“Une femme d’État » : Marine Le Pen victime du syndrome Sandrine Rousseau !

 

À l’instar de la piètre Valérie Pécresse, désormais Marine Le Pen se commercialise en tant que femme : « Une femme d’État », car tel est son prochain slogan… Le troisième depuis septembre…

Sandrine Rousseau a fait école !

Être une femme est le nec plus ultra. On ne sait pas vraiment ce qu’il en fut pour la verte déjantée et déconstruite, toutefois,  issues de milieux très privilégiés, Pécresse et Le Pen ont eu les parcours et carrières auxquelles elles aspiraient, et non des moindres.

Sous peu, vont-elles concourir pour la blondeur la plus réussie ? La plus mince ? Le plus joli sourire ?

Cela finit à ressembler à un concours de Miss France, que nous pourrions, en l’occurrence, baptiser Dadame France.

N’avoir plus à nous vendre que leurs chromosomes XX est d’un ridicule confondant, prouvant ainsi combien il ne s’agit pas de campagne présidentielle mais d’une vile opération marketing, faisant la promotion d’un packaging… Le leur !

Les femmes ne font ni mieux ni plus mal que les hommes et si c’était une véritable valeur ajoutée, Anadingo ne serait pas surnommée Notre-Drame de Paris !

Ce féminisme dévoyé tourne au délire.

Si l’on comprend qu’un marchand de légumes vantent ses navets, quand une femme vend de la femme, elle humilie ses congénères au plus haut point.

Si Marine Le Pen agit ainsi pour se démarquer de Zemmour, étant donné leur différence de volume, elle aurait pu avoir pour base line :  “Une autre stature”, “Un poids lourd”, “Des dimensions en plus”, au moins ce fut drôle. 

Certes, il est peut-être encore des électrices votant davantage pour homme que pour une femme ou l’inverse… l’époque étant aux inquiétudes, n’avoir que sa “féminitude” pour argument de campagne n’est pas des plus rassurants !

La France n’a pas besoin d’un homme ou d’une femme, elle a besoin de quelqu’un qui la sauve et la protège !

Daphné Rigobert

 

 

Marine danse à Mayotte!

 




La Grande Librairie parle hommes-femmes, avec Fatiha Agag-Boudjahlat

Au cours de La Grande Librairie, Elisabeth Badinter, Fatiha Agag-Boudjahlat, Belinda Cannone et Georges Vigarello ont tous dit des choses très intéressantes, encore une fois, sur les rapports hommes-femmes. En voici un avant-goût.

https://www.france.tv/france-5/la-grande-librairie/saison-10/401687-la-grande-librairie.html

– Elisabeth Badinter a commencé par dire que dans “balancer des porcs” le fait de “balancer”, déjà là, ça coince car de son temps et du mien “balancer” ou dénoncer c’était honteux car la délation, ça ne se faisait pas. Eh oui, nous préférions que toute la classe soit punie plutôt que de dénoncer une condisciple, quitte à mettre les choses au clair entre nous, mais rapporter ça non, bien au contraire, nous avions une solidarité à la Gilbert Cesbron…

Un exemple : en 1964 (?) le premier jour de la rentrée après les vacances de Noël, j’avais dit à une surveillante qui avait puni injustement une élève :

“Madame vous êtes ridicule”

“Tu veux répéter cela devant mademoiselle la Préfète?”

“C’est mon opinion, je la dirais devant n’importe qui.”

À 12h00, mon père et ma mère m’attendaient avec une tête d’enterrement dans le bureau de la préfète et ils décidèrent d’une punition exemplaire qui consista en la suppression de tous mes week-end à la maison jusqu’à Pâques. (J’ai passé 6 ans au pensionnat)

Quand je suis rentrée dans ma classe, la leçon de dessin scientifique avait commencé. Mes condisciples me regardèrent et j’annonçai la sentence. Immédiatement des billets ont commencé à circuler. Avant la fin de la leçon, toutes les internes de ma classe s’étaient proposées pour me tenir compagnie pendant mes week-end de punition. Une si lourde punition pour m’être opposée à une injustice acquit un aspect très chevaleresque…

– Dans l’émission on a beaucoup parlé d’éducation.

