Pas de pass sanitaire pour le moine ermite Jean-François Holthof
Pas d’incendiaire de cathédrale et clandestin Rwandais qui le poignarde, pas de vaccination, pas de pass sanitaire, pas de « pass conduite », pas de « pass vitale », pas de prélèvement d’impôt à la source, en Ardèche, pour le moine ermite d’Ardèche Jean-François Holthof
Doit-il servir d’exemple à tous ceux qui refusent la dictature du gouvernement ? Pas d’incendiaire de cathédrale et clandestin Rwandais qui le poignarde (comme le père Olivier Maire, (1), 60 ans, poignardé à deux reprises à l’abdomen, à l’intérieur du presbytère de Saint-Laurent-sur-Sèvre par Emmanuel Abayisenga), pas de vaccination, pas de pass sanitaire, pas de « pass conduite », pas de « pass vitale », pas de prélèvement d’impôt à la source, pas de crainte d’augmentation du prix des carburants ou des tarifs d’électricité, en Ardèche, pour le moine Jean-François Holthof, qui vit en ermite depuis plus de 25 ans.
C’est un peu le « dernier des mohicans », la « réincarnation des premiers hommes de la Grotte Chauvet » version 2.0, car à bientôt 73 ans, Jean-François Holthof vit en marge des contraintes imposées par les différents gouvernements. Autant dire que personne ne « l’emmerde », car il est, depuis plus de 25 ans, le seul occupant de l’ermitage Saint-Eugène, accroché à la falaise, surplombant la vallée du Chassezac et le village de Chassagnes, commune associée aux Vans, dans le sud de l’Ardèche. Il a établi ses quartiers à l’entrée du bois de Païolive.
Les 16 km2 du bois sont creusés de grottes, comme les falaises qui bordent le Chassezac. « Pour découvrir ce milieu très particulier, trois circuits balisés – toujours caillouteux – guident les marcheurs qui doivent s’armer de bonnes chaussures. A la fois point culminant et frontière de Païolive, l’ermitage Saint-Eugène est accroché au bord du vide, 40 mètres au-dessus de la rivière » écrit un confrère du quotidien Le Monde qui, comme nous, lui a rendu visite, afin qu’il ne soit plus seul au monde durant quelques heures.
Chaque nuit, à 3 heures du matin, Jean-François Holthof se lève pour prier. Agenouillé sur un tapis, posé à même le sol sur la pierre froide de l’une des deux chapelles de l’ermitage Saint-Eugène, éclairé par la seule lumière d’une lampe à pétrole. « Je suis surtout en solitude la nuit. C’est là qu’elle est la plus belle », répète l’ermite du bois de Païolive au très rares visiteurs qui s’aventurent dans ce coin très reculé.
Cet homme, qui se dit « heureux » a fait le choix d’une vie érémitique depuis plus de 25 ans. Toutes les journées du moine trappiste sont rythmées par les mêmes temps de prière et et de liturgies que celles en usage à l’abbaye de Cîteaux où il était entré en 1975 et à laquelle il continue d’être rattaché. Sept offices, la messe et des temps de « lectio divina ».
« Au bout d’une vingtaine d’années, je me suis posé la question de vivre la vie monastique non plus en communauté mais dans la solitude…. » confie l’ermite, heureux de vivre en dehors du chaos de ce monde.
Il évoque ses débuts d’ermite en ces termes : « Quand je suis arrivé à Saint-Eugène, personne n’avait vécu entre ces murs depuis les derniers ermites du XVIIe siècle. J’ai plus ou moins campé pendant un an, j’ai fait des travaux, restauré le bâtiment, et des peintres russes ont décoré la chapelle de fresques. »
Un exemple de vie pour les français qui veulent échapper au pass sanitaire et aux mesures dictatoriales passées, présentes et à venir d’un gouvernement qui vit en marge des réalités quotidiennes des français ?
Suggestion. Et si on échangeait les postes ? Il suffit de confiner Emmanuel Macron à l’ermitage Saint-Eugène, sur la falaise, surplombant la vallée du Chassezac, et de transférer le moine ermite Jean-François Holthof au palais de l’Elysée. Pour que les français soient moins « emmerdés » et vivent en paix !
Francis GRUZELLE
Journaliste et écrivain
Carte de Presse 55411
(1) le père Olivier Maire,, âgé de 60 ans, a été poignardé à deux reprises à l’abdomen, par un clandestin Rwandais Emmanuel Abayisenga (qui avait incendié la cathédrale de Nantes il y a treize mois) à l’intérieur du presbytère de Saint-Laurent-sur-Sèvre. L’odieux crime est repris en boucle par tous les médias, confirmant une information de Valeurs actuelles.
L’auteur de la mort du prêtre, Emmanuel Abayisenga, est le même homme que celui qui est accusé d’avoir incendié la cathédrale de Nantes, en juillet 2020. Quelques jours après les faits, un Rwandais, bénévole à la cathédrale, avait avoué avoir mis le feu à l’édifice. En France, on peut donc être clandestin, incendier la cathédrale de Nantes, ne jamais être expulsé, et récidiver en assassinant un prêtre.
Emmanuel Abayisenga, réfugié rwandais arrivé en France en 2012, s’est présenté ce lundi matin à la gendarmerie de Mortagne-sur-Sèvre en Vendée. Il a affirmé aux forces de l’ordre avoir sauvagement tué un prêtre, Olivier Maire, selon nos informations. L’identité du prêtre assassiné a été confirmée par Bruno Retailleau, sénateur de la Vendée, puis par Le Figaro. Ce dernier l’hébergeait dans la communauté des montfortains de Saint-Laurent-sur-Sèvre depuis l’année dernière. Celui qui avait reçu en 2019 une obligation de quitter le territoire français (OQTF) avait déjà fait parler de lui en juillet 2020. Emmanuel Abayisenga était en effet à l’origine du terrible incendie qui avait touché la cathédrale de Nantes. Simple bénévole de la paroisse, il avait été placé sous contrôle judiciaire, au lieu de rester incarcéré.