloniales).
Il dresse un véritable réquisitoire contre toutes les compromissions de la gauche.
Son livre de 326 pages, écrit par un homme en colère, se veut une mise en garde contre la montée de l’islam intégriste sur le sol français, mais aussi dans les autres pays européens. Il démontre, après tous les attentats commis sur le territoire français, que l’islamisme constitue une grave menace (notamment dans les pages 274 à 288), à la fois pour la république, à la fois pour la laïcité, un des fondements de la société. Et Pierre Cassen connait bien la gauche. Car il a milité au parti communiste français, à la ligue communiste révolutionnaire, à la confédération générale du travail et à l’union laïque des familles.
Sacrée expérience qu’il relate avec une foule de détails croustillants.
« Et la gauche devint la putain de l’islam », réquisitoire de Pierre Cassen contre les extrémistes
Pierre Cassen a considéré toutes ces organisations comme « trop bienveillantes à l’égard de l’islam ». Il s’en explique dans son livre, où il revisite les attentats de Charlie Hebdo, du Bataclan, de Nice, et « dézingue » les responsables socialistes de l’époque, dressant en première partie douze portraits au vitriol.
Dans un argumentaire implacable, avec chiffres et références, Pierre Cassen n’hésite pas à citer l’ancien président de la République François Mitterrand qui avait déclaré : « Dans certains endroits de France, le seuil de tolérance est dépassé….« . Ce qui avait provoqué une bronca à gauche. Et la suppression d’un ministère.
Dans son dernier livre, Pierre Cassen affirme : « La gauche a trahi la cause, les Français, la société… ». Pierre Cassen affiche sa détestation de la gauche actuelle. Sa douleur est perceptible au fil des pages. Car, pour lui, rien n’est plus insupportable, plus douloureux qu’une trahison. Lui qui a tant donné, hier, pour cette gauche. Lui qui a côtoyé, aidé, souvent partagé le quotidien de Caroline Fourest, d’Olivier Besancenot, de Gérard Filoche, nouant une amitié sincère avec Jean-Luc Melenchon.
Dans ce livre, Pierre Cassen hurle sa colère
Au fil des pages, Pierre Cassen recense toutes les compromissions de la gauche. De Jack Lang à Attali, en passant par les sociologues du Boulevard Raspail, quelques ministres de la justice ou les journaux dévoués à l’islam.
L’ancien militant communiste de banlieue, qui avait créé une association pour faire barrage au front national dans sa ville de Triel en 1990 lors d’une élection municipale faisant suite à l’annulation du scrutin de 1989, hurle sa colère : « Dans les banlieues, on utilise des caïds pour qu’ils ramènent des voix à gauche. La gauche achète des voix auprès des imams. Intolérable ! ».
Pierre Cassen analyse les liens entre le marxisme et l’islam
L’auteur a le mérite d’analyser « l’islam politique » soutenu par les marxistes. Il écrit notamment : « Le marxisme, privé de son idéologie première, s’est précipité dans les bras de l’islam, à corps perdu ».
Avec ce livre choc, où il détaille et recense tous les attentats de terroristes islamiques perpétrés en France, Pierre Cassen va plus loin et lance un avertissement à Emmanuel Macron, à de nombreux dirigeants de gauche cités au chapitre 23 en ces termes : « Islam : vous ne pouviez pas dire que vous ne saviez pas ».
Son chapitre de conclusion est tout aussi détonant lorsqu’il s’adresse aux dirigeants actuels, mais aussi à François Hollande, à Nicolas Sarkozy : « A cause de vous, la France est en train de crever ! ». Au passage, dans le chapitre intitulé « des tartes, des tartes », relatant les plus belles erreurs du philosophe Bernard-Henri Lévy et les liens sulfureux de ce dernier avec Tarik Ramadan, Pierre Cassen lui assène : « Tu as passé ta vie à te tromper… Tu me fais penser à Michel Galabru dans le « Viager »…. »
Massacre d’Oradour-sur-Glane : les auteurs SS jamais emprisonnés
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Le boucher d’Oradour-sur-Glane, Heinz Lammerding, né le 27 août 1905 à Dortmund et mort dans son lit, le 13 janvier 1971 à Bad Tölz, n’a pas fait une seule journée de prison pour le massacre de plusieurs centaines de civils dans des souffrances atroces.
En cette période d’hommage aux jeunes résistants français, via des livres bien documentés
l’actualité se fige sur Oradour-sur-Glane, avec des tags sur le mémorial.
Et là, Emmanuel Macron fait très fort dans la récupération d’un fait divers.
Pour redorer son blason, Emmanuel Macron assure que « tout sera fait » pour poursuivre les auteurs des tags inscrits sur le centre de la mémoire d’Oradour-sur-Glane, lieu du massacre de 642 personnes en 1944 par des soldats allemands.
Mais depuis la fin de la guerre, les différents présidents de la République et leurs ministres n’ont jamais réussi à faire emprisonner les coupables de cet odieux massacre. Et, à plusieurs reprises, les généraux et officiers SS de la division « Das Reich » ont nargué l’État français et sa justice, notamment lors des obsèques du général Lammerding en 1971, avec leurs propos négationnistes.
