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Le GG Grandserre réclame un compte-épargne météo de 5 jours par an !

Ce matin-là, j’écoutais, exceptionnellement, les Grandes Gueules, ayant deux heures de voiture à faire pour rentrer à Paris. Nous étions au lendemain du mardi noir, à Paris, où environ deux mille automobilistes avaient passé la nuit dans leur voiture, coincés sur la désormais célèbre Nationale 118.

Et bien sûr, on ne parlait que de cela, et chacun avait son bouc-émissaire désigné. La faute à l’Etat selon quelques-uns, la faute aux automobilistes selon d’autres, la faute aux poids lourds, aux autobus, aux mauvais conducteurs, etc.

Et bien sûr, chacun d’amener sa solution. Que les flics ferment les routes plus rapidement (superbe idée, ils rentrent comment, les gens ?). Que les Parisiens s’équipent tous de pneus à clous, comme les casques à pointe (Allemands). Que les Français en finissent avec la voiture, et prennent les transports en commun (même s’il n’y avait plus de bus, ce jour là, seulement un train sur deux, et que le site de la RATP était tombé en rade).

Et puis, soudain, j’ai entendu l’idée de génie ! Et c’est un instituteur, par ailleurs directeur d’école en zone rurale, l’ineffable Sylvain Grandserre, qui l’a trouvée ! Accorder un compte-épargne météo de cinq jours à tous les salariés de ce pays, pour cause de chaleur excessive, de pluie diluvienne ou de neige abondante. Autrement dit, cinq jours de RTT supplémentaires !

Sylvain Grandserre, qui n’est pas à une contradiction prête, expliquait qu’il fallait en finir avec la voiture, qu’il fallait quand même que les Français fassent preuve de responsabilité individuelle… tout en ayant reconnu être parti de chez lui à 5 heures du matin, en voiture, par arriver à l’heure dans les locaux de RMC.

Mais pourquoi Méluche n’y a-t-il pas pensé à celle-là ? Et Philippot, il n’aurait pas pu la souffler à Marine ? Ce qu’on voit, ce que ce GG, qui sévit sur RMC depuis plus de dix ans, est un irresponsable total, incapable d’imaginer les conséquences de ses propositions.

Il fait comment, le petit patron (forcément exploiteur des pauvres ouvriers) qui a une chaudière à réparer, pour une personne âgée, en plein hiver, si, grâce à des enseignants ayant la garantie de l’emploi, et totalement déconnectés des réalités du privé, il se retrouve avec deux ouvriers en moins le même jour ? Et en plus, c’est la prime à la combine, à la paresse, un encouragement, quand il y a le moindre souci, à ne pas aller bosser. Mais il s’en fout, Grandserre, des conséquences de ses délires, il a fait son numéro de claquettes, et joué les utopistes à deux balles sur une grande chaîne.

Sylvain Grandserre, c’est le prof gaucho dans toute sa splendeur, arrogant, méprisant avec tout ce qui ne pense pas comme lui. Lors de cette journée, il sera d’une rare arrogance avec la porte-parole LR, Laurence Saillet, accusant sa famille politique de tous les maux sur l’école, mais défendant le bilan de Najat Vallaud-Belkacem. C’est dire l’objectivité du personnage.

Sylvain Grandserre, c’est bien sûr ce genre d’idéologue qui va raconter que l’immigration rapporte à la France davantage qu’elle ne coûte ! C’est donc un immigrationniste, qui va trouver mille explications plus fumeuses les unes que les autres pour expliquer que la baisse du niveau scolaire, c’est à cause d’un manque de moyens. Ben voyons !

http://resistancerepublicaine.eu/2017/11/23/reponse-au-dhimmi-grandserre-qui-affirme-que-limmigration-rapporterait-plus-quelle-en-coute/

Sylvain Grandserre, tel Pinocchio, est capable de raconter qu’un enseignant comme lui est un damné de la terre, qu’il faut autant d’heures que les autres salariés, et que ses 16 semaines de congés (sans parler de ses vacations pour les Grandes Gueules), ce sont des RTT. Ben voyons !

