Le Figaro : voici les noms des journalistes qui veulent faire virer Zemmour
Quand des journalistes du Figaro s’habillent en révolutionnaires et souhaitent qu’un de leurs confrères se fasse guillotiner, symboliquement bien sûr, mais veulent sa mort sociale, décidé par le stalinien Edwy Plenel.
Alors nous nous trouvons en face de petits comités de salut public.
Il apparaît qu’être journaliste au Figaro ne veut pas dire que vous soyez un défenseur de la liberté d’expression, un admirateur de l’information juste. Depuis plusieurs années, nous avons bien vu le basculement du Figaro dans un politiquement correct, non affirmé certes, mais bien présent.
Des hommes comme Éric Zemmour et Ivan Rioufol détonnent de plus en plus. Leurs discours et prises de positions sur la vie politique, leurs oppositions aux délires macroniens, leurs engagements clairement souverainistes ne plaisent pas aux petits dictateurs rouges du syndicat des journalistes de ce journal.
Qui sont-ils, ces coupeurs de langues ?
- Pierre de Guéhéneuc de Boishue qui porte le nom d’une lignée qui serait éteinte depuis 1945. La famille de Guéhéneuc de Boishue est une famille noble d’ancienne extraction. Originaire de Bretagne, elle s’est éteinte en ligne légitime en 1945. (Wikipédia)
- Jean-Baptiste Garat (rédacteur en chef adjoint au service culture du Figaro)
- Paul Delort (journaliste)
- Anne de Guigné @adeguigne (Journaliste)
- Jean-Marc Leclerc, @leclercjm (rédacteur en chef adjoint)
- Sophie de Ravinel @S2RVNL (Journaliste) (la bobo gauchiste)
Tous ces petits bras révolutionnaires ne supportent plus qu’un Éric Zemmour les écrase de par son talent de polémiste, son talent d’écrivain à succès, sa culture historique et les rumeurs qui courent sur son éventuelle candidature aux Présidentielles. Une candidature qui, en cas de réussite, signifierait la mort de ces petits bras.
Ils ne supportent plus, toute cette clique de bobos gauchistes à particules vraies ou fausses, de réaliser qu’ils sont dépassés. Leurs petites certitudes vacillent.
Ces petits nantis bien planqués dans leurs quant-à-soi, leurs aisances matérielles à chacun, risquent bien d’être bousculés. Ils sentent confusément qu’ils se dirigent tout droit vers d’autres lieux d’aisance moins sympathiques, et aux odeurs que ne pourront pas effacer leurs déodorants gauchistes.
Que va faire Alexis Brezet, le patron du Figaro, devant ces demandes de censures, voire de licenciement d’Éric Zemmour ? On peut sans doute ne pas trop s’inquiéter.
Éric Zemmour, dont il est un ami, dit à son sujet : « c’est moi en sage. Il est beaucoup moins provoc’, mais depuis nos débuts, en 1988, nous avons la même matrice ».
Devenu patron du Figaro, Alexis Brezet avait fixé comme mission au journal de « revendiquer davantage nos valeurs : être un journal libéral mais pas dogmatique, être un journal conservateur mais pas passéiste ».
Nous voyons bien que les islamo-gauchistes, les mondialistes, les syndicalistes aux ordres, les amis du stalinien de Mediapart qui vivent du Figaro, mais ceux d’ailleurs, comme de Télérama, de l’ImMonde, etc., se posent des questions sur leur avenir. Ils ont perdu la bataille des opinions. Ils ont perdu la bataille des idées et de fait, ils sont prêts à toutes les ignominies, et à dresser les potences médiatiques, à dresser des poteaux pour fusiller la résistance.
N’ayons aucune illusion, si la victoire ne sourit pas aux souverainistes en 2022, si les Français patriotes, souverainistes, n’ont toujours pas compris que l’abstention est un piège à con, ils iront jusqu’à faire venir tous les résistants devant un tribunal révolutionnaire. Il n’y a rien de plus violent qu’une bourgeoisie mondialiste vengeresse qui aura eu très peur. C’est l’échafaud pour la France.
Cette esquisse de tribunal révolutionnaire qui siège au Figaro veut la peau d’Éric Zemmour et la nôtre en suivant.
Gérard Brazon