Alors, on veut aujourd’hui mettre des moyens policiers et gendarmiques énormes pour retrouver les auteurs des tags de l’autre nuit sur le centre de la mémoire d’Oradour-sur-Glane, alors que l’État français n’a rien fait, depuis 1944, pour emprisonner les responsables et auteurs de ce massacre de 642 personnes. Comme pour le massacre du Bataclan d’ailleurs !
Certes, le général SS Lammerding n’était pas le seul officier impliqué. L’officier SS Adolf Diekmann dirigeait sur place les SS qui ont commis le massacre d’Oradour-sur-Glane, pire crime nazi en France. Tous ces responsables ont mené une vie paisible en Allemagne, après la guerre, et les gouvernements allemands ont toujours refusé leur extradition.
Que des jeunes alcoolisés viennent taguer le mémorial un soir de beuverie ? À moins que ces actes odieux aient été perpétré par un survivant de la division « Das Reich » de passage dans la région…
Ou que les auteurs de ce massacre soient restés impunis depuis 1944 ? Et les derniers survivants de la division « Das Reich » vont bientôt mourir dans leur lit, suite à l’inaction de tous les responsables de l’État français depuis 1944 !
https://www.nouvelobs.com/societe/20070814.OBS0469/l-assassin-d-oradour-sur-glane-est-mort.html
Francis GRUZELLE Carte de Presse 55411
Olivier Dussopt et Gérald Darmanin : les voyous de la République
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Olivier Dussopt et Gérald Darmanin, deux voyous de la République dans la tourmente judiciaire. Il y a encore des magistrats qui font leur boulot !
À croire que le ministère du Budget est maudit. Ou prédestiné à des voyous de la République. Sous Hollande, il y avait Jérôme Cahuzac, qui jurait « droit dans les yeux devant les députés » ne pas posséder de comptes bancaires à l’étranger. Sous Macron, il y a Gérald Darmanin et Olivier Dussopt, qui continuent de « fanfaronner » dans la presse alors que l’étau de la justice se resserre sur eux, malgré les interventions de l’Élysée.
Le secrétaire d’État « donneur de leçons » et fossoyeur de la fonction publique (12 000 suppressions d’emplois) Olivier Dussopt est désormais au centre d’une enquête judiciaire, confiée à l’Office central de lutte contre la corruption et les infractions financières et fiscales (Oclciff), pour « corruption » et « prise illégale d’intérêts ». Lorsque Olivier Dussopt a été pris les doigts dans le pot de confitures pour corruption dans cette histoire d’eau, il a d’abord tenté de noyer le poisson, en prétendant qu’un ami proche lui avait offert les deux œuvres du peintre Gérard Darouste.
Un petit geste qui faisait suite à un chantier de 150 000 euros confié par Dussopt au groupe Saur, 3e distributeur français d’eau et concurrent de Veolia. Une manière habituelle pour la société Saur de remercier son petit personnel politique. Mais au vu des éléments détenus par les rédactions de Mediapart et de Blatingnews, le petit Cahuzac d’Annonay a fini par avouer, espérant être pardonné. Que nenni ! Les juges nationaux du parquet financier n’ont pas été impressionnés par les déclarations d’impunité dont se prévalait Olivier Dussopt.
Olivier Dussopt, malgré certaines dénégations de membres du parti socialiste de l’Ardèche, ayant aussi la casquette LREM, à l’image du clone de Dussopt Simon Plenet, candidat et tête de liste au 2e tour des élections municipales le 28 juin, est bien visé par une enquête du parquet national financier (PNF), pour avoir reçu deux lithographies en cadeau en 2017, alors qu’il était député et maire d’Annonay (Ardèche). L’AFP a confirmé cette information le vendredi 12 juin, validant une publication de Mediapart.
Contacté par téléphone pour répondre de cette affaire grave de corruption, le patron local de la Saur Franck Meneroux a indiqué « ne pas gérer ce genre de chose », renvoyant vers le service communication de la Saur. L’entreprise, elle, n’a pas fait de commentaire, indiquant avoir « diligenté une enquête interne ».
Le ministre Gérald Darmanin pour suivi pour une affaire de viol
Après « l’histoire d’eau » de Dussopt, après les vidéos masturbatoires de l’ex- ministre et actuel député Benjamin Griveaux, la justice rouvre le dossier d’accusations de viol visant le ministre du Budget Gérald Darmanin, qui revendiquait, voici 15 jours, le poste de Premier ministre, en lieu et place d’Édouard Philippe, jugé usé. Le Premier ministre doit bien rigoler, à moins que sa main ait réactivé la « machine judiciaire ».
La justice va donc réexaminer la validité du non-lieu dont a bénéficié en 2018 le ministre des Comptes publics Gérald Darmanin, accusé par une femme d’un viol commis en 2009, selon une décision rendue jeudi 11 juin 2020,par la Cour de cassation. C’est l’affaire de la plainte initiale de la première victime, Sophie Patterson-Spatz.
Comme un malheur n’arrive jamais seul, une deuxième accusatrice s’est fait connaître.
