Radio Courtoisie se “normaliserait”-elle ?
Nous avons lu avec inquiétude l’article de Riposte Laïque du 3 septembre sur la volonté apparente de « dédiabolisation » de Radio Courtoisie depuis cette rentrée.
Radio Courtoisie : le mirage de la dédiabolisation ?
Nous avions déjà été choqués par la censure de l’interview de l’avocat Reiner Fuellmich par Olivier Tournafond diffusée le 24 août, puis interdite de podcast et de rediffusion par la direction de Radio Courtoisie. Nous avons été très déçus le 1er septembre par le déroulement de l’émission théoriquement consacrée à la menace de vaccinations des enfants.
Nous rappelons à cette occasion le risque majeur qui pèse sur les enfants dont les plus jeunes, si cette injection génique leur est imposée par la loi ou même seulement par extorsion de consentement des parents, par manipulation mensongère, par harcèlement (dont on rappelle que c’est un délit pénal dont les patrons devraient se méfier)…
Drame immédiat possible (dont les péri et myocardites), même si rare, et par ailleurs inquiétudes à moyen et à long terme sur la fertilité et le risque possible accru de maladies dégénératives ou auto-immunes, de cancer et même la crainte de maladie des prions comme le Creutzfeld Jacob (anticipé par le Pr Montagnier et dont un cas a déjà été décrit).
À cette occasion je remercie Nicolas Stoquer d’avoir pu donner une nouvelle fois les chiffres actualisés de la mortalité vaccinale et des accidents parfois graves (la moitié des incidents déclarés de l’ordre de deux millions sur le site de l’EMA) (EudraVigilance), des décès décrits chez les jeunes aux USA, et de trop fréquentes myocardites qui au minimum cassent leur avenir sportif…
BÉNÉFICE/RISQUE TOUJOURS NUL
Rappelons ici que quel que soit le chiffre absolu de morts et accidents chez les jeunes, le risque est toujours supérieur au risque zéro du covid dans ce groupe d’âge, que la balance avantages/risques est forcément négative et donc la proposition de leur injecter des pseudo- vaccins expérimentaux inacceptable.
C’est la guerre
Alors comment relativiser le risque de cette injection et parler déjà de résilience, de travail sur les psychotraumatismes etc. Ces aspects seront à aborder quand la « guerre » sera finie et que nous aurons sauvé un maximum d’enfants de la barbarie. Nous en sommes loin. Les victimes du Bataclan devaient-elles espérer l’intervention des forces de l’ordre ou un soutien psychologique dont nous ne sous- estimons pas l’importance, mais chaque chose en son temps !
Certes, il ne faut pas culpabiliser les vaccinés, victimes de la propagande et des chantages gouvernementaux, avec lesquels d’ailleurs nous combattons ensemble les atteintes à la liberté, mais est-ce bien le moment, dans les rares temps d’antenne que les résistants peuvent avoir, de jouer les Bisounours comme le fait trop souvent aussi notre ami Louis Fouché ?
L’urgence est d’éviter tous les drames possibles, de donner des conseils médicaux aux injectés (éviter chaque dose suivante dès la deuxième toujours plus dangereuse, surveiller des traceurs de thrombose (D-dimères), voir un cardiologue régulièrement et devant des maux de tête répétés voir rapidement un médecin et faire une IRM cérébrale pour anticiper les risques liés aux caillots sanguins etc., évoquer avec votre médecin quelques conseils diététiques qui pourraient aider à contrecarrer les effets toxiques du vaccin.
Le temps n’est pas à la psychologie isolée, mais bien au traitement des effets secondaires parfois graves et souvent silencieux au début et à éviter l’injection ou les suivantes, car il semble bien que contrairement aux fake news officielles, seulement 38 millions de Français ont reçu deux doses. Les autres, bien avertis, pourraient éviter les conséquences multiples et largement imprévisibles comme l’aggravation de pathologies existantes qui évoluent rapidement comme les cancers (avec de plus en plus de témoignages).
Et cet aspect-là fut complètement éclipsé par les pseudo-bons sentiments de la collègue ancienne de GSK… Nous avons reçu parmi les mails, suite à l’émission, ce commentaire d’une fidèle auditrice de Radio Courtoisie et de TV libertés que nous partageons ici.
