Attention, les banques bien-pensantes discriminent les chasseurs !

Le De-Banking est une pratique bancaire, qui se développe aux USA et en Grande-Bretagne, consistant à priver un client de ses services pour une raison n’ayant rien à voir avec les règles de la sécurité financière. Au nom de la morale politique, cet arbitraire frappe ceux qu’elle  déclare toxiques, dangereux, mal-pensants… selon ses critères.

C’est ce qui est advenu à Nigel Farage et quelques autres…

La banque ferme les comptes de Nigel Farage pour mal-pensance !

Les comptes sont clos, un simple avis en avertit le client, lequel ne peut faire appel. C’est d’autant plus préjudiciable pour lui qu’avec la disparition progressive et délibérée… de l’argent liquide, il ne peut pratiquement plus vivre normalement et facilement.

Il existe aussi des banques qui, sans clore un compte, restreignent les facilités de certains clients,  leur interdisant certains services. C’est ce qui est advenu à des chasseurs britanniques désireux de lever des fonds pour leurs sociétés. SumUp, société de lecteurs de cartes bancaires, a ainsi inscrit sur sa liste « activité restreinte » les clubs de chasse, à côté des « activités et produits illégaux, ou posant un problème légal ».

De nombreuses sociétés de chasse ont été ainsi mises en grande difficulté, alors qu’elles étaient en train d’organiser des cagnottes, les privant de rentrées importantes qu’elles récupéraient par le biais de paiements par cartes.

Ce De-Banking a été ressenti comme une discrimination par les communautés rurales britanniques « traitées en fait comme des criminels », et a  immédiatement généré une enquête des services financiers du Royaume-Uni.

Pour le député non-inscrit Greg Smith : « L’affaire Farage n’était que la partie émergée de l’iceberg, et il est désormais incontestable que le De-Banking s’étend à des domaines parfaitement légaux et légitimes. » Il convient selon lui de s’interroger sur « le système entier de banque et de services financiers au Royaume-Uni »

Après avoir frappé un « populiste », puis les chasseurs, le De-Banking avait aussi inscrit sur sa liste des entreprises liées au tir, visant expressément « les fusils, les armes à feu et à air comprimé, la vente et la distribution de munitions ». Ce qui, ajouté aux adversaires de la théorie du genre, annonce la couleur…

À tort, beaucoup d’entre nous n’ont pas prêté une attention suffisante à “l’affaire Farage”… la considérant comme un épiphénomène… Le De-Banking est un moyen coercitif insidieux qui se répand… et qu’il convient de faire connaître, dénoncer et empêcher.

Daphné Rigobert




Comment nier encore en juillet 2022 l’inefficacité et le danger des pseudo-vaccins?

Comment le mensonge mondial a-t-il perverti les plus vigilants et leur a-t-il fait accepter ces injections toxiques aux effets divers et variés, en particulier cognitifs ?

Même Philippe Bas, sénateur dévoué à la cause vaccinale depuis longtemps (et qui a d’ailleurs participé à imposer le passe en août 2021), avoue lors de la commission paritaire préalable au second vote de la loi au Parlement, un effet vaccinal plutôt désagréable. Cela devrait en surprendre quelques-uns, lui qu’il est difficile de traiter de complotiste !

Changements de mentalité, quand le réel revient au galop

Les propos stupéfiants de Philippe Bas sur les vaccinés : à contre-courant de la doxa covid imposée par le pouvoir depuis plus de deux ans :

« Tous les jours, des personnes meurent encore en France de cette maladie, dont une grande partie est d’ailleurs vaccinée, mais vulnérable au virus ». [1]

Cette phrase inattendue de Philippe Bas en dit long sur le retournement de situation depuis l’introduction du vaccin :

« Mais à y regarder de plus près, j’ai constaté que le vaccin était de moins en moins efficace non pas pour prévenir les formes graves de la maladie, mais pour faire barrière aux contaminations. En France, ce sont aujourd’hui très majoritairement des personnes vaccinées qui contractent la maladie et la transmettent. Le vaccin fait barrage dans un tiers des cas. Le test présente donc actuellement une efficacité supérieure. C’est la raison — et la seule raison ! — pour laquelle la commission des lois du Sénat, puis le Sénat dans son ensemble ont décidé que, dans cette circonstance exceptionnelle, seul un test négatif soit exigé, plutôt qu’une preuve de vaccination à jour. La durée du test dépendra du nouveau variant — soixante‑douze heures, trente-six heures, vingt-quatre heures…

À y regarder de plus près”… Philippe Bas semble donc avoir découvert que la très abondante littérature jugée jusqu’ici complotiste sur l’inefficacité du vaccin n’était pas dénuée de fondement. Le vaccin ne ferait “barrage” que dans un tiers des cas à la contamination. Voilà pourquoi, officiellement, le Sénat s’oppose au rétablissement du certificat de vaccination (alors même que la Commission européenne l’a institué et se bat pour l’imposer aux états)… »

TOUTES CES PERSONNES QUI AFFIRMENT EFFICACITÉ ET INNOCUITÉ DES INJECTIONS PEUVENT-ELLES S’AVOUER LEURS PROPRES ERREURS ?

Peut-être ne pouvons-nous rien pour elles, victimes du psychotraumatisme de la peur panique induite par l’intoxication quotidienne, comme les psychologues, telles Ariane Bilheran ou d’autres, nous l’ont démontré. L’expérience de l’attente des extraterrestres dans les années 1950 nous l’avait déjà fait découvrir.

Sauf le jour où…. Parfois semble-t-il, un nouveau choc traumatisant qui inverse, annule ou atténue le précédent… Laissons-les à leurs fausses certitudes, sans jugement, mais avec tristesse à leur choix erroné que nous respectons, même si nous les regrettons.

En tous cas, occupons-nous avec bonne conscience de ceux que l’on peut encore aider : les doubles vaccinés, pour leur éviter la maléfique troisième dose (qui semble plus toxique par accumulation des doses probablement et peut-être modification du produit) ; ou sauver : leurs enfants non injectés – l’avenir de l’Humanité – dont il faut sauvegarder la fertilité et le bon état général en ne leur infligeant pas une baisse de leur immunité, ou des atteintes cardiaques, cérébrales, hématologiques ou autres.