Cette femme accuse Gérald Darmanin de l’avoir violée en 2009. À l’époque, elle assure « s’être adressée à l’élu de Tourcoing, alors chargé de mission au service des affaires juridiques de l’UMP, pour tenter de faire annuler une condamnation de 2004 pour chantage et appels malveillants contre un ex-compagnon. Selon elle, Gérald Darmanin lui aurait fait miroiter son appui auprès de la Chancellerie, en échange de faveurs sexuelles ».
Cette deuxième accusatrice avait porté plainte pour « abus de faiblesse », affirmant que l’élu lui avait aussi demandé des faveurs sexuelles en échange d’un logement. Cette procédure a également été classée sans suite par le parquet de Paris au printemps 2018, mais embarrasse très fortement la défense de Gérald Darmanin.
Francis GRUZELLE Carte de Presse 55411
Lire aussi ces articles qui constituent un complément d’information :
Pandémie : Sarkozy, puis Hollande et Macron, savaient depuis 2008…
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Gouverner c’est prévoir, dit l’adage. Colbert replantait des arbres coupés pour la construction des bateaux, pour assurer l’avenir des constructions futures !
Produire, pour assurer l’indépendance alimentaire, pour assurer la couverture sanitaire des besoins de la population. Cela fait partie des prévisions qu’un gouvernement instruit, conséquent, soucieux de l’intérêt général, se doit d’appréhender.
Produire de la richesse, c’est bien, mais produire ses propres équipements militaires, assurer son indépendance, celle de la nation souveraine fait aussi partie des responsabilités de ceux qui gouvernent. Ce n’est plus le cas en terme d’armements légers et de munitions.
Ces quelques réflexions sur ces obligations minimales qu’un gouvernement doit avoir pour assurer la sécurité d’un peuple, ont été moquées, bafouées, au mieux oubliées et donc sacrifiées sur l’hôtel de la rentabilité, des flux tendus, de la délocalisation rentable. Ce que dit Éric Zemmour depuis des années, et bien d’autres d’ailleurs.
Gouverner c’est prévoir, et nos dirigeants ont failli.
Ce n’est pas qu’ils ne savaient pas ! Cela relève de la haute trahison pour ne pas avoir fait ce qu’il fallait faire.
Ils savaient depuis 2008 ! Ils savaient que nous aurions à subir une pandémie redoutable depuis le quinquennat de Nicolas Sarkozy, celui de François Hollande, et d’Emmanuel Macron. Nous en avons la preuve par la diffusion d’un petit livre blanc concernant la prévision des risques encourus par notre pays.
Ce livre émane de la Défense et de la Sécurité nationale et il est préfacé par Nicolas Sarkozy lui-même.
Dans sa préface, l’ex-Président informe : pour la première fois, des parlementaires ont été membres de la Commission du Livre blanc (…) Quel est donc le parlementaire qui peut nier que la pandémie n’était pas prévue ?
Que dit ce document officiel en 2008 : la pandémie est classée quatrième parmi les six principales menaces citées : attentats terroristes, attaques informatiques, menace balistique, pandémie, catastrophes naturelles ou industrielles et criminalité organisée. (…)
« Sur les quinze années à venir, l’apparition d’une pandémie est plausible » (…)
Les risques sanitaires sont susceptibles d’engendrer une désorganisation des échanges économiques. Ils présentent des coûts de prévention et de protection très importants. La propagation de nouvelles souches virales ou bactériennes ou la réapparition sur le continent européen de souches anciennes résultent de l’ouverture des frontières, de la fluidité des transports et de la rapidité des échanges internationaux. (Page 55)
Dans le livre blanc de 2013, même constat ! Nous sommes sous François Hollande : « Le risque existe, notamment, d’une nouvelle pandémie hautement pathogène et à forte létalité, résultant par exemple, de l’émergence d’un nouveau virus franchissant la barrière des espèces ou d’un virus échappé d’un laboratoire de confinement. » (Source)
Gouverner c’est prévoir ?
Les outils existaient, la prévenance était là ! Les Présidents Nicolas Sarkozy, François Hollande et Emmanuel Macron étaient tous prévenus, ainsi que la représentation parlementaire. Le Sénat de Gérard Larcher y compris. Qu’ont-ils fait ? Qu’avaient-ils prévu ? Manifestement rien. Ils ont non seulement laissé faire, mais ont participé à la déroute face à la pandémie prévue !
Sous Hollande, ils ont dilapidé les stocks de masques, ils n’ont pas commandé de respirateurs en nombre pour faire face à cette pandémie soulignée comme quatrième menace. Ils n’ont pas prévu les tests et pire, ils ont massacré le système hospitalier pour faire des économies budgétaires au nom des 3 %, et satisfaire la Commission européenne.
Nos responsables politiques ont agi comme dans les années 1930, ils ont désarmé la France par le sous-équipement face à un danger prévu. À l’époque, c’était Hitler, aujourd’hui, c’est la pandémie du Covid-19, une pandémie prévue depuis 2008 par des experts chargés de signaler, justement, dans les livres blancs de la Défense et de la Sécurité nationale, les différents risques.