Sylvain Grandserre est capable de nier la réalité de l’influence de la gauche à l’école, et de nier qu’il y a nombre d’enseignants davantage habillés en gauchos qu’en professeur. Il est aussi capable d’expliquer le fait que de plus en plus de gosses arrivent en 6e sans savoir lire et écrire par des explications sociales, et surtout pas par le pédagogisme et l’immigrationnisme !

Bien évidemment, quand on lui fait la démonstration que sur l’immigration, il raconte d’énormes conneries, il essaie, avec une langue de bois, de défendre l’indéfendable, avec une mauvaise foi admirable. Conclusion Grandserre : il n’y a pas de Grand Remplacement (fantasme d’extrême droite), il n’y pas davantage d’immigration qu’avant, et tout va bien…

Sylvain Grandserre est bien évidemment un anti-fââââsciste, et il est colère contre Mélenchon, qui a mis la République en danger en n’appelant pas assez clairement à voter pour Macron, pour vaincre le péril Marine.

http://rmc.bfmtv.com/mediaplayer/video/gros-coup-de-gueule-de-sylvain-grandserre-contre-jean-luc-melenchon-939885.html

Sylvain Grandserre, sur les AVS à l’école, pour les handicapés, est sublime, là encore. Alors qu’on ne trouve plus d’enseignants, que beaucoup ont une orthographe catastrophique, il réclame, pour 21 heures de travail par semaine, des formations de haut niveau ! Simple chose positive pour lui, il gueule contre la bureaucratie de l’Education nationale, oubliant juste de préciser que cela sert à nourrir ses potes, qui vivent bien sur la bête, sans jamais se salir les mains à enseigner.

Ce grand donneur de leçons, complètement déconnecté des réalités d’un pays, fait la leçon aux dirigeants français quand ils accueillent, trop bien selon eux, le président chinois. Par contre, il ferme sa gueule quand les Saoudiens ou les Qataris viennent en France et arrosent toute la caste politique.

Un père, exaspéré, lors d’un échange avec lui, disait que s’il avait son gosse dans son école, il le retirerait immédiatement, pour le protéger des délires d’un tel enseignant, aussi sectaire.

Il avait tout dit, et des Sylvain Grandserre, il y en a des dizaines de milliers dans l’Education nationale.

Pas étonnant que le niveau baisse tous les ans, et que nombre de parents retirent leur gosse de l’Education nationale, et cherchent des solutions dans le privé, ou par l’éducation à domicile.

Martin Moisan




GG : Face à Sanchez, Truchot, Marschall et Soubré se sont comportés en agents de l’islam

Julien Sanchez a bien de la chance de vivre en France. Il est tombé, sur l’émission des Grandes Gueules, dans un véritable procès politique, avec comme procureurs les deux animateurs de l’émission, Alain Marschall, Olivier Truchot, et la participante Marianne Soubré. S’il avait vécu dans un autre pays, à une autre époque, il aurait fini en camp de rééducation, avec les docteurs GG comme aide-soignants.

Rappelons les faits. Julien Sanchez, maire de Beaucaire, a décidé de réintroduire le porc dans les cantines, une fois par semaine, le lundi, alors que depuis dix ans, on ne mange plus de porc dans les différentes écoles de la ville.

https://www.youtube.com/watch?v=_IyqhwSsiJY

Si on résume un débat particulièrement tendu, malveillant, et fort malhonnête, où on a entendu beaucoup de stupidités, notamment de la part de l’ineffable avocate Marianne Soubré, par ailleurs épouse d’un journaliste de BFM-TV, le maire de Beaucaire est un homme sans cœur qui est prêt à laisser mourir de faim des enfants.

https://ripostelaique.com/marie-anne-soubre-epouse-mbarki-ne-connait-rien-a-lislam.html