« Je rebondis sur cette première longue intervention N. de S.. Je n’aurais jamais deviné qu’elle était médecin de formation sincèrement ; on l’imagine plus comme représentante pour GSK ou une autre firme tant elle maîtrise les codes de la communication.
C’est clairement quelqu’un que l’on pourrait recommander pour les symposiums, qui va faire consensus, qui fait preuve d’une ouverture d’esprit et d’une bienveillance selon moi, trop belles pour être vraies et sincères. Tout dans son discours est trop mesuré pour être spontané. Les obstructions sont anticipées, bref c’est un discours très rodé qu’elle a l’habitude de tenir.
Ensuite, comme d’autres dont Fouché, elle fait preuve (mais c’est la mode en ce moment), d’une modestie de façade. “Je sais que je ne sais rien etc …” ; néanmoins, tous ces gens se coupent forcément à un moment et là on sent, quand elle évoque la notion de “synchronicité”, qu’elle évoque des auditeurs “initiés” avec lesquels elle va pouvoir se lâcher, que ce n’est pas la modestie qui l’étouffe.
Elle va même jusqu’à dire “il faut comprendre où en est l’humanité”, sous-entendu : “moi je sais où vous en êtes de la compréhension -et ce n’est pas brillant- et très patiemment, parce que je suis sympa, je vous attends sur le chemin de la connaissance ; vous finirez par arriver à ma hauteur, même si ce n’est demain la veille !”
C’est ce qui m’agace le plus. Je réagis presque aussi mal à ces tons “sucrés”, un peu poisseux qu’à la brutalité franche. Mais c’est un ressenti personnel.
Ensuite, concernant son statut au sein de GSK, elle est dans son rôle je vous dirais. Elle vient vous dire : “j’ai travaillé pour les labos et pourtant vous voyez : je suis à votre écoute, j’ai un esprit critique, je suis modérée donc il faut un avis nuancé sur les labos, certains sont très gentils etc …”
Reste qu’elle n’est pas du tout crédible ; quand elle vous dit qu’ Astrazeneca a modifié la formule de son vaccin et que c’est ce qui a justifié le changement de nom, c’est juste faux. L’industrie agro-alimentaire, dans ce cas précis, est plus transparente. Elle assume les processus strictement marketing et souvent dans les rayons, on voit (puisque le but est justement d’attirer l’oeil sur un packaging nouveau) : ” nouvel emballage mais recette inchangée.”
Quand la recette est réellement changée par contre, aux risques et périls des patients comme dans le cas du lévothyrox, ils ferment leur gueule si je puis dire et entrent dans une démarche d’escroquerie, de tromperie aggravée.
Ensuite, soit parce qu’elle fait partie du club de l’amitié des Bisounours ou parce qu’elle se fiche de nous, elle nous dit : “les multinationales sont des systèmes humains (ah bon ?) donc c’est difficile d’être derrière chaque personne”.
Oui enfin, ce serait un peu étonnant que les scandales sanitaires à répétition soit le fait d’un petit employé ou d’une poignée d’employés malveillants qui mettent des bâtons dans les roues du conseil d’administration qui lui n’a d’yeux que pour l’éthique et le bien-être (l’argent, on s’en fout bien sûr, c’est tellement secondaire. Malheureusement, on n’a pas son salaire à cette dame.).
Personne n’est dupe ; je ne sais pas s’il reste encore des gens pour penser que l’industrie pharmaceutique veut notre bien. Ce sont des dealers ni plus ni moins qui bénéficient de l’alibi médicaux-scientifique. Tout le monde a lu ou presque “Toxic Story” de Gherardi, “les inventeurs des maladies” de Blech avec le syndrome de la bedaine et toutes ces imbécilités. Sans compter, les manipulations sur les seuils qui font qu’on a tous des pbs de thyroïde désormais notamment etc …
Enfin, selon elle, on n’est plus dans le “marche ou crève” ; mais bien sûr que si même si c’est présenté dans une fiole, donc d’une manière faussement aseptisée, plus esthétique. »
Rien à ajouter sinon qu’on s’attendrait plus à ce genre d’intervention sur les TV officielles que sur les radios théoriquement réinformatrices. D’ailleurs nous craignons que Sud Radio ne suive le même chemin comme le fait craindre la navrante interview d’Alain Bauer, célèbre criminologue qui asséna une leçon sur l’ARN messager et sur l’intérêt des masques… Bizarre, il fut peu interrompu et pourtant, ce n’est pas vraiment son sujet. Mais fidèle à la nouvelle mode médiatique, lui aussi nous assura de son absence de certitudes (c’est un minimum !) avec cette pseudo-fausse modestie vis-à-vis du pauvre peuple…
Coïncidence ? Probablement pas, les chaînes de réinformation semblent terrorisées d’une future interdiction et ont dû recevoir une feuille de route précise sur les mots à employer, les formules etc. Mais à quoi servent-elles si elles s’autocensurent ?