Au regard de ces informations, de ces avertissements, de ces constats, plus personne ne peut, dans chacun des gouvernements, parmi tous les parlementaires, les présidents d’Assemblées nationales, et pour chacun des présidents de la République, dire qu’ils ne savaient pas.
Ils savaient tous, ont été informés, et ont mis volontairement en danger la vie des Français.
Ils sont individuellement et collectivement responsables, et espérons qu’un jour, si la justice a encore un sens dans ce pays, qu’ils seront mis au ban des accusés, qu’ils seront jugés, car ils doivent l’être afin de faire la lumière sur les responsabilités de chaque acteur de cette défaite annoncée !
La France est la risée du monde, elle aura été bafouée par ces « élites » prétentieuses, arrogantes, injurieuses. La France ne peut plus se targuer d’être une grande nation sans qu’elle ne lave cet affront, qu’elle juge ceux qu’ils l’ont trahie !
Gérard Brazon
Le procès Hidalgo n’avait qu’un objectif : faire tomber Pierre Cassen
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On attendait ce grand jour avec impatience ! Un procès aussi ubuesque à la XVIIe chambre, ça ne se manque pas ! La présidente n’est autre que Caroline Kuhnmunch, ex-conseillère de Christiane Taubira et vice-présidente du tribunal de grande instance de Paris. Il fallait bien ça pour juger Riposte Laïque et Ri7, présumés coupables d’avoir mis en ligne une caricature d’Anne Hidalgo. Rappelons que Riposte Laïque a déjà eu maille à partir avec cette juge, dans au moins deux affaires : celle des caissières d’H et M en 2016 et celle des autocollants, via Résistance Républicaine en 2019.
On attendait surtout de voir comment le conseil de Mme Hidalgo, du cabinet Jean-Pierre Mignard (grand ami de François Hollande) allait s’en sortir. Mais avant d’entrer dans les détails, rappelons les enjeux : d’un côté le maire de Paris qui porte plainte pour injure publique, aux frais de la princesse, de l’autre une dessinatrice bénévole et Pierre Cassen, en qualité de directeur de publication présumé d’une association qui lutte contre l’islamisation de la France. La salle est plutôt vide en ce 12 décembre 2019. Ri7 n’a pu se rendre au procès, faute de moyens de transport. C’était la seule affaire de la journée. Deux sympathisants de Pierre et Christine vont écouter les plaidoiries qui dureront plus de trois heures. Et l’on nous répète que la justice est engorgée !
Pierre Cassen se présente à la barre
Le juge Kuhnmunch rappelle les faits, non sans une remarque ironique sur le poids du dossier : une pile de documents d’au moins 30 cm de hauteur se trouve sur le bureau du tribunal. Cette affaire « très grave » a effectivement fait travailler beaucoup de monde !
Les premières publications du dessin remontent à 2014, mais il y en aura d’autre les années suivantes, avec toujours en toile de fond, la célébration par la Mairie de Paris de la rupture du jeûne du Ramadan et donc, une forme d’allégeance à l’islam et à ses représentants en France, malgré le caractère laïque et le devoir de neutralité des institutions républicaines. Mais ça, on évite d’en parler pour le moment !
En tout, trois plaintes d’Anne Hidalgo, qui seront traitées au cours d’un même procès, celui du jour.
Les questions tournent autour de l’implication de Pierre Cassen dans la gestion du site. Il a beau répéter qu’il n’est plus directeur de publication depuis 2012, puisque le site a été transféré à Riposte Laïque Suisse, rien n’y fait ! Il doit expliquer quel est son rôle au sein de l’équipe. L’interrogatoire est à charge et la partie adverse ne manque pas d’armes. En effet, une première plainte d’Anne Hidalgo a donné lieu à une information judiciaire confiée à la Brigade de la répression de la délinquance à la personne (BRDP). Il en résultera une moisson de renseignements sur les activités de Pierre Cassen. L’enquête suit son cours : commission rogatoire internationale et convocation d’Alain Jean-Mairet, alors directeur de publication en Suisse, audition de Pierre Cassen, perquisition à son domicile, saisie de son ordinateur et de son téléphone portable. Malgré une ordonnance de restitution, l’ordinateur de Pierre ne sera jamais récupéré, ce que semble ignorer la présidente. Un dysfonctionnement de la justice ou la volonté de priver M. Cassen de son outil de travail ? On le saura peut-être un jour !
La première question porte sur l’histoire de Riposte Laïque que nos lecteurs connaissent par cœur. Puis il est fait référence à un échange de correspondances entre Pierre Cassen et Ri7. « Ce mail peut donner l’impression d’un rôle très actif dans le fonctionnement du site ? » interroge la présidente. Il faut expliquer au tribunal le fonctionnement d’un site de presse en ligne : un forum permettant aux rédacteurs de communiquer entre eux, l’existence d’une photothèque partagée sur la plateforme de Word Press. Pierre Cassen n’a jamais caché qu’il participe à la vie du site au même titre que d’autres contributeurs : il fait des titres, propose des articles, participe à la relecture… Rien d’étonnant à ce que le dessin de Ri7 se retrouve sur le disque dur de son ordinateur ! De là à en tirer la preuve que M. Cassen a participé à la mise en ligne du dessin, c’est autre chose !