Donc, il divise la République, empêche les gentils enfants musulmans de manger, et applique une conception rigide, voire raciste, voire haineuse, de la laïcité. Et en plus, il ose ne pas proposer de repas de substitution, et expliquant que ceux qui ne mangent pas de porc peuvent manger davantage de légumes, davantage d’entrées, et que d’autres enfants n’aiment pas d’autres aliments. Il ose mettre en avant la situation économique de sa ville, et explique que les repas de substitution, c’est davantage d’impôts locaux. Il s’appuie sur les principes laïques pour justifier le fait qu’un interdit religieux n’a pas sa place à l’école. Aussi pertinents soient ses arguments, aucun ne trouvera grâce à leurs yeux, le rouleau compresseur, unanime sur le plateau, continuera d’avancer. Même Gilles-William Goldnadel, si bon d’habitude, laissera la curée s’organiser, même s’il n’y participera pas, reprochant lui aussi à Julien Sanchez le refus des menus de substitution (particulièrement coûteux). Sans doute un jour sans pour le talentueux avocat.

Et bien sûr, dans un lynchage parfaitement organisé, deux intervenants au téléphone continueront d’agresser impunément le maire de Beaucaire, qui n’aura un soutien, plein de bon sens, de Patricia, qu’à la fin de l’émission. Les propos de cette intervenante seront le seul ballon d’oxygène d’une émission pénible ou pesante.

Disons-le clairement, les Grandes Gueules se sont comportées, dans cette émission, en agents de l’islam, et rien d’autre. Ils nous ont fait penser à toute cette gauche compassionnelle qui, en 1989, lors de l’affaire de Creil, nous expliquait qu’il fallait accepter le voile à l’école, parce que le jean se substituerait au voile, et que refuser le torchon islamique (c’est ainsi que j’appelle cela), c’était exclure les jeunes filles musulmanes de l’école, alors qu’elles avaient besoin de l’école pour s’émanciper. Bref, un raisonnement tordu qui a amené pendant 15 ans des dizaines d’équipes scolaires à être confrontées à des milliers de voilées dans l’école de la République. Il a fallu la loi du 15 mars 2004 pour mettre fin à cela, loi contre laquelle l’ensemble de la gauche et des syndicats enseignants se mobilisa, ainsi que les associations dites antiracistes.

C’est ce genre d’imbécillité qu’on a entendues lors de l’affaire des piscines de Martine Aubry, dont certaines tranches horaires étaient réservées au seules musulmanes. Là encore, le discours compassionnel, selon lequel grâce à cette initiative, ces malheureuses allaient pouvoir sortir de chez elles, et se réunir entre femmes.

Mêmes stupidités lors du débat sur le voile intégral, où on trouva même Marc Blondel, président de la Libre Pensée, aujourd’hui décédé, oser comparer la burqa à la mini-jupe, rien de moins, pour justifier le droit d’imposer de telles tenues à la France. Les conneries (paix à ses cendres) de Blondel sont les mêmes que celles des Grandes Gueules, ce jour, face à Julien Sanchez.

Mêmes crétineries sur les mères accompagnatrices, sur le voile à l’université et sur nombre de situations où les islamo-collabos, ou idiots utiles, le résultat est le même, masque la réalité de l’offensive de l’islam, derrière des discours victimaires de capitulation.

Les collabos qui défendaient le voile à l’école s’en foutaient que les jeunes filles musulmanes qui ne le portaient pas se fassent traiter de “salopes” par les grands frères. De même que les jeunes musulmanes qui continuaient à aller dans les piscines avec leurs copains étaient qualifiées de mauvaises musulmanes par les imams du coin, à cause de Martine Aubry.

Ils sont d’autant plus stupides, ces collabos, qu’il suffit d’écouter une mère musulmane pour bien comprendre la réalité : le problème, ce n’est pas le porc, c’est que la viande ne soit pas halal, puisqu’ils annoncent qu’ils ne veulent pas des repas de substitution.

http://www.fdesouche.com/934729-polemique-sur-le-porc-dans-les-cantines-a-beaucaire-le-plat-de-substitution-on-ne-le-mangeait-pas-de-toute-maniere

Le masque tombe. Le porc à la cantine n’est qu’une étape. Quand les maires qui, majoritairement, capitulent sur cette question, ne proposent plus de porc, on leur dit que la viande impure n’est pas adaptée non plus aux musulmans. Et donc on fait le coup des repas de substitution, voire des repas végétariens, comme Jego et Mélenchon, en pleine crise mystique, l’ont expliqué.