Espérons que la nouvelle émission de Clémence Houdiakova sur Radio Courtoisie entre 7 et 9 h le matin ne cédera pas à cette nouvelle mode du « presque politiquement correct ». Elle parlera le mardi 7 septembre des milliers de plaintes contre la politique sanitaire, évoqués par le procureur Molins. Écoutons-la ainsi que ses invités.
La vérité viendra-t-elle des anti-complotistes atterrés des retombées de cet alignement sordide sur le pouvoir mensonger ? On peut s’étonner du revirement de Patrick Cohen sur « C à vous », pourtant fidèle répétiteur du pouvoir et qui, cette fois, a asséné quelques vérités en présence d’O. Véran de surcroît.
« Vaccin covid : OMS, FDA, CDC n’y croient plus — et même Patrick Cohen ! Publié le 3 septembre 2021 Santé surprise ! Patrick Cohen ne croit plus aux vaccins covid.
Un de nos journalistes les plus obéissants, Patrick Cohen, se range à présent sur des thèses complotistes. Il déclare illusoire de croire à l’immunité collective grâce aux vaccins et admet qu’il faudra désormais vivre avec le virus. »
Il ne faisait alors que répéter l’avis du Pr Andrew Pollard, à la tête de l’Oxford Vaccine Group : « avec ce variant, nous sommes dans une situation où l’immunité collective n’est pas possible… l’immunité collective, c’est un mythe ».
Et celui de Thórólfur Gudnason, l’épidémiologiste en chef islandais : « l’obtention de l’immunité collective par la vaccination était “hors d’atteinte” ».
Et ceux du Pr Paul Hunter, médecin de santé publique anglais, « l’immunité collective était irréalisable », et de Catherine Hankins, professeur en santé publique, à l’université McGill : « je ne crois pas que nous atteindrons une immunité collective qui permettra d’éradiquer ou d’éliminer le SRAS-CoV-2 ».
Avis exprimé dès l’année dernière par l’OMS, comme l’a rappelé le directeur de l’organisation, Tedros Adhanom Ghebreyesus. « Jamais, dans l’histoire de la santé publique, l’immunité collective n’a été utilisée comme stratégie pour répondre à une épidémie, et encore moins à une pandémie. C’est scientifiquement et éthiquement problématique. »
D’autant qu’une récente étude néo-zélandaise estime « qu’il faut 97 % de la population pour faire face au variant Delta », chiffre que même un pays totalitaire comme la Chine n’a pas atteint pour les vaccinations obligatoires.
Le plus étonnant est que cette séquence de « C à vous » s’est autocensurée ou a été censurée et que donc nous n’aurons pas la réponse du ministre (en dehors du direct). Dommage.
APPEL À LA PRUDENCE
N’eût-il pas fallu une fois de plus évoquer les appels à la prudence de virologues comme par exemple le professeur Sucharif Bhadki : “Attention, ne vous faites pas vacciner… Si vous faites vacciner vos enfants, vous commettez un crime !”
Cette “injection magique”, ce vaccin contre le Covid, est censée faire en sorte que votre système immunitaire déclenche une action afin de combattre le virus.
On a toujours eu de gros doutes que cette substance puisse provoquer des réactions en chaîne, pouvant entraîner des caillots de sang dans vos vaisseaux sanguins.
Des caillots que personne ne peut voir, mais qui peuvent être ressentis ; si des caillots se forment dans votre cerveau, du coup, vous aurez de graves maux de tête, des vertiges, des vomissements et de la paralysie. Beaucoup de ces symptômes ont été rapportés ces derniers temps par de très nombreuses personnes.
