Bouteldja, Obono, Diallo, Avia, Traoré font le trottoir pour les islamistes
Je ne suis pas envieux de nature, et je me satisfais de ce que la vie me donne en général. En aucun cas je ne me suis senti torturé par la jalousie en regardant les têtes couronnées, les milliardaires aux belle voitures et aux belles maisons. J’ai eu cette chance.
Je respecte les grandes familles bourgeoises qui, au fil des générations, ont bâti une fortune immobilière, de grandes entreprises nationales, puis internationales. Je respecte ces bourgeois souvent méprisés par les gauchistes, et qui ont su construire un nom, une famille, su construire un empire donnant des milliers d’emplois.
Ils ont aussi, bien sûr, leurs propres tarés, dans ces familles bourgeoises. Ces enfants où ces petits-enfants qui se prennent pour des révolutionnaires, font le coup de poing parmi les antifas et autres Black Blocs. Ceux-ci, faibles d’esprits, ont oublié les biberons donnés par les nounous, les déjeuners servis par des gouvernantes, leurs chaussures cirées, leurs vêtements repassés par des domestiques, les écoles privées. Ils ont tout mon mépris et sans doute s’en moquent-ils.
Je ne compte pas dans cette catégorie des types comme des Bernard Tapie, aussi talentueux soient-ils dans l’arnaque. La famille Tapie fait partie de ces parvenus ayant profité de la misère qu’ils auront générée par des achats d’entreprises en difficultés, en vendant leurs actifs et en virant les salariés.
Je reste toujours étonné d’entendre de la compassion pour Bernard Tapie de la part de salariés, d’ouvriers, d’employés pour lesquels il n’a jamais eu ne serait-ce qu’un peu de compassion.
Je n’ai par contre aucun respect, voire du mépris pour les parvenus en général, en tous genres, venus du monde artistique, de la mode, des arts et pour les acteurs décérébrés, les midinettes sans cervelle, ayant placé leur intelligence dans la taille du bonnet de leurs seins, voire dans la taille du ticket de métro façonné par leurs épileuses.
Que du mépris pour ceux qui “pètent plus haut que leurs cul” et s’estiment devoir émettre une opinion sur tout, et faire de la morale et particulièrement cracher sur les opinions politiques des Français comme peuvent le faire des Bernard Kouchner, des Bernard-Henri Lévy, des Nicolas Sarkozy et autres François Hollande et consorts socialo-communistes.
Le summum est, et reste, ces représentantes du racialisme, fondamentalement racistes, cette faune de l’indigénie, comme les Houria Bouteldja, les Danielle Obono, les Rokhaya Diallo, les Lætitia Avia, les Assa Traoré, sans parler de ces journalistes gavées de moraline, fourrées de mépris comme Léa Salamé, Ruth El Krief, ou Apolline de Maherbe.
Tous ces étendards au service de la pauvreté, de l’égalité ne sont en fait que des torchons aux services d’eux-mêmes.
En fait, je suis un conservateur. Un homme de droite. Un homme aimant son pays et essayant de garder le cap et qui se rend bien compte qu’il ne contrôle plus grand chose, tant les effets de la propagande sont puissants dans toutes les sphère et les strates de la société.
Qui est l’homme ou la femme qui ne réalise pas que même dans sa propre famille, il est parfois percuté par cette propagande qui touche les petits dans les écoles, qui s’est installée à la télévision, dans les publicités, et s’étale dans les journaux, et même les livres de nos écrivains anciens, réécrits parce qu’ils seraient devenus trop compliqués à lire pour nos “têtes blondes“, sans compter les séries et les films au service des lobbys LGBTcul-cul, des racialistes et menteurs indigénistes à la Assa Traoré.
Regardez avec quel mépris, quelle arrogance, cette parvenue descend les escaliers en se prenant pour une étoile en adorant le veau d’or. Hier encore, elle disait défendre les valeurs de justice, et d’égalité.
Rouge Valentino pour le #FestivaldeCannes.
👗@MaisonValentino
💄Valentino Beauty
👠@LouboutinWorld pic.twitter.com/kszt9RA5Ba— Rokhaya Diallo (@RokhayaDiallo) July 10, 2021
Ce n’est pas qu’elle descende cet escalier à Cannes qui me dérange, mais bien cette hypocrisie, cette fourberie, cette saloperie qui, comme le fait la Traoré, n’hésite pas à marcher sur la gueule et les pieds de ceux qui les admirent avec leurs chaussures Louboutin et s’habillant chez Valentino, une entreprise appartenant au Qatar, le pays le plus esclavagiste du Moyen-Orient, qui a son rond de serviette en France, et ne paie pas d’impôts grâce à Nicolas Sarkozy.
On comprend mieux pourquoi les assassinats de Français blancs, les viols de femmes, les agressions commises contre Mila, tout cela au nom d’Allah, ne semblent pas déranger ces parvenues qui s’imaginent qu’ils sont loin des trottoirs alors même qu’elles les arpentent sans discontinuer en faveur des islamistes.
Gérard Brazon