Tentant de déstabiliser le prévenu, le juge Kuhnmunch se fend d’une remarque infantilisante : « sortez les mains de vos poches !» lance-t-elle à Pierre Cassen. Ce dernier n’accepte pas cette tentative d’humiliation, et explique pourquoi, durant quelques secondes, il a mis ses mains dans les poches, rappelant à la présidente, d’une manière très sèche, qu’il a de l’éducation, et qu’il a appris à bien se comporter en public. Cette mise au point effectuée, la présidente Kuhnmunch continue ce qui s’apparente à un véritable interrogatoire.
« Et quels sont vos liens avec la dessinatrice ? » Pierre évoque des liens amicaux et de confiance avec Ri7. Il cite la réalisation en commun d’une bande dessinée : « Le Guignol de l’Élysée » visant François Hollande. Sourires contenus dans la salle… Puis elle demande : « et que pensez-vous du dessin ? » Réponse : « Anne Hidalgo a gravement violé la laïcité. C’est très sain qu’il y ait des dessinateurs qui peuvent faire savoir qu’ils ne sont pas d’accord avec sa façon d’agir. Que serait la France si cela n’avait pas été fait ? Cela ne serait plus la France ».
Lorsque arrive la question du procureur au prévenu, Pierre Cassen, de peur de faire un impair, demande à la présidente « qui dois-je regarder, le procureur ou le tribunal ? ». Réponse de la présidente, dont l’ego semble démesuré : « MOI » !
L’avocat du cabinet Jean-Pierre Mignard entre en scène
On était presque tenté d’avoir pitié pour ce jeune avocat qui se trouve de facto impliqué dans une manœuvre juridico-politique visant à avoir la peau du patriote Pierre Cassen. En était-il bien conscient ?
Sa défense est claire, argumentée autant qu’elle puisse l’être. Un vrai pro qui a de l’avenir, s’il reste dans le camp du pouvoir en place ! Il veut que l’on évite de faire un parallèle avec l’affaire de la caricature montrant Bernard Cazeneuve en lèche-babouche et qui s’était soldée par la relaxe de la dessinatrice Ri7 et de Pierre Cassen.
Pour mémoire, Cazeneuve avait porté plainte pour injure, mais le tribunal avait estimé qu’il s’agissait plutôt d’une diffamation. Or la diffamation emportant l’injure, la plainte était mal fondée. Pas question pour le jeune avocat de retomber dans le même piège ! Pour lui le caractère injurieux de la caricature ne fait pas de doute : « une attaque personnelle, dégradante, gratuite qui n’a rien à voir avec le fait de rendre hommage à des victimes », faisant allusion au « je suis Charlie » d’Anne Hidalgo au lendemain des attentats et à ses prises de position sur la défense inconditionnelle de la caricature (sauf lorsqu’elle vient de ses adversaires politiques !).
Il prétend qu’il ne peut y avoir diffamation car les textes associés au dessin seraient sans rapport avec celui-ci, ce que contestera plus tard maître Pichon, le conseil de Pierre Cassen.
Puis il reprend un argumentaire maintes fois entendu selon lequel M. Cassen serait le « vrai » directeur de publication, en opérant cette distinction issue du droit des affaires entre un directeur « légal » et un directeur « de fait ». Selon ses dires, « on en sait plus sur les activités de Pierre Cassen que lors du jugement du 3 mai 2017 par lequel le tribunal avait estimé ne pas avoir assez d’éléments pour conclure à la qualification de directeur de publication ». Bref, il ambitionne de remettre en cause tous les jugements précédents au cœur desquels se trouvait la récurrente question du directeur de publication.
Puis il nous explique que si la cour estimait que la loi sur la presse de 1881 ne s’appliquait pas, du fait que le site se trouve hébergé à l’étranger, il conviendrait d’appliquer les dispositions du droit pénal ordinaire : pas d’impunité pour les personnes qui participent à l’infraction. En résumé : « on a les preuves que M. Cassen est directeur de publication, mais à défaut, il a bien participé à l’infraction ». Donc condamnable dans tous les cas. CQFD. La partie civile (Anne Hidalgo) réclame 5 000 € aux prévenus – in solidum – en réparation du préjudice invoqué.
Le procureur nous surprend par un coup de théâtre
Il nous dit d’abord qu’entre l’injure et la diffamation, c’est l’injure qu’il faudrait retenir. Pour lui, la responsabilité personnelle des deux prévenus ne fait aucun doute. Il estime que M. Cassen s’est livré à un vrai travail de directeur de publication. Mais il se montre plus réservé sur le fond (NDLC : on entre enfin dans le vif du sujet après deux heures d’audience !).
Il poursuit : « Les dessins reprochés sont-ils condamnables ? C’est moins évident ! La caricature vise une personne publique. La jurisprudence s’est toujours montrée très peu restrictive en la matière. Il est compliqué de considérer que le dessin puisse être considéré comme injurieux ».