Un test de laboratoire, le D-dimère qui voit si les résultats sont élevés dans votre sang, cela signifie qu’il y a des caillots dans vos vaisseaux sanguins : un bon nombre de médecins allemands ont analysé et mesuré les valeurs sur le D-dimère dans le sang de patients, avant et après quelques jours de la vaccination, indépendamment de l’existence de symptômes, et en fait, ils viennent tout juste de découvrir que la formation de caillots dans le sang est un événement très fréquent et ce, avec tous les vaccins anti-covid.
Cela signifie que lorsque vous vous faites vacciner, vous autorisez que dans votre organisme se déclenche une réaction qui peut être fatale. Par conséquent, je conseille vivement à tout le monde de ne pas se faire vacciner…
Mais si vous le désirez, en tant qu’adulte, eh bien faites-le, mais vous devez prendre conscience que vous vous exposez à un risque sérieux. Ne faites pas vacciner vos enfants ! Car ils sont dans l’impossibilité de se défendre ! Si vous faites vacciner vos enfants, vous commettez un crime !
Aujourd’hui, c’est la guerre qu’il faut mener
Au minimum contre la désinformation, contre les effets toxiques de ces thérapies géniques si peu testées, en essai thérapeutique et de conséquences à moyen et long terme inconnues. Les concepteurs de ces drogues le disent eux-mêmes, nous nous sommes trompés, nous ne pensions pas que la protéine spike elle-même était un poison.
L’heure est à éviter absolument la poursuite de ces injections à l’aveugle tant chez les non vaccinés que les vaccinés afin qu’ils évitent la répétition hâtive des doses comme cela est en cours en Israël et qui, à chaque injection, vous exposent à une surmortalité immédiate comme cela a été observé dans les deux mois post-injections, tant en Grande-Bretagne,
Qu’en Israel :
et à des complications plus tardives.
Lire les articles et vidéos de Robert Malone, un des inventeurs de la technique, en particulier relayés sur le site de « the Defender » dirigé par l’avocat RJ Kennedy (Children’s Health Defense).
Rassurer tout le monde comme s’y efforce la propagande gouvernementale actuelle qui affirme que ce « seraient des vaccins, qu’ils auraient terminé leurs essais, qu’ils seraient efficaces et sans danger », c’est exposer la population à de nouvelles injections pour prolonger leur passe sanitaire, sans notion des dangers pour eux-mêmes, éventuellement leur entourage et peut-être leur descendance.
Dans les cris d’alerte multiples, nous entendons aussi ceux des gynécologues : « VACCINATION : des fillettes de 6 mois ont des saignements !!! Arrêtez ce désastre vaccinal ! Les prochaines générations risquent de ne plus avoir d’enfants !
“Bonjour, je m’appelle Christiane Northrup, je suis une gynécologue obstétricienne certifiée et ancien professeur adjoint de clinique, de gynécologie obstétrique et auteur de trois livres à succès selon le New York Times, relatifs à la santé des femmes.
A travers ma profession et en me basant sur ce que beaucoup de mes collègues m’ont rapporté, il y a des milliers de fausses couches, des saignements abondants, des saignements post-ménopausiques et même des saignements vaginaux de fillettes de six mois après avoir été vaccinées, ou qui ont été en contact proche de personnes vaccinées.
Je suis extrêmement inquiète par le nombre de décès qui ont été associés avec la vaccination d’une manière ou d’une autre, et je vous exhorte, s’il vous plaît faites-le, à faire tout ce que vous pouvez pour arrêter cette frénésie vaccinale jusqu’à ce que nous en sachions davantage sur le sujet !!!
Sinon, je crains que nous nous dirigions vers toute une génération de personnes qui ne pourront plus avoir d’enfants ! Merci de votre écoute…” vidéo : sur Odyssée.
Ces appels à la prudence, au moratoire de quelques mois ou années pour juger de l’efficacité et surtout des effets nuisibles de ces techniques vaccinales émergent de toutes parts et tous ne peuvent pas être considérés comme complotistes (et dans quel but ? Vendre de l’Ivermectine à quelques euros ?) Ni fous, ni gâteux, ni ignorants.
Il est urgent de les écouter, de vous protéger et surtout de protéger vos enfants qui sont l’avenir de l’humanité.
Nicole Delépine