Autre anecdote : en 1954 (?) ma mère et moi prenons le tram pour aller à Bruxelles et, ô surprise, il y a un nègre assis dans le compartiment. C’était la première fois que j’en voyais un en chair et en os. Ma mère m’a jeté un regard qui signifiait : on ne regarde pas, on ne montre pas du doigt, on ne commente pas, on fait semblant de rien. Mais je savais ça, d’autant plus que les nègres m’étaient familiers puisque j’avais lu Tintin au Congo. A l’époque on employait les mots, mais on respectait les personnes. Il aurait été impensable de dévisager, d’aborder ou, pire encore, de siffler après qui que ce soit.

Mais ! En 1968, arriva l’interdiction d’interdire et puisque l’éducation c’est aussi poser des interdits, il devint interdit d’éduquer. Si aujourd’hui nous avons des gens grossiers et vulgaires, qui ne savent pas où sont les limites… C’est aussi parce que ça fait 50 ans qu’on laisse grandir les gosses sans leur enseigner les limites ! Alors à qui la faute ?

Dans l’émission quelqu’un a dit que dans le passé quand un homme outrepassait les limites on lui flanquait une bonne paire de baffes. Oui, entre nous avec nos hommes parce que eux et nous nous connaissons nos codes, mais essayez de faire la même chose en rue à Bruxelles dans la situation du documentaire de Sophie Peeters. https://www.rtbf.be/auvio/detail_sofie-peeters-femme-de-la-rue-bruxelles?id=2085934

Vous risquez même d’être condamnée pour violences sur un inoffensif harceleur. On en est là dans l’inversion des valeurs.

Le problème d’éducation, culture, respect etc. est faussé par les comportements des allochtones qui ne connaissent pas et ne respectent pas nos codes de comportement. Ils auraient pu les apprendre si on les leur avait enseignés dans nos écoles. Dans ces sociétés allochtones, l’enfant mâle est roi et ce sont les femmes qui éduquent leurs enfants de cette façon. Cela va encore plus loin, par exemple en Inde: après échographie des femmes avortent si le fœtus est féminin. “L’Inde a tué 63 millions de ses filles par l’avortement sélectif sexuel” (cf. Internet sex-selective abortion).

– Fatiha Agag-Boudjahlat fait remarquer le sectarisme des féministes qui s’insurgent contre la domination masculine occidentale envers les femmes occidentales, mais la trouvent tout à fait normale de la part des hommes non-occidentaux envers les femmes non occidentales. Si ça ce n’est pas du racisme ?

– Le problème hommes-femmes n’est pas nouveau : Elisabeth Badinter rappelle “L’assemblée des femmes” écrit par Aristophane  en 392 avant notre ère…

– On ne veut plus d’hommes macho style cow-boy… On veut des hommes plus doux, plus sensibles… Allons allons… Elisabeth Badinter rappelle l’amour des femmes de Racine… “Ariane, ma sœur, de quel amour blessée vous mourûtes aux bords où vous fûtes laissée…” et tous les autres Ronsard ? Lamartine? Baudelaire ?” et “elle est debout sur mes paupières et ses cheveux sont dans les miens, elle a la forme de mes mains…” d’Eluard et “les yeux d’Elsa” d’Aragon ? Et les mains de Bécaud ? Et les «femmes je vous aime» de Julien Clerc ? et les «Que je t’aime» de Johnny?

https://www.youtube.com/watch?v=TpW-yWeGOmQ

Et même l’amour de nos hommes envers les inconnues comme le chante  Brassens.

https://www.youtube.com/watch?v=vvjhsZYaofk

Et le cow-boy Robert Redford qui murmure à l’oreille des chevaux ? Et les deux cowboy de Brokeback Mountain ? Et Lucky Luke ? Sont-ils macho ?

Dans le passé il y a aussi eu de très gros cochons… lisez Catulle… et pourtant on étudie ses poèmes cochons au lycée… mais si, mais si, scansion comprise!

Et, contrairement à nos saintes-nitouches, Louise Labé (1524-1566) “en redemandait” dans son célèbre “Baise m’encor, rebaise-moi et baise, donne m’en un de tes plus savoureux, donne m’en un de tes plus amoureux, je t’en rendrai quatre plus chauds que braise…etc.”

http://www.unjourunpoeme.fr/poeme/18-baise-mencor-rebaise-moi-et-baise

On finit par en avoir raz l’bol de toutes ces salades.