Et une fois qu’il n’y aura plus de viande impure, les musulmans réclameront de la viande halal pour tous, ce qui est l’objectif final.

Et une fois qu’ils auront obtenu de la viande halal pour tous, ils demanderont la fin de la mixité, qui est haram.

Et une fois qu’ils auront obtenu la fin de la mixité, ils exigeront que les infidèles ne mangent pas à la table des musulmans.

Les stupides Grandes Gueules, islamo-collabos dans l’âme, auront été les complices actifs de cette islamisation de nos écoles. Peut-être n’ont-ils pas lu le livre de Christine Tasin, “L’islam à la conquête de l’école”. Ou peut-être sont-ils payés pour véhiculer cette idéologie du renoncement, de l’abandon de sa culture, de ses valeurs, de ses meilleures traditions (Marschall ira même jusqu’à reprocher à Sanchez son côté gaulois), toujours est-il que lors de cette émission, Truchot (qui avait du mal à masquer, dans ses rictus, la haine que lui inspirait le maire FN), Marschall et Soubré se sont comportés ouvertement en agents de l’islam et en ennemis de la France, et qu’on attendait mieux de Gilles-William.

Ecrivant ce texte, je sais que je condamne définitivement tout avenir possible au GG pour Pierre Cassen ou Christine Tasin. Mais je crois que c’était plié depuis longtemps, non ?

Lucette Jeanpierre




Julien Sanchez rétablit le porc dans les cantines : les GG indignés !

A Beaucaire dans les cantines, le lundi, ce ne sera pas raviolis.

Ce sera côtelette, charcuterie, pâtés et autres cochonnailles, en entrée ou en plat principal, parce qu’il y n’y a pas de raison, déclare en substance Julien Sanchez, le maire de la ville, que le porc disparaisse de notre art de vivre.  Astérix mangeait du sanglier, dit-il, en forme de boutade. Vive les repas gaulois et foin des repas anti-républicains.

Ainsi, des menus de substitution ne seront plus servis  dans les cantines scolaires de sa ville, à partir du 1° janvier 2018. Il s’explique sur la date : le calendrier administratif ne coïncide pas avec le calendrier scolaire.

Pour qui l’ignorerait, les menus de substitution sont des menus sans porc servis dans la plupart des cantines, les jours où le repas est à base de cette viande.

Le Maire de Beaucaire est sommé de s’expliquer au tribunal des Grandes Gueules qui, quasi unanimement, s’indignent de cette mesure.

https://www.youtube.com/watch?v=_IyqhwSsiJY

Or, le maire de Beaucaire, se plaçant sous l’autorité des principes de la République, fait valoir que pour servir des repas sans porc, cela suppose que l’on demande aux parents  les tabous alimentaires qu’ils imposent à leurs enfants, ce qui contrevient  à la loi républicaine française.

Chez les chroniqueurs des Grandes Gueules, cet argument ne porte pas. Pourtant, c’est ce même délit de fichage  ethnique que ces mêmes chroniqueurs reprochaient à Robert Ménard. Mais passons.

Au nom de quoi refusent-t-ils que s’appliquent les principes de la laïcité ? On connaît les arguments qui reviennent régulièrement en boucle comme les marronniers.

Voici , simplifié, l’échange entre les divers intervenants et le maire, qui ne se départit jamais de son assurance.

D’abord, l’argument qui consiste à redéfinir le concept débattu afin de montrer que l’adversaire ne respecte pas  ou ne comprend pas le principe qu’il défend.

– La laïcité, cela consiste à respecter la liberté religieuse.

– Oui, mais pas dans la sphère publique, répond le maire en substance, faisant valoir en outre que nul  enfant ne serait obligé de consommer ce dont il ne veut pas.

Vient tout de suite après la question habituelle qui prend l’allure d’attaque ad hominem

– N’instrumentalisez-vous pas la laïcité à des fins politiques ? (autrement dit, parce que vous êtes Front National).

– D’autres mairies communistes ou LR suppriment les menus de substitution.