Que ceux qui traitent les vaccino-prudents d’antivax alors qu’ils ne sont qu’anti-injection EXPÉRIMENTALE nous disent s’ils traitent aussi les agences internationales comme le VAERS pour les USA, EUDRAVIGILANCE pour l’agence européenne de l’UE, ou le MHRA pour les Anglo-Saxons, de complotistes fous qui nieraient l’efficacité de l’injection et inventeraient les effets secondaires parfois dramatiques dont des décès.

Si les chiffres sont contestés (en plus comme en moins), rappelons que jusqu’au scénario covid, aucun nouveau médicament ni vaccin n’était laissé sur le marché après quelques dizaines de décès. Le nieront-ils aussi ? Jusqu’où l’aveuglement de la secte covid les a-t-il menés ?

Le Pr Montagnier, lui aussi vilipendé, avait prédit que les non-vaccinés sauveraient l’Humanité. Vu les propos délirants de personnes antérieurement intelligentes et clairvoyantes, la régression intellectuelle de proches après deux injections (avec perte de mémoire, d’orientation, voire de raisonnement), on peut malheureusement penser qu’il avait raison.

Pour ceux qui veulent encore savoir, faisons une nouvelle fois le point des effets secondaires de cette injection que même les sénateurs reconnaissent enfin comme inefficace [1] et au besoin envoyons ces dernières nouvelles aux sénateurs, députés, conseillers généraux, à tous les élus et à tous ceux que cela pourrait intéresser.[2]

Même sur le Site de l’ANSM ET EUDRAVIGILANCE

Les effets indésirables sont 20 fois plus importants en moins de deux ans qu’en 50 ans de statistiques sur tous les autres vaccins réunis. Pourquoi autant de soignants ont-ils refusé celui-là, alors qu’ils ont accepté les autres ?

Jamais un vrai vaccin n’a entraîné un nombre comparable d’effets secondaires à l’injection expérimentale covid-19. Regardez les chiffres officiels fournis par le VAERS.

@YannBertin6 19 juil.

Plus de 1000 études et/ou rapports scientifiques sur les dangers associés aux injections Covid, liés à la coagulation du sang, la myocardite, la thrombose, l’anaphylaxie, la paralysie de Bell, les décès, etc. On peut débattre de tout sauf des chiffres

19 juil.

Des dizaines de milliers de victimes des « vaccins » covid-19 aux États-Unis appellent à l’aide alors que la communauté médicale leur tourne le dos !

rumble.com

Tens of Thousands of COVID-19 « Vaccine » Injured in the U.S. Begging for Help

From: https://www.vaxlonghaulers.com/
Testimonies from victims who need help because the medical community has turned their back on them.
https://healthimpactnews.com/2021/tens-of-thousands-of-covid-1

Yann Bertin — Anti-Fachos — Pro-humains

Les données du Vaers et d’Eudravigilance concordent parfaitement, un paquet de personnalités connues ont eu des problèmes, il paraît qu’on peut débattre de tout sauf des chiffres. Plus de 1000 études sur le danger des injections

https://resistance-mondiale.com/plus-de-1000-etudes-et-ou-rapports-scientifiques-sur-les-dangers-associes-aux-injections-covid

ici vous avez aussi les morts et blessés australiens que leur gouvernement a décidé d’indemniser au 6 juillet 2022

Et aussi l’évolutivité des myocardites

enfin une bonne conclusion d’un twittos :

Mercier @Art50Mercier20 juil.

Croire c’est pour les croyants
Devenez plutôt sachant
Allez creuser vérifier demander
Revérifier comparer…
Bref instruisez-vous 🧐
auprès des données officielles
VAERS CDC FDA Eudravigilance etc…
vous en êtes capable
La question étant 🤔
En avez-vous envie ?


  1. [1] Le sénateur Bas reconnaît que les vaccinés meurent massivement du virus… par Eric Verhaeghe – Le Courrier des Stratèges (lecourrierdesstrateges.fr) [][]
  2. [2] Base de données européenne des rapports sur les effets indésirables suspectés des médicaments — EudraVigilance
    https://adrreports.eu/fr/eudravigilance.html[]
PDF



Crise sanitaire : Radio Courtoisie se normaliserait-elle ?

Radio Courtoisie se “normaliserait”-elle ?

Nous avons lu avec inquiétude l’article de Riposte Laïque du 3 septembre sur la volonté apparente de « dédiabolisation » de Radio Courtoisie depuis cette rentrée.

Radio Courtoisie : le mirage de la dédiabolisation ?

Nous avions déjà été choqués par la censure de l’interview de l’avocat Reiner Fuellmich par Olivier Tournafond diffusée le 24 août, puis interdite de podcast et de rediffusion par la direction de Radio Courtoisie. Nous avons été très déçus le 1er septembre par le déroulement de l’émission théoriquement consacrée à la menace de vaccinations des enfants.

Nous rappelons à cette occasion le risque majeur qui pèse sur les enfants dont les plus jeunes, si cette injection génique leur est imposée par la loi ou même seulement par extorsion de consentement des parents, par manipulation mensongère, par harcèlement (dont on rappelle que c’est un délit pénal dont les patrons devraient se méfier)…

Drame immédiat possible (dont les péri et myocardites), même si rare, et par ailleurs inquiétudes à moyen et à long terme sur la fertilité et le risque possible accru de maladies dégénératives ou auto-immunes, de cancer et même la crainte de maladie des prions comme le Creutzfeld Jacob (anticipé par le Pr Montagnier et dont un cas a déjà été décrit).

À cette occasion je remercie Nicolas Stoquer d’avoir pu donner une nouvelle fois les chiffres actualisés de la mortalité vaccinale et des accidents parfois graves (la moitié des incidents déclarés de l’ordre de deux millions sur le site de l’EMA) (EudraVigilance), des décès décrits chez les jeunes aux USA, et de trop fréquentes myocardites qui au minimum cassent leur avenir sportif…

BÉNÉFICE/RISQUE TOUJOURS NUL

Rappelons ici que quel que soit le chiffre absolu de morts et accidents chez les jeunes, le risque est toujours supérieur au risque zéro du covid dans ce groupe d’âge, que la balance avantages/risques est forcément négative et donc la proposition de leur injecter des pseudo- vaccins expérimentaux inacceptable.

C’est la guerre
Alors comment relativiser le risque de cette injection et parler déjà de résilience, de travail sur les psychotraumatismes etc. Ces aspects seront à aborder quand la « guerre » sera finie et que nous aurons sauvé un maximum d’enfants de la barbarie. Nous en sommes loin. Les victimes du Bataclan devaient-elles espérer l’intervention des forces de l’ordre ou un soutien psychologique dont nous ne sous- estimons pas l’importance, mais chaque chose en son temps !