Maître Pichon rebondit sur les propos du procureur
Il soutient que la liberté d’expression doit être acceptée, même si elle ne plaît pas : « dans une caricature, il y a une distance par essence, on exagère la réalité et cette liberté doit être acceptée. Ce n’est pas une photographie ! Quant au thème du lèche-bottes, il n’est pas nouveau » citant les caricatures du Crapouillot.
Il poursuit : « Mme Hidalgo qui se prétend à la pointe du combat pour la liberté d’expression devrait avoir « le cuir tanné » et accepter des propos désagréables ».
Il ajoute que d’autres ont été exposés aux mêmes désagréments : Marine le Pen comparée à un étron, Sarkozy en position compromettante avec Carla Bruni, Hollande avec une jeune femme, sans parler d’une religieuse avec un crucifix dans l’anus, une caricature de Charlie Hebdo qui l’a particulièrement affecté en tant que catholique pratiquant.
Pour les détails, il fait remarquer que les éléments apportés au débat sont postérieurs à la publication du dessin et ne prouvent en rien que M. Cassen ait participé à la mise en ligne. Il rappelle le contexte de la caricature et des articles associés : une célébration du Ramadan qui a coûté 100 000 € au contribuable parisien. Mme Hidalgo est critiquée pour le non-respect de la laïcité.
Puis il revient sur l’enquête de police qu’il qualifie de « disproportionnée », voire « effrayante » : oser lancer une perquisition pour une histoire de caricature !
Il conclut que les limites de la liberté d’expression n’ont pas été franchies et demande la relaxe pure et simple de ses clients ainsi qu’un dédommagement pour procédure abusive.
Le mot de la fin revient à Pierre Cassen
Revenant à la barre, il rappelle ce qu’il avait dit au président du tribunal en 2012 lors de son premier procès : « je mène un combat contre l’islamisation de mon pays (…) Je cesserais la bataille si les faits venaient à me donner tort ». Puis il énonce la liste des attentats, commis au nom d’Allah, qui ont, depuis cette date, meurtri la France.
Il reprend : « j’ai la désagréable sensation que plus les faits me donnent raison et plus la répression s’accentue (…). C’est ma dixième comparution devant ce tribunal. Les modèles totalitaires m’ont toujours révulsé : un caricaturiste algérien Abdelhamid Amine vient d’écoper d’un an de prison dont trois mois ferme pour des dessins critiquant le pouvoir … »
« J’ai la désagréable impression que certains veulent utiliser mes courriels pour revenir sur des décisions de justice (…). Je pense qu’il y a d’autres priorités ! » a-t-il ajouté.
L’affaire est mise en délibéré et le verdict sera rendu le 5 mars à 13 h 30
Hector Poupon
Allons-nous accepter longtemps les insultes de Macron depuis l’étranger ?
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Que penser d’un président qui ne respecte pas son pays, son peuple, son histoire millénaire et pense, au fond, que sa culture n’existe pas ?
Nous avons ce type de président ! On peut tout dire, et même des choses ignobles, sur nos différents présidents de la Cinquième République !
Charles de Gaulle, notre libérateur de Londres, quoi qu’en disent ceux qui ne l’aiment pas. Il nous a enfermés, après la guerre, dans un tête-à-tête avec les communistes qui nous auront pourri la vie, falsifié notre Histoire en se donnant le beau rôle. Celui de résistants, du parti des fusillés, en évitant de souligner leur rôle de saboteurs de nos usines d’armements, celui de Maurice Thorez, déserteur en 1939, de collabos jusqu’en juin 1941, d’exécuteurs d’Allemands dans le dos (Pierre Georges, dit « le colonel Fabien ») pour, ont-ils dit, réveiller les Français par des exécutions d’otages par les nazis !
C’est aussi le traitement de la guerre d’Algérie, une sale affaire reprise aux socialistes Guy Mollet et François Mitterrand entre autres, avec, là aussi, des communistes qui ont grandement trahi la France ! Une fois de plus, comme lors de la guerre d’Indochine. Charles de Gaulle a bâclé la sortie de cette guerre d’une façon impardonnable, en laissant faire les assassinats de Pieds-noirs et de harkis ! Quelle douleur pour moi, lorsque j’ai découvert cette page de notre Histoire ! Il l’a fait, dit-il, pour « éviter à la France de devenir un pays arabe, vu la démographie de l’Algérie ! Pour se consacrer à la puissance nucléaire, pour sa grandeur et son indépendance » ! L’Histoire prononcera sa sentence !
Georges Pompidou a peu régné, mais il a tout de même permis à l’Angleterre d’entrer dans le marché commun et il a favorisé les débuts de l’immigration.
Valéry Giscardd’Estaing, lui, a porté le premier coup à cette France en acceptant le regroupement familial avec la complicité de Jacques Chirac.
François Mitterrand, que l’on ne présente plus tant il est bien connu pour avoir été le fossoyeur de notre France ! La négation de son Histoire ! Un homme qui commença à l’Action Française et termina socialiste, après avoir été un collabo décoré de la Francisque par le maréchal Pétain lui-même.