– Qu’est-ce que cela vous coûte de donner un menu de substitution?

– Le menu est à 2.40 pour un coût réel de 10 euros. Quand même. Mais surtout, il en coûte de céder à un lobby religieux.

– Justement – c’est l’avocate Marianne Soubré qui avance cet argument magistral – exiger du halal, serait une revendication religieuse et à ce titre, inacceptable. Mais refuser le porc n’a rien de religieux. On ne rit pas.

– Que faites-vous des végétariens ?

– la même chose.

Remarquons que si l’on tient compte des végétariens, c’est tous les jours qu’il faudra proposer un menu de substitution. Mais cette logique échappe aux chroniqueurs qui cherchent à contrer systématiquement plutôt qu’à examiner le bien-fondé des déclarations du Maire.

L’imparable argument ad misericordiam :

– Vous allez obliger ses enfants à rester chez eux et empêcherez la mixité et le vivre-ensemble.

Julien Sanchez est bien aimable, ou habile,  de ne pas faire remarquer que ce sont précisément les interdits alimentaires qui mettent à part, qu’ils sont même faits pour ça.

Enfin la question piège :

– Servez-vous du poisson le vendredi ?

– Oui, c’est une tradition. Cela existe depuis longtemps, y compris du temps où la mairie était communiste.

Le chroniqueur croit avoir sorti là sa botte secrète  qui prouverait le parti-pris du Maire anti-musulman.

Or, le poisson du vendredi tient plus de la coutume en pays chrétien que de la prescription religieuse. Rien de comparable avec un tabou religieux.

C’est ne pas comprendre qu’une société qui a des traditions alimentaires n’a rien de comparable avec une société qui a des tabous. La coutume alimentaire peut évoluer, pas le tabou qui est un interdit imprescriptible. C’est une aliénation.

C’est aussi une façon de se singulariser, voire de créer un apartheid. Ne seront admis à la table de ceux qui pratiquent le tabou que ceux qui acceptent de s’y soumettre fût-ce le temps d’un repas.

Ainsi le Maire de la ville fait remarquer que les jours où le porc est servi, on voit les enfants mangeant le repas avec porc être servis à des tables séparées de ceux qui mangent le repas de substitution, ne serait-ce que pour des raisons de commodité de service. Environ 200 enfants sur 800 seraient dans ce deuxième cas, selon radio France Bleu.

Enfin, le tabou exprime un jugement porté sur l’animal interdit mais forcément aussi sur ceux  qui en mangent. L’aliment jugé impur, la personne qui en consomme l’est aussi.

Sur un autre plateau télé, alors que tous les intervenants étaient d’accord sur la montée de l’islam intégriste à l’école, ils rejettent unanimement la suppression du menu de substitution. Il s’agit pourtant exactement de la même chose et  le refus du porc n’est qu’une demande dans une escalade grandissante. En effet, dans cette logique,  quelle va être la prochaine demande sinon celle de la viande halal? N’a-t-on pas vu au journal régional de FR3 une mère musulmane déclarer que de toute façon, le menu de substitution était refusé.

http://www.fdesouche.com/934729-polemique-sur-le-porc-dans-les-cantines-a-beaucaire-le-plat-de-substitution-on-ne-le-mangeait-pas-de-toute-maniere

On ne mangera  ni la volaille ni le steak qui le remplaçaient déclare-t-elle.

Comment ne pas voir que le refus du porc n’est que la première étape  d’un rapport de force pour faire plier une institution qui n’en a déjà pas besoin.

Monsieur Julien Sanchez, sans se départir de son calme, explique que du porc sera servi le lundi afin que les familles concernées puissent prendre leur disposition.

A l’initiative de parents d’élèves, un pique-nique républicain est prévu lundi prochain à 11 h 30, sur la Place de la Mairie pour protester contre la mesure de l’élu.

“L’idée c’est que nous les parents, qu’on soit musulman ou pas, ne mettions pas notre enfant à la cantine le lundi puisque c’est le jour du cochon”.

Ou comment créer soi-même son propre malheur.

Florence Labbé