Certes, il ne faut pas culpabiliser les vaccinés, victimes de la propagande et des chantages gouvernementaux, avec lesquels d’ailleurs nous combattons ensemble les atteintes à la liberté, mais est-ce bien le moment, dans les rares temps d’antenne que les résistants peuvent avoir, de jouer les Bisounours comme le fait trop souvent aussi notre ami Louis Fouché ?

L’urgence est d’éviter tous les drames possibles, de donner des conseils médicaux aux injectés (éviter chaque dose suivante dès la deuxième toujours plus dangereuse, surveiller des traceurs de thrombose (D-dimères), voir un cardiologue régulièrement et devant des maux de tête répétés voir rapidement un médecin et faire une IRM cérébrale pour anticiper les risques liés aux caillots sanguins etc., évoquer avec votre médecin quelques conseils diététiques qui pourraient aider à contrecarrer les effets toxiques du vaccin.
Le temps n’est pas à la psychologie isolée, mais bien au traitement des effets secondaires parfois graves et souvent silencieux au début et à éviter l’injection ou les suivantes, car il semble bien que contrairement aux fake news officielles, seulement 38 millions de Français ont reçu deux doses. Les autres, bien avertis, pourraient éviter les conséquences multiples et largement imprévisibles comme l’aggravation de pathologies existantes qui évoluent rapidement comme les cancers (avec de plus en plus de témoignages).

Et cet aspect-là fut complètement éclipsé par les pseudo-bons sentiments de la collègue ancienne de GSK… Nous avons reçu parmi les mails, suite à l’émission, ce commentaire d’une fidèle auditrice de Radio Courtoisie et de TV libertés que nous partageons ici.

« Je rebondis sur cette première longue intervention N. de S.. Je n’aurais jamais deviné qu’elle était médecin de formation sincèrement ; on l’imagine plus comme représentante pour GSK ou une autre firme tant elle maîtrise les codes de la communication.
C’est clairement quelqu’un que l’on pourrait recommander pour les symposiums, qui va faire consensus, qui fait preuve d’une ouverture d’esprit et d’une bienveillance selon moi, trop belles pour être vraies et sincères. Tout dans son discours est trop mesuré pour être spontané. Les obstructions sont anticipées, bref c’est un discours très rodé qu’elle a l’habitude de tenir.
Ensuite, comme d’autres dont Fouché, elle fait preuve (mais c’est la mode en ce moment), d’une modestie de façade. “Je sais que je ne sais rien etc …” ; néanmoins, tous ces gens se coupent forcément à un moment et là on sent, quand elle évoque la notion de “synchronicité”, qu’elle évoque des auditeurs “initiés” avec lesquels elle va pouvoir se lâcher, que ce n’est pas la modestie qui l’étouffe.
Elle va même jusqu’à dire “il faut comprendre où en est l’humanité”, sous-entendu : “moi je sais où vous en êtes de la compréhension -et ce n’est pas brillant- et très patiemment, parce que je suis sympa, je vous attends sur le chemin de la connaissance ; vous finirez par arriver à ma hauteur, même si ce n’est demain la veille !”
C’est ce qui m’agace le plus. Je réagis presque aussi mal à ces tons “sucrés”, un peu poisseux qu’à la brutalité franche. Mais c’est un ressenti personnel.
Ensuite, concernant son statut au sein de GSK, elle est dans son rôle je vous dirais. Elle vient vous dire : “j’ai travaillé pour les labos et pourtant vous voyez : je suis à votre écoute, j’ai un esprit critique, je suis modérée donc il faut un avis nuancé sur les labos, certains sont très gentils etc …”
Reste qu’elle n’est pas du tout crédible ; quand elle vous dit qu’ Astrazeneca a modifié la formule de son vaccin et que c’est ce qui a justifié le changement de nom, c’est juste faux. L’industrie agro-alimentaire, dans ce cas précis, est plus transparente. Elle assume les processus strictement marketing et souvent dans les rayons, on voit (puisque le but est justement d’attirer l’oeil sur un packaging nouveau) : ” nouvel emballage mais recette inchangée.”
Quand la recette est réellement changée par contre, aux risques et périls des patients comme dans le cas du lévothyrox, ils ferment leur gueule si je puis dire et entrent dans une démarche d’escroquerie, de tromperie aggravée.
Ensuite, soit parce qu’elle fait partie du club de l’amitié des Bisounours ou parce qu’elle se fiche de nous, elle nous dit : “les multinationales sont des systèmes humains (ah bon ?) donc c’est difficile d’être derrière chaque personne”.
Oui enfin, ce serait un peu étonnant que les scandales sanitaires à répétition soit le fait d’un petit employé ou d’une poignée d’employés malveillants qui mettent des bâtons dans les roues du conseil d’administration qui lui n’a d’yeux que pour l’éthique et le bien-être (l’argent, on s’en fout bien sûr, c’est tellement secondaire. Malheureusement, on n’a pas son salaire à cette dame.).
Personne n’est dupe ; je ne sais pas s’il reste encore des gens pour penser que l’industrie pharmaceutique veut notre bien. Ce sont des dealers ni plus ni moins qui bénéficient de l’alibi médicaux-scientifique. Tout le monde a lu ou presque “Toxic Story” de Gherardi, “les inventeurs des maladies” de Blech avec le syndrome de la bedaine et toutes ces imbécilités. Sans compter, les manipulations sur les seuils qui font qu’on a tous des pbs de thyroïde désormais notamment etc …
Enfin, selon elle, on n’est plus dans le “marche ou crève” ; mais bien sûr que si même si c’est présenté dans une fiole, donc d’une manière faussement aseptisée, plus esthétique. »

Rien à ajouter sinon qu’on s’attendrait plus à ce genre d’intervention sur les TV officielles que sur les radios théoriquement réinformatrices. D’ailleurs nous craignons que Sud Radio ne suive le même chemin comme le fait craindre la navrante interview d’Alain Bauer, célèbre criminologue qui asséna une leçon sur l’ARN messager et sur l’intérêt des masques… Bizarre, il fut peu interrompu et pourtant, ce n’est pas vraiment son sujet. Mais fidèle à la nouvelle mode médiatique, lui aussi nous assura de son absence de certitudes (c’est un minimum !) avec cette pseudo-fausse modestie vis-à-vis du pauvre peuple…

Coïncidence ? Probablement pas, les chaînes de réinformation semblent terrorisées d’une future interdiction et ont dû recevoir une feuille de route précise sur les mots à employer, les formules etc. Mais à quoi servent-elles si elles s’autocensurent ?