C’est lui qui a manipulé la « droite dite républicaine » en l’obligeant à se courber, en la culpabilisant, en lui refusant des ententes avec le Front national dans les années 90. Ce qui ne l’a pas empêché de la favoriser par la suite ! L’essentiel, en politique, n’est pas ce que pense l’autre mais ce qu’il dit. Il faut lui imposer l’application de la parole donnée. La droite la plus bête du monde ne s’en est pas encore sortie !
Jacques Chirac aura tout trahi ! Ses convictions, ses amis, à commencer par Jacques Chaban-Delmas, pour le poste de Premier ministre de Giscard. Giscard lui-même, par la suite, par son appel de Cochin, en le dénonçant comme étant le parti de l’étranger. Les patriotes français, en reniant ses convictions gaullistes d’une France indépendante et libre face à la Communauté européenne devenue l’Union européenne. Il a accepté de signer le traité de Barcelone sur l’invasion migratoire, la langue arabe dans les écoles pour quelques barils de plus ! Marie-France Garaud en disait : Je croyais que Chirac était du marbre dont on fait les statues. En réalité, il est de la faïence dont on fait les bidets !
Nicolas Sarkozy, l’homme qui aura tout promis et rien tenu ! L’homme qui parlait de la Patrie, de la France, du Drapeau et qui, en sous-main, facilitait l’entrée de la Turquie dans l’Union européenne. Il a trahi le référendum de 2005, nous a plombés avec le traité de Lisbonne. Le traître dans toute sa splendeur !
François Hollande, qu’en dire, de cette nullité, à part qu’il avait un casque, un scooter, des nanas, une gaucherie affligeante et une diction pitoyable ! Que dire, si ce n’est qu’il a repris la pelle pour enterrer, lui aussi, la France.
Emmanuel Macron, l’homme de la finance, l’homme de la banque, des intérêts financiers de quelques-uns, comme Drahi, Bolloré, Attali, Minc, de Castries, etc. La France, il l’ignore, parce qu’il n’est pas français au fond, il est mondialiste ! Quelle souffrance quand certains le comparaient à Napoléon Bonaparte ! Quel niveau d’inculture de la part de ces journalistes, penseurs et experts en politique de vouloir comparer Emmanuel Macron au général Bonaparte ! C’est l’Empereur qui disait : Lorsqu’un gouvernement est dépendant des banquiers pour l’argent, ce sont ces derniers, et non les dirigeants du gouvernement, qui contrôlent la situation puisque la main qui donne est au-dessus de la main qui reçoit.
On est loin d’Emmanuel Macron, qui est le banquier et non l’Empereur. Mais il est vrai qu’en matière d’Histoire, ces journalistes ont quitté depuis longtemps les bancs de l’école. Aucun ne serait capable, comme le fait Éric Zemmour, de rappeler à Emmanuel Macron des choses toutes simples, comme ce qu’est la France millénaire, son passé qui n’est pas qu’une succession d’horreurs, de crimes et de lâchetés diverses et variées !
Emmanuel Macronvomit son pays car il ne le ressent pas ! Il est comme ces vagabonds de la scène, ces artistes hors-sol, un saltimbanque, mais sans honneur. Il l’a démontré en se pavanant sur les marches de l’Élysée avec des travestis. Avec Emmanuel Macron, nous sommes encore tombés d’un cran.
Aucun, avant lui, n’aurait dit que la France avait commis un crime contre l’humanité, aucun n’aurait osé, par simple dignité, valoriser un homme qui fut torturé par des militaires qui avaient reçu le pouvoir de le faire par le ministre de l’Intérieur de l’époque, François Mitterrand, alors que des bombes explosaient dans les cafés et dans des salles ouvertes au public. Cet homme, ce communiste, en était le complice, un porteur de valises. Il a choisi son camp, celui du FLN. C’était un traître !
Emmanuel Macron est l’enfant d’une époque qui n’a aucun sens de la chronologie de l’Histoire. Il ne réagit qu’à des séquences émotionnelles ou financières. Il est aux antipodes d’un Richelieu, d’un Napoléon 1er ou d’un Napoléon III. Il n’a pas la fibre nationale, celle qui vous dépasse et qui vous place comme un outil au service des Français et du pays. Il ne voit la France que comme un livre de comptes et les Français comme des alignements de chiffres, sans âme ni espoirs ! On peut sans doute faire changer des chiffres de colonne, en leur faisant traverser une ligne, mais pas les hommes en leur faisant traverser une rue !
La politique, ce sont des décisions à prendre, ce n’est pas se pisser dessus. Ce n’est pas taper sur un pupitre comme un gamin fâché ! Ce n’est pas non plus faire plaisir à des groupes d’amis financiers ou d’artistes qui vous veulent du bien, ni couvrir un « garde du corps », sans que l’on sache au juste qui garde l’autre !
C’est affirmer la France, la défendre, s’occuper de ses intérêts, prendre des décisions qui doivent faire abstraction des sentiments personnels. La France est bien plus grande que Macron, alors que lui s’imagine être la France ! C’est une tragédie que ce président de la République !