Mais, toutes ces palabres dans les salons où l’on cause… en fait tournent autour du pot… Le problème de base c’est : « qu’est-ce qu’un homme ? » et ce « qu’est-ce qu’une femme? » Comme je l’ai déjà écrit, je l’ai compris en observant les animaux. Pourquoi à certaines périodes les chattes miaulent-elles de façon déchirante ? Parce qu’elles sont en chaleur. Pourquoi à certaines périodes votre chien s’échappe-t-il ? Parce qu’ils sent l’odeur des femelles qui sont en chaleur. Pourquoi les adolescentes (ou femmes) criaillent-elles et font-elles “les sottes” ? Parce qu’elles sont en chaleur et attirent l’attention des mâles.

Mais oui, même si cela déplait à bon nombre de lecteurs, à la base, nous sommes des mammifères et quand nos femelles sont en chaleur elles diffusent des phéromones auxquelles les mâles ne résistent pas, c’est fait pour ça. Alors, si des mâles n’y résistent pas… C’est la nature… Vous êtes tous bio et énergies vertes renouvelables mais vous niez votre propre nature ? Et nos mâles, si leur maman ne leur a pas enseigné qu’on ne doit pas importuner les filles… si en plus il a été interdit de leur poser des limites et des interdits… Ben voilà : on en est là, maintenant au lieu d’avoir des gentleman, on a des porcs et au lieu de l’amour courtois, on a le harcèlement. Mais, si en plus les femelles obéissent à la pub qui fait tout pour les rendre les plus sexy possible, avec soutien-gorge pigeonnant, maquillage-cils-superlongs et popotin tortillant… on en arrive à la quadrature du cercle… Vous voulez être super sexy avec un décolleté jusqu’au nombril et une jupe à ras la zigounette, mais vous ne voulez pas qu’on vous trouve sexy ? Si les hommes entrent dans ce jeu ils sont des porcs, s’ils s’y refusent ils sont misogynes. Faudrait savoir !

Encore hier à la télé dans l’un ou l’autre festival il y a une fille qui monte des marches avec une jupe qui lui arrive à peine sous les fesses et le monsieur qui la suit a justement, à la hauteur de son nez, ce sillon inter fessier qui se dodeline… A sa place aurais-je résisté à lui passer ma main entre ses cuisses… en tous cas, mentalement je l’ai fait… A-t-on le droit de tenter le diable ?

N.B. au temps des gens bien élevés : un homme laissait passer une femme devant sauf en montant un escalier justement pour qu’il n’ait pas son nez fourré dans les jupons de la dame et en le descendant pour qu’elle ne tombe pas et en entrant dans un lieu public comme un restaurant pour vérifier qu’elle n’entre dans un endroit dangereux.

Comment se fait-il que les femmes de la génération de Elisabeth Badinter, Catherine Deneuve, Brigitte Bardot et la mienne, mais aussi celle de ma mère et de mes tantes, nous avons su gérer nos mâles tandis que les jeunes générations se retrouvent soudain dans un tel marasme ?

Soyons clairs : moi, chez moi et dans mon jardin, si je veux me balader à poil, ça me regarde, mais il y a une limite entre le privé et le public… encore une fois, c’est une question non pas de lois, ni de religions mais de bon sens et … de la bonne vieille éducation qui manque tant.

– Autre évidence qu’on voudrait ignorer : non, un homme n’est pas une femme et vice-versa. Quand j’allais en montagne, mon compagnon et moi, nous préparions nos sacs à dos ensemble. Ils pesaient tous deux la même chose car une pomme, un litre d’eau, l’appareil photo, les jumelles, etc. ont le même poids dans le sac d’un homme ou dans celui d’une femme. Mais, un sac qui pèse 7kg pour un homme qui mesure 1m90 et pèse 100kg de muscles ce n’est pas le même effort que pour une femme de 1m60 qui pèse 50kg. Nous parcourions les mêmes dénivelés, mais puisque mes enjambées étaient plus petites je faisais beaucoup plus de pas que lui, ben oui, mon effort était nettement supérieur au sien… Ajoutez-y que quand une femme a ses menstruations, elle perd du sang donc de l’hémoglobine et donc de l’oxygène dans ses muscles… Il y a même des femmes qui à cause de leurs menstruations souffrent d’un manque constant de fer et donc sont constamment fatiguées et doivent même recourir à des infusions de fer par voie intraveineuse.