Espérons que la nouvelle émission de Clémence Houdiakova sur Radio Courtoisie entre 7 et 9 h le matin ne cédera pas à cette nouvelle mode du « presque politiquement correct ». Elle parlera le mardi 7 septembre des milliers de plaintes contre la politique sanitaire, évoqués par le procureur Molins. Écoutons-la ainsi que ses invités.

La vérité viendra-t-elle des anti-complotistes atterrés des retombées de cet alignement sordide sur le pouvoir mensonger ? On peut s’étonner du revirement de Patrick Cohen sur « C à vous », pourtant fidèle répétiteur du pouvoir et qui, cette fois, a asséné quelques vérités en présence d’O. Véran de surcroît.
« Vaccin covid : OMS, FDA, CDC n’y croient plus — et même Patrick Cohen ! Publié le 3 septembre 2021 Santé surprise ! Patrick Cohen ne croit plus aux vaccins covid.
Un de nos journalistes les plus obéissants, Patrick Cohen, se range à présent sur des thèses complotistes. Il déclare illusoire de croire à l’immunité collective grâce aux vaccins et admet qu’il faudra désormais vivre avec le virus. »

Il ne faisait alors que répéter l’avis du Pr Andrew Pollard, à la tête de l’Oxford Vaccine Group : « avec ce variant, nous sommes dans une situation où l’immunité collective n’est pas possible… l’immunité collective, c’est un mythe ».
Et celui de Thórólfur Gudnason, l’épidémiologiste en chef islandais : « l’obtention de l’immunité collective par la vaccination était “hors d’atteinte” ».

Et ceux du Pr Paul Hunter, médecin de santé publique anglais, « l’immunité collective était irréalisable », et de Catherine Hankins, professeur en santé publique, à l’université McGill : « je ne crois pas que nous atteindrons une immunité collective qui permettra d’éradiquer ou d’éliminer le SRAS-CoV-2 ».

Avis exprimé dès l’année dernière par l’OMS, comme l’a rappelé le directeur de l’organisation, Tedros Adhanom Ghebreyesus. « Jamais, dans l’histoire de la santé publique, l’immunité collective n’a été utilisée comme stratégie pour répondre à une épidémie, et encore moins à une pandémie. C’est scientifiquement et éthiquement problématique. »
D’autant qu’une récente étude néo-zélandaise estime « qu’il faut 97 % de la population pour faire face au variant Delta », chiffre que même un pays totalitaire comme la Chine n’a pas atteint pour les vaccinations obligatoires.
Le plus étonnant est que cette séquence de « C à vous » s’est autocensurée ou a été censurée et que donc nous n’aurons pas la réponse du ministre (en dehors du direct). Dommage.

APPEL À LA PRUDENCE
N’eût-il pas fallu une fois de plus évoquer les appels à la prudence de virologues comme par exemple le professeur Sucharif Bhadki : “Attention, ne vous faites pas vacciner… Si vous faites vacciner vos enfants, vous commettez un crime !”
Cette “injection magique”, ce vaccin contre le Covid, est censée faire en sorte que votre système immunitaire déclenche une action afin de combattre le virus.
On a toujours eu de gros doutes que cette substance puisse provoquer des réactions en chaîne, pouvant entraîner des caillots de sang dans vos vaisseaux sanguins.
Des caillots que personne ne peut voir, mais qui peuvent être ressentis ; si des caillots se forment dans votre cerveau, du coup, vous aurez de graves maux de tête, des vertiges, des vomissements et de la paralysie. Beaucoup de ces symptômes ont été rapportés ces derniers temps par de très nombreuses personnes.
Un test de laboratoire, le D-dimère qui voit si les résultats sont élevés dans votre sang, cela signifie qu’il y a des caillots dans vos vaisseaux sanguins : un bon nombre de médecins allemands ont analysé et mesuré les valeurs sur le D-dimère dans le sang de patients, avant et après quelques jours de la vaccination, indépendamment de l’existence de symptômes, et en fait, ils viennent tout juste de découvrir que la formation de caillots dans le sang est un événement très fréquent et ce, avec tous les vaccins anti-covid.
Cela signifie que lorsque vous vous faites vacciner, vous autorisez que dans votre organisme se déclenche une réaction qui peut être fatale. Par conséquent, je conseille vivement à tout le monde de ne pas se faire vacciner…
Mais si vous le désirez, en tant qu’adulte, eh bien faites-le, mais vous devez prendre conscience que vous vous exposez à un risque sérieux. Ne faites pas vacciner vos enfants ! Car ils sont dans l’impossibilité de se défendre ! Si vous faites vacciner vos enfants, vous commettez un crime !

Aujourd’hui, c’est la guerre qu’il faut mener
Au minimum contre la désinformation, contre les effets toxiques de ces thérapies géniques si peu testées, en essai thérapeutique et de conséquences à moyen et long terme inconnues. Les concepteurs de ces drogues le disent eux-mêmes, nous nous sommes trompés, nous ne pensions pas que la protéine spike elle-même était un poison.
L’heure est à éviter absolument la poursuite de ces injections à l’aveugle tant chez les non vaccinés que les vaccinés afin qu’ils évitent la répétition hâtive des doses comme cela est en cours en Israël et qui, à chaque injection, vous exposent à une surmortalité immédiate comme cela a été observé dans les deux mois post-injections, tant en Grande-Bretagne,

Qu’en Israel :

 

et à des complications plus tardives.
Lire les articles et vidéos de Robert Malone, un des inventeurs de la technique, en particulier relayés sur le site de « the Defender » dirigé par l’avocat RJ Kennedy (Children’s Health Defense).
Rassurer tout le monde comme s’y efforce la propagande gouvernementale actuelle qui affirme que ce « seraient des vaccins, qu’ils auraient terminé leurs essais, qu’ils seraient efficaces et sans danger », c’est exposer la population à de nouvelles injections pour prolonger leur passe sanitaire, sans notion des dangers pour eux-mêmes, éventuellement leur entourage et peut-être leur descendance.