Gérard Brazon (Libre Expression)
Harlem Désir : 122.195 euros de rémunération, 0 euro d’impôt
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Encore un qui est dans la misère ! Harlem Désir, grâce à ses amitiés gauchistes, perçoit 122 195 euros, avec 0 euro d’impôt à la fin de l’année. Pas belle la République des copains, des coquins ?
Harlem Désir, vous connaissez ? Non, ce n’est pas un quartier de New-York ! Ni un nouveau rappeur ! Même s’il fait partie de la bande à « Juju » Dray, Cambadélis, Hollande, Mélenchon… Le nouveau sous secrétaire général adjoint de l’ONU ? Non, mais un récent reclassé de la gauche dans un poste stratégique pour le Français moyen qui le paie. Ce sacré Harlem, spécialisé dans « S.O.S. racisme » a réussi à se faire confier « le job » de représentant pour la liberté des médias au sein de l’Organisation pour la Sécurité et la Coopération en Europe (OSCE). Si, si, cela existe ! Du moins pour Harlem Désir. Et, à ce titre, notre « bon ami » Harlem Désir va toucher 122.195 euros net par an, selon le quotidien l’Opinion, qui révèle ce nouveau scandale. Surtout, ce montant n’est pas imposable. L’intégralité de cette somme atterrit donc dans la poche d’Harlem Désir : 122.195 euros de rémunération, 0 euro d’impôt. Qui dit mieux ?
Ah, les copains, les coquins, comme disait le regretté Charles Pasqua. Rien à voir avec la chanson « Désir, désir », mais plutôt avec le titre des jolies Suédoises du groupe Abba « monnaie, monnaie »…. Décidément, la République est plus efficace qu’un pressing lorsqu’il s’agit de recaser un « gaucho », dont chacun se souvient qu’il fut un brillant et bosseur secrétaire d’Etat des Affaires européennes. Dans le même temps, la République laisse « crever » sur le trottoir des héros de son armée.
Pourtant, avec les 122 195 euros versés à Harlem Désir, on aurait pu en sauver des militaires abandonnés devenus « SDF » ! Mais, il parait qu’il n’y a plus de sous pour le social et pour les Français moyens. Certes Harlem Désir (rait) ce travail harassant pour nourrir sa famille et continuer à « jouer les bobos parisiens ». Il parait que ça coûte bonbon.
Sévère avec ce pauvre Harlem ? Non, pas du tout ! Nos confrères de la rédaction du Magazine « Capital » sont encore plus méchants et subtils que nous. Ils écrivent en effet : « Les dirigeants des trois Institutions de l’OSCE (le responsable du Bureau des Institutions démocratiques et des droits de l’homme, le représentant pour la liberté des médias (N.D.L.R. Harlem Désir) et la Haute Commissaire pour les minorités nationales) ont ainsi un rang et un salaire comparables à ceux de sous-secrétaire général des Nations Unies. L’OSCE précise que l’emploi de représentant pour la liberté des médias est un « plein-temps”. Soit, chaque mois, près de 9 fois le Smic non imposable, il fallait le faire.
D’autres médias, à l’image d’économie matin, doutaient de la sincérité de la déclaration de patrimoine effectuée par Harlem Désir, en 2013, époque où il était encore député européen. Jean-Baptiste Le Roux écrivait : « … le député européen affirme avoir été propriétaire, aujourd’hui il loue, encore une fois, comme tout le monde ! Et après la vente de son appartement, survenue après la séparation d’avec la mère de ses enfants, il ne lui resterait donc plus que « environ 20 000 euros »…. »
Mêmes doutes exprimés par la rédaction du Figaro. Interrogé en 2013 par l’éditorialiste Yves Thréard, le premier secrétaire du Parti socialiste, avait estimé, le plus sérieusement du monde, « son patrimoine actuel à environ 20 000 euros, ce qui correspondrait, selon lui, à des livrets d’épargne et à une voiture ». Quelqu’un comme vous, comme moi, quelqu’un de proche du peuple.
Dans ce contexte troublant, je journaliste Jean-Baptiste Le Roux affirmait, toujours en 2013, « Toujours est-il qu’avec un salaire mensuel de près de 8 000 euros brut, soit 6 200 euros net, en tant que député européen (depuis 14 ans), auquel s’ajoute l’indemnité mensuelle forfaitaire sans justificatif de frais généraux de 4 300 euros, avancer un chiffre de 20 000 euros, c’est soit faire preuve de grande modestie, soit faire un pieux mensonge ! »
Pour son « temps plein » de représentant pour la liberté des médias, en 2018, Harlem Désir touche en moyenne plus de 10 180 euros par mois, exemptés d’impôts, contre 9 440 euros brut mensuels quand il était encore ministre du gouvernement de Manuel Valls.
Avec près de 9 fois le smic chaque mois, Harlem Désir ne devrait pas saisir la commission de surendettement ou un organisme de logement social. En effet, la reconversion d’Harlem Désir n’a pas été trop difficile. Et l’ancien secrétaire d’Etat chargé des Affaires européennes de François Hollande ne sera pas obligé de « pointer » aux restos du cœur ou de « jouer les sdf » sur le trottoir, comme cet infortuné Daniel Crepet à Poissy.
Francis GRUZELLE Carte de Presse 55411
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