Dès qu’une femme a un enfant elle ne dort plus jamais sur ses deux oreilles car inconsciemment elle a toujours une oreille tendue en alerte. Au matin elle se lève reposée ? Non ! Jamais !

Et cætera…

Mais, et c’est là qu’en réalité le bât blesse :  tous les citoyens, hommes et femmes,  doivent être égaux en droits et en devoirs devant La Loi. Un délit est un délit et un crime est un crime et un viol est un crime passible de 15 ans de prison. Il faut arrêter de tout confondre.

Bref cette hystérie de harcèlement sexuel importée des USA comme le coca-cola et le chewing-gum, c’est pas notre tasse de thé. Ce qu’il faut examiner c’est “pourquoi veut-on fixer notre attention sur cette fausse affaire ?” Est-ce pour nous empêcher de discuter la loi sur les héritages ? ou la crise financière ? ou le Grand Remplacement ? ou les filouteries gouvernementales ? Sommes-nous tellement crédules que nous nous laissons piéger ?

Pour ma part, il y a des thèmes beaucoup plus dramatiques, entre autres le nivellement par le bas dans l’enseignement et, si les porcs on les balance, les dindes-saintes-nitouches on s’en balance.

Anne Lauwaert




L’histoire de la Saint-Valentin, la fête des amoureux…

Demain est un grand jour puisque les amoureux fêtent la Saint-Valentin.

Ecartons les pays attardés, musulmans pour la plupart, qui interdisent toute manifestation publique de cette jolie fête, y voyant la célébration de “l’immoralité, la nudité et l’indécence”.

Ce qui n’empêche pas tous ces hypocrites d’être des accros acharnés aux sites pornos selon Google. Mais passons…

Pour les pays occidentaux, donc émancipés, on se prépare à la fête.

Restaurant, petits cœurs en velours, roses rouges ou chocolats et billet doux font partie du programme.

Et gare aux distraits qui oublieraient de combler leur dulcinée.  Les femmes y sont très attachées.

Attachés, certains hommes le sont beaucoup moins. Un quart d’entre eux préfèrent passer la soirée avec leur animal de compagnie plutôt qu’avec  l’élue de leur cœur pour la Saint-Valentin !

Eh oui, mesdames, la concurrence est parfois très rude, désolé.

Cette Saint Valentin nous vient d’Angleterre parait-il, qui fêtait les amoureux au 14e siècle. Et non seulement cette tradition demeure, mais elle a gagné tous les continents.

Et nul besoin, messieurs, de bâtir un nouveau Taj Mahal pour votre moitié afin de lui prouver votre amour, un bouquet de roses rouges, un dîner aux chandelles la combleront.

Le Taj Mahal ? C’est le monument dédié à l’amour le plus célèbre du monde. Il fut érigé sur l’ordre de l’empereur moghol Chah Djahan pour honorer la mémoire de son épouse favorite.

Celle-ci mourut en 1631 en accouchant d’un quatorzième enfant. Inconsolable, l’empereur lui fit bâtir le plus magnifique des mausolées.

Les femmes sont romantiques et aiment qu’on les bichonne, c’est bien connu.

Les hommes sont évidemment moins doués pour cet exercice et rares sont les princes charmants qui se répandent en tendresses quotidiennes après la première année de mariage.

D’où l’intérêt de la Saint-Valentin qui permet de combler le retard accumulé au fil des mois et de se montrer, l’espace de quelques heures, le plus passionné des hommes, à l’image des couples les plus célèbres de l’histoire.

Roméo et Juliette, Tristan et Iseult, Paul et Virginie, Ulysse et Pénélope.

Comme le dit un psychologue, la Saint-Valentin est un exercice de grand rattrapage.

Dit aussi brutalement, cela n’a rien de romantique, c’est vrai. Mais les femmes amoureuses pardonnent tout, ce qui est rassurant.

Alors, essayons demain d’épater notre chère et tendre et de faire mieux que l’année passée, en évitant les dangers de la monotonie et de la routine.