Dans les cris d’alerte multiples, nous entendons aussi ceux des gynécologues : « VACCINATION : des fillettes de 6 mois ont des saignements !!! Arrêtez ce désastre vaccinal ! Les prochaines générations risquent de ne plus avoir d’enfants !
“Bonjour, je m’appelle Christiane Northrup, je suis une gynécologue obstétricienne certifiée et ancien professeur adjoint de clinique, de gynécologie obstétrique et auteur de trois livres à succès selon le New York Times, relatifs à la santé des femmes.

A travers ma profession et en me basant sur ce que beaucoup de mes collègues m’ont rapporté, il y a des milliers de fausses couches, des saignements abondants, des saignements post-ménopausiques et même des saignements vaginaux de fillettes de six mois après avoir été vaccinées, ou qui ont été en contact proche de personnes vaccinées.
Je suis extrêmement inquiète par le nombre de décès qui ont été associés avec la vaccination d’une manière ou d’une autre, et je vous exhorte, s’il vous plaît faites-le, à faire tout ce que vous pouvez pour arrêter cette frénésie vaccinale jusqu’à ce que nous en sachions davantage sur le sujet !!!
Sinon, je crains que nous nous dirigions vers toute une génération de personnes qui ne pourront plus avoir d’enfants ! Merci de votre écoute…” vidéo : sur Odyssée.

Ces appels à la prudence, au moratoire de quelques mois ou années pour juger de l’efficacité et surtout des effets nuisibles de ces techniques vaccinales émergent de toutes parts et tous ne peuvent pas être considérés comme complotistes (et dans quel but ? Vendre de l’Ivermectine à quelques euros ?) Ni fous, ni gâteux, ni ignorants.
Il est urgent de les écouter, de vous protéger et surtout de protéger vos enfants qui sont l’avenir de l’humanité.

Nicole Delépine




Oui, Mme Kadri, une hécatombe post-vaccinale a bien eu lieu en Grande-Bretagne

Réponse à AFP FACTUEL

Docteur Gérard Delépine

Dans un article du 8 avril de l’AFP factuel, Françoise Kadri, se prétendant «fast checker » veut discréditer les informations de mon article publié dans Riposte Laïque, mais se trompe lourdement (elle ne pourrait mentir volontairement ?).
Pour me décrédibiliser, elle affirme que je fais l’objet « d’une plainte du Conseil national de l’Ordre des médecins depuis décembre 2020 », ce qui est à la fois faux et calomnieux, d’autant que je ne fais plus partie de l’Ordre des médecins depuis de longues années. Ces erreurs faciles à corriger montrent l’abandon du journalisme d’investigation, faisant place au journalisme de répétition.

De manière paradoxale, tout en ne discutant pas les chiffres que je cite (qui sont tous vrais et sourcés) elle prétend qu’« une hausse des infections et de la mortalité au Royaume-Uni depuis le lancement de la vaccination » est fausse.
Elle qualifie les données que je présente d’« hypothèses » alors qu’il s’agit de faits avérés, publiés et vérifiables directement sur le site officiel de l’OMS consacré au Covid-19 « WHO Covid19 Dashboard ».

Puis, plutôt que de rapporter des faits qui contrediraient mon article, elle cite uniquement les déclarations de personnes ayant organisé les campagnes de vaccination-éclair britanniques : Boris Johnson, Chris Witty, médecin chef pour l’Angleterre, l’autorité de santé publique anglaise Public Health England, qui tentent de se disculper de toute responsabilité d’avoir fortement promu un pseudo-vaccin expérimental.

Revenons aux faits avérés, décrits et publiés par l’OMS, confirmés par la récente mise à jour :

Depuis la vaccination, les contaminations en Grande-Bretagne ont plus que doublé 

Ce fait paradoxal suggère que le pseudo-vaccin expérimental AstraZeneca serait susceptible d’accélérer, au moins transitoirement, la transmission de la maladie. Plutôt que de nier a priori tout lien causal, les défenseurs de la vaccination devraient diligenter des études permettant d’en comprendre le mécanisme.

En Grande-Bretagne, la diminution des contaminations n’a commencé qu’après 10 semaines, suivant la cinétique naturelle de l’épidémie décrite par le professeur Ben Israël qui affirmait dès 2020 que « le nombre de nouveaux cas du virus atteint un pic après environ 40 jours et décline progressivement pour atteindre presque 0 après 70 jours ».
Observation confirmée par la chute des contaminations depuis avril partout en Europe dans les pays très vaccinés ou pas, depuis avril.

On ne pourra donc juger définitivement des capacités éventuelles du vaccin à interrompre la transmission du virus qu’à l’occasion d’une éventuelle nouvelle poussée de l’épidémie.
Le porte-parole de l’OMS Swaminathan a déclaré en décembre : « je ne crois pas que nous avons les preuves sur l’un ou l’autre des vaccins pour être sûrs que cela va empêcher les gens d’avoir réellement l’infection et donc d’être en mesure de la transmettre ».

Doute confirmé dernièrement en France par le ministre de la santé O. Véran affirmant devant le Conseil d’État « les personnes vaccinées peuvent cependant demeurer porteuses du virus et ainsi contribuer à la diffusion de l’épidémie dans une mesure à ce stade difficile à quantifier ».

Une hécatombe post-vaccinale a bien eu lieu comme partout dans les pays fortement vaccinés.
Les deux mois post-vaccination ont établi les records mensuels de mortalité depuis le début de l’épidémie. En dix mois d’évolution pré-vaccination, le Covid-19 avait tué 61 434 Anglais. En cinq mois post-vaccination, la mortalité globale a plus que doublé, atteignant 127 758 au 28/5/2021.

 

La vaccination, loin de diminuer le risque létal de la maladie, paraît au contraire l’avoir exacerbé transitoirement comme dans les autres pays vaccinés.
Heureusement, la décrue européenne de l’épidémie a limité cette évolution post-vaccinale mortifère !
Le faible taux de mortalité actuel est lié à la fin de la vague épidémique, mais aussi à la disparition prématurée d’une grande partie des patients britanniques les plus à risques. Les personnes fragiles dont la fin a été hâtée par le vaccin en janvier et février n’étaient plus à risque en mars et avril et mai. On ne peut pas mourir deux fois !

