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Et si l’islam était le culte de la perversion sexuelle et morale ?

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Forniquer, violer, abuser sexuellement d’enfants pré-pubères, incendier, faire de l’élevage sexuel sous couvert d’adoption, terroriser, racketter, décapiter, lapider, kidnapper, rançonner, vitrioler, pratiquer la nécrophilie et la zoophilie, trahir, brader le pays, brûler le drapeau national, piétiner les codes républicains, appeler au meurtre des “mécréants”, prier illégalement dans les rues, s’envelopper dans son linceul, faire l’apologie du djihad et de l’antisémitisme, razzier, profaner les tombes, prêcher la haine du juif, du chrétien et du démocrate dans les mosquées, appeler au meurtre des démocrates, assassiner, envoyer des filles mineures en Syrie pour servir de putes halal afin de satisfaire les bas instincts des terroristes, partouzer halal, donner sa femme en offrandes aux escadrons de la mort djihadistes, ce n’est ni un crime ni un délit aux yeux des gouvernements occidentaux comme musulmans qui eux-mêmes organisent des filières terroristes et servent de proxénètes pour l’occasion.

  • Tout ceci n’a rien de choquant ni d’outrageant pour les bonnes âmes musulmanes, qui versent leurs larmes de crocodiles quand leur ignoble figure tutélaire Mahomet est soi-disant caricaturée et ridiculisée, mais ça le devient quand un homme entretient une relation sexuelle avec une personne majeure et consentante du même sexe que lui. Le partenaire sexuel chez les musulmans est celui qui se soumet sans broncher à ses désirs. Un musulman s’accouple avec un être humain comme avec un corps inerte ou un animal, il n’a pas à tenir compte de sa volonté. Hypocrite et cul-bénit, il prêche et se drape dans sa vertu tout en s’adonnant à la luxure. C’est un déviant sexuel né, qui trouve une légitimation à ses pulsions dans sa religion elle-même, qui fait office de facteur désinhibiteur. Elle libère ses bas instincts de toutes contraintes morales et sociétales.
  • Plus les musulmans se voilent la face, plus ils essayent de soustraire au regard de l’humanité les traits hideux de leurs perversités sexuelles et de leur amoralité qui marquent leurs visages. Elles ne sont ni puritaines ni rigoristes, elles se cachent d’elles-mêmes. Elles ont peur d’assumer leur identité sexuelle non-conformiste, éprouvant une véritable aversion pour tout ce qui les renvoie à leur véritable nature. La morale musulmane est un pur fantasme, une illusion d’optique, un trompe-l’œil pour induire l’observateur étranger en erreur et pour lui faire croire que ces sociétés musulmanes sont un modèle exemplaire en ce qui concerne l’ordre moral. Ce n’est rien d’autre qu’un rideau qui cache les coulisses d’un théâtre aux regards des spectateurs. Quand une religion veut régler dans ses moindres petits détails la vie intime de ses disciples, cela en dit long sur sa nature voyeuriste, sur l’hyper-sexualisation de son message soi-disant sacré et sur son caractère profondément exhibitionniste. De tous les systèmes de croyance qui puissent exister, l’islam est le seul à avoir codifié les rapports sexuels et fixé un cadre dans lequel lesdits rapports peuvent être accomplis. Il est permis d’entretenir toutes sortes de relations de l’humain à l’animal, en passant par les corps sans vie des femmes, de même qu’avec les djinns.
  • Les musulmans ont beau se proclamer homophobes et condamner les homosexuels, ils sont certainement les peuples au monde qui s’adonnent le plus aux pratiques homosexuelles à cause du cloisonnement sexuel de leurs sociétés, qui favorisent la promiscuité entre les personnes du même sexe, pratiques homosexuelles qui trouvent aussi leurs origines dans les abus sexuels dont les musulmans sont souvent victimes pendant leur enfance de la part des imams et des instituteurs, quand ce n’est pas des membres masculins de leurs familles. Le même raisonnement prévaut aussi pour leurs femmes qui vivent dans leur tour d’ivoire en vase clos, qui partagent les “faveurs sexuelles” d’un même mâle mais s’ennuient et manquent cruellement de tendresse et n’ont pas d’autres moyens pour s’évader et combler leur vide affectif que de se livrer à une activité sexuelle entre elles.
  • On ne saurait dire qu’avec leurs pratiques zoophiles, pédophiles, incestueuses et nécrophiles, voire démoniaques, les musulmans ont une morale sexuelle et que les interdits et tabous sont leurs atouts majeurs. Quand bien même ils pourraient le revendiquer, il n’en demeure pas moins qu’ils seraient à contre-courant de leur innommable idole, leur prophète atteint du démon du midi à la cinquantaine, qui forniquait avec des femmes de 7 à 77 ans, violant les femmes captives, impudique, incapable de contrôler sa fougue sexuelle, allant même jusqu’à obliger son fils adoptif à répudier sa femme afin qu’il puisse abuser de ses charmes. Bel étalon sexuel qui fait la fierté de ses adorateurs, qui sont tout heureux de louer ses performances sexuelles hors du commun, qui seraient selon eux un don d’Allah, qui aurait honoré une centaine de femmes en une seule nuit.
  • Dans les sociétés musulmanes, qui ont érigé la tartuferie en norme sociale, inscrite en lettres d’or dans leur code de bonne conduite, la morale religieuse musulmane, qui est l’école du vice par excellence, sous couvert du sacré, fait force de loi et la morale républicaine est un sacrilège qu’il faut abolir, car elle constitue une entrave aux libertés des mœurs barbares de l’islam. Autrement dit, tous les crimes et forfaits, qu’ils soient sexuels ou non, accomplis au nom de la religion musulmane, sont licites et toutes les libertés humaines sont illicites.
  • Et dire que le prophète lui-même était un pervers sexuel patenté, auquel tous les musulmans aspirent de ressembler. Tout donne à croire, pour perpétuer la tradition, qu’il vaut mieux avoir des penchants pédophiles, y compris pour des jeunes garçons, les gholmanes, que d’avoir une orientation ouvertement homosexuelle.