Jacques Guillemain




C’est officiel : Taubira veut que les hommes deviennent une « minorité oppwimée »

D’aucuns, les plus naïfs toutefois, pensaient peut-être qu’au sortir de cinq années catastrophiques de Taubira à la garde des Sceaux, les Français ne seraient plus submergés par ses ambitions néocolonialistes d’extermination des mâles blancs hétérosexuels. Ils avaient tout faux : non seulement nous sommes encore abreuvés de sa litanie destructrice, mais encore, ses belles paroles ont cessé d’être attaquables en tant qu’émanation du pouvoir, pour devenir sainte dictée guidant les brebis égarées des ténèbres occidentales vers la lumière indigène.

Taubira, c’est un peu comme le choléra : une épidémie ravageuse qui resurgit sporadiquement, parfois des années après qu’on la pensait éradiquée.

Son dernier verbum Domini date de la « Nuit des idées », agglomération épisodique de cervelles infécondes qui s’imaginent revêtir une quelconque utilité alors qu’elles n’en possèdent aucune.

La première édition de cet énième bal des fantômes se tenait jeudi dernier à Montréal. Le thème laisse songeur : « L’imagination au pouvoir », en référence à l’un des slogans de mai 68. On sent que ces gens-là n’ont plus aucun complexe pour présenter leurs chimères comme des projets de société. De toute façon, ils ne considèrent plus les peuples que comme des coquilles vides destinées à se ranger dans le nid que couve la mère poule Globalisation.

Comme les organisateurs sont particulièrement modernes, ils ont songé à respecter la doxa de la parité : on comptait donc sept femmes intervenantes pour deux hommes. De cette manière, on comble un peu le retard accumulé depuis des siècles. C’est certes insuffisant, mais comme pour Saint-Pierre, il a fallu commencer quelque part pour bâtir cette église et que n’y prévalent pas les portes du séjour des morts.

Une inégale répartition homme-femme tout à fait préméditée (le contraire aurait de toute façon été dénoncé comme un scandale) et dont se félicite le très correct Libération.

http://www.liberation.fr/france/2018/01/28/christiane-taubira-il-est-temps-que-les-hommes-fassent-l-experience-de-la-minorite_1625775

Mot d’ordre : le mirage de la société parfaite. « Il s’agissait d’interroger, un demi-siècle plus tard, les formes que peut prendre l’aspiration à l’utopie ».

Nous ne sommes effectivement plus très loin de Thomas Moore et d’Aldous Huxley, la science en moins.

Dans une entrevue accordée au quotidien fondé par Sartre, peu de temps après que Taubira a commis son méfait oratoire, l’indépendantiste guyanaise le martèle : « Il est temps maintenant que les hommes fassent l’expérience de la minorité ».

Ceux qui doutaient encore des projets orwelliens de cette caste de malades mentaux peuvent ranger leur douce espérance. Taubira révèle son projet : elle ne veut pas l’égalité, mais la claire réduction des hommes à une sous-catégorie d’être humains.

« Les morts gouvernent les vivants », disait Auguste Comte. C’est la vision biaisée d’une prétendue oppression masculine pluriséculaire qui autorise l’ancienne garde des Sceaux à souhaiter le malheur de ses souffre-douleur. Et de préconiser leur abaissement pour bâtir un monde meilleur.

En outre, l’ex-ministre hollandienne prescrit pour nos contrées occidentales une véritable loi du Talion, œil pour œil et dent pour dent, à travers laquelle l’oppression de la femme par l’homme ne peut trouver de réponse adaptée qu’en sa réciproque. Un principe législatif propre aux sociétés primitives, que nos civilisations européennes ont éradiqué depuis bien longtemps.

Lou Mantely




Nos jeunes femmes souhaitent-elles vraiment le retour du puritarisme ?

Il y a un truc qui me turlupine (un peu).

Quand on accuse Bill Clinton d’avoir une aventure avec Monica, pourquoi, au lieu de, d’abord dire non et ensuite quand même oui, n’a-t-il pas tout de suite répondu “Oui, en effet. La charge sur les épaules d’un président des USA est lourde à gérer. Monica et moi-même, avec consentement mutuel, nous nous accordons des instants de ressourcement pour le bien de la Nation et de la Paix dans le monde. D’ailleurs le salaire de Monica tient compte de son dévouement au bénéfice du bien-être de notre peuple.”

Il aurait tout simplement pu prononcer le célèbre “et alors ?” et même ajouter “ma vie privée ne vous regarde pas.”

Oui, je sais les américains font des films scabreux mais eux-mêmes sont pudibonds, bigots et puritains. Cela ne signifie pas que nous devons les imiter.