L’AFP FACTUEL n’a pas respecté l’éthique des journalistes
La base de l’éthique journalistique consiste à rapporter les faits sans prendre parti (ne pas instruire uniquement à charge ou à décharge) et à confronter les informations des diverses sources avant de les publier.
Les vrais journalistes interrogent ceux qu’ils veulent accuser avant d’écrire leur article. Mais l’AFP FACTUEL ne m’a pas contacté, (pas plus que les fois précédentes, se comportant ainsi non plus en journaliste mais en propagandiste de la pensée officielle, procureur du « ministre de la Vérité » comme le sont la plupart des « décodeurs » et « fast checker » actuels. Elle se comporte en censeur des opposants à la pensée unique pour empêcher tout débat démocratique, comme le font les organes officiels des dictatures régulièrement dénoncées par reporters sans frontières.

Science ou religion ?
Les religions reposent sur une croyance exprimée dans un dogme que personne ne peut remettre en cause. Le dogme vaccinal a été rappelé par Marisol Touraine affirmant devant les députés : « la vaccination ne se discute pas ».
Toute personne critiquant cette nouvelle religion sera diffamée, qualifiée d’hérétique, de complotiste, extrémiste de droite, censurée dans les médias, menacée dans son activité professionnelle etc. et rapidement trop souvent par l’autocensure.

Les progrès de la science sont les fruits du doute fertile. Toute vérité scientifique du moment doit être constamment confrontée aux faits avérés. Si les faits contredisent les vérités du moment, ces dernières doivent être abandonnées pour une nouvelle vérité compatible avec les faits constatés.
Niels Bohr l’avait brillamment exprimé « qu’il est merveilleux de constater un paradoxe. Maintenant nous avons l’espoir de faire quelques progrès ».

Françoise Kadri s’est comportée en inquisiteur du dogme vaccinal (un vaccin ou toute substance affublée de ce mot magique ne peut faire que du bien ). Heureusement que nous ne sommes plus au Moyen Âge car elle m’aurait certainement condamné comme hérétique et fait brûler en place de Grève !
Les faits sont têtus : presque partout dans le monde, les campagnes de « vaccination anticovid » sont suivies d’une augmentation considérable (multiplication par 2 à 4) des contaminations et des décès pendant 8 à 12 semaines. Il s’agit de faits avérés dans plus de 15 pays, confirmés et publiés par l’OMS dont nous présentons de très nombreux exemples sur nouveau Monde.ca et Mondialisation.ca
Plutôt que de se comporter en négationnistes devant les faits qui dérangent, les journalistes devraient les rapporter pour inciter les scientifiques à tenter d’expliquer ce paradoxe qui permettra peut-être de mieux comprendre la maladie.

Gérard Delépine




Une initiative francophone contre la germanophobie

La germanophobie se porte bien de nos jours.

En 1945, l’Allemagne était totalement dévastée. De 42 à 45, elle a reçu en bombes « classiques » l’équivalent de 33 bombes nucléaires de type Hiroshima. Les alliés ont alors procédé à son dépeçage en règle : la partie orientale fut placée sous l’effroyable régime communiste, à la botte de Moscou, tandis que la partie occidentale était morcelée en trois zones d’occupation.

Dès le milieu des années 60, soit quelque vingt années seulement après la fin de la guerre, l’Allemagne dite à l’époque « de l’ouest » retrouvait néanmoins la première place économique sur le Vieux Continent.

De Gaulle, parfaitement conscient de la renaissance de l’ « épouvantail » teuton, a cru prudent de continuer à sceller une « amitié » franco-allemande qui a commencé à poindre dès les années 50 avec la constitution de la CECA et le jumelage de villes françaises et allemandes. Du 4 au 9 septembre 1962, De Gaulle parcourt l’Allemagne et y prononce une dizaine de discours dont 6 en allemand (appris par cœur), suscitant une vague d’enthousiasme Outre-Rhin. Par ailleurs, le Général s’est promptement débarrassé – sans trop y mettre les formes, il faut le reconnaître – du fardeau algérien afin de concentrer toute l’énergie française pour faire face à une nouvelle menace allemande.

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Peine perdue : désormais, l’Allemagne réunifiée – depuis plus de trente ans, le temps passe… – exerce une puissance hégémonique sur l’ensemble du continent européen, et la Bundeswehr n’y est pour rien… Il n’est pas exagéré de dire que l’Europe est allemande. Une telle résilience de tout un peuple peut susciter une certaine jalousie.

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Néanmoins, le Front National Suisse (francophone comme son nom l’indique) vient de publier un texte intitulé « Manifeste contre la germanophobie », en prolongement du blog « Stop germanophobie » qui semble avoir subi les foudres de la censure et n’est plus en ligne.

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Et la France dans tout ça ?

Bien qu’occupée pendant quatre ans – mais sans être anéantie ou pillée par les Allemands qui l’avaient par ailleurs écrabouillée en moins de deux mois et auraient pu se venger de belle manière de l’humiliation du Traité de Versailles  –, ayant elle-même subi les bombardements dévastateurs des alliés dès 1942, la France sortait néanmoins victorieuse de l’épreuve.

Certes, à la fin de la guerre, les Etats-Unis, l’URSS et la Grande-Bretagne ne lui ont laissé qu’un strapontin (elle fut absente de la conférence de Yalta). Mais tout de même, la France prenait place à la table des vainqueurs et se voyait offrir une zone d’occupation dans une Allemagne écrasée par la redoutable machine de guerre alliée. Machine de guerre dont notre pays n’a pas fait partie, à l’exception notable de la douzaine de divisions des forces françaises d’Afrique du nord qui ont participé au débarquement allié du 15 août 1944 sur les plages de Provence

La France méritait-elle davantage ? On peut en douter. Nous ne rappellerons qu’un chiffre, affligeant : alors que plus de 150.000 soldats alliés (Etats-Unis, Grande-Bretagne, Canada, Australie, Nouvelle Zélande…) débarqueront sur les plages de Normandie à partir du 6 juin 1944, la France ne fut capable d’envoyer que… 177 combattants, la fameuse division Kieffer, soit près de 100 fois moins que les forces polonaises qui participèrent à l’opération.

Comme l’a écrit l’historien Pierre Péan avec une ironie mordante :

« Les alliés ont offert leur sang, les Français ont offert le sable… ».

Henri Dubost

In girum imus nocte ecce et consumimur igni

 

 

 




Le NHS anglais passe aux aveux sur le nombre de décès liés au Covid-19

Après le CDC (1), le NHS (2) anglais passe aux aveux sur le nombre de décès liés au Covid-19

« Ils vous mentent – Les données officielles du NHS montrent que seulement 3 542 personnes sont réellement mortes de COVID-19 » [3]

À l’instar des Français, les Anglais ont été confinés pendant de longs mois avec, comme chez nous, le slogan mensonger « sauvez des vies » destiné à calmer les peuples.