Salem Ben Ammar

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La Kalafa, filière migratoire et exemple d'application de la charia en France

Vous avez aimé les mariages blancs ou arrangés, vous allez adorer la kafala. C’est un exemple d’application de la loi islamique en France et c’est aussi une filière migratoire faisant venir, du pays d’origine, des enfants sans lien de filiation biologique ou légal avec le couple qui les fait venir, mais garantis musulmans.

La charia, ce n’est pas seulement les amputations et lapidations ; c’est l’ensemble du droit islamique, civil ou pénal. Dès lors qu’une règle issue du Coran a des effets juridiques en France, cela revient à ce que la charia s’applique sur notre sol. Dans ces aspects de droit civil, la charia n’atteint certes pas les mêmes niveaux de barbarie qu’au pénal. Elle est simplement inégalitaire et discriminatoire.

Ainsi en va-t-il de la kafala, règle islamique relative au recueil d’enfants, substitut à l’adoption défendu avec une belle énergie tant sur internet que dans les colonnes de Rue 89.   Les fins théologiens qui lisent ce site savent que l’obsédé sexuel de la Mecque avait adopté un enfant qu’il avait toujours considéré comme son fils jusqu’à ce qu’il lui prenne fantaisie de coucher avec l’épouse de ce fils, c’est à dire sa belle-fille. C’était donc un inceste, mais cela cessa vite de l’être, car, par la volonté de Dieu,  le vieux bouc libidineux était aussi législateur. Il décida que les liens familiaux ne pouvaient résulter que du sang. A partir de là, son fils n’était plus son fils, sa belle-fille n’était plus sa belle-fille, et son inceste n’était plus un inceste. Capito ? C’est subtil, le droit religieux…

Depuis, en application de cette législation si opportune et en imitation de ce beau modèle, il n’y a pas d’adoption dans les pays musulmans, mais seulement des recueils d’enfants appelés kafala.   Et figurez-vous que la France donne des effets juridiques à la kafala, à condition seulement que le recueil soit effectif et la présence de l’enfant continue. C’est ce qui résulte d’un arrêt de la Cour de Cassation du 14 avril 2010, première chambre civile, numéro de pourvoi: 08-21312 :

http://www.legifrance.gouv.fr/affichJuriJudi.do?oldAction=rechJuriJudi&idTexte=JURITEXT000022108663&fastReqId=857920958&fastPos=14

Dans cet arrêt, la Cour fait application de l’article L 21-12 du Code civil, relatif à l’acquisition de la nationalité par déclaration, dans une version antérieure, mais la version actuelle n’est pas moins large dans l’octroi de la nationalité. Il prévoit de larges possibilités d’accès à la nationalité non seulement pour les enfants étrangers adoptés, mais aussi pour les enfants simplement recueillis et remplissant certaines conditions de présence :

http://www.legifrance.gouv.fr/affichCode.do;jsessionid=B0B905D6DE7F4757CDEC5BA6DE8477ED.tpdjo16v_3?idSectionTA=LEGISCTA000006165458&cidTexte=LEGITEXT000006070721&dateTexte=20080925

La kafala produit donc des effets en France à condition que le recueil soit effectif.   Mais cela n’empêche pas de continuer à revendiquer. Puisque la France ne dit jamais non, pourquoi se priver de demander toujours plus après avoir déjà eu plus que sa part ?   Le blog du droit des étrangers explique comment tirer le maximum de la kafala :

http://avocats.fr/space/droitdesetrangers/content/la-kafala–ou-kafalah-ou-kefala-_DAF9EE0D-D90E-4DF6-A393-BDD2382275F2

Outre la nationalité française à terme, il est possible d’obtenir quelques prestations familiales. La jurisprudence n’est pas entièrement fixée. La Cour de Cassation (deuxième chambre civile, arrêt du 11 juin 2009) a refusé le versement de la prestation d’accueil du jeune enfant :

http://www.legifrance.gouv.fr/affichJuriJudi.do?idTexte=JURITEXT000020746068&fastReqId=857920958&fastPos=15&oldAction=rechJuriJudi

Cependant, pour d’autres prestations, les litiges ne sont pas remontés jusqu’à la juridiction suprème, et certaines Cours d’appel acceptent le versement de certaines allocations (par exemple : Cour d’appel de Limoges, ct0173 audience publique du lundi 24 novembre 2008 N° de RG: 08/00786 ) :

http://www.legifrance.gouv.fr/affichJuriJudi.do?oldAction=rechJuriJudi&idTexte=JURITEXT000019978269&fastReqId=857920958&fastPos=2

Il est aussi possible d’obtenir des visas. En réalité, la kafala, comme le mariage arrangé, est aussi une filière migratoire, comme Rue 89 nous l’explique sans s’en choquer (article en lien plus loin) :   “Une fois la kafala contractée, commence la bataille du visa pour que l’enfant puisse venir en France. Face à lui, un ministère de l’Immigration intraitable qui soupçonne d’abord un détournement des lois, notamment celles régissant le regroupement familial, voire un trafic d’enfants. ”   L’objectif de tout cet activisme est d’obtenir que la kafala soit mise sur le même plan qu’une adoption légale quand il s’agit de produire des effets positifs pour le couple recueillant.

Mais il y a quand même une légère différence entre la kafala et l’adoption simple, à laquelle elle pourrait autrement ressembler. En tant qu’elle appartient au droit coranique, la kafala affiche sans complexe son caractère discriminatoire. Rue 89 continue de ne pas se choquer pour si peu, et nous explique benoîtement :   ” En Algérie, la condition pour recueillir un enfant est qu’une des personnes du couple soit de nationalité algérienne. Au Maroc, « il faut prouver qu’on est musulman », raconte Malika. « Vous devez réciter des versets du Coran. »

La plupart du temps, ces « parents » sont donc originaires du pays de l’enfant recueilli. Ils voient là le moyen d’adopter un enfant de leur culture, mais croient aussi parfois éviter les complications de l’adoption.”

Belle franchise ! Encore un exemple de discrimination “positive” !

Une association, l’APAERK, se charge spécifiquement de faire avancer les revendications islamiques, et de faire aligner le statut de la kafala sur celui de l’adoption :

http://www.apaerk.org/qui.php

Enfin, Rue 89 orchestre les gémissements :

http://www.rue89.com/2011/02/17/la-kafala-une-forme-dadoption-que-la-france-ne-reconnait-pas-189198

Dans un article intitulé La Kafala, une forme d’adoption qui passe mal en France, l’article cherche à nous tirer des larmes sur le sort de ces petits nenfants-nenfants à qui la France finit toujours par donner ce qu’elle ne doit pas, mais ne le donne pas assez vite, assez largement, et sans y ajouter assez d’enthousiasme.

L’un d’eux nous expose sa “blessure identitaire” :   « Je suis le seul étranger de ma famille. Je lutte pour me faire naturaliser. Moi je suis citoyen algérien, alors que j’ai jamais vécu plus de trois mois en Algérie depuis mes 2 ans. C’est chiant, on a l’impression de devoir gagner son identité, d’avoir à la mériter.” Devoir mériter d’être français pour le devenir…. un vrai scandale ! C’est inhumain ! Que fait la police de la pensée ? Au secours, SOS-Racisme, le MRAP, la LDH !

Catherine Ségurane




La Kalafa, filière migratoire et exemple d’application de la charia en France

Vous avez aimé les mariages blancs ou arrangés, vous allez adorer la kafala. C’est un exemple d’application de la loi islamique en France et c’est aussi une filière migratoire faisant venir, du pays d’origine, des enfants sans lien de filiation biologique ou légal avec le couple qui les fait venir, mais garantis musulmans.

La charia, ce n’est pas seulement les amputations et lapidations ; c’est l’ensemble du droit islamique, civil ou pénal. Dès lors qu’une règle issue du Coran a des effets juridiques en France, cela revient à ce que la charia s’applique sur notre sol. Dans ces aspects de droit civil, la charia n’atteint certes pas les mêmes niveaux de barbarie qu’au pénal. Elle est simplement inégalitaire et discriminatoire.

Ainsi en va-t-il de la kafala, règle islamique relative au recueil d’enfants, substitut à l’adoption défendu avec une belle énergie tant sur internet que dans les colonnes de Rue 89.   Les fins théologiens qui lisent ce site savent que l’obsédé sexuel de la Mecque avait adopté un enfant qu’il avait toujours considéré comme son fils jusqu’à ce qu’il lui prenne fantaisie de coucher avec l’épouse de ce fils, c’est à dire sa belle-fille. C’était donc un inceste, mais cela cessa vite de l’être, car, par la volonté de Dieu,  le vieux bouc libidineux était aussi législateur. Il décida que les liens familiaux ne pouvaient résulter que du sang. A partir de là, son fils n’était plus son fils, sa belle-fille n’était plus sa belle-fille, et son inceste n’était plus un inceste. Capito ? C’est subtil, le droit religieux…

Depuis, en application de cette législation si opportune et en imitation de ce beau modèle, il n’y a pas d’adoption dans les pays musulmans, mais seulement des recueils d’enfants appelés kafala.   Et figurez-vous que la France donne des effets juridiques à la kafala, à condition seulement que le recueil soit effectif et la présence de l’enfant continue. C’est ce qui résulte d’un arrêt de la Cour de Cassation du 14 avril 2010, première chambre civile, numéro de pourvoi: 08-21312 :

http://www.legifrance.gouv.fr/affichJuriJudi.do?oldAction=rechJuriJudi&idTexte=JURITEXT000022108663&fastReqId=857920958&fastPos=14

Dans cet arrêt, la Cour fait application de l’article L 21-12 du Code civil, relatif à l’acquisition de la nationalité par déclaration, dans une version antérieure, mais la version actuelle n’est pas moins large dans l’octroi de la nationalité. Il prévoit de larges possibilités d’accès à la nationalité non seulement pour les enfants étrangers adoptés, mais aussi pour les enfants simplement recueillis et remplissant certaines conditions de présence :

http://www.legifrance.gouv.fr/affichCode.do;jsessionid=B0B905D6DE7F4757CDEC5BA6DE8477ED.tpdjo16v_3?idSectionTA=LEGISCTA000006165458&cidTexte=LEGITEXT000006070721&dateTexte=20080925

La kafala produit donc des effets en France à condition que le recueil soit effectif.   Mais cela n’empêche pas de continuer à revendiquer. Puisque la France ne dit jamais non, pourquoi se priver de demander toujours plus après avoir déjà eu plus que sa part ?   Le blog du droit des étrangers explique comment tirer le maximum de la kafala :

http://avocats.fr/space/droitdesetrangers/content/la-kafala–ou-kafalah-ou-kefala-_DAF9EE0D-D90E-4DF6-A393-BDD2382275F2

Outre la nationalité française à terme, il est possible d’obtenir quelques prestations familiales. La jurisprudence n’est pas entièrement fixée. La Cour de Cassation (deuxième chambre civile, arrêt du 11 juin 2009) a refusé le versement de la prestation d’accueil du jeune enfant :

http://www.legifrance.gouv.fr/affichJuriJudi.do?idTexte=JURITEXT000020746068&fastReqId=857920958&fastPos=15&oldAction=rechJuriJudi

Cependant, pour d’autres prestations, les litiges ne sont pas remontés jusqu’à la juridiction suprème, et certaines Cours d’appel acceptent le versement de certaines allocations (par exemple : Cour d’appel de Limoges, ct0173 audience publique du lundi 24 novembre 2008 N° de RG: 08/00786 ) :

http://www.legifrance.gouv.fr/affichJuriJudi.do?oldAction=rechJuriJudi&idTexte=JURITEXT000019978269&fastReqId=857920958&fastPos=2

Il est aussi possible d’obtenir des visas. En réalité, la kafala, comme le mariage arrangé, est aussi une filière migratoire, comme Rue 89 nous l’explique sans s’en choquer (article en lien plus loin) :   “Une fois la kafala contractée, commence la bataille du visa pour que l’enfant puisse venir en France. Face à lui, un ministère de l’Immigration intraitable qui soupçonne d’abord un détournement des lois, notamment celles régissant le regroupement familial, voire un trafic d’enfants. ”   L’objectif de tout cet activisme est d’obtenir que la kafala soit mise sur le même plan qu’une adoption légale quand il s’agit de produire des effets positifs pour le couple recueillant.

Mais il y a quand même une légère différence entre la kafala et l’adoption simple, à laquelle elle pourrait autrement ressembler. En tant qu’elle appartient au droit coranique, la kafala affiche sans complexe son caractère discriminatoire. Rue 89 continue de ne pas se choquer pour si peu, et nous explique benoîtement :   ” En Algérie, la condition pour recueillir un enfant est qu’une des personnes du couple soit de nationalité algérienne. Au Maroc, « il faut prouver qu’on est musulman », raconte Malika. « Vous devez réciter des versets du Coran. »

La plupart du temps, ces « parents » sont donc originaires du pays de l’enfant recueilli. Ils voient là le moyen d’adopter un enfant de leur culture, mais croient aussi parfois éviter les complications de l’adoption.”

Belle franchise ! Encore un exemple de discrimination “positive” !

Une association, l’APAERK, se charge spécifiquement de faire avancer les revendications islamiques, et de faire aligner le statut de la kafala sur celui de l’adoption :

http://www.apaerk.org/qui.php

Enfin, Rue 89 orchestre les gémissements :

http://www.rue89.com/2011/02/17/la-kafala-une-forme-dadoption-que-la-france-ne-reconnait-pas-189198

Dans un article intitulé La Kafala, une forme d’adoption qui passe mal en France, l’article cherche à nous tirer des larmes sur le sort de ces petits nenfants-nenfants à qui la France finit toujours par donner ce qu’elle ne doit pas, mais ne le donne pas assez vite, assez largement, et sans y ajouter assez d’enthousiasme.

L’un d’eux nous expose sa “blessure identitaire” :   « Je suis le seul étranger de ma famille. Je lutte pour me faire naturaliser. Moi je suis citoyen algérien, alors que j’ai jamais vécu plus de trois mois en Algérie depuis mes 2 ans. C’est chiant, on a l’impression de devoir gagner son identité, d’avoir à la mériter.” Devoir mériter d’être français pour le devenir…. un vrai scandale ! C’est inhumain ! Que fait la police de la pensée ? Au secours, SOS-Racisme, le MRAP, la LDH !

Catherine Ségurane