Dominique Strauss Kahn a des chances d’être élu président de la France. Il en a la carrure et une autre prestance que celle de capitaine de pédalo. Mais il dit lui-même qu’on va l’attaquer sur le fait qu’il est juif, aime l’argent et les femmes. Quelques jours plus tard, c’est la mise en scène du Sofitel “comme au cinéma”.

DSK aussi fait profil bas. Pourquoi n’a-t-il pas contre-attaqué par exemple en expliquant que oui… il a une singularité physiologique avec hyperactivité hormonale qui le rend sexuellement hyperactif, mais que ses partenaires ne s’en plaignent pas et sont rémunérées généreusement.

Non, DSK va s’estomper dans le paysage… Qui n’a pas voulu DSK comme président ? Aurait-il été pire que Sarkozy ou Hollande ou Macron ? Ou meilleur ?

Affaire Weinstein. Tout le monde sait depuis toujours qui il est et comment il fonctionne et on le voit sur d’innombrables photos avec dans ses bras des nanas qui n’ont pas l’air de ne pas s’y plaire. C’est un commerce entre adultes. Ça dure depuis combien de décennies ? Et là tout d’un coup c’est la curée ?

Pourquoi, au lieu de, lui aussi, faire profil bas n’a-t-il pas au contraire fait le décompte exact avec nom, prénom etc. des starlettes à qui, moyennant un peu de complaisance, il a ouvert l’accès au star système avec carrière et oscars à la clé ?

Pourquoi continuer à rabâcher l’affaire Polanski alors que

«Dans un tweet inattendu, Samantha Geimer, violée à 13 ans par le réalisateur franco-polonais, affirme être «entièrement d’accord avec Mme Deneuve».

http://madame.lefigaro.fr/societe/la-victime-de-roman-polanski-samantha-geimer-soutient-catherine-deneuve-apres-la-tribune-du-monde-150118-146413»

Evidemment, comme le dit Brigitte Bardot, tout ce tintouin occupe les médias au lieu de s’occuper de choses plus graves.

http://www.lefigaro.fr/culture/2018/01/17/03004-20180117ARTFIG00297-brigitte-bardot-fustige-ces-actrices-allumeuses-qui-temoignent-de-harcelement-sexuel.php  Qu’est-ce que cela cache?

Il y a aussi régulièrement des scandales sexuels concernant les ministres britanniques. Ça n’étonne plus personne et fait même sourire.

Mais on n’imagine pas de déballage de la vie privée de Poutine ou Erdogan ou de personnalités japonaises ou chinoises, ni moins encore les galipettes des potentats africains ou arabes. Les riches Arabes ne s’offrent-ils pas des petites filles pour leurs vacances en Egypte ?

http://www.wikistrike.com/article-egypte-des-milliers-de-filles-de-11-a-18-ans-louees-a-de-riches-arabes-pendant-l-ete-119512491.html

 Je rappelle cet épisode truculent : Poutine/Berlusconi.

«https://www.rtbf.be/info/societe/detail_scandale-sexuel-silvio-berlusconi-est-victime-de-la-jalousie-selon-vladimir-poutine?id=6762653

Poutine : “Quoiqu’ils disent sur monsieur Berlusconi et son rapport particulier envers le beau sexe – d’ailleurs, ils s’en prennent à lui par jalousie – il a montré qu’il était un homme d’Etat responsable dans tous les sens du terme”, a-t-il déclaré lors d’un forum économique à Sotchi.

Vladimir Poutine et Silvio Berlusconi sont des amis de longue date et affichent leur complicité lors de toutes leurs rencontres.

Vladimir Poutine s’était déjà illustré par le passé par des réflexions surprenantes concernant les frasques sexuelles d’un homme d’Etat. En 2006, il avait ainsi plaisanté au sujet du président israélien d’alors, Moshé Katzav, poursuivi pour viol. “Saluez de ma part votre président ! Il s’avère être un type puissant ! Violer dix femmes ! Je ne m’attendais pas à cela de sa part ! Il nous a tous étonnés. Nous l’envions tous”, avait-il lancé au Premier ministre israélien Ehud Olmert, en visite à Moscou. (…) – agence Belga»

Il faudrait aussi faire la distinction entre, harcèlement, viol et prostitution.

Donc ma question devient : la diabolisation du mâle occidental, n’est-ce pas tout simplement une autre facette de la guerre contre l’homme occidental blanc ?

Nos jeunes femmes souhaitent-elles vraiment le retour du puritanisme que leurs grand-mères ont combattu ? Puritanisme charia-compatible pour le plus grand bénéfice des islamiseurs ?

Cependant une distinction s’impose : si Catherine, B.B. et nous, nous nous entendions bien avec nos hommes, c’était parce que nous connaissions et appliquions nos codes respectifs. Là où cela ne fonctionne plus du tout, pour aucune d’entre nous, c’est quand des codes étrangers brouillent les nôtres. Le harcèlement comme le dénonce Sophie Peeters, ça personne n’en veut.

https://www.rtbf.be/auvio/detail_sofie-peeters-femme-de-la-rue-bruxelles?id=2085934

 Anne Lauwaert




Le droit d’être importunée par un homme, contre l’hystérie anti-mâle blanc

Donc, finalement, une centaine de femmes, pas moins féministes que les autres, ont répondu à l’hystérie anti-mâle blanc, elles défendent la liberté d’importuner. Parmi elles, Catherine Deneuve a 75 ans et Elisabeth Lévy en a 54 ans.

http://www.europe1.fr/societe/tribune-de-femmes-dont-catherine-deneuve-pour-laisser-aux-hommes-la-liberte-dimportuner-3541469

Ma fille, qui a 50 ans et dont la première profession est jardinier, a été la première apprentie féminine dans un métier qui à l’époque était essentiellement masculin et une entreprise gérée par des hommes. Elle est tout à fait du même avis et dit bravo !

J’ai 72 ans et je suis d’accord avec elles. Dans ma vie, si j’ai eu des conflits, c’était avec des femmes, jamais avec des hommes. J’admets que j’ai toujours préféré discuter de moteurs, aller en montagne et, bien sûr, jouir des plaisirs de la vie, ce qui fait des hommes des partenaires agréables. Il est vrai que j’ai eu la chance de faire l’école primaire comme seule fille à l’école communale des garçons où mon père était instituteur.

https://atelier-ca-della-fiola.blogspot.ch/p/biographie.html

L’âge est important car celles qui ont vécu la sexualité décomplexée des années 60-70-80 ont une vision différente de la mentalité actuelle.

Cette hystérie anti mâle blanc est partie des USA. Weinstein qui a 66 ans, a mené une vie de satyre grâce a des nanas qui via des accommodements pas toujours très vertueux ont acquis une place dans le star système hollywoodien et maintenant tout d’un coup, elles crachent dans la soupe. Soudain elles deviennent pudibondes tout à fait islamo compatibles.

Tout cela n’a aucun intérêt puisqu’elles connaissaient les termes du marché et à l’époque ont pensé qu’un Oscar valait bien un lupanar. Bof, ça se fait dans tous les milieux et depuis toujours. Ça n’a aucun intérêt.

Ce qui a de l’intérêt c’est la question “pour quelle raison cette affaire que tout le monde connait depuis toujours fait-elle scandale aujourd’hui ?”

Pourquoi n’est-ce qu’aujourd’hui que la bienpensance s’inquiète de la vertu des starlettes ?

Première réponse: il y a certainement une raison politique, laquelle ? Je ne sais pas, mais ce qui me parait le plus évident c’est la similitude Weinstein–Trump… Tout ce beau monde du spectacle gauchisant, très déçu que leur Hillary n’ait pas été élue s’est donné pour mission de déboulonner ce Trump qu’ils détestent/jalousent. Tous les moyens sont bons, les coups les plus tordus sont permis et sans doute y a-t-il des bénéfices à la clé…

Autre hypothèse : les agressions sexuelles de la part des allochtones (viols, assassinats, tournantes, débordements dans les piscines ou les manifestations publiques, etc.) sont de plus en plus dénoncées, alors il est important de démontrer que les mâles blancs sont aussi des prédateurs sexuels. Weinstein et nos harceleurs sont le pendant autochtone des violeurs allochtones. Ce qui dédouane les allochtones.

Les midinettes gauchisantes européennes tombent dans le panneau ? Quoi d’étonnant ?

Alors quand les vieilles carcasses comme Deneuve ou Bardot qui en ont vu beaucoup d’autres, bousculent la bienpensance, la génération selfie pisse dans son smartphone…

Mais il y a des trucs qui font encore plus bondir :

Aldo Sterone explique que si vous ne voulez pas être violée, vous devez ne pas vous mettre en situation d’être violée. Ça veut dire que si vous êtes violée vous avez une part de responsabilité ? Oui madame… Olala ! Quelle horreur !

Ben oui, si vous allez, coiffée, maquillée, parfumée, déshabillée sexy, vous trémousser en boite et ensuite accompagnez un type, ça veut dire quoi ? En clair ça veut dire que vous cherchez à baiser. Ne faites pas la sainte-nitouche car votre accoutrement et votre comportement disent au contraire que vous demandez qu’on vous touche.   youtu.be/2Cct9dXMLro?a 

Les comportements lancent des messages. Dans le bon vieux temps, quand un homme proposait à une femme de venir, chez lui, admirer ses estampes japonaises, c’était une façon élégante de l’inviter dans son lit, tout aussi explicite que de raccompagner en voiture ou d’aller prendre un verre dans une chambre d’hôtel.

Comme le dit Aldo : du moment où on va dans le territoire de l’autre, on se soumet volontairement à sa domination, chose que les “victimes” de l’affreux monsieur Weinstein font semblant de ne pas savoir… Mais qu’est ce qu’on leur enseigne à ces oies nées de la dernière pluie ?

Si “les hommes ne comprennent rien aux femmes” vice-versa : les femmes ne savent pas comment fonctionnent les hommes. Ma mère disait “méfie-toi d’eux car ils ne pensent qu’à ça”. Tiens ! comme si les femmes ne pensaient pas à la même chose, c’est même la nature.

On peut jouer aux jeux dangereux sexy et provoquer, mais là il faut être habile et expérimentée pour être capable de faire évoluer la situation comme on le veut. Et cela peut même ne pas suffire car il y a des hommes, qui, une fois un certain degré d’excitation rejoint, ne se contrôlent plus, ils sont comme en transe et alors, consentante ou pas… Vous n’aviez qu’à ne pas aller jusque là: qui s’y frotte s’y pique. Selberschuld.

Mais il y a aussi l’aspect physiologique qui fait encore plus bondir parce que rappeler la nature animale de l’être humain, oh my goodness, comme c’est choking ! Et pourtant, ce sont les femmes qui mettent le feu aux poudres en diffusant leurs phéromones.

Nous sommes des mammifères et quand les femelles sont en chaleur, elles se cherchent un mâle pour les féconder. A cet effet elles émettent, inconsciemment, des phéromones auxquelles les mâles, tout aussi inconsciemment, ne résistent pas. Cela complique la situation.

Si une fille est dans sa période dans laquelle elle émet des phéromones, ce qui signifie que inconsciemment elle envoie des invitations sexuelles aux hommes, et “sort en boite”, il est fort probable qu’elle aura autour d’elle un foisonnement de mâles en rut… et si dans ces conditions elle répond à des avances, pour le mâle cela signifie le consentement.

Mais oui mesdames, quand vous êtes dans votre période de chaleur vous émettez des phéromones et si alors, au bureau, votre collègue vous dit que vous avez de belles jambes, dites-vous qu’il a senti vos phéromones. C’est aussi simple que ça et il n’y a pas de quoi faire un pataquès.

Des lecteurs vont s’indigner, mais si les filles savaient quelles sont les conséquences de leurs comportements, on pourrait certainement éviter non seulement des viols mais aussi des meurtres et des victimes qu’on retrouve des semaines plus tard découpées en petits morceaux. Vous voulez faire du jogging, seule, dans une forêt ? Dans le temps on disait aux enfants que dans les forêts il y a des loups. N’en déplaise aux écolos.

Nous, avec nos mâles, nous avons une longue expérience, ce qui n’est pas le cas avec les mâles allochtones frustrés qui proviennent de civilisations dans lesquelles le sexe est encore tabou. Avec eux, il y a problème parce que nos codes de comportements sont différents des leurs. Cependant, ce n’est pas en culpabilisant les nôtres qu’on va résoudre le problème des autres, bien au contraire. Nos femmes ont tout intérêt à faire l’union sacrée avec nos hommes car le pire dans la situation actuelle c’est le retour des bigots et des puritains obsédés par la volonté d’emprisonner les femmes sous des burqas.

Anne Lauwaert