Le journal « the Daily News » revient sur les milliers de vies perdues faute de soins, faute de travail et de ruines des entreprises.

Le peuple anglais (comme le nôtre) a toléré l’intolérable pour sauver des vies. On lui a fait croire que 125 000 personnes étaient décédées directement du Covid-19 et que beaucoup plus seraient décédés sans les mesures de confinement. En France, le Président surfe sur les « cent mille morts » qui sont aussi très contestables et contestés.

Aujourd’hui l’énormité du mensonge dont ont été victimes les Anglais est démontrée par l’examen des données officielles du NHS résumées dans le document « Covid-19 et décès totaux » que les journalistes du Daily ont examiné en détail.

Un tableau fournit la ventilation des 86 308 décès présumés de Covid-19 survenus jusqu’au 31 mars 2021 en nombre de personnes ayant une maladie préexistante et en personnes dépourvues de maladie préexistante.

Sur les 86 308 décès survenus chez des personnes avec résultat positif au test de dépistage du « Covid », 82 766 le sont des suites de conditions préexistantes. Seulement 3 542 personnes sans comorbidités connues sont mortes.

Cela ne signifie pas que les 3 542 morts sans conditions préexistantes connues soient effectivement morts de Covid-19. Cela signifie simplement qu’ils n’avaient pas d’autres maladies connues susceptibles de les tuer. Il est tout à fait possible qu’ils soient morts d’autres causes, comme d’un accident de voiture par exemple.

ENREGISTREMENT DE TOUS DÉCÈS DE PATIENTS POSITIFS EN COVID-19

C’est tout à fait possible car les ordres ont été d’emblée d’enregistrer les décès « comme Covid » pour toute personne décédée dans les 28 jours suivant la réception d’un test positif pour le SRAS-CoV-2 !

Sur les 82 766 décès survenus dans les hôpitaux chez des personnes avec test positif pour le SRAS-CoV 2 et affections préexistantes, 14 090 d’entre eux avaient une maladie rénale chronique. « Cela représente plus de 11,2 % des 125 000 morts qui ont été utilisés pour justifier la tyrannie dictatoriale de l’année écoulée ».

Le NHS liste 62 054 de ces conditions sous-jacentes comme « autres » ; 13 391 des 82 766 décès étaient dus à une maladie pulmonaire chronique, 13 495 étaient atteints de démence et 8 544 avaient une maladie cardiaque, tous présumés « Covid ».

602 DÉCÈS CHEZ LES MOINS DE 60 ANS SANS MALADIES PREEXISTANTE !

Le plus grand nombre de décès à test positif (45 127) est survenu chez les personnes âgées de plus de 80 ans souffrant de maladies graves préexistantes.

Chez les personnes âgées de 60 à 79 ans à test positif et comorbidités, 31 522 décès ont été comptabilisés.

Chez les moins de 60 ans, depuis le début de l’épidémie, dans les hôpitaux anglais, il n’y a eu que 602 décès survenus chez des personnes testées positives sans comorbidités, et 5 569 chez des personnes testées positives et souffrant de maladie préexistante.

Le Daily se demande l’intérêt des autorités anglaises d’avoir bloqué toute une population qui ne risquait pratiquement rien du Covid-19.

« Les écoliers ont vu leur éducation stoppée, les adolescents ont vu leur jeune vie ruinée, de nouveaux parents ont été laissés isolés pour lutter seuls sans l’aide de leurs familles, la liste est sans fin ».

La majorité des décès qui peuvent effectivement être dus au Covid-19 (seulement 3 542 en tout) se sont produits, dans la très grande majorité chez des personnes âgées de plus de 75 ans.

Le gouvernement britannique a fourni une carte des « décès survenus dans les 28 jours suivant un test positif » par date de décès et par âge.

Les décès covid les plus fréquents se sont produits chez les personnes âgées de 90 ans et plus.

Le groupe d’âge suivant avec le plus de décès étant 85-89, puis 80-84 et ainsi de suite. Il y a une diminution générale du nombre de décès jusqu’à environ 65-69 ans.

Ensuite nous voyons une chute spectaculaire (proche de zéro) pour les personnes âgées de moins de 60 ans.

« L’espérance de vie moyenne au Royaume-Uni est de 81 ans. Pourtant, le Royaume-Uni a appliqué la tyrannie dictatoriale, détruit l’économie, décimé les entreprises et les moyens de subsistance des gens et créé un flot de problèmes de santé mentale pour éviter la mort de gens qui ont vécu plus longtemps que l’espérance de vie moyenne de 81 ans ».

IT’S ALL A LIE Le 13 avril 2021 dans « Breaking News »

L’enquête sur les données Office national des statistiques National Health Service pour l’année de Covid-19 révèle le plus grand mensonge du siècle.

 

Nicole Delépine

[1] Center for disease control and prevention USA

[2] National Health Service (NHS) système de la santé publique du Royaume-Uni, fournit l’essentiel des soins en Grande-Bretagne, fondée en 1948

[3] They’re lying to you – Official NHS data shows only 3.5K have died of COVID-19 – Daily Expose

 




La perpétuité pour Darren Osborne, auteur de l’attaque contre une mosquée de Londres !

Perpétuité assortie d’une période de sûreté de 43 ans.

J’ai mal pour Darren Osborne, ce soir. Son air de paumé. Ses 4 enfants. Sa vie de merde dans un univers de merde qui se dégradait chaque jour. Je m’étais demandé si son action constituait, dans sa tête, des représailles pour les attentats terroristes. Les juges anglais n’ont même pas envisagé la chose, même pas essayé de comprendre.

Les juges anglais ne lui ont pas fait de cadeau. Ils l’ont appelé terroriste, ils n’ont pas cherché à en faire un déséquilibré…

Ils n’ont pas cherché à lui donner des circonstances atténuantes avec les 3 attaques terroristes de musulmans qui avaient endeuillé Londres et Manchester.

Ils n’ont pas cherché à mettre en avant le rôle de l’alcool, de la dépression, du chômage….

Rien. La haine à l’état pur pour l’Anglais d’origine qui pète les plombs. Et ne tue pas ! Il n’a pas tué, il a essayé de tuer, et il se prend perpète avec 43 ans de période de sûreté.

Ce qui rend malade, ce soir, c’est de voir l’attention dont bénéficient, chez nous, les djihadistes demandant à revenir chez nous. La peur que les malheureux soient condamnés à mort par les Kurdes.Le traitement de luxe d’un Abdeslam. L’argent et les gens mobilisés pour ces monstres.

La prison modérée pour des terroristes avérés.

Et en Suède, c’est pas mal non plus, le terroriste Fouad Saleh condamné à perpète sait qu’il pourra sortir au bout de 10 ans…

http://resistancerepublicaine.eu/2018/01/28/condamne-a-perpete-fouad-saleh-aux-anges-fait-des-doigts-dhonneur-aux-juges/

Pendant ce temps, Darren Osborne crève de solitude dans sa prison. Et sans doute aussi de peur. Les prisons anglaises, comme les prisons françaises, sont islamisées. Et entre les surveillants musulmans et les surveillants dhimmis, il est bien possible que le pauvre malheureux soit torturé, tabassé… jusqu’à ce que mort s’ensuive, jeté dans une cellule avec des musulmans. Comme ils ont essayé de le faire avec Tommy Robinson.

http://resistancerepublicaine.eu/2016/01/10/tommy-robinson-comment-ils-ont-essaye-de-me-tuer-en-prison/

Et que dire du triste sort de Kevin Crehan ? Il avait mis du lard sur les portes d’une mosquée… Il est mort en prison

http://resistancerepublicaine.eu/2016/12/30/mort-en-prison-de-lhomme-qui-avait-mis-du-lard-sur-les-portes-dune-mosquee-assassine-par-des-musulmans/

http://resistancerepublicaine.eu/2017/01/22/tommy-robinson-rempile-a-edl-en-memoire-de-kevin-crehan-mort-en-prison-pour-du-bacon-sur-une-mosquee/




Royaume-Uni : la police traque les internautes qui évoquent la religion des violeurs

Il y a eu Rochdale – ville dotée d’un maire d’origine pakistanaise – près de Manchester.

Neuf hommes âgés de 25 à 59 ans y ont violé pendant des années des jeunes filles dont tout le monde se foutait parce qu’elles étaient blanches et de milieux pauvres. Après usage, ils livraient les adolescentes – «du déchet blanc» – à des congénères. L’une d’elle a été abusée par vingt hommes la même nuit.

Les victimes portaient plainte, mais elles étaient jugées peu crédibles.

Pensez donc, accuser des musulmans pakistanais ne pouvait être que des affabulations. Et puis ce serait raciste que d’émettre une telle hypothèse. Les enquêteurs ont donc évité le sujet le plus longtemps possible.

Et lorsque le procès de ces pratiques multiculturelles a enfin eu lieu, Shabir Ahmed, un des violeurs en chef, a traité le juge de «salope raciste », ajoutant que son seul crime était «d’être musulman.».

Finalement, les “Paki” ont été condamnés à quelques années de prison.

Dans les semaines qui ont suivi le procès, les médias anglais ont égrené le nom de villes où des “chances-pour-l’Angleterre” ont eu les mêmes pratiques hygiéniques qu’à Rochdale : Bradford, Manchester, Sheffield, Derby, Bristol, Nelson, Oxford, Telford, High Wycombe…

Une épidémie d’enrichissement culturel.

En Grande-Bretagne où les statistiques ethniques sont autorisées, la presse a alors découvert qu’entre 46 % et 83 % des hommes impliqués dans les viols commis en groupe par des individus sur des jeunes filles blanches vulnérables sont d’origine pakistanaise pour une population “paki” évaluée à 7%.

Ouverture à l’Autre certainement.

Evidemment, les membres (avec jeu de mots) de ces groupes qui voient les femmes «comme des citoyens de seconde catégorie et les femmes blanches comme des citoyens de troisième catégorie», ne pouvaient être les grands coupables.

Début janvier de cette année, la police du Northumberland a publié sur sa page facebook, des articles sur son enquête concernant l’exploitation sexuelle dans le West End de Newcastle. Suite à cette enquête, dix-huit personnes ont été emprisonnées. Elles s’attaquaient aux jeunes femmes en difficulté, les attiraient à des fêtes où elles étaient droguées puis utilisées comme objets sexuels.

Et horresco referens, six personnes ont laissé des commentaires “offensant” sur le réseau social de la police au sujet de ce gang de violeurs. Par offensants, comprendre que les commentaires se référaient à la race et la religion des auteurs des viols.

Aussitôt des plaintes ont été déposées – souvent par les familles des violeurs, particulièrement leurs épouses, qui veillent au strict respect du règlement sur Facebook – et à l’innocence de leur mari. Selon ces charmantes épouses, ce sont les adolescentes britanniques “de souche” qui sont responsable : «Elles sont pourries. C’est leur façon de s’habiller. Elles n’ont pas de pudeur, elles ne craignent pas Allah», «cela ne pourrait arriver à nos propres enfants parce qu’elles ne sont pas dans les rues. Nous en prenons soin

Une enquête a aussitôt été ouverte et la police du Northumberland, grâce aux adresses IP des commentateurs a retrouvé les assassins du vivre-ensemble.

Les agents ont vite débarqué chez ces dangereux criminels, affreux racistes islamophobes, et les ont sévèrement sermonnés : aucun commentaire offensant ne serait toléré.

D’après la police, «tous ont exprimé leurs remords

Qu’ont-ils dit de si offensant ?

Ils ont mentionné “la race et la religion des auteurs” qui sont tous musulmans.

C’est certainement ce qui explique la diligence de la police britannique. Comme en France, elle est plus préoccupée par la dénonciation de la religion des délinquants, des violeurs, des assassins que par les crimes qu’ils commettent.

Pourtant les violeurs musulmans agissent selon les principes islamiques : la permission de forniquer sans dommage spirituel avec des femmes non-musulmanes réduites en esclavage.

Au Royaume-Uni, le gouvernement préfère gaspiller l’argent des contribuables et le temps des policiers à traquer des personnes qui refusent le déni de réalité plutôt que de voir ce qui se passe dans le pays.

Désormais en Grande-Bretagne, où existent des “sharia courts” (tribunaux de la sharia) – sauf si vous voulez que la police frappe à votre porte –, ne critiquez surtout pas les musulmans et leur religion. Soumettez-vous à l’islam et sa charia.

Je vous quitte. On vient de sonner à ma porte d’entrer.

Je vais exprimer mes remords aux cinquante policiers, deux automitrailleuses, un drône, un hélicoptère et bientôt un Rafale qui ont pris ma demeure dans leur filet.

